
Agnès Firmin-Le Bodo, tout juste nommée par intérim à la tête du ministère de la Santé, a été épinglée jeudi 21 décembre par Mediapart pour avoir reçu des cadeaux, d’une valeur estimée à 20 000 euros, des laboratoires Urgo en tant que pharmacienne.
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Agnès Firmin-Le Bodo, tout juste nommée par intérim à la tête du ministère de la Santé, a été épinglée jeudi 21 décembre par Mediapart pour avoir reçu des cadeaux, d’une valeur estimée à 20 000 euros, des laboratoires Urgo en tant que pharmacienne.
1-La loi votée cette nuit par le Parlement est importante – révélatrice – sur le plan idéologique: elle marque une nette droitisation de la politique française correspondant sans doute à l’état d’une majorité de l’opinion. A ma connaissance, c’est la première fois qu’une loi sur l’immigration consiste, pour l’essentiel, à réduire ou conditionner les droits sociaux des ressortissants étrangers. Dans ses réformes depuis 1990, la « droite classique » ne s’était pas, jusqu’à présent, engagée sur ce terrain. Les mesures prises à cet égard s’inspirent bel et bien de la logique de la « priorité (ou préférence) nationale » préconisée par le FN/RN (ou Reconquête plus récemment) – tout en l’appliquant, il est vrai, de manière fortement atténuée.
Harcelé par sa gauche, le président d’extrême-centre Emmanuel Macron Emmanuel Macron a tenté de rassurer ses troupes en annonçant saisir lui-même le Conseil constitutionnel pour retirer certaines dispositions du projet de loi sur l’immigration. Trois dispositions sont susceptibles d’être censurés : les quotas pluriannuels votés par le Parlement, le rétablissement du délit de séjour irrégulier puni par une amende, et le resserrement du regroupement familial.
Ce 14 décembre sur France TV5 Michèle Cotta se déclarait, elle qui a tant servie la soupe aux gloires de la république : "Je suis terrorisée par la médiocrité de ceux qui nous dirigent". [cf. son entretien avec Patrick Simonin]
Médiocrité sans aucun doute, mais aussi contradiction au sommet.
Sans doute eût-elle aggravé sa condamnation, une semaine plus tard, après la stupéfiante passe de trois au sein du gouvernement d'Elizabeth Borne se félicitant d'bord du vote des deux chambres le 19 décembre, de Macron qualifiant la loi de "bouclier dont nous avions besoin", le 20, et de l'entretien dithyrambique donné ce 21 décembre par Bruno Le Maire.
Lucas avait 25 ans et il aurait du vivre encore de très longues années. Lucas, c’est mon fils, le vôtre, le nôtre en un mot.
Nous jouons à avoir le meilleur système de santé du monde, mais l’on fait tout ce qu’il faut pour obtenir l’inverse, à savoir une catastrophe sanitaire en puissance.
Urgence et défaillances : le calvaire de Lucas à l’hôpital d’Hyères
L’histoire tragique de Lucas, mort d’un choc septique dans un hôpital surchargé, expose les lacunes criantes du système de santé et particulièrement celles des urgences hospitalières.