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France et politique française - Page 2419

  • Défense de la biodiversité: pour une politique du vivant

    ecologie.jpgEn finir avec la politique de l’autruche, la gabegie financière, l’hypocrisie clientéliste,  la colonisation-communautarisation… : Marine présentait  hier  à la presse son Plan Le Pen pour les banlieues « Pour un retour de la république »  (Française !) dans  nos territoires (perdus). Un multiculturalisme  qui nous coûte cher et dont sont plus ou moins directement victimes  les plus fragiles de nos compatriotes. Eric Verhaeghe  qui évoque dans une récente  tribune  la paupérisation de nos paysans, de nos artisans, de nos  vieux relève que  «  ce n’est d’ailleurs pas le moindre des paradoxes que la société du Vivre Ensemble, dominée par la bienveillance et les valeurs positives, soit aussi productrice d’enfermement et d’exclusion pour tous ceux qui lui rappellent la fragilité de ses croyances. Des campagnes lénifiantes occupent quotidiennement le champ médiatique sur l’accueil des réfugiés, la protection des femmes et des homosexuels, la dignité animale. Les mêmes qui professent une sorte d’amour sans limite pour toutes ces causes généreuses semblent avoir, dans le même temps moins de scrupule à  placer leurs parents ou leurs grands-parents dans des mouroirs totalement indignes. Dans cet empire du bien qui nous est proposé sans relâche par les médias officiels, retenir administrativement des demandeurs d’asile est vécu comme une honte, mais enfermer ses vieux dans des maisons prisons dont ils ne sortent que refroidis par la mort semble beaucoup moins choquer. Ce deux poids deux mesures permet, il est vrai, d’éloigner de nos yeux les images choquantes de ce que nous deviendrons un jour, et nous maintient dans l’illusion puérile que nous pouvons, toute notre vie demeurer d’éternels adolescents. » On prête au défunt roi du Maroc, Hassan II, d’avoir affirmé que le déclin de son pays serait tangible le jour ou s’y construirait des maisons de retraite. Il signifiait par là que cela serait le signe tangible du délitement des liens familiaux d’entraide et de solidarité, notamment entre les générations,  qui font aussi la force d’une nation, cette grande famille élargie…

    Une nation est aussi riche de la somme du vivant qu’elle abrite, et à cette aune  le  Plan pour la biodiversité  2020  (dont les détails n’ont  pas  été communiqués), annoncé le 18 mai par Nicolas Hulot, ministre de la Transition énergétique,  a sa légitimité. Un ministre déjà marqué à la culotte par les défenseurs de l'environnement qui lui demande notamment d’engager un bras de fer avec Total  qui importe chaque année  plusieurs  centaines de milliers  de tonnes d’huile de palme  (pour fabriquer du carburant) et dont la culture intensive  est  responsable de la déforestation massive.

    Un plan qui est aussi une manière pour M. Hulot de marquer son territoire et d’effacer le couac gouvernemental qu’avait  constitué la sortie l’année dernière  du  ministre de l’Agriculture, Stéphane Travert,  lorsqu’il  défendait les pesticides tueurs d’abeilles néonicotinoïdes  (très polluant pour les sols)    et  précisait être en faveur des OGM  et du Glyphosate.

    La question très emblématique et préoccupante de la disparition des  abeilles occupe régulièrement (et à juste raison) le devant de l’actualité. Il a été rapporté  que 400 000 ruches ont été décimées en 2017,sans pour  autant que le Stéphane Travert s’engage fermement sur une  indemnisation des apiculteurs.  Catastrophe écologique en  lien direct avec l’emploi de pesticides. Trois d’entre eux, trois  néonicotinoïdes  vont être  interdits au sein de  l‘UE  dans les cultures en plein champ. Une annonce faite par  la Commission européenne le 27 avril,  suite au vote d’une  majorité des Etats membres, et ce  malgré le lobbying intensif  des  grands groupes  fabriquant ces produits…

    Ce génocide des abeilles ne relève pas d’un mauvais  fantasme d’écolo-bobo mais d’une triste  réalité, dénoncée  il y a  déjà quatorze ans par Philippe de Villiers dans son livre  Quand les abeilles meurent, les jours de l’homme sont comptés.  Il  mettait en cause les ravages opérés par deux insecticides (le  Gaucho® et le Régent®) et dénonçait plus largement  un productivisme débridé, encouragé par les industriels,  qui ravage l’environnement.

