Vivant en province depuis très peu de temps, dans un village, au rythme des lotos familiaux et autres brocantes, j’ai été bien obligé de réaliser que je fuyais une situation qui me rattrape.
Les provinciaux arrivent rarement à se défaire de France-Inter et autres radios de la propagande macroniste et islamo-compatible, car sur la route, il y a peu de chances que vous puissiez écouter autre chose sans vous acharner à la recherche des ondes.