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France et politique française - Page 1608

  • Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Barbara Mazières, élue Rn à la région Pays de la Loire, est interrogée dans Les 4 Vérités :

    La présidente de région Pays de la Loire a proposé de présenter des vœux à soumettre au gouvernement de la part des régions dans le cadre du soutien à l’économie. Pourtant, deux de vos vœux ont été rejetés.

    En effet, la majorité « Les Républicains » de Mme Morançais a rejeté mes deux vœux. Le premier proposait au gouvernement de favoriser le prêt entre entreprises avec inscription de privilège. Cette idée est défendue par de nombreux entrepreneurs. Le second vœu proposait de ne fiscaliser que les bénéfices distribués. En effet, fiscaliser une entreprise au bilan revient à taxer un bien social. Ne pas fiscaliser les bénéfices non distribués permettrait aux entreprises de renforcer leur trésorerie et leur capacité d’investissement. Nous avons bien vu (enfin, les entreprises ont bien vu) durant la crise du Covid que la trésorerie était un facteur important de protection des entreprises, leur permettant de faire face à des imprévus.

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  • Covid-19. Des héros et des salauds

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    Dresser un bilan provisoire de l’épidémie de Covid-19, ce n’est pas seulement comptabiliser les victimes de la maladie et les effets économiques du confinement. C’est aussi s’intéresser au monde de la Santé et à sa médiatisation. Dominique Remmaker dresse un bilan incisif de cette période pour les professionnels de santé.
    Polémia

    Don et contre don

    On doit à l’écrivain Alphonse Karr (1808-1890) cette phrase un rien sibylline : « Un service que l’on rend est une dette que l’on contracte ». À la suite de Marcel Mauss et des théoriciens du don – contre don, il ne faut jamais perdre de vue en effet que contracter une dette, c’est subir en retour le pouvoir et le prestige du donneur. Un sentiment difficile pour l’ego, d’autant plus que le créancier est une construction sans chair ni os. Voici donc « les soignants », héros de vingt heures comme le gigot l’est de sept, qu’il fallut applaudir dans un élan de concorde nationale, à l’unisson des propagandistes médiatiques. Un peu comme dans le temps de la guerre – mythifié par un président qui ne l’a jamais connu –, tous montèrent au front en gants blancs et masques invisibles, contre un ennemi qui ne l’était pas moins. En face d’un simple bout d’ARN ceint de quelques protéines, notre société des droits individuels s’éprit d’un travers collectif : renoncer à la haine de classe, de caste, corporatiste, raciale, religieuse, anti-mâle blanc, progressiste, traoriste, en un mot, multiculturelle. Point de distinction entre médecins, infirmières ou aides-soignantes parmi ces professionnels qui consentirent à prendre le risque de leur vie pour leur idéal. Point de médecins nantis, corrompus et surpayés, à opposer à des personnels affamés et opprimés par un pouvoir d’essence patriarcale. Seulement de vrais courageux, altruistes et solidaires, qui s’infectèrent et parfois moururent sans distinction d’appartenance. Et dont on découvrit soudain l’importance sociale, la précarité, les faibles rémunérations et la mise en coupe réglée par la technocratie politico-gestionnaire. Des idoles, en somme, qu’il fut bon de célébrer au son des casseroles entre l’apéro et le repas du soir, durant deux mois de grande trouille nationale entretenue par les clairons mortifères de BFMTV. Ils n’en demandaient pas tant. L’ennui, c’est que ce qu’ils demandent aujourd’hui, ils ne l’obtiendront pas. Et que les groupies d’hier commencent à déboulonner leurs statues – décidément, une manie !

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  • Chloroquine Vs Coronavirus Didier Raoult Violaine Guérin Idriss Aberkane... dénoncent GILEAD

  • Jour de libération

    Jour de libération

    Les Français sont “libérés” fiscalement et socialement à compter de dimanche 19 juilletUn salarié célibataire doit travailler jusqu’à cette date pour financer la dépense publique, via le paiement des taxes, impôts et cotisations sociales.

    Cette date, révélée par l’étude annuelle de l’Institut économique Molinari (IEM), montre que la France reste championne d’Europe en matière de pression fiscale et sociale. Pour qu’un salarié bénéficie de 100 euros de pouvoir d’achat réel, son patron doit débourser 221 euros, dont 67 euros de charges patronales. Pour quels bénéfices ? Selon le patron de l’IEM,

    “si ces prélèvements bénéficient d’une manière ou d’une autre aux citoyens, il n’y a pas d’adéquation entre les dépenses et la qualité des services publics“.

    Selon l’indicateur du « vivre mieux » de l’OCDE, la France pointe à la 10e place sur les 20 pays européens analysés.

