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Depuis le 1er juillet 2021, trois lettres font trembler les propriétaires français. Il s’agit des consonnes D et P et de la voyelle E. Trois caractères qui, accolés, forment l’acronyme DPE, pour diagnostic de performance énergétique, un document qui renseigne sur la performance énergétique et climatique d'un logement ou d'un bâtiment mais, surtout, qui exclut du parc locatif un certain nombre de biens. Demain, cela pourrait être encore pire.
Pour cette nouvelle édition, "Cette année-là" replonge dans le numéro d’Éléments paru à l’issue des grandes grèves de 1995 contre le plan Juppé. À l’époque, notre revue consacrait un grand dossier à ce soulèvement social sous le titre évocateur : "L’insécurité sociale". Presque trois décennies plus tard, l’histoire semble bégayer : les manifestations massives contre la réforme des retraites en 2023 ont ravivé les mêmes colères, les mêmes fractures, avec le même soutien populaire, massif et durable. De quoi cette insécurité est-elle vraiment le nom ? D’un déclassement et d’un abandon programmé par les élites ? Analyse.
Les jérémiades des masseuses des hammams et les pleureuses professionnelles ont accouché d’une souris. Rien de nouveau n’est sorti de la machine de propagande des escrocs de la politique comme le caméléon Méluche. Il pensait attraper un gros gibier en agitant le spectre de l’islamophobie mais il est tombé sur du menu fretin. Malgré ses lamentations de dhimmi accompli et son enlacement par une musulmane frelatée, il n’a pas fait pleurer dans les chaumières.
Une peine de 8 mois de prison ferme, assortie d’une interdiction de territoire français pour 3 ans, a été prononcée à l’encontre d’Ahmed Boumaza, Algérien de 23 ans en situation irrégulière.
Ce n’est pas BV qui le dit, c’est la Cour des comptes. L’institution vient de publier un rapport savoureux sur « le verdissement des mobilités au sein des ministères économiques et financiers ». On en frémit de curiosité. Le ministère des Finances, si habile à ponctionner davantage une des populations déjà parmi les plus taxées du monde libre, est-il au moins un modèle d’écologie ? L’État macroniste, prêt à ruiner l’agriculture et l’industrie françaises pour satisfaire aux exigences de Verts de plus en plus déconnectés, donne-t-il l’exemple ? Réponse : non ! Pour la Cour des comptes, les résultats sont… « limités ». Pour ne pas dire catastrophiques.
Un homme raconte avoir trouvé, dimanche 20 avril, la maison de son défunt père, située à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, occupée par deux individus, originaires d’Algérie, sous l’obligation de quitter le territoire français (OQTF).
La scène, filmée par les caméras de vidéosurveillance urbaine ce mardi vers 13 h à Besançon, a de quoi faire bouillir de rage et d’incompréhension. Alors qu’il déambulait paisiblement avec sa fille septuagénaire, un homme âgé de 101 ans a été agressé près de la place de la Révolution. L’assaillant était, visiblement, déterminé à lui voler le sac qu’il portait en bandoulière.
Qui sème le vent récolte la tempête. À propos de la Jeune Garde, on pourrait dire : qui sème la terreur récolte la dissolution. Le groupe antifa, qui s’était hissé jusqu’à l’Assemblée nationale par l'intermédiaire du député NFP de Vaucluse triple fiché S Raphaël Arnault (Archenaud), est désormais visé par une procédure de dissolution que le ministre de l’Intérieur a annoncée ce mardi 29 avril. Pour les collectifs militants de droite, l’annonce a été reçue comme une victoire... et un « réel soulagement ».
Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.
La salle Coluche, remplie à ras-bord, ne contenait pas assez de places assises pour accueillir tout le monde, ce mardi. (…) Ils étaient plus de 400, essentiellement des Loonois, à avoir fait le déplacement ce mardi pour une première réunion publique organisée par le maire de Loon-Plage en présence de représentants de l’État pour évoquer les problématiques soulevées par la présence de migrants dans la commune (…)