France et politique française - Page 2636
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FREXIT : SORTONS DE L'UE - #PARIS
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Alain Escada démontre comment la doctrine politique, sociale et économique catholique est la réponse à nos maux
A Mont-sur-Lausanne, Alain Escada, président de Civitas, était l’invité de Résistance Helvétique. Il est venu y expliquer le christianisme social, son histoire et son actualité.
Appliquer la doctrine politique, sociale et économique catholique (la vraie, pas la version subvertie que nous présente l’église conciliaire aujourd’hui) est bien la solution à nos problèmes.
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Collomb annonce la réouverture des 11 mosquées salafistes fermées
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Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Mosquée de Paris, que craignait-il lorsqu'elle fut construite ?
Publié le 20 décembre 2016 - Actualisé le 1er novembre 2017
On sait que la décision de construire la Mosquée de Paris, première mosquée construite en France métropolitaine, fut prise après la Première Guerre mondiale pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts de confession musulmane ayant combattu pour la France. Et manifester aux survivants la reconnaissance de leur sacrifice par le pays.
Qu'en a dit Charles Maurras le 13 juillet 1926, lors de son inauguration ? Pas un mot contre l'idée même de rendre un hommage mérité, aux combattants musulmans de la Grande Guerre. A leur propos il parle des « nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ». Il n'y a pas chez Maurras de haine raciale. Ni de haine religieuse : il ne juge pas de l'Islam en soi. Mais il sait l'antagonisme des religions et des civilisations. Et sa culture historique autant que son jugement et son intuition politique l'amènent à pressentir et signaler un danger pour la France. Presque nul, alors. Présent et menaçant aujourd'hui sur notre sol même. Maurras ne dénonce pas l'hommage rendu aux combattants, ne critique même pas le fait de construire une mosquée à Paris. Avec mesure il écrit : « Nous venons de commettre le crime d’excès ». Son texte explicite en quoi consiste cet excès. Suit le pressentiment d'une menace : la crainte que nous ayons à payer un jour notre imprudence, en ce sens criminelle ; le souhait (Fasse le Ciel !) que les musulmans bénéficiaires de notre générosité « ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. » Et nous y sommes. LFAR
« Mais s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. »
Charles Maurras le 13 juillet 1926
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Amsterdam met un coup de frein au tourisme - Journal du Mercredi 1er Novembre 2017
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THIERRY MAILLARD, MILITANT NATIONALISTE DE REIMS, VICTIME DE L'ACHARNEMENT DE LA JUSTICE
Un communiqué des Amis de Thierry Maillard :
Lundi soir notre ami, notre camarade, notre frère, Thierry, a été condamné à deux ans de prison ferme pour détention d'armes.
Nous ne pourrions assez exprimé notre révolte devant une telle condamnation. Tous les jours des crimes bien pires bénéficient d'une indulgence scandaleuse et incompréhensibles. On trouve aux pires racailles des excuses sans fins. Et on écoute à peine les explications d'un père de famille.
Thierry n'a jamais agressé personne. Il n'a jamais braqué qui que ce soit, avec ou sans armes. Depuis des années, en amoureux des lettres et de la culture, il vit de son activité de libraire et paye ses impôts comme tous les honnêtes citoyens de ce pays.
La semaine dernière sa voiture a brûlé. Menacé depuis plusieurs mois en raison de ses idées, Thierry a pris ses responsabilités, en tant qu'homme, en tant que mari, en tant que père, en tant que Français. Aurait-il pu agir autrement ? Peut-être. Mais il ne nous appartient pas de le juger, nous laissons ce travail à la justice, qui ne le fait que trop sévèrement quand il s'agit de simples français ou de patriotes fiers de l'être. Ce que nous, nous pouvons faire, en tant qu'hommes, en tant que maris, pères, et en tant que patriotes, c'est l'aider à se battre, à se battre juridiquement pour défendre sa liberté et son droit à vivre auprès des siens. C'est la seule raison pour laquelle ce soir nous vous demandons de l'aider. Alors aidons-le. cliquez ici
MANIFESTEZ VOTRE SOLIDARITÉ AVEC THIERRY
Thierry Maillard, dans les milieux nationalistes, c'est une "figure". On est pas forcément d'accord avec lui sur tout, néanmoins sa sincérité et sa personnalité pittoresque en font un camarade attachant.
