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France et politique française - Page 2387

  • L'émission Synthèse du jeudi 3 mai sur Radio Libertés avec Patrick Gofman

    Les émissions Synthèse sur Radio Libertés cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le procureur de Gap devrait s'attacher à assurer le respect de la loi et le contrôle des frontières

    Communiqué de Génération Identitaire :

    013

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • RAMADAN 2018, LES SUPERMARCHÉS CONTRIBUENT À L’ISLAMISATION DE LA FRANCE !

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    La période du mois de jeûne pour les musulmans va commencer, la viande halal va donc inonder nos commerces. Pour obtenir l’agrément halal, l’abattage des animaux doit se faire selon des règles archaïques et, en période de ramadan, ce sont des dizaines de milliers de moutons qui vont être égorgés dans les conditions les plus violentes, aboutissant à de véritables rivières de sang.

    Et pourtant, à l’approche du ramadan, certains supermarchés inondent nos boîtes aux lettres de prospectus faisant en quelque sorte allégeance à l’islamisme, ne manquant pas de les estampiller du logo halal à chaque coin de page.

    N’oublions pas que l’islamisme impose à ses fidèles cinq piliers incontournables, dont « le jeûne du mois de ramadan ». Cette pratique islamique n’est pas culturelle mais cultuelle.

    Certaines enseignes dédient des allées entières aux produits islamiques, nous contraignant à un prosélytisme visuel incontournable. Tout y est, chameaux, décoration orientale, l’inscription halal en calligraphie bédouine, couleurs du désert… Cela contribue, semble-t-il, à encourager la multiplication des signes vestimentaires de communautarisme tant chez les hommes que chez les femmes dans les espaces publics… On ressent même, chez certains d’entre eux, une certaine fierté de voir nos supermarchés islamisés leur dérouler le tapis rouge.

    Cette attitude commerciale en faveur de l’islamisme dérange. De plus, elle favorise le communautarisme et renforce l’identitarisme musulman ; la plupart des « fidèles » se comportent comme en terre conquise jusque dans les commerces, faisant fi des lois républicaines et brandissant leurs accoutrements tel des étendards.

    Parmi les propositions du SIEL, en voici deux qui prennent ici tout leur sens :
    – Affirmation, dans le préambule de la Constitution de 1958, de la prééminence du fait judéo-chrétien qui doit bénéficier d’un privilège de civilisation ;
    – Acceptation du principe de traitement différencié du culte musulman en France, impliquant notamment de modifier la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État.

    La France est de civilisation chrétienne et nos traditions, qui incarnent à la fois notre modèle de société, nos mœurs, nos règles de vie et notre histoire, ont toute légitimité à perdurer sans n’être jamais altérées par d’autres cultures, surtout quand celles-ci se montrent incompatibles avec la République !

    Tant que le culte musulman et ses fidèles n’auront pas accepté, par l’intermédiaire de leur instance représentative, les termes d’une charte fondatrice qui consignera la prééminence des droits, mœurs, us et coutumes français à observer, nous avons le devoir de nous opposer à tout prosélytisme islamique afin que les supermarchés y compris ne pratiquent aucunement le culte musulman, car ici, c’est la France !

    http://www.bvoltaire.fr/ramadan-2018-supermarches-contribuent-a-lislamisation-de-france/

     

  • Paris, samedi 12 mai : images du colloque Mai 68 et le bien commun : utopies, échecs et perspectives

    Quatre-cents personnes, une vingtaine d'intervenants et des échanges de qualité : le colloque Mai 68 et le bien commun : utopies, échecs et perspectives fut une réussite !

    Un grand banquet a clôturé cet après-midi de réflexion autour du thème du bien commun.

    Un compte rendu et des vidéos à venir sont annoncés.

    Prochain événement : Université d'été de l'Action Française | CMRDS 2018 

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     De nombreuses autres photos en cliquant ICI

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Macron doit nommer le terrorisme islamiste !, par Ivan Rioufol

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    Non, Emmanuel Macron n’est pas à la hauteur de la menace islamiste. Son choix de ne pas écourter son week-end à Brégançon (Var) a fait comprendre qu’il relativisait l’attentat au couteau perpétré à Paris (quartier de l’Opéra), samedi soir. Un jeune français y a trouvé la mort, sous les coups d’un “compatriote” d’origine tchétchène. Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement. Dans deux tweets datés du 12 mai, le chef de l’Etat a dénoncé un “terroriste”, puis il a écrit : “La France ne cède pas un pouce aux ennemis de la liberté”.

