
par Philippe Schneider
L’actualité a été marquée ces dernières semaines par le rappelà Dieu du pape François. Ce n’est pas à nous de juger de son pontificat mais nous ne pouvons que saluer ce pape qui mena l’Église catholique durant ses 12 ans à la suite du grand Benoît XVI. Il a souvent dérouté les fidèles par des paroles improvisées – souvent dans des avions – qui pouvaient choquer et sur lesquelles il revenait parfois. Il est un fait qu’il a contribué à une certaine division de l’Église,particulièrement en rejetant certains fidèles de la messe de saint Pie V alors que son prédécesseur avait au contraire encouragé la réconciliation, ce qui avait été réussi. Politiquement, on peut lui reprocher une mauvaise analyse du phénomène migratoire, sa non-reconnaissance du danger islamiste, tout ceci contrairement à ce grand prélat qu’est le cardinal Robert Sarah, ce Guinéen qui fit une partie de ses études en grand séminaire de Nancy-Toul. Nous devons aussi souligner son combat inlassable pour le respect de la vie, de sa conception à la mort naturelle.
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