Mais ses qualités de meneur d'hommes, de combattant courageux et d'éternel bout en train (il nous en a encore fait la démonstration le 1er octobre dernier lors de notre XIe journée de Synthèse nationale) énervent nos ennemis. Contre lui, ils sont prêts à entreprendre toutes les persécutions afin de le neutraliser. Sa condamnation récente pour des motifs discutables en est la preuve.
Que l'on soit copain ou pas avec Thierry, le devoir de chaque patriote est de lui apporter, sous quelque forme que ce soit, un témoignage de solidarité.
R. H.
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Un peu de propagande pour allonger le délai légal pour avorter ?
Marianne raconte des histoires à faire pleurer dans les chaumières... :
"Avec l’échographie, la médecin a pu déterminer le nombre de semaines de grossesse : 14. Soit deux de plus que le délai légal français pour une interruption volontaire. "La docteure a juste lâché : 'Ici, on ne peut rien faire si vous ne voulez pas de cet enfant. Votre seule solution, c’est l’étranger' et elle m’a dit de contacter le Planning Familial, raconte Rose. Le second coup a été très dur : j’ai réalisé que, bien que née dans un pays où l’IVG est légale, je devais passer de l'autre côté de la frontière pour pouvoir avorter".
Avec le soutien du Planning, comme en témoignent Véronique Sahier, coprésidente du Planning Familial puis Sandrine Heckmann, directrice du Planning Familial de Pau :
"Certaines des femmes concernées sont dans des situations précaires. Avorter à l’étranger, cela fait ressortir des inégalités très fortes, ce n'est pas normal, il faut que toutes les femmes soient égales face à l'IVG". "Parfois on est à la limite du légal. Notre objectif, c’est que les femmes puissent avoir accès à l’avortement dans de bonnes conditions, même quand ce n’est pas possible en France".
"Même si on ne peut techniquement pas les soutenir financièrement, on les aide à mettre en place une stratégie personnelle. Ceci dit, quand il s’agit de femmes en extrême précarité, on voit ce qu’on peut faire plus directement…".
Tous ces arguments avaient déjà été utilisés en 2000, afin de permettre d'allonger de 2 semaines le délai légal pour avorter. Et Marianne annonce la couleur :
"Déni de grossesse, difficulté à faire un choix, mineures mal informées… Quels que soient les motifs, les Françaises sont 5.000 par an à recourir à l’IVG à l’étranger, en Espagne ou ailleurs. Car si la France se situe dans la moyenne européenne en matière de délai légal, plusieurs de ses voisins vont plus loin. Au Royaume-Uni par exemple, l’IVG est pratiquée jusqu’à 24 semaines de grossesse (voire plus si la vie de la femme est en jeu). Même délai au Pays-Bas, bien que les médecins n’avortent en général plus après 22 semaines. La Suède, où l’avortement est pratiqué jusqu’à la 18ème semaine (voire 22 et plus selon les situations), fait également partie de ces pays plus souples.
Des données qui, fatalement, posent la question de la pertinence de fixer la limite à 12 semaines. "Le délai est trop court pour certaines femmes, c'est la maîtrise de leur fécondité qui est en jeu", revendique la coprésidente du Planning Familial. [...] Pourtant, estime Marie Allibert, porte-parole de l’association "Osez le féminisme !", "une grande majorité des Français sont en faveur de l’IVG et d’un passage à un délai plus long, de 14 semaines par exemple". L'alignement sur les délais plus favorables de voisins européens fait partie des revendications du Planning Familial. [...]"
par Michel Janva
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Zoom Exclusif - Jean de France : le retour de l'idée monarchique
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Pendant ce temps, la mairie de Paris peut organiser la nuit du ramadan aux frais du contribuable
De Gilles-William Goldnadel dans Valeurs Actuelles :
"[...] Si le Conseil d'État ne sait pas pourquoi il tranche la croix, moi je sais. Pendant ce temps, la mairie de Paris peut impunément organiser la nuit du ramadan aux frais du contribuable ou contribuer à la construction de mosquées sous couvert d'espace culturel islamique sans attenter aucunement à la laïcité. On peut tolérer des prières de rue sans emprise parait-il sur le domaine public. On peut édifier des plugs anaux dans la capitale, des vagins royaux à Versailles et des statues de zoophiles sodomisant des chiens à Beaubourg sans égard pour la vue enfantine ou la gente canine."