    Plus largement,  l’opposition nationale ne peut être  pas sourde  aux inquiétudes très légitimes sur la disparition accélérée de la biodiversité en France, en Europe comme sur le reste de la planète. Les causes en  sont multiples, et l’explosion démographique y tient bien sûr toute sa  part. Elle imposera fatalement (?)  des changements dans l’exploitation des ressources et des modes d’alimentation dans une très large partie du monde.  L’activité agricole est  responsable de 80% de la déforestation mondiale,  utilise  70% des ressources en eau de la planète  et  accapare  un tiers de la surface terrestre. Une situation inédite qui rend plus que jamais nécessaire une urgente défense de la biodiversité à l’heure ou les trois quart  de l’offre alimentaire mondiale repose sur  seulement douze plantes et cinq espèces animales.  Saccage des habitats naturels, érosion des sols, pollution:  le  rapport Planète Vivante publié en octobre  2016 par le Fonds mondial pour la nature (World Wildlife Fund, WWF) indiquait qu’en un peu plus de quarante ans (entre 1970 et 2012) , la population des vertébrés avait diminué de 58%, celle des animaux d’eau douce de 81%, les populations d’espèces terrestres et marines respectivement  de 38% et  36%.

    Les atteintes gravissimes à notre environnement – en France même, des dizaines d’espèces encore communes sont  menacées d’extinction dans les prochaines années-  à la faune et à la flore  découlent aussi d’une idéologie,  celle de la marchandisation du monde dont l’ultra-libre échangisme est un des visages,  d’un productivisme échevelé, d’un matérialisme effréné.  Toutes choses dénoncées de longue date par le FN rappelle Bruno Gollnisch,   qui a prôné et défendu dans tous ses programmes successifs, l’harmonie entre la nature et l’activité humaine. Une vraie politique  du vivant , de  défense de la vie en sens plein et entier du terme, d’une biodiversité qui passe aussi par la défense des  peuples autochtones, à commencer  par celle de nos peuples européens.  Bref , la défense d’une  écologie bien comprise et véritable qui n’est pas celle largement préemptée aujourd’hui avec l’aide des médias, mais sans succès dans les urnes,  par les faussaires gaucho-libertaires, altermondialiste et immigrationnistes, voire par les partisans  d’une gouvernance mondiale s’édifiant sur les ruines de nos identités et de nos nations souveraines.

    https://gollnisch.com/2018/05/24/defense-de-la-biodiversite-pour-une-politique-du-vivant/

  • Le n°9 de "Pour un Ordre nouveau" est à nouveau en vente.

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  • Le maire de Béziers, le Front national et les autres ne sont pas des ennemis pour le CNIP

    6a00d83451619c69e20224df34f14b200b-800wi.jpgLe Centre National des Indépendants et Paysans, ou CNIP, est l’un des plus vieux partis de France. Il avait été fondé en janvier 1949 par fusion de plusieurs organisations de droite. Depuis 2016, le CNIP est présidé par Bruno North, qui pratique une politique de rapprochement avec toutes les droites. Il explique à Francis Bergeron dans Présent :

    "Le CNIP n’est pas un parti politique de militants. Nous comptons moins de 5 000 adhérents. Mais nous fédérons un grand nombre d’élus de terrain, en particulier dans les zones rurales. Disons que le CNIP, aujourd’hui, ne se voit pas ajouter à l’offre politique sa propre liste aux élections européennes, par exemple, mais compte s’investir pleinement dans les prochaines élections municipales. Nous avons de nombreux élus de terrain, notamment une petite dizaine de conseillers régionaux tels que Thierry Gourlot, dans le Grand-Est, ou Jordan Grosse-Cruciani, 27 ans, conseiller régional et qui est aussi responsable des jeunes du CNIP, ou encore Olivier Bettati, conseiller régional de Paca, conseiller municipal de Nice et conseiller métropolitain NCA. [...]

    Le CNIP a toujours été partie prenante des coalitions de la droite de gestion. On l’a vu encore lors des primaires de la droite auxquelles le CNIP a participé. J’ai bien noté que le CNIP – comme Présent – entend ne pas avoir d’ennemis à droite. Mais qu’en est-il de vos rapports avec le Front national et avec des formations plus marginales comme celles de Poisson, de Dupont-Aignan, de Bompard, voire avec des personnalités comme Ménard ?

