
À Tours, un homme sous OQTF jugé pour tentative de vol avec dégradation
Un simple cas de vol qui cachait en réalité une Obligation de quitter le territoire français (OQTF).
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À Tours, un homme sous OQTF jugé pour tentative de vol avec dégradation
Un simple cas de vol qui cachait en réalité une Obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Il y a des personnes qui bénéficient d’une protection quasiment divine. Tout peut s’abattre sur eux, il y a toujours une main, une âme charitable pour les sauver. Bayrou doit faire partie de cette catégorie. Alors qu’il est pris en flagrant délit de mensonges à l’Assemblée Nationale, et accessoirement devant la nation entière, il risque de garder son poste. Rappelons qu’il a d’abord affirmé ne pas être au courant de ce qui c’était passé à Betharram, avant de bafouiller qu’il avait fait tout ce qui fallait. Étrange pour quelqu’un qui ne savait rien non ! Puis les aveux du magistrat de l’époque et du gendarme en charge de l’affaire ont levé les doutes sur l’implication de Bayrou au moment des faits. Qu’à cela ne tienne, tous font front pour le préserver et éviter qu’il ne rende des comptes. On se demande bien ce qui pousse l’ensemble de la classe politique à le protéger dans une affaire de violence et de pédophilie. Serait-ce en relation avec la volonté de dépénaliser ce crime odieux ? Une nécessité pour que le programme d’éducation sexuelle de Borne parvienne à ses fins, en faisant de l’enfant un être consentant et en lavant de toute responsabilité l’adulte qui serait mis en cause dans ce genre d’affaires ?
Cette fois la guerre est déclarée entre le Parti socialiste et les Insoumis. Et elle sera sanglante. Mélenchon a l’impression de s’être fait piéger de première quand les socialistes, forts des 1,75 % d’Anne Hidalgo, se sont rangés sous sa bannière, acceptant même en 2024 un programme d’extrême gauche pour sauver des dizaines de députés, dont François Hollande.
L’éditorial de François Marcilhac
Où va la France ? Nous ne pensons pas seulement à la médiocrité d’un personnel politique qui n’est manifestement pas à la hauteur des défis nombreux auxquels notre pays doit faire face. Nous ne pensons même pas à la dette que Macron a creusée de manière abyssale, sujet de préoccupation que nous sommes loin de négliger, puisque cette dette pourrait, à terme, surtout avec des dirigeants pour lesquels la France doit se fondre dans la mondialisation, obérer notre indépendance nationale. Si la comparaison avec la Grèce n’est pas pertinente — le poids économique, financier, géopolitique, diplomatique et militaire de la France n’étant en rien comparable avec celui de la Grèce —, toutefois, notre situation devient préoccupante, cela sans même penser aux générations futures, ce qu’il est impossible de faire sérieusement en république, dont la temporalité est celle des échéances électorales. Notre pays n’a pas encore assimilé, au sens gastrique du terme, les conséquences de la dissolution de juin 2024 que chacun ne pense déjà qu’à 2027.
Il n’y a pas qu’à Rennes que les fusillades entre bandes rivales se banalisent. Dans le quartier « sensible » de Kerangoff, à Brest, une fusillade a éclaté vers 16 h 30 dimanche 16 février. S’il n’y a pas eu de blessé, la scène a choqué plusieurs habitants et rappelle à quel point certains quartiers brestois sont gangrenés par la criminalité.
La démocratie sans le peuple : l’hérésie des Européistes est enfin dénoncée ! Le 14 février, Jacques Attali, symbole de la caste prolophobe, écrivait encore sur son blog préférer « la démocratie des juges » à « la dictature des élus ». Or le même jour, à Berlin, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance, a stupéfié les participants à la Conférence sur la sécurité en accusant les dirigeants européens : « Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple ! ». La leçon de démocratie, venant des Etats-Unis et d’un proche de Donald Trump, a été vue comme une ingérence, notamment par le RN.
Tribune d’Antoine Chataignon dans Valeurs Actuelles à l’occasion des 50 ans de la loi Veil :
Sans être lecteur de René Girard, on connaît les grandes lignes de sa thèse : minées par le désir mimétique, toutes les sociétés ont réalisé leur unité en sacrifiant un innocent, le bouc émissaire, qui, chargé de toutes leurs fautes, restaurait ainsi l’unité. En endossant les péchés du monde, le Christ a mis fin à ce mécanisme.
Dans quelques heures, ce mardi 18 février, Jean-Yves Le Gallou et Robert Ménard, comme de vulgaires délinquants, vont passer devant les tribunaux. Le premier pour avoir contesté la décision d’une juge qui a suspendu l’expulsion de l’imam Iquioussen de France, parce qu’il avait des enfants, le second pour avoir refusé de marier un Algérien clandestin qui devait être expulsé.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
L’effondrement vient de commencer. C’était ce que je vous disais dans la vidéo de la semaine dernière.
L’apocalypse sécuritaire que nous vivons, cet effondrement du “bien vivre ensemble” qui commence par ne pas se faire poignarder dans les rues est un marqueur essentiel et passé sous silence de l’effondrement.