France et politique française - Page 1773
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Eric Zemmour défend l'Action française face à Bernard Henry Lévy
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Emmanuel Macron : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire»
Le président Emmanuel Macron, interrogé par « Réunion la 1ère » et « Antenne Réunion », qui lui demandaient si le port du voile était souhaitable dans l’espace public, a répondu : «Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça la laïcité», en ajoutant que «Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça la laïcité».
Alors qu’il dénonçait « le débat qui consiste à ne stigmatiser qu’un seul signe religieux », le président a toutefois reconnu l’importance du devoir de neutralité des agents dans les espaces où le service public est rendu, avant de concédér que le communautarisme était le « cœur du problème » : «il y a aujourd’hui des femmes et des hommes, citoyens français, qui disent: “De par ma religion je n’adhère plus aux valeurs de la République”». «Je sors mon enfant de l’école pour le mettre peut-être à la maison ; je refuse qu’il aille se baigner avec d’autres, apprendre la musique… Et j’ai un projet de vie et de société qui n’est plus d’être ensemble dans la République mais, au nom de ma religion, de porter un autre projet politique».
«Ça, c’est un problème pour moi. Ça, c’est un communautarisme. Et dans ce cas-là, j’ai un problème avec l’utilisation, la revendication, en quelque sorte, qui devient politique, de ce séparatisme. Si on confond les sujets, à ce moment-là on se met en situation de ne pas pouvoir véritablement régler le cœur du problème qu’à la République française, qui est le communautarisme», a-t-il conclu.
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Nadia Remadna : “J’ai vu des élus négocier des voix avec des intégristes”
Nadia Memadna, fondatrice de l’association la “Brigade des mères” qui lutte contre la montée de l’intégrisme islamique dans les banlieues est l’invitée d’André Bercoff sur Sud Radio.
Source: Sud Radio
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Une note lierait résultats électoraux et suppression de postes de juges d’instruction !
Une note des services de Mme Belloubet dévoilée, le 23 octobre par Le Canard enchaîné a provoqué, à jute titre, un tollé chez les syndicats de magistrats et crée un profond malaise dans l’opinion. Selon ce document, la chancellerie a sollicité une réunion avec l’un des conseillers du Premier ministre et des experts électoraux de LREM afin de déterminer les villes pouvant être gagnées par les fidèles de M. Macron et de différer, pour celles-ci, les annonces de suppression de postes de juges d’instruction. Il s’agirait de ne pas mécontenter l’opinion publique locale.
En effet, la réforme de la carte judiciaire promulguée en mars permet de telles modifications dans les départements où plusieurs villes sont pourvues de juges d’instruction. Cette mesure peut se comprendre : est-ce utile de conserver dans une agglomération un poste de magistrat instructeur et tout son cabinet pour moins de cinquante dossiers par an ? Alors que notre pays étouffe sous l’hydre d’un déficit structurel, chercher à économiser sans trop nuire à l’administration de la justice est logique et guère contestable.
Mais le contenu de la note interne provoque avec raison la fureur des syndicats, car des postes de juges d’instruction seraient provisoirement sauvés pour permettre à un candidat LREM de s’imposer ! C’est le cas à Montluçon, où le magistrat instructeur a traité 22 dossiers en 2018 (deux par mois !) et qui serait maintenu, car la ville serait « gagnable », la population locale ayant voté plus que la moyenne pour M. Macron aux présidentielles. Apparemment, le juge d’instruction de Montluçon finira par sauter, mais sans doute dans une période de creux électoral, loin de toute échéance.
Mme Belloubet se défend mollement ; elle ne nie pas l’existence de cette note, juste son interprétation. Elle ne souhaite pas, évidemment, assumer le cynisme total que ce document implique.
Dans le nouveau monde macronien, qui devait tant différer de l’ancien, recevra-t-on des avantages si on vote bien. En revanche, si on choisit des candidats d’opposition, sera-t-on sévèrement sanctionné ? Un des ténors de LREM n’avait-il pas annoncé que les maires qui seraient élus sans le soutien de M. Macron seraient considérés comme des ennemis ? Avons-nous l’illustration de ces propos qui ont fait scandale lorsqu’ils ont été émis ? En 1860, MM. Erckmann et Chatrian, les chantres de l’Alsace française, démontaient les mécanismes qui permettaient à Napoléon III de gagner, sans bourrer les urnes, les différents plébiscites qu’il soumettait aux Français : les villages qui votaient bien avaient droit à de menus avantages comme laisser paître leurs cochons dans les bois de l’État. Sommes-nous revenus à cette époque peu démocratique ? Peut-être.
Le malaise est en tout cas profond. Les gouvernements précédents n’étaient pas plus vertueux, leurs pratiques s’approchaient de celles qui sont reprochées à Mme Belloubet. Mais elles n’étaient pas revendiquées et assumées sans complexes par un pouvoir qui se pose en modèle de vertu. La première mesure votée par la majorité de M. Macron ne portait-elle pas sur une illusoire moralisation de la vie politique ? Que reste-t-il, au bout de trois ans, de cette prétendue volonté ? Pas grand-chose
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Deux élus de la Cocarde Etudiante à Nanterre !
Le syndicat étudiant « la Cocarde étudiante » obtient deux élus à l’Université de Nanterre avec 20% des voix !
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Royalistes :Formation et militantisme : Bordeaux, Compiègne, Ile de France...
lafautearousseau
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Des policiers musulmans désarmés par crainte de leur radicalisation
Depuis l’attaque terroriste interne à la préfecture de police de Paris, l’inquiétude grandit au sein des effectifs de police qui se demandent combien d’autres de leurs collègues pourraient se retourner contre eux.
Deux policiers musulmans, dont un capitaine converti lors de son mariage, ont été désarmés en raison des indices de radicalisme les concernant.
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“Ce sont les immigrés eux-mêmes qui décident de la politique migratoire de la France”
Extrait de 2mn17 du face à face sur CNews entre Eric Zemmour et le député François Pupponi, ancien maire de Sarcelles, ancien du PS et membre du GOF :
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THOMAS JOLY : COMMENT RETROUVER UNE FRANCE FRANÇAISE ?
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