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Que nous cache la nomination de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel ?
On peut s’étonner qu’un personnage mis en examen par le passé pour prise illégale d’intérêts, prenne la tête du Conseil constitutionnel. Cette mise en examen faisait suite à une plainte d’Anticor.
Certes, la Cour de cassation a bien mis fin à la procédure en prescrivant les faits, mais quand un juge d’instruction vous met en examen, c’est qu’il vous soupçonne d’être l’auteur d’une infraction. Et si la prescription classe l’affaire et vous garantit la présomption d’innocence, elle ne répond aucunement à la plainte initiale ni aux soupçons du juge.
Pour Jacques Attali la liberté totale n’est pas possible.
Evidemment mon cher Jacques, c’est même ce que l’on apprend en cours de philo en terminale ! C’est une évidence.
Le problème c’est que Jacques Attali se sert de cette évidence de façon fort perverse pour faire passer l’idée qu’il faut bien évidemment encadrer la liberté.
4 milliards d’euros d’argent public, c’est le chiffre avancé par la Cour des comptes, pour les associations « d’aide aux migrants » (sic), pour les années 2019 à 2023. Cet argent est directement versé au ministère de l’intérieur, qui le distribue ensuite aux associations, dont on sait pertinemment qu’elles n’ont qu’un but, qu’un objectif pour la plupart, torpiller les politiques un tant soit peu restrictives en ce domaine.
Mercredi soir, une attaque à la grenade s’est produite dans un bar associatif de Grenoble, dans une zone sensible de la ville, faisant douze blessés dont six en urgence absolue.
De nombreux Français d’origine maghrébine sont sous la pression de musulmans intégristes, qui considèrent que célébrer les fêtes «occidentales» relève notamment du «shirk», un péché mortel en islam.
Et oui mes amis, la France aussi dispose d’un DOGE, un organisme chargé de surveiller l’utilisation de l’argent des gens.
Chez nous c’est la Cour des Comptes qui est en charge de cette mission aussi cruciale qu’importante.
Hélas, il me semble, et vous aurez du mal à me contredire, que non seulement la Cour des Comptes est globalement assez muette, et quand elle fait ce pour quoi elle existe ses rapports sont systématiquement mis aux oubliettes.
L’ère du vide dont Lipovetsky analysait l’avènement en se montrant inquiet, sans sombrer dans le catastrophisme, est à son apogée. Loin de nous entraîner dans la plénitude d’un individualisme revigorant nous découvrons abasourdis que le vide a versé vers le néant, avec une inversion complète des concepts et des valeurs. Notre société en est malade, et les fossoyeurs sont ceux qui maintiennent l’illusion d’une richesse en devenir, soit par profonde conviction d’être dans le vrai, soit par simple corruption, sous forme d’aides financières, comme les journalistes, ou grâce à des postes, des places, qu’ils s’offrent, en échange d’une servitude volontaire et absolue, à l’instar de Ferrand en passe de diriger le Conseil Constitutionnel. Les premiers, conscients de leur bassesse tentent de retrouver une virginité en faisant la promotion de leur profession comme sur TF1, où nous avons assisté à la pathétique scène du « faites-nous confiance, nous on est des vrais journalistes, des bons », sous l’œil bienveillant, quoique inquiet, du pauvre Gilles Bouleau qui, silencieux, devait penser aux révélations sur les agissements de l’USAID et les fonds versés notamment à l’AFP pour contrôler l’information : entre 2017 et 2024, plus de 8 millions de dollars ont été encaissés.
L’intervention de Candace Owens sur l’affaire Brigitte Macron enflamme le Net et les réseaux sociaux. Ce n’est pas la fonction d’« Éléments » d’entrer dans cette affaire. En revanche, c’est la mission d’« Éléments » de poser la question qui fâche : les fonds publics français ont-ils été mobilisés pour financer la très coûteuse riposte judiciaire des Macron contre Candace Owens ?
La toile mondiale bruit de la conférence de Candace Owens sur Internet, concernant l’affaire Brigitte Macron, publiée le 1er février.
Moment de solitude pour Bruno Retailleau lorsqu’un magistrat au tribunal de Melun lui a rappelé en direct sur France Inter :
« Cette loi a été votée en janvier 2024. L’article L432-12 n’existait pas auparavant, il a été voté en janvier 2024, dans le cadre de la dernière loi immigration, par le groupe LR du Sénat dont monsieur Retailleau était le président ». « Si cette loi ne vous convenait pas, il ne fallait pas la voter. Mais maintenant elle est dans l’ordonnancement juridique, le magistrat ne fait que l’appliquer. »
Ce mardi 11 février 2025, à Saintes (Charente-Maritime) , une mère et sa fille ont été victimes d’une tentative d’extorsion par un homme d’une quarantaine d’années. Mais la jeune fille s’est débattue, ce qui a provoqué la fuite du suspect. L’homme, déjà connu des services de police, a été interpellé à son domicile dans la matinée de ce jeudi 13 février.