    A aucun moment, le président n’a voulu nommer le caractère islamiste du meurtre, commis aux cris d’Allah Akbar. La veille, il n’avait pourtant pas eu de réserve pour désigner le nationalisme comme son adversaire : “Pour vaincre les nationalistes : assumer d’avoir une solidarité européenne”. Pour vaincre les islamistes, il faudra donc attendre avant d’avoir la recette élyséenne. Elle tardera à venir, car Macron redoute visiblement d’avoir à offenser une idéologie totalitaire. Dans le même temps, samedi, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, évoquait d’ailleurs une “agression”, avant d’employer ensuite, néanmoins, le juste mot d’”attaque”. Quant au député LREM Jean-Michel Fauvergue, ancien patron du Raid, il se risquait dans un débat télévisé à comparer les prêches en arabe dans les moquées aux prêches en latin dans les églises…Bref, ce qui ressort de ces quelques exemples est une volonté de banaliser le terrorisme islamique, compris comme une fatalité. Une telle attitude de renoncement est bien plus dangereuse que la guerre déclarée à la France par l’islam conquérant.

    Israël, qui fête ce lundi les soixante-dix ans de sa renaissance, devrait être un exemple pour la France, ventre mou devenu cible principale du djihad en Europe. La résistance de l’Etat hébreu à l’islamisme ne s’embarrasse pas d’états d’âme. Macron pourrait déjà apprendre d’Israël à désigner l’adversaire par son nom, en se libérant de l’islamiquement correct devant lequel la France se plie. Le président pourrait aussi mesurer la puissance que peut dégager un Etat-nation, même minuscule, quand il retrouve sa langue, sa mémoire, ses frontières, ses racines, son identité.

    Tout ce qu’Israël assume, dans son combat pour sa survie, est vu comme une provocation par le politiquement correct qui tient le haut du pavé en France et qui sévit encore à l’Elysée. Or la capitulation est un état d’esprit qui se corrige, pour peu que les dirigeants en donnent l’exemple. Les mentalités françaises sont prêtes à s’émanciper de la léthargie du bien pensisme. Très rares ont été ceux qui se sont offusqués de voir le tueur abattu par des gardiens de la paix, moins de dix minutes après avoir commencé sa course à la mort. Dans cette intifada des couteaux, sans doute est-il possible d’ailleurs d’écourter encore le temps de la riposte, en s’inspirant du savoir-faire israélien. Il est temps aussi de revoir l’accès à la nationalité, les conditions d’expulsion, la fermeture effective des mosquées salafistes, etc. Le tweet que Macron devrait écrire : “L’islamisme ne passera pas !”.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Attentat de l’Opéra : Khamzat Azimov, un terroriste comme les autres - Journal du lundi 14 mai 2018

  • L’ATTAQUE TERRORISTE DU 12 MAI À PARIS : UN BRILLANT RÉSULTAT DU DROIT D’ASILE RÉPUBLICAIN !

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    Forum SI cliquez ici

    Le 12 mai vers 22 heures, on apprenait que plusieurs personnes avaient été poignardées dans le quartier de l'Opéra à Paris. A minuit, CNews annonçait que l'attentat venait d’être revendiqué par l'Etat islamique, qu’un jeune homme de 29 ans avait été tué et deux personnes grièvement blessé, et que le terroriste avait été abattu.

    Fort d’une trop longue expérience de ce genre d’événement, on pouvait penser que le terroriste était, comme quasiment toujours, une racaille « radicalisée » issue de l’immigration. Eh bien, pas tout à fait cette fois-ci, où l’on a eu droit à une variante, que CNews nous dévoilait le 13 mai à 14 heures : le terroriste, nommé Azimov, était le fils de deux « réfugiés politiques » tchétchènes ; il avait, bien entendu, été naturalisé « Français » en 2010.

    En l’occurrence, ce n’était donc pas la démentielle politique d’immigrationnisme de masse qui était à mettre en cause, mais son petit-frère, le droit d’asile républicain, qui consiste à accueillir n’importe qui et à accorder la nationalité française n’importe comment, car, lorsque l’on accorde l’asile politique à des Tchétchènes indépendantistes, comme c’était ici le cas, on doit bien se douter qu’il s’agit d’islamistes qui ne vont certainement pas mettre leurs convictions en sourdine une fois installés en France.

