De nombreux volontaires étrangers sont partis rejoindre les rangs des milices kurdes en Syrie afin de combattre les jihadistes. Parmi eux des Français :
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De nombreux volontaires étrangers sont partis rejoindre les rangs des milices kurdes en Syrie afin de combattre les jihadistes. Parmi eux des Français :
L’événement eut un grand retentissement médiatique il y a douze ans, des deux côtés de la méditerranée. En 2003, Richard Robert, 31 ans, alias « l’émir aux yeux bleus », était jugé par la Cour Criminelle de Rabat (Maroc). Les chefs d’accusation étaient très sévères : « atteinte à la sûreté de l’Etat » et «appartenance à une bande criminelle terroriste », en l’espèce était visée ici sa participation à l’organisation de camps d’entraînement djihadistes dans le Nord du Royaume pour lancer une campagne visant à déstabiliser la monarchie et instaurer un Etat islamiste. Le contexte était on ne peut plus défavorable. Le 16 mai de cette année-là, des attentats suicide à Casablanca avaient fait 43 morts et une centaine de blessés. L’avocat général avait demandé la peine de mort. Bien qu’exonéré personnellement de tout crime de sang, et acquitté de ce chef, Richard Robert fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.
Né en 1972 dans le département de la Loire près de Saint-Etienne, issu d’une famille française ordinaire, honnête, simple et laborieuse, Richard Robert s’était converti à l’islam à l’âge de 18 ans en fréquentant des ressortissants Turcs. Après un séjour à Istanbul, au cours duquel il se radicalise, puis un « voyage initiatique » en Afghanistan, où les islamistes sont à l’époque soutenus par les pays occidentaux contre les soviétiques, et où il apprendra le maniement des armes et des explosifs, il s’installe à Tanger (Maroc) au milieu des années 90, s’y marie et y vit de petits boulots. Il y fréquentera assidument prédicateurs et mosquées salafistes qui continueront à l’endoctriner jusqu’au dénouement fatal de cette dérive.
Au bout de trois années de détention, au terme d’un cheminement intérieur et avec un courage qui n’échappera à personne, Richard Robert abjure publiquement l’islam, et annonce sa reconversion à la foi catholique. Considéré dès lors comme renégat par les islamistes détenus dans les prisons marocaines, cela lui vaudra de nombreuses menaces de mort et contraindra l’administration pénitentiaire marocaine à le changer de prison.
J’ignorais tout de cette histoire jusqu’à ce que je sois contacté, en tant qu’élu de la région Rhône-Alpes, par le père et la mère de Richard Robert. Je pense que, dans leur détresse, ils ne voyaient pas le caractère paradoxal de leur démarche : s’adresser à une personnalité politique qui combat sans équivoque la montée de l’islamisme en France ! S’adresser à un élu du Front National, de surcroît combattu par le Système, et sans aucune influence, bien sûr, sur la machine judiciaire ! J’ai cependant été ému par la détresse de cette famille modeste et simple pour qui le monde s’est écroulé à la suite de la condamnation de leur fils, et qui à l’époque craignait sérieusement pour sa vie.
Grâce aux efforts de son opiniâtre défenseur Maître Courcelle-Labrousse, et sans doute du Ministère des Affaires Etrangères, nous pûmes obtenir la possibilité pour Richard Robert de purger sa peine en France, comme le prévoit la convention franco-marocaine du 10 août 1981 sur le transfèrement des personnes condamnées des deux pays. Nous obtiendrons finalement gain de cause en 2012 avec le retour du Français dans une geôle de son pays natal, d’abord à Fleury-Mérogis, puis à la Maison Centrale d’Yzeure, près de Moulins. Il restait à homologuer sa peine en France. En l’absence de crime de sang l’impliquant personnellement, les faits pour lesquels il avait été condamné n’étaient passibles, en droit français et à l’époque où ils ont été commis, « que » de dix années d’emprisonnement.
Cela laissait à l’intéressé la possibilité de refaire sa vie. Les tribunaux français, et tout récemment la Cour de Cassation, ne l’ont pas entendu ainsi, lui appliquant l’état du droit français actuel, beaucoup plus sévère, soit une peine de 30 années de prison, rarement prononcées par nos propres juridictions pour des faits commis en France, même à l’encontre des assassins les plus endurcis. Il ne m’appartient pas de commenter ces décisions. Mais il m’est permis de faire connaître le témoignage de ce condamné.
