En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Contexte d’affrontement entre bandes rivales et un « jeune homme », originaire du quartier des Hautes-Mardelles de Brunoy dans l’Essonne, a été poignardé devant le lycée professionnel Louis-Armand de Yerres, où il n’était cependant pas scolarisé. On imagine parfaitement le profil très habituel des protagonistes. Le maire de Yerres, Olivier Clodong se dit « effondré » par ce drame… toujours les mots forts, le problème, c’est que des effondrés, il y en a tous les jours, parce que ce genre d’histoires, à multiples versions, est devenu un classique de la vie publique en France. Et l’élu de lancer « un cri d’alarme » après ce drame « inhabituel » dans cette commune « très sûre » de l’Essonne, exhortant les jeunes « à ce qu’il n’y ait pas de match retour ». Il devrait atterrir, quand ce n’est pas chez lui, c’est ailleurs. Le département de l’Essonne, territoire compte 1,3 million d’habitants et il est régulièrement le théâtre d’affrontements entre bandes de « jeunes » adolescents.
« Victoire exceptionnelle ! » Ce 24 mars, en fin d’après-midi, l’Institut pour la Justice (IPJ) se réjouissait de voir l’une de ses propositions pour lutter contre le trafic de drogue adoptée par les députées. Reprise par Edwige Diaz, députée du Rassemblement national, et Olivier Marleix, député de la Droite Républicaine (Les Républicains), cette proposition vise à obliger (sauf rares exceptions) les juges à prononcer une peine d’interdiction du territoire français contre « tout étranger condamné à une peine de prison d’au moins cinq ans pour ce type d’infraction ». « Si tout se passe bien, dans quelques mois, les juges auront l'obligation d'expulser les étrangers trafiquants de drogue » se félicite l’IPJ. Cette nouvelle mesure, désormais intégrée à la proposition de loi visant à sortir la France du piège du narcotrafic, vient s’ajouter aux nombreuses dispositions prévues par Gérald Darmanin et Bruno Retailleau pour lutter contre l’emprise du narcotrafic sur le sol français. Compte tenu du nombre trop important d’amendements déposés, le vote solennel du texte, d’abord prévu pour ce 25 mars, a finalement dû être reporté.
Dans Le Figaro, on apprend que le président algérien oppose Emmanuel Macron et son gouvernement :
Dans un entretien avec des journalistes de médias publics, retransmis samedi soir à la télévision algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune a qualifié la situation politique en France de « brouhaha », de « capharnaüm », et a tenu à l’isoler de sa relation avec Emmanuel Macron, « son unique point de repère ».
Un réfugié politique afghan de 36 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Metz à quatre ans de prison pour des faits de proxénétisme à l’encontre d’une mineure, et pour soustraction de jeunes filles d’un foyer de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). A l’audience en février, la procureure Lauréline Guillot avait requis à l’encontre de Farhad Kamawal, Afghan réfugié politique en France, cinq ans de prison dont deux avec sursis.
Au programme de cette édition, retour sur la guerre en Ukraine. Alors que les pourparlers de paix à Riyad se sont achevés lundi soir, Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi pour préparer le sommet de la coalition des volontaires organisé le lendemain. Une nouvelle étape de l’obsession guerrière du président français.
Sarah Knafo était de passage pendant un quart d’heure chez les Grandes Gueules, animés par les historiques Marschal-Truchot, qui ont perdu de leur sectarisme d’antan.
Reconnaissons qu’ils ont laissé s’exprimer la député européenne, qui a pu expliquer qu’en France, bien sûr que c’était dangereux d’être juif, mais aussi dangereux d’être français. Elle a évoqué l’agression du rabbin d’Orléans, ce qu’elle a connu en banlieue, une anecdote avec sa grand-mère de 80 ans, le racisme anti-blanc et le livre ignoble de trois journaleux sur Crépol.
François Bayrou serait-il à la recherche d’un second souffle. Education, accès aux soins, simplification bureaucratique, finances publiques, tels sont les quatre chantiers qu’il promet d’ouvrir.
La révélation fut quelque peu soudaine mais elle a fulguré tout le gouvernement français et une partie des élites européennes d’un coup brusque : pour faire des munitions, pour faire des canons et des avions, pour entraîner des hommes et les préparer à la guerre, il semble maintenant indéniable qu’il faille un sacré paquet de pognon.
« Le vendredi, plus personne ne me répond » : encore un patron en croisade contre le télétravail.
Le CEO de la banque américaine JPMorgan Jamie Dimon n’en peut plus du travail à distance. Selon lui, une entreprise ne peut pas fonctionner ainsi, tout simplement.