Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.
France et politique française - Page 21
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Du premier mai, du travail, et de la liberté
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C’est confirmé : gauchisme et « fragilité psychologique » vont de pair
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Ajaccio : Tentative d’enlèvement d’une adolescente de 14 ans et deux fillettes de 7 et 8 ans à proximité d’un supermarché. Fouad Benfatah, 48 ans, mis en examen et placé en détention provisoire
“Âgé de 48 ans, Fouad Benfatah avait été arrêté dans le quartier des Cannes après un refus d’obtempérer. Il aurait, selon les témoignages recueillis, abordé une jeune femme de 26 ans et trois mineures pour les faire monter dans son véhicule. Deux policiers, mobilisés lors de l’interpellation, ont porté plainte pour mise en danger de la vie d’autrui.”
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1er mai : l’immigration n’enrichit que les patrons… et l’extrême gauche les sert à genoux
Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.
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Mathilde Panot et Manon Aubry pulvérisées par Julien Odoul : cela fait du bien !
Il nous arrive, à Riposte Laïque, d’avoir parfois la dent dure avec quelques responsables du RN quand ceux-ci tiennent des propos qui nous désespèrent, ou agissent de manière irritante. Bien sûr, nous n’aimons pas quand Marine Le Pen affirme que l’islam est compatible avec la République. Nous n’apprécions pas quand Jean-Philippe Tanguy demande la dissolution du GUD en même temps que celle de groupes d’extrême gauche. Nous sommes consternés quand Jordan Bardella, suite à un salut de Steeve Bannon, quitte une convention conservatrice américaine alors qu’il devait intervenir. Et bien évidemment, nous sommes consternés devant le sectarisme de la direction du RN, son refus d’aller à l’unité de la mouvance patriote et sa volonté de détruire Reconquête.
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« Les gaulois sont inquiets ». Nicolas Samsoen, le maire UDI de Massy (91), « où vivent des gens venus de partout », publie « D’excellents Français, comment faire de l’immigration une chance »
Dans un livre qui vient de paraître, « D’excellents Français, comment faire de l’immigration une chance » (éditions Grasset), le maire UDI de Massy (Essonne) , Nicolas Samsoen, s’empare du sujet de l’immigration en s’appuyant sur ce qu’il observe dans la 3e ville de l’Essonne, qu’il dirige depuis 2017, et notamment la diversité de ses 50 000 habitants.
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C’est la gaucharognarde, par son idéologie, qui est responsable de la mort d’Aboubakar Cissé
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2000 euros par mois : le seuil de l’indécence
Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.
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Valenciennes (59) – plusieurs personnes agressées et dépouillées sous la menace d’un couteau par une bande : au moins deux suspects arrêtés, des migrants africains se disant mineurs
Selon La Voix du Nord, plusieurs personnes ont récemment été victimes de vols traumatisants à Valenciennes : elles ont été contraintes de remettre leurs effets personnels sous la menace d’un couteau. Ce mardi, une nouvelle victime s’est rendue au commissariat de la ville. « Elle a dû remettre à ses agresseurs ses écouteurs connectés, ses bijoux, son téléphone… », précise une source au quotidien régional du nord.
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Comment se libérer de 50 ans d’idées fausses
(Chronique à lire dans Causeur de mai)
Parions : rien n’arrêtera la révolution des œillères. Le réel aura raison des croyances mondialistes. Telles les œillères, ces récitations erronées rétrécissent la vue. Timidement, François Hollande a concédé le renversement des consciences (RTL, 10 avril) : « Le politiquement correct avait sans doute ses défauts ». L’ancien président socialiste s’est gardé cependant de creuser sa clairvoyance. L’exercice l’aurait contraint à reconnaître ses bévues. Le confort du moralisme n’a cessé, en effet, de « donner à manger du mensonge » (Simone Weil). Jamais les informations tendancieuses ne se sont si bien portées. C’est pourquoi le besoin de vérité s’annonce plus fort que les rappels à l’ordre des clercs.