    Les « autorités » qui ont ainsi accordé l’asile à des djihadistes et naturalisé leur rejeton sans sourciller devaient donc rendre des comptes maintenant, car c’est leur nullité pleurnicharde qui est responsable du drame d’hier. Jamais de tels individus, par définition dangereux et fanatiques, n’auraient dû être ainsi admis à séjourner en France, et jamais leur fils, fiché « S » comme il se doit, n’aurait dû être naturalisé. On se demande d’ailleurs à quel titre il a obtenu cette naturalisation, car, comme le disait le Front national il y a quelques années, « être Français, ça s’hérite ou ça se mérite » : à quel « mérite » le jeune terroriste Azimov devait-il sa naturalisation ?

    CONTRE LE TERRORISME, SEPT MESURES INDISPENSABLES

    Mais nous posons ces questions et faisons ces remarques pour la forme, bien entendu, car nous savons très bien que, comme d’habitude, les républicains n’y répondront pas, qui se contenteront de mettre en place des « cellules de soutien psychologique » et vont attendre bien sagement le prochain attentat.

    Car pourquoi la République prendrait-elle cette fois-ci les mesures qui s’imposent pour assurer la sécurité des Français, alors qu’elle ne l’a pas fait après les précédents attentats ? Ces mesures sont au nombre de six, que nous avions rappelées dans notre article du 24 mars, et que nous rappellerons une nouvelle fois sans nous lasser, en les complétant par une septième, pour tenir compte de la question du droit d’asile :

    1 - rétablissement de la double-peine, lâchement abandonnée par le pitre Sarkozy ;

    2 - mise en place d’un contrôle solide de nos frontières ;

    3 - mise en œuvre d’une sécurisation sérieuse des rassemblements de foule ;

    4 - ratissage intégral des soi-disant « zones de non-droit », lâchement abandonnées par la République aux racailles « radicalisables » ;

    5 - réarmement du peuple français, qui fut un grand peuple combattant et dont une large partie ne sait plus, aujourd’hui, ni se battre, ni utiliser une arme à feu (ce qui était évidemment le résultat recherché par la République castratrice) ;

    6 - lancement d’une politique d’inversion des flux migratoires, seule capable de rendre au peuple français sa sécurité et le respect de son identité ;

    7 - vérification approfondie de la personnalité et des idées des demandeurs d’asile, afin de s’assurer que ceux-ci ne seront pas susceptibles de mettre en danger la sécurité de nos concitoyens.

    Tel est, une fois encore, le minimum que nous devons exiger de la part de ceux qui prétendent nous gouverner : il ne faut pas les lâcher !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mai 68 • Les meneurs de la « Commune étudiante » : un paradoxe français [2]

    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.

    Les maoïstes et la cause palestinienne 

    La question palestinienne est la partie la plus saillante du panarabisme, mouvement qui revendique la souveraineté nationale des États du Moyen-Orient contre les ingérences occidentales. C’est à partir de 1967 et la guerre des Six-Jours qu’elle prend une ampleur considérable, non seulement au sein du monde arabo-musulman mais dans l’ensemble de la planète. Benny Lévy (Pierre Victor) a admis avoir été à l’origine de l’importation du conflit israélo-palestinien en France, afin de trouver une thématique faisant l’unanimité chez des immigrés arabes très divisés entre eux, pour ensuite prendre un virage à 180 degrés, comme le montre ce témoignage de l’ancien maoïste Ali Majri : « Pierre Victor, je l’ai rencontré longtemps plus tard, au milieu des années 80, dans un café proche de la fac de Jussieu où il enseignait la philo. Il avait balancé son marxisme-léninisme aux orties et renoué avec le judaïsme de son enfance. Un judaïsme ultra-orthodoxe ! Il m’a dit : le peuple palestinien n’existe pas. Il n’a pas le droit d’exister. ʼʼ Par la suite il est devenu rabbin... »[1] 

    Son parcours est décrit plus en détail dans un autre ouvrage : « Charismatique, porteur d’une hargne sacrée, ce normalien fut le chef de la Gauche prolétarienne avant de devenir le secrétaire de Sartre. Au cours de ce compagnonnage avec le philosophe existentialiste, il est peu à peu revenu à la Torah. En 2000, il a fondé lʼInstitut d’études lévinassiennes avec Bernard-Henri Lévy et Alain Finkielkraut, deux philosophes qui furent jadis des maoïstes occasionnels. »[2]