    Oui, pas d’ennemis à droite, je le confirme. Le maire de Béziers, le Front national et les autres ne sont pas des ennemis.Nous avons une certaine proximité avec ces hommes et ces organisations. Le CNIP est d’ailleurs membre des « Amoureux de la France », avec Nicolas Dupont-Aignan, Emmanuelle Ménard, Jean-Frédéric Poisson, Jean-Louis Masson. Nous sommes proches des uns et des autres mais le CNIP n’a pas vocation à lier son destin à celui d’une personnalité, d’un leader. Il fonctionne davantage comme un réseau, un réseau d’élus, un réseau de talents, un réseau de femmes et d’hommes de convictions, au service de nos idées.

    Et le Front national ?

    Le « pas d’ennemi à droite » s’applique bien entendu au Front national avec lequel il ne faut pas a minima s’empêcher de discuter. C’est un autre point de divergence avec les LR, même si quelques voix, comme celle de Thierry Mariani, commencent à s’exprimer avec davantage de liberté que par le passé. Il me semble que le CNIP a pleinement vocation à jouer ce rôle de passerelle entre les différentes organisations de droite. A un moment, il faudra bien franchir le Rubicon des alliances, si la droite veut revenir un jour aux affaires, et redonner au pays sa vision, et défendre nos valeurs. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le vrai plan banlieue : quand chez toi devient chez eux – Cyril Raul (Les Identitaires)

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    Communément, l’expression « plan banlieue » évoque un énième plan d’aides aux quartiers immigrés, synonyme de milliards dépensés en pure perte pour acheter une hypothétique paix sociale. L’objectif affiché : « intégrer » ces quartiers au reste de la société française. Pourtant, le vrai « plan banlieue », celui palpable, concret, tangible, désigne un mécanisme inverse, un phénomène d’ampleur qui ravage nombre de nos villes et de nos villages. Le véritable « plan banlieue », qui s’étend actuellement partout en France, ce n’est pas la politique de la ville qui s’applique à la banlieue, mais la « politique » de la banlieue qui s’applique dans nos villes.

    Pour tâcher d’être plus clair, voici comment se déroule un vrai « plan banlieue », dans la vraie vie. Prenons un exemple très concret, celle d’une petite ville de la « France périphérique » de 7000 habitants, appartenant pour la plupart à la petite classe moyenne blanche rurale ou semi-urbaine. Un centre-ville jusque-là agréable avec quelques commerces. Mais aussi un « quartier sensible » dont les habitants sont très majoritairement issus de l’immigration maghrébine et africaine.

    Première étape du vrai « plan banlieue » : des habitants de la cité commencent doucement à fréquenter le centre-ville. Ils investissent notamment les bistrots, et surtout leurs terrasses. Une fois installés (face à la rue, si possible), ils commandent un café. Le fameux « café en terrasse » : combien de patrons n’en servent plus ou appliquent des tarifs prohibitifs afin de prévenir ce type de phénomène dans leur établissement ? Car une fois leur terrasse investie par cette nouvelle clientèle, les passants ne s’arrêtent plus, les habitués viennent de moins en moins : pour le bistrot, c’est fini. Les nouveaux « clients » se montrent, sont bruyants, fixent les badauds. Ils occupent et imprègnent les lieux.

    Deuxième étape du vrai « plan banlieue » : les habitants de la ville commencent discrètement à se plaindre du bruit, des incivilités, de l’insécurité. Des mobylettes qui tournent dans le centre-ville tard le soir. Des « petits groupes » qui investissent la place. Les discussions entre habitants du quartier évoquent ces cas d’un voisin qui s’est fait agresser, de cette jeune fille qui s’est faite insulter. On parle de ces regards insistants, pesants. Le centre-ville finit par être progressivement déserté.

    Troisième étape du vrai « plan banlieue » : le taux de fréquentation du centre-ville chute, le prix de l’immobilier s’écroule, les commerces mettent la clé sous la porte. Le taux de vacance commerciale explose. Un kebab ouvre. Puis un deuxième. L’occupation du quartier devient totale : ils sont désormais chez eux, chez vous. Le « plan banlieue » est terminé. La ville ne s’en remettra pas.

    Ce modèle de « plan banlieue » s’applique silencieusement depuis 40 ans. Mais il n’a jamais aussi bien fonctionné puisqu’il touche aujourd’hui tous les types de villes, y compris celles de quelques milliers d’habitants situées dans la France périphérique, loin des banlieues des grandes agglomérations françaises.