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QUI, EN FRANCE, A PERMIS À M. RAMADAN ET AU SALAFISME D’ACQUÉRIR UN TEL POUVOIR ?
Lorsqu’il y a farce, le dindon n’est jamais loin, mais il existe au moins deux variétés de farceurs : celui qui fabrique sa farce, et le farceur opportuniste, celui qui se contente, mine de rien mais goulûment, d’étaler à la face du monde celle d’autrui qu’on lui sert sur un plateau. Le plateau en or massif est ici, en l’occurrence, le multiculturalisme, cheval de Troie de la farce, et qui constitue pour notre farceur cette occasion trop belle, celle qui lui permet de sillonner depuis des années l’Europe, ici conseiller pour les problèmes « d’intégration » auprès de multiples municipalités du continent, là invité sur les plateaux télé, mais toujours pourfendeur de cette Europe criminelle qui, oh scandale, accueille massivement un islam pourtant en croissance exponentielle, mais hélas sans les égards qui apparemment lui sont dus, et souffrant le martyre au moindre obstacle.
Dans le fond, il aurait tort de se gêner, la farce 15 étoiles n’étant pas de son ressort, mais de celui d’élites européennes toujours prêtes à prostituer l’avenir de leurs si « chers » peuples à moindre coût sur l’autel de leurs infectes petites « carrières ». Agoniseraient-elles, comme dans le cas de monsieur Fillon, ils sont recasés aussi sec dans quelque entreprise d’importance et bien entendu juteuse : oublié du jour au lendemain ce feu sacré concernant l’avenir de la nation et de ce peuple pour lequel, s’ils avaient vraiment le feu sacré, ils continueraient violemment à se battre, quel que soit l’obstacle. La vérité éclate alors : ils n’en ont rien à battre, ce que leur fréquentation de Bilderberg laissait d’ailleurs entendre et présager.
Clamant du coup, à qui veut l’entendre, que les racines chrétiennes de l’Europe sont un mensonge de plus, et que, bien sûr, l’islam est depuis toujours « de culture européenne », notre farceur opportuniste – pour en revenir à lui – étale sa farce au fil des ans. Le problème de l’Europe est un peu comme celui de la police : jamais là quand il le faudrait. Bien qu’opérant à la même tâche dans une multitude de pays européens depuis des années, il n’est perçu dans chacun d’eux que comme symptôme d’une problématique spécifiquement « locale ». Or, monsieur travaille d’arrache-pied à l’islamisation de l’Europe et, au-delà de l’Europe, à celle du monde, et rien d’autre.
La nouveauté, c’est que son masque d’irréprochabilité morale se fend quelque peu ces temps-ci, suite à l’affaire concernant un gros porc américain, et ayant eu pour effet salutaire de délier un certain nombre de langues. Eh bien, figurez-vous que ce Tariq Ramadan réclamant à Sarkozy, au cours d’un débat télévisé, un moratoire en France concernant la coutume consistant à battre l’épouse récalcitrante, est accusé aujourd’hui de viol par l’une de ses supposées victimes.
Des partisans de l’intéressé – faut-il s’en étonner ? – crient, sur les réseaux sociaux, au complot sioniste. Notre victime affirme être une ancienne salafiste, et à l’entendre ici même raconter de quelle façon le sieur Ramadan essaya de la convaincre de ne pas en sortir, l’on peut conclure que le salafisme n’est en rien mauvais pour notre prédateur prédicateur. Les choses commencent ainsi à se décanter malgré, je répète, le répugnant aveuglement de nos propres politiques. Il fallait beaucoup de courage à Henda Ayari pour exprimer cette réalité : chapeau, Madame !
http://www.bvoltaire.fr/france-a-permis-a-m-ramadan-salafisme-dacquerir-tel-pouvoir/