
Deux voleurs de colliers à l’arraché qui se sont attaqués à deux personnes âgées ont été arrêtés en flagrant délit, à la mi-journée, mercredi, à Lyon, dans deux affaires distinctes.
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Deux voleurs de colliers à l’arraché qui se sont attaqués à deux personnes âgées ont été arrêtés en flagrant délit, à la mi-journée, mercredi, à Lyon, dans deux affaires distinctes.

Par Gérard Leclerc
En perdant leur église, les territoires perdent leur cœur battant, et ce qui donnait vie à une communauté.
L’église, bâtiment-sanctuaire, n’existe que comme centre et cœur d’une paroisse. C’est elle, en effet, qui rassemble le peuple de Dieu, pour la part territoriale qui lui revient. On se souvient de la tendresse particulière d’un Charles Péguy à son égard. Il y voyait l’accord du spirituel et du charnel car, grâce à elle, se perpétue la présence eucharistique : « Toutes les paroisses brillent éternellement, car dans toutes les paroisses, il y a le corps de Jésus-Christ. » Dans « toutes les paroisses de toute chrétienté » se perpétue le même miracle.
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A la une de cette édition, en dépit des espoirs de paix suscités il y a quelques jours, le conflit russo-ukrainien s’intensifie.

Nos hommes politiques sont de formidables donneurs de leçons, toujours prêts à fustiger les Français qui s’échinent. François Bayrou ne fait pas exception à la règle. Sa manière de diviser les générations et de tenter une guerre entre les boomers et les autres est abjecte, car qui sont les responsables de cette dette abyssale, sinon ceux qui depuis 40 ans déversent en pure perte des milliards dans les banlieues, dans l’organisation d’une immigration massive qui nous ruine et dans mille et une actions toutes aussi inefficaces les unes que les autres, comme la multiplication d’agences aussi improductives qu’inutiles, sauf pour les fonctionnaires qui y pantouflent.

Deux voleurs de colliers à l’arraché qui se sont attaqués à deux personnes âgées ont été arrêtés en flagrant délit, à la mi-journée, mercredi, à Lyon, dans deux affaires distinctes.

Pris en étau entre la nécessité de réduire le déficit, une opposition de gauche qui pense à ses propres intérêts avant de penser à ceux du pays et une opposition « nationale » qui a laissé passer hier mais ne laissera pas passer demain, le Premier ministre a engagé la responsabilité de son gouvernement pour valider les orientations budgétaires visant à acter des économies de l’ordre de 44 Mds € pour 2026, lors d’une session parlementaire spéciale programmée le 8 septembre prochain.

Voilà Bayrou, KO debout, qui s’égare dans de la sociologie au ras du zinc du comptoir de la buvette de l’assemblée nationale, ergotant sur le confort des boomers et leur irresponsabilité d’avoir laissé des dettes aux jeunes générations. On rêve. Il parle de qui, ce Bayrou en fin de course devenu ventripotent ? Des gens nés de 1936 à 1965 qui ont, pour les premiers, rebâti la France après guerre, qui, avec les seconds, ont travaillé quarante heures et plus par semaine, qui ont bâti les grandes infrastructures, transformé la France rurale en un pays moderne ? Il parle de ceux qui ont construit le Concorde, le TGV, la Caravelle, les grands barrages et les centrales nucléaires, sans ordinateur ? Il parle de ceux qui ont épargné, acheté leurs maisons à l’époque où les crédits immobiliers étaient à 15 % ? Il parle de ceux qui tiennent à bout de bras tout le tissu associatif sportif et culturel du pays et qui donnent souvent largement à leurs enfants et leurs petits enfants, alors qu’ils n’ont, pour la très grande majorité, que des petites retraites ?
Décidément, la période que nous vivons semble propice aux remises en question de choses considérées comme acquises et, en quelques sortes, immuables. Depuis des décennies, on nous a fait croire que l’Europe ne pouvait qu’être « fédérale », à l’exclusion de toute autre forme.

Le Premier ministre vient d’accuser les générations du baby-boom d’être responsables de la dette et de vivre dans un confort indécent sur le dos des jeunes générations.
« Si on crée le chaos, qui vont être les victimes ? Les premières, ce seront les plus jeunes des Français à qui devront payer la dette pendant toute leur vie et on a réussi à leur faire croire qu’il fallait encore l’augmenter (…), tout ça pour le confort de certains partis politiques (qu’il ne cite pas) et pour le confort des boomers, comme on dit, qui de ce point de vue-là considèrent que tout va bien »