    Dans une interview pour le Figaro, Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et Stratégies de l’Ifop, affirme ainsi qu’« on observe un phénomène de généralisation et de dissémination de ces problématiques sur l’ensemble du territoire national et plus seulement à la périphérie des métropoles ou dans le fameux « 9-3 »(…). Il n’existe plus une préfecture ou sous-préfecture française qui n’ait pas son quartier « chaud ». Et le phénomène s’étend à des territoires encore plus petits. Ainsi à Trèbes, village de 5600 habitants, on compte aussi une zone « sensible », le quartier de l’Aiguille. Derrière le discours officiel de la « petite ville de province où tout le monde se connaît » se cache une autre réalité : Marine Le Pen y a fait 48 % au second tour de la présidentielle ».

    Le vrai « plan banlieue » n’est pas un plan concerté. Il n’est que la conséquence pratique de l’immigration massive (la force du nombre) couplé avec l’esprit de revanche et sa logique tacite de conquête. Il se construit autour d’un rapport de force implicite mais permanent, décrit sans détour par le géographe Christophe Guilluy dans son livre La France périphérique : « Ces terres de contacts sont aussi celles du séparatisme et d’une « lutte » non dite pour le territoire, et notamment des lieux symboliques que représentent par exemple le centre-ville ou la place du village. Qui baisse les yeux ? Qui prend le pouvoir symbolique, celui de la rue ? ». Le vrai « plan banlieue » se nourrit de la lâcheté de nos gouvernants (des ministres aux maires), mais aussi, chacun doit l’admettre, de nos petits renoncements du quotidien. Pour l’instant, les villes, les villages et les quartiers encore préservés du « plan banlieue » sont ceux où les « terres de contacts » dont parle Christophe Guilluy parviennent encore à être évitées. Jusqu’à quand ?

    Cyril Raul

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Face cachée du Ramadan : faux jeûne, business, orgies de nourriture, indigestions massives, gaspillage, dégâts sociaux

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    Le terme « jeûne » n’est pas forcément adapté pour désigner les pratiques islamiques du ramadan… qu’on ne peut plus rater en France.

    Certes, le fait de ne pas avoir le droit de boire de l’eau pendant tout le jour est dur, voire inhumain quand il fait chaud (et cela interroge sur la religion qui impose de tels préceptes).

    Pour le reste, certains parlent du « mois de la nourriture » !

    En Algérie, en 2010, le nombre de personnes admises aux services des urgences médicales après l’Iftar (repas de rupture du « jeûne ») durant les 10 premiers jours du « mois sacré » avoisinait les 10 000. « La quasi-totalité des cas personnes souffrant de troubles digestifs, d’hypertension et de troubles de diabète ont été enregistrés au niveau des hôpitaux du nord du pays », a indiqué à Echorouk le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (Forem), le professeur Mustapha Khiati.

    Au Qatar, dès le soir du premier jour du ramadan, les hôpitaux ont reçu en 2013 des dizaines de patients souffrant de douleurs. Douleurs non pas dues un manque de nourriture ou d’eau, mais à l’inverse dues à un excès.

    En effet, les patients, qui se sont suralimentés au cours de l’iftar, se sont plaints principalement de brûlures d’estomac, et de vomissements répétés. Tout au long du ramadan, les hôpitaux qataris reçoivent régulièrement des patients ayant trop mangé. En 2015, une centaine de personnes ont été admises au service des urgences au cours de la première nuit du ramadan.

    Le ramadan est aussi l’occasion d’un formidable gaspillage de nourriture :

    « Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. » C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets. « Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar », ajoute-t-il.

    Par ailleurs, en Algérie, femmes et enfants battus au sein du foyer durant le ramadan : +120% ; rixes et disputes causant des blessures : +400% ; voies de fait, agressions : +320% ; vols de voitures, escroqueries, faux et usage de faux : +180% ; rendements dans les entreprises : -62% ; nombre de sinistres : +410% ; nombre de blessés : +214% ; nombre de décès : +80%. Ces chiffres ne sont pas le fait d’islamophobes rabiques, mais résultent d’une enquête menée par l’institut algérien Abassa, dans 24 régions administratives d’Algérie, auprès d’un échantillon représentatif de 3.004 individus. L’objectif de cet institut était d’identifier et de quantifier les principales conduites sociales individuelles et collectives durant le mois du Ramadan. On voit les résultats… Depuis, l’Institut Abassa a été démantelé par les autorités algériennes.
    http://www.contre-info.com/face-cachee-du-ramadan-faux-jeune-business-orgies-de-nourriture-indigestions-massives-gaspillage-degats-sociaux#more-45206