    Benny Lévy ira jusqu’à lancer ironiquement : « Les Palestiniens ? C’est moi qui les ai inventés ! » Une provocation que son camarade Alain Geismar, ex-animateur du Mouvement du 22 mars et figure emblématique de Mai 68, explicite aujourd’hui ainsi : « Il faut bien voir qu’à l’époque, le Parti communiste régnait sur les ouvriers professionnels. Les seuls auxquels nous avions accès, c’étaient les ouvriers spécialisés, pour la plupart de jeunes immigrés. Or, dans les foyers de travailleurs, on s’était aperçus qu’à cause de leurs rivalités nationales, les Marocains, Algériens ou Tunisiens avaient du mal à militer ensemble. Donc on cherchait un point capable de les unir. C’est comme ça qu’est apparue l’affaire de la Palestine : comme une figure apte à empêcher les immigrés de se taper dessus. »[3]

    L’auteur du dit ouvrage, Jean Birnbaum, confirme l’importance du rôle joué par le maoïsme dans l’émergence de la question palestinienne en France. Il écrit que « les jeunes "gardes rouges" ont fortement contribué à populariser la cause palestinienne au sein de la gauche française, à une époque où celle-ci ne s’en souciait guère. Se replonger aujourd’hui dans la collection de leur journal, La cause du peuple, c’est découvrir une rhétorique antisioniste d’une virulence rare […]. Bien plus, le journal maoïste va jusqu’à recycler le vieil imaginaire antisémite »[4]. Ainsi les maoïstes contribuèrent de façon décisive à la création des Comités Palestine, dont Alain Geismar rappelle qu’ « ils étaient bourrés de militants juifs »[5]

    Il est une thèse portant sur les leaders de la crise de mai-juin 1968 qui mérite d’être mentionnée. Elle laisse pantois un universitaire spécialiste de l’extrême-gauche, qui avoue qu’il ne « peut ni la contredire ni l’approuver. »[6] Cette thèse nous la devons à l’historienne spécialiste du communisme Annie Kriegel.  (Dossier à suivre)  • 

    [1]  Cité par ibid., p. 142.

    [2]  Jean Birnbaum, Les Maoccidents. Un néoconservatisme à la française, Paris, Stock, 2009, p. 13.

    [3]  Ibid., p. 61-62.

    [4]  Ibid., p. 60.

    [5]  Ibid., p. 62.

    [6]  Jean-Pierre Salles, La Ligue communiste révolutionnaire (1968-1981). Instrument du Grand Soir ou lieu d’apprentissage, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2005, p. 308.

    L'ouvrage de l'auteur ...

    (Cliquer sur l'image)

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    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    Dossier spécial Mai 68

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  • L'union à droite, c'est possible

    Lu dans l'Incorrect à propos de l'union à droite en Gironde :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Génération Identitaire : le harcèlement continue !

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En représailles à l’opération Defend Europe dans les Alpes, le compte Facebook de Génération Identitaire a été fermé, ce qui a suscité l’indignation de Dominique Reynié, directeur de la Fondation pour l’Innovation Politique (Fondapol) qui a déclaré « Facebook s’arroge les pouvoirs d’un juge ! ». Le préfet Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, s’est publiquement réjoui de cette action de Facebook dont il semble être à l’origine. La Fondapol s’inquiète du fait que les géants d’Internet prennent des décisions qui touchent aux libertés publiques en dehors de tout contrôle.

    Mais il semble que l’Etat n’ait toujours pas digéré l’humiliation du col de l’Échelle ?

    Effectivement, le 11 mai dernier, le procureur de Gap, Raphaël Balland a fait savoir qu’une enquête préliminaire était confiée à la gendarmerie des Hautes-Alpes pour savoir si les militants de Génération Identitaire étaient passibles du délit d’immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, en vertu de l’article 433-12 du Code Pénal. Si l’enquête s’avère concluante, les prévenus risquent 3 ans d’emprisonnement et 45000 € d’amende !

    Enfin, le 4 mai, une circulaire émanant du Ministère de la justice a été envoyée à tous les procureurs pour leur rappeler l’existence, je cite, « d’infractions visant des comportements hostiles à la circulation des migrants ». Un comble alors que les militants identitaires veulent faire respecter la loi.

    https://fr.novopress.info/