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Ce 20 mai, Tahar repère un homme qui sort péniblement d’un bureau de tabac, appuyé sur un déambulateur. Il lui demande de l’argent. L’octogénaire refuse. II est rattrapé un peu plus loin, Tahar lui enfonce une main dans la poche et lui vole son portefeuille. À la barre, la victime exprimera ses craintes de ressortir dans les rues de Perpignan: “Que va-t-on devenir? Je suis seul à m’occuper de ma femme et ma fille toutes deux handicapées”.
Catherine Vautrin fait sensation avec son annonce tonitruante de l’arrêt des cigarettes aux abords des écoles, dans les parcs publics et sur les plages. L’ennui c’est que des annonces comme celle là, bien martiale, on peut en faire treize à la douzaine, histoire de faire le buzz et de passer pour des gens qui se retroussent les manches et font « quelque chose ». Ce n’est pas tant l’annonce qui compte mais ce qui sera fait derrière et les professionnels de la sécurité sont déjà dubitatifs. On oserait rappeler à Madame la Ministre que dernièrement, faute de pouvoir empêcher de nuire une bande de dealers à proximité d’une école, on a songé à déplacer l’école. Dans la même veine, on n’arrive pas à juguler le port du couteau, la conduite sans permis et sans assurance, les rodéos urbains, le deal de drogue…
« La France doit, au plus vite, reprendre l’intégralité de sa souveraineté, transférée progressivement depuis 1992 à l’UE, et à nouveau agir dans le monde selon sa tradition et retrouver ses légitimes ambitions de Grandeur. »
L’accord passé entre les États-Unis et l’Ukraine n’a suscité aucune émotion de la part de nos commentateurs officiels, ni a fortiori de nos politiques. L’accord pourtant met en place un fonds d’investissement, qui sera financé à parts égales par les deux pays et donne la priorité aux États-Unis pour l’exploitation des ressources minières ukrainiennes. En fait il s’agit d’une sorte de monopole du développement économique d’un pays qui recèle 5% des minerais rares de la planète dont la valeur est estimée à 13.000 milliards de dollars. À ce fabuleux trésor s’ajoutent les gisements de pétrole et de gaz naturel, dont l’exploitation sera confiée à des sociétés étasuniennes. 50% des profits iront inéluctablement dans les caisses des multinationales étatsuniennes. Peu de temps après cet accord, Donald Trump a fait une tournée au Proche-Orient, serrant la main du nouveau chef de la Libye et récoltant dans la région toutes sortes de liens et de contrats.
Enfin une éclaircie dans la brume épaisse de l’idéologie verte. Une fois n’est pas coutume, les députés — ces godillots d’ordinaire soumis aux lubies technocratiques — ont agi selon l’intérêt véritable des Français. En supprimant les ZFE, ces Zones à Faibles Émissions, ils ont redonné un souffle de liberté et de bon sens au peuple, en particulier aux plus modestes, qu’on avait désigné comme des délinquants au volant de leurs vieux diesels.
Trois ans de prison dont 24 mois avec sursis, un retrait définitif de l’autorité parentale, un stage de citoyenneté et une obligation de soins. C’est la peine prononcée à l’encontre la mère de 5 enfants, originaire de Tunisie, qui avait corrigé sa fille Ismène (le prénom a été changé) de 15 ans (…)
« Ma famille avait honte, ma mère voulait me coller la bouche car j’avais fait des trucs avec ma bouche », expliquera la jeune fille aux policiers. Pendant l’enquête, la famille va nier les violences. « Elle s’est cognée avec le fer à repasser sans faire exprès », affirmera l’un des frères.
Face à la dérive communautariste de son frère, Amale El Atrassi a pris la parole et exprimé son amour de la France.
Dans la famille El Atrassi, je demande… la fille ! Quelques jours après la polémique suscitée par le sketch raciste de Mustapha El Atrassi dans lequel il s’en prenait aux « gwers » [les « Blancs », NDLR], la sœur de l’humoriste est sortie du silence. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle ne partage pas l'avis de son frère. « Je voudrais lui rappeler que c’est grâce à la France qu’il existe […] Comment peut-on être aussi ingrat et peu reconnaissant ?, déclare ainsi Amale El Atrassi, dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux. Moi j’aime ce pays qui m'a vue naitre, qui m’a vue grandir, qui m’a vue m’émanciper. »
Jeudi 15 mai 2025, à Quimper, Murielle, une mère de trois enfants, a vu sa vie partir en fumée. Victime d’un incendie, elle a tout perdu. À la rue dans quelques jours, ses enfants dispersés, sans solution stable, elle lance un cri d’alarme : « Je veux un toit pour mes enfants. »
Plus de 100 mercenaires français identifiés du côté de l’Ukraine Parmi ces 104 Français, certains ne cachent pas d’avoir commis des actes de torture, des viols ou des exécutions de prisonniers, témoigne Sergueï Munier, commandant français du détachement Normandie-Niemen se battant côté russe.
Un homme de 47 ans a été condamné à de la prison ferme, vendredi 30 mai 2025, pour avoir violemment frappé une personne dans un logement à Villejean. (…) Voyant qu’il tente de dissimuler un billet, l’individu va alors le frapper, brisant la bouteille de vodka sur sa tête, avant de lui voler son téléphone et 70 €. Des violences qui se reproduisent pour extorquer cette fois le code de la carte bancaire de la victime, et faire, par la suite, de multiples retraits d’argent. (…)
D’Olivier Amos, entrepreneur et ancien conseiller régional, pour le Salon beige:
La crise institutionnelle que nous vivons actuellement trouve son origine dans une succession de renoncements et de trahisons des valeurs qui ont fait la grandeur de notre pays. Longtemps considérée comme source d’inspiration des autres nations, la France est aujourd’hui à la remorque des modes socio-économiques venant essentiellement des Etats-Unis. Jadis première puissance mondiale, le “Land” français est désormais soumis politiquement à l’Allemagne dans le carcan réglementaire, normatif et monétaire qu’est devenue l’Union européenne. Notre pays a abandonné toutes ses prérogatives régaliennes au profit de l’UE et ne décide plus de son avenir. Il n’est plus un Etat au sens juridique du terme, comme le rappelait récemment Marie-France Garaud. Depuis la trahison du traité de Lisbonne, les Français semblent avoir abdiqué leur souveraineté aux technocrates mondialisés. Va-t-on attendre la banqueroute annoncée de l’Etat pour reprendre notre destin en main sur les ruines d’une nouvelle révolution dévastatrice ? Il existe pourtant un remède pour éviter d’en arriver à cette extrémité.