  • LOGEMENT : LES EFFETS PERVERS DE L’IMMIGRATION

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    Depuis deux mois, maintenant, j’ai quitté Paris pour le soleil du midi. Sans regret aucun, sinon pour y avoir laissé des êtres chers, mais je ne supportais plus de voir une ville où j’ai passé quatre décennies devenir ce qu’elle est aujourd’hui. Je « remonte » à la capitale régulièrement, et plus le temps passe, plus cela m’est pénible !

    Outre la qualité de vie – une expression pleine de sens –, je cherchais de la place. De l’espace. Je l’ai trouvé. De quoi, très largement, me faire entrer dans les catégories de l’INSEE dont je vous parlais l’autre jour : je vis désormais dans un appartement en « sous-peuplement très accentué ». Très très accentué, même. Pire que ces égoïstes qui « ont tendance à conserver leur logement après le départ des enfants du domicile familial ou le décès du conjoint », j’en ai acquis un tout exprès pour y recevoir la famille et les amis, et j’espère bien pouvoir en profiter.

    C’est mesquin, honteux sans doute car dénué de charité chrétienne, mais c’est ainsi. Ayant passé mon enfance provinciale dans une longère où nous dormions à trois par chambre, et vingt ans à quatre dans un modeste appartement parisien, je m’offre aujourd’hui ce grand luxe qu’est l’espace.

    Passé ce petit préambule, j’aimerais justement vous livrer quelques réflexions sur le logement. Une question qui peut sembler secondaire en regard de tant d’autres problèmes mais qui est, incontestablement, la cause de la frustration de bien des Français.

    Voilà, pour illustrer, trois histoires qui touchent des proches et disent, sans qu’il soit besoin de commentaires, toute l’absurdité de notre système.

    Une amie vend à la frontière des XVIIe et XVIIIe arrondissements de Paris un appartement de 76 m2 pour la coquette somme de 780.000 euros. Elle part dans le IXe où, pour 760.000 euros, elle va s’installer dans un appartement de 64 m2 où il lui faut faire des travaux.

    Un couple d’amis avait acheté, voilà dix ans, un appartement de 65 m2 dans les immeubles neufs qui font face à la gare RER d’Évry, la bonne ville de Manuel Valls. La location arrivant à son terme, ils souhaitent le vendre. Il est en parfait état. Acheté 175.000 euros, ils ne trouvent pas, aujourd’hui, preneur à 130.000.

    Madame X., âgée, est partie en maison de retraite. Pour payer les frais, ses enfants ont vendu l’appartement dans lequel elle s’était installée après son veuvage. (Ex)-beaux quartiers de Poitiers, belle prestation : 70 m2, salle d’eau et salle de bains, parties communes bien entretenues, deux chambres. Ils l’ont très péniblement vendu… 70.000 euros ! Pourquoi ? Parce que la municipalité a installé en face des logements sociaux pour y abriter des populations « allogènes » venues de la capitale avec ses mœurs et ses trafics.

    Paris ne compte plus, désormais, que des gens « très riches » – soit parce qu’ils sont depuis longtemps propriétaires d’un logement dont les prix flambent de façon délirante, soit parce qu’ils appartiennent à une classe sociale extrêmement aisée ; face à eux, des logements sociaux. Entre ces deux extrémités, on ne trouve plus personne. Les cadres moyens fuient vers la banlieue, qui se met elle aussi à flamber. Un jeune couple qui s’est installé voilà cinq ans à Montreuil dans une maison d’à peine 90 m2 où il a fallu faire de lourds travaux, payée 347.000 euros, s’en voit proposer aujourd’hui 650.000 !

    J’ai discuté avec mes déménageurs. Ils parcourent la France, doivent souvent dormir à l’hôtel. Seulement voilà, ils ne trouvent plus d’hôtels à bas prix : tous ou presque, en périphérie des grandes villes, sont réquisitionnés pour y loger à l’année des immigrés.

    Les déménageurs sont payés au SMIC. Que croyez-vous qu’ils pensent lorsque le patron les engueule parce qu’ils n’ont pas trouvé une chambre en dessous de 100 euros la nuit ?