    En moyenne, chez nos voisin européens, cette date se situe autour du 14 juin pour cette année 2020. Toutefois, du côté de Chypre, le “jour de libération fiscale” est intervenu très tôt cette année : le 13 avril, devant Malte (19 avril). Les salariés du Royaume-Uni sont “libérés” depuis le 8 mai. Pour l’Espagne c’est depuis le 8 juin. Du côté de l’Allemagne, c’est depuis le 4 juillet alors que les salariés italiens et belges ont arrêté de payer la dépense publique depuis les 8 et 16 juillet.

    https://www.lesalonbeige.fr/jour-de-liberation/

  • Les temps barbares

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    Par Djordje Kuzmanovic*

    « Une partie de la gauche semble avoir oublié le concept de « lumpenprolétariat » développé par Karl Marx et qui caractérise bien ces criminels qui s’en  prennent d’abord aux travailleurs. Le "lumpenprolétariat" décrit cette frange du prolétariat qui a quitté les classes populaires par le bas et où on retrouve  les voyous, les petits criminels – tous ces gens qui n’ont plus de conscience de classe, qui sont immoraux, mal éduqués et individualistes. Ce sont des  alliés objectifs de l'oligarchie capitaliste car ils copient, à leur échelle, son ethos : la prédation violente, pour soi et contre les autres. C’est aussi s’occuper  des catégories populaires, tâche normalement dévolue à la gauche, que de la débarrasser de ce lumpenprolétariat. La gauche actuelle semble incapable  même de penser le sujet. [...] L’impunité de ce nouveau « lumpenprolétariat » fait d’ailleurs écho à l’impunité des plus puissants de notre société qui se délite  par ses deux bouts. Il y a dans notre République des zones de non-droit et il faudra un jour prendre le taureau par les cornes avant que cela ne dégénère  totalement – par le bas et par le haut. [...]

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  • Je ne suis pas de gauche, mais je me soigne !

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    Si, si, je vous assure que je fais tous les efforts possibles pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore assimilé la logique nécessaire pour être diplômé.

    Il y a des choses qui mettent à mal mon pragmatisme. Je vous explique : l’autre jour, sur France Info, j’ai entendu un journaliste parler du chauffeur de bus tué par des « passagers ». J’ai trouvé cette délicatesse dans le vocabulaire plutôt surprenante, mais cela doit faire partie de la novlangue que je n’ai pas encore acquise. Donc, moi, si je dis que c’est un voyou multirécidiviste, c’est quoi, pour les gentils gens de gauche ? De la haine répréhensible ?

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  • Une dictature basée sur la peur

    Une dictature basée sur la peur

    “On” nous annonce que “le virus est toujours là”, qu’il a de nouveaux “clusters” et on nous impose la muselière. Si on observe les chiffres officiels du gouvernement, rien ne diffère de la normale, on rencontre toujours quelques cas résiduels de grippe à la belle saison.

    De nombreux médecins, un brin agacés, aux Etats-Unis notamment, se demandent pourquoi il n’y a plus de grippe, d’accidents cardiaques ni de pneumonie ! Désormais les seules décès qui existent sont dûs au Covid…


    Dans un article traduit par benoît-et-moi, le journaliste italien Aldo Maria Valli dénonce la mise en place d’un nouvel ordre mondial. Extrait :

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  • Bayonne : l’un des agresseurs de Philippe était en situation irrégulière sur le territoire français

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    Dans ce jeu de l’émotion qui fait la particularité de notre société, on a intégré des certitudes ; ainsi, on accepte la mort car c’est la destinée de tout humain mais on sait prendre le temps d’analyser les causes de la mort.

    Il y a quelques jours, les conditions tragiques du décès de Philippe Monguillot, conducteur de Tram’bus à Bayonne, ont ému la France entière et certainement au-delà de nos frontières.

    Cette tragédie a encore plus ému avec la médiatisation de la douleur de sa famille, chacun d’entre nous se sentant proche de Véronique, la courageuse veuve du défunt, et de ses trois magnifiques filles, chacun d’entre nous pleurant une vie de famille brisée par la faute de criminels.

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  • L’immigration clandestine vecteur du coronavirus: un sujet qui n’intéresse pas les médias français

    OJIM – Depuis quelques mois, des restrictions de circulation ont été mises en place en Europe afin de limiter la propagation du coronavirus. Qu’allait-il advenir des incessants aller-retour des bateaux des ONG amenant des dizaines de milliers de migrants des côtes libyennes vers l’Italie et du risque de propagation du coronavirus lié à l’immigration clandestine ? Cette question n’intéresse visiblement pas les médias de grand chemin français. La presse italienne est heureusement là pour nous donner des informations à ce sujet.

    Des arrivées de migrants contaminés

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