    Les beaux esprits nous serinent que « les populistes » se trompent ou, pire, qu’ils vivent dans le fantasme : faux, l’immigration ne coûte pas cher à la France ! Reste qu’elle coûte probablement très cher aux Français en qualité de vie, en pertes individuelles, en désespoir parfois.

    http://www.bvoltaire.fr/logement-effets-pervers-de-limmigration/

  • Samedi 9 juin : 2e fête du cochon du Parti de la France de Bretagne.

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    La 1ère fête en septembre dernier cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/04/23/samedi-9-juin-2e-fete-du-cochon-du-parti-de-la-france-de-bre-6045850.html

  • Debout la France, trait d’union entre Les Républicains et le Front national ?

    6a00d83451619c69e20224df351670200b-200wi.jpgBenoît Lépine, secrétaire départemental du Front national en Maine-et-Loire jusqu’en octobre 2015, occupe depuis février les mêmes fonctions à Debout la France.

    « J’ai adhéré après la présidentielle. Nicolas Dupont-Aignan a fait un choix courageux en soutenant Marine Le Pen au second tour. Je me suis dit qu’il était prêt à prendre ses responsabilités. »

    Dans le département, le parti compte une centaine d’adhérents. Au niveau national, « on approche les 20 000. Et je signe presque tous les jours des ralliements de militants, voire d’élus FN ». Le nouveau secrétaire départemental assure être dans une « logique de rassemblement, pour être un trait d’union » entre Les Républicains et le Front national. Dans la lignée de l’Appel d’Angers qui a réuni en mars plusieurs composantes de la droite radicale ? :

    « On est sur la même thématique. Mais c’est un appel comme il y en a d’autres. Nicolas Dupont-Aignan ne va pas tout signer. Il a déjà lancé la plateforme des Amoureux de la France, avec Robert Ménard et Jean-Frédéric Poisson. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La novlangue se porte toujours aussi bien, merci

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples 

    Il y a plus de 10 ans, Polémia publiait son premier Dictionnaire de novlangue. En 2013, le Nouveau Dictionnaire de novlangue était présenté à ses lecteurs, avec plus de 500 mots nouveaux. Deux ans plus tard, c’est un nouveau Dictionnaire de novlangue, consacré à Mille mots qui manipulent les Français. Aujourd’hui, Michel Geoffroy, notre lexicographe toujours vigilant, a répertorié près de 30 nouveaux mots ou nouvelles expressions qui envahissent les médias. Polémia

    Adoption internationale : Trafic d’enfants des pays pauvres organisé au  profit des riches occidentaux.

    Appropriation culturelle :  Expression consistant à affirmer « qu’une culture dominante s’approprie les codes esthétiques d’une culture dominée », évidemment pour de nouveau mettre en accusation la culture occidentale. Alors que le phénomène inverse est au contraire très courant : ce sont en général les dominés qui s’approprient les codes des dominants pour essayer de leur ressembler.

    Attaque meurtrière : Expression alambiquée pour ne pas écrire « attentat » (exemple : Le Monde du 2 octobre 2017 qui titre « Marseille : l’attaque meurtrière a été revendiquée par l’EI ») ; on peut dire aussi « attaque au couteau » dans le même sens (Le Monde du 13 mai 2018).

    Blanc / Blanche : Couleur faisant référence à une ethnie coupable par essence aux yeux des non-blancs. Selon l’observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le terme blanc serait la troisième injure la plus souvent proférée à l’encontre d’un homme.

    Casseur : Terme utilisé par les médias pour éviter de les désigner par référence à leur appartenance à l’extrême-gauche.

    Chahuté : Se dit d’une personne politiquement correcte lorsqu’elle a été agressée par l’extrême-gauche.

    Complotiste : Selon Maurice Szafran (Challenges), une personne qui affirme que la presse mainstream en France serait systématiquement favorable à Emmanuel Macron.

    Crinière de lionne : Expression à proscrire quand elle vise une personne de couleur et qu’elle est proférée par une personne « perçue comme blanche » sous peine de racisme.

    Démocratie illibérale : Démocratie qui n’obéit pas aux commandements de l’idéologie libérale/libertaire et cosmopolite de la Davocratie.

    Déracinés : Immigré clandestin pour les médias.

    Discours de haine : Prises de position politiquement incorrectes et, pour cette raison, destinées à être censurées à l’initiative des GAFA sur le net et les réseaux sociaux.

    Droits reproductifs /droits génésiques : Expression désignant par antiphrase, dans le vocabulaire du Conseil de l’Union Européenne pour les affaires étrangères au titre de ses priorités pour 2018, les « droits » à l’avortement, à la contraception d’urgence et à l’éducation sexuelle.

    Episode neigeux : Expression utilisée systématiquement dans les médias pour minimiser les faits climatiques n’allant pas dans le sens de la théorie du réchauffement climatique et de son origine humaine.

    Exilés : Immigré clandestin pour les médias.

    Interruption volontaire de vie sans consentement du malade : Euthanasie des malades.

    Maîtrise de l’antenne : Expression utilisée par le CSA et désignant la nécessaire censure des propos tenus dans les médias audiovisuels afin que tous les intervenants, y compris les invités, respectent les commandements du politiquement correct.

    Moyen d’enseignement : Expression désignant désormais une classe pour le ministre Blanquer, lorsqu’on en supprime en milieu rural.

    No-go-zone : Expression désignant les quartiers interdits de fait aux forces de l’ordre, aux représentants de l’Etat, aux journalistes et aux femmes non voilées. Il est bien entendu que ces zones n’existent pas sinon dans les fantasmes de l’extrême-droite.

    Non-mixité : Réunion exclusivement réservée aux personnes appartenant à un même groupe, parfaitement tolérée par les pouvoirs publics dès lors qu’elle n’est pas le fait de personnes « perçues comme blanches ».

    Nouveaux arrivants : Immigrants clandestins pour Le Monde du 10 mai 2018.

    Nouveaux habitants : Immigrants clandestins selon certains maires de grandes villes françaises, dont Alain Juppé.

    Orphelins de la république : Enfants produits de la GPA off-shore, après commande de clients nantis, par des mafias locales utilisant des femmes esclaves.

    Pétainiste : Etudiant adhérant à un syndicat de droite pour l’extrême-gauche.

    Racisé : Personne non-blanche.

    SAMD : Sans ascendance migratoire directe : français de souche… selon l’INSEE.

    Terrorisme endogène :  Expression inventée lors de l’attentat islamiste de Trèbes destinée à justifier pourquoi les pouvoirs publics ne pourraient prévenir ce genre de terrorisme.

    Trublion : Islamiste menaçant pour Le Parisien du 4 février 2018, relatant l’arrestation d’un islamiste à Mantes-la-Jolie.

    Ultra-conservateur : Droite américaine selon le journal Le Figaro  (ex « Bannon, l’ex-conseiller de Trump, quitte le site ultra-conservateur Breitbart News »). S’il s’agit d’un russe, on dira « ultra-nationaliste ».
    Voile catholique : Fichus portés par les femmes françaises selon M.Christophe Castaner et qui serait dès lors identique, selon lui, au voile islamique.

    Michel Geoffroy 21/05/2018

    https://www.polemia.com/la-novlangue-se-porte-toujours-aussi-bien-merci/

  • MARION MARÉCHAL : « TRANSMETTRE LA CULTURE, LE SAVOIR, NOS VALEURS CIVILISATIONNELLES NE PEUT SE FAIRE UNIQUEMENT PAR LE BIAIS ÉLECTORAL ! »

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    Marion Maréchal lance une école alternative de Sciences politiques : L’institut de sciences sociales, économiques et politiques (l’ISSEP). Dans un entretien exclusif, elle explique à Boulevard Voltaire pourquoi ce projet est essentiel et lui tient tant à cœur.

    Après avoir été député pendant cinq ans, vous réapparaissez par le biais de l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP). Pourquoi ce choix ?
    J’ai fait le choix de partir car je souhaitais pouvoir consacrer davantage de temps à ma petite fille et m’engager dans le monde de l’entreprise, qui m’a toujours beaucoup attirée. Mon souhait est, aujourd’hui, réalisé en devenant entrepreneur. Avec l’aide de mon équipe, nous lançons l’ISSEP, un institut de sciences politiques et de leadership. Avec ce projet entrepreneurial, je suis également fidèle à ce que j’ai toujours défendu durant mon mandat : le combat culturel, métapolitique. Transmettre la culture, le savoir, nos valeurs civilisationnelles ne peut se faire uniquement par le biais électoral mais peut, et doit, aussi se faire par des engagements concrets au sein de la société civile. L’éducation fait partie des domaines essentiels à investir.
    L’ISSEP, ce serait une sorte de mix entre l’ENA et l’IFP?
    L’ISSEP est surtout une offre alternative aux écoles qui sont, aujourd’hui, en charge de former les grandes élites françaises. Ces formations uniformes et conformistes, dont les partenaires économiques, principalement issus de la finance, sont les vecteurs des grandes poncifs de notre temps sur la mondialisation, l’inutilité des frontières, le profit comme seule valeur. La culture générale a, peu à peu, été mise au second plan, les matières qui permettent de transmettre notre patrimoine civilisationnel ont été considérées comme inutiles, le cadre national a été abandonné. Le résultat ? Des élites économiques et politiques déboussolées, impuissantes, des dirigeants devenus des technos et des gestionnaires sans vision. Nous ne nous résignons pas à cette situation et nous répondons par un projet optimiste qui formera une nouvelle élite dirigeante pour l’entreprise et les affaires publiques. 

    Concrètement, les demandes d’inscriptions ont déjà commencé ?

    Notre site Internet issep.fr permet aux futurs étudiants de déposer une demande d’inscription pour passer les épreuves de sélection dès maintenant. Ils peuvent s’inscrire en magistère pour ceux ayant déjà obtenu une licence ou en formation continue, sans critère d’âge ou de diplôme. 
    Sur ce site, il est également possible de déposer une offre de stage ou de faire un don. 

    On peut trouver, dans votre organigramme, des noms comme Pascal Gauchon, un ex du FN, et Patrick Louis, un proche de Villiers. L’ISSEP ne risque-t-il pas de devenir une « fabrique à opposants » ? 

    Pascal Gauchon est surtout l’ancien directeur de Prépasup, l’une des meilleures prépas françaises, qui prépare aux concours des grandes business school françaises, et l’actuel directeur d’une revue de géopolitique reconnue pour sa qualité. Patrick Louis, quant à lui, est un universitaire respecté en géopolitique et sciences politiques à l’université Lyon 3. 
    En réalité la majorité de notre équipe, dirigeante ou pédagogique, n’a jamais fait de politique. Ce sont des chefs d’entreprise, des journalistes, des intellectuels, des cadres d’entreprise, des universitaires…
    Il y a, en effet, quelques membres issus des rangs du FN. Il n’y a pas de raison de les exclure, comme il n’y aucune raison d’exclure des gens qui auraient pu s’investir à LR, à DLF, au PCD ou autre. Vous ne trouverez pas, chez nous, le sectarisme qui étouffe une partie du monde éducatif supérieur. AU contraire, nous sommes un lieu d’échange et de débat sans tabou. 

    Vous interviendrez, le 31 mai, à un événement dont l’objectif est de débrancher Mai 68… Assisterait-on à une reconquista conservatrice ?
     
    Mai 68 a fait beaucoup de mal à l’enseignement. En contestant l’autorité de l’enseignant, en remplaçant le mérite par un égalitarisme destructeur pour tous, en stigmatisant l’excellence comme un privilège bourgeois. Le résultat est malheureux : il n’y a jamais eu aussi peu de fils d’ouvriers dans les grandes écoles françaises. Ils ont brisé l’ascenseur social et ont encouragé la reproduction sociologique dans les classes dirigeantes. Il est temps de bousculer la mécanique qui entretient cette situation injuste. 

    Chacune de vos réapparitions publiques soulève un grand emballement médiatique. À quoi l’attribuez-vous ?

    L’éloignement crée le prestige. J’ai un mérite relatif. 

    Vous avez rayé le nom Le Pen de vos comptes de réseaux sociaux. Une manière de rompre avec la « marque Le Pen » (et la politique) ?
    Une manière, surtout, d’acter mon passage à la vie civile. Je n’ai jamais eu et n’aurai jamais honte de mon nom. L’adossement du nom de ma mère, Le Pen, avait clairement un objectif en 2012 : laver l’honneur de ce nom à Carpentras, vingt ans après la terrible affaire qui l’avait souillé. Je pense avoir mené cette mission avec succès par mon élection. Je n’ai plus de raison de garder, aujourd’hui, mon nom « politique ». Je ne suis plus que Maréchal… Finalement, ce n’est déjà pas si mal !

    http://www.bvoltaire.fr/transmettre-culture-savoir-nos-valeurs-civilisationnelles-ne-se-faire-uniquement-biais-electoral/