Car le cas de Richard Robert est exemplaire à plus d’un titre : celui du dévoiement de certains jeunes idéalistes dans la société française, une société qui a largement perdu ses racines, sa culture, ses valeurs spirituelles. Une société qui ne propose plus à sa jeunesse d’idéal commun. Une société dont les principaux moteurs sont le fric, le sexe, la réussite matérielle individuelle…et encore ! Car les jeunes Français savent bien qu’ils sont pour la plupart contraints de réévaluer au plus juste la réussite matérielle qu’ils escomptaient, compte tenu de l’absence de perspectives économiques, et des entraves que rencontre dans la France d’aujourd’hui toute initiative entrepreneuriale.
Voilà l’un des terreaux sur lesquels prospère l’engagement le plus radical, et pas seulement chez les jeunes déracinés issus de la folle politique d’immigration massive, mais bien chez des Français « de souche » !
Richard Robert accepte son destin avec patience, et même avec une résignation exemplaire. Il ne demande rien. Ou plutôt, une seule chose : il voudrait du moins que sa jeunesse perdue et sa vie brisée ne soient pas totalement inutiles. Il voudrait témoigner, pour éviter que d’autres suivent le même chemin de perdition. Il connaît les doctrines, les méthodes, les pratiques, les filières, des recruteurs du Djihad. Il veut mettre en garde ceux qui seraient tentés de les suivre. Il le souhaite ardemment, serait-ce au péril de sa vie, car il n’est pas certain aujourd’hui que les prisons françaises soient beaucoup plus sûres que les prisons marocaines.
Je suis de ceux qui pensent que chacun a droit à une deuxième chance. Et je souhaiterais que Richard Robert, qui a déjà accompli une durée de peine qui correspond chez nous à celle que subissent les pires criminels, puisse un jour, pas trop lointain, se voir donner la possibilité de travailler librement pour le bien de la société, et non pour sa destruction. Mais même ceux qui ne partagent pas cette opinion, trouveront intérêt aux mises en garde de Richard Robert.
Ce système terroriste, ce fanatisme à prétention religieuse étonnent à chaque fois les commentateurs. Ils ne veulent y voir que des cas individuels, des fous, des criminels sans doctrine. Richard Robert a vécu cela de l’intérieur. Il nous l’explique. Il commente, il dissuade, il avertit, il réfute les appels des fanatiques. C’est pourquoi nous publierons prochainement sur ce site les avertissements que cet homme emmuré nous fait parvenir du fond de sa cellule. C’est nous qui serions fous de ne pas les entendre.
Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient et vicaire général pour les Orientaux, lance un cri d’alarme en faveur des chrétiens d’Orient menacés de disparition. Entretien.
La Nef – Pouvez-vous nous dire en quelques mots ce qu’est l’Œuvre d’Orient ?
Mgr Pascal Gollnisch – Nous existons depuis le milieu du XIXe siècle. L’œuvre a été créée par des laïcs, ce qui était original à l’époque, professeurs de la Sorbonne. Il s’agissait alors d’aider les écoles fondées au Proche-Orient en général par des religieux et religieuses français, et qui avaient pour mission de s’adresser aux riches comme aux pauvres, aux chrétiens comme aux musulmans. C’est pourquoi, à l’origine, nous nous appelions l’Œuvre des Écoles d’Orient. L’Œuvre s’est étendue naturellement au domaine de la santé, en créant des dispensaires, puis s’est intéressée à la vie en général des Églises catholiques d’Orient. Aujourd’hui donc, nous intervenons dans les domaines de l’éducation, de la santé, de la vie des Églises. Nous nous adressons à toutes les communautés catholiques orientales présentes depuis l’Ukraine jusqu’à l’Inde, c’est-à-dire aussi bien l’Éthiopie, l’Égypte, la Syrie que l’Irak ou la Turquie. Nous n’aidons que les structures catholiques du fait de leur rôle historique dans la région, mais celles-ci soutiennent sur place les autres communautés locales (musulmanes…) par les dispensaires, les écoles… ouverts à tous.
L’Œuvre d’Orient est-elle une particularité française ?
En effet, longtemps, l’Œuvre a reposé sur la fidélité de familles françaises qui, de génération en génération, continuaient à donner. Mais nous avons débordé ce cadre aujourd’hui : nous recevons 70 000 dons chaque année, pour un budget de 15 millions d’euros. Cela reste pourtant une particularité française : nous avons créé une « fille » en Belgique, mais qui peu à peu a pris son autonomie. De même aux États-Unis, avec la Pontifical Mission. Dans les statuts, l’Œuvre d’Orient est une association de la loi 1901, dont le directeur est nommé par l’archevêché de Paris.
En sus d’être directeur de l’Œuvre d’Orient, vous êtes vicaire général pour les Orientaux : qu’est-ce que cela signifie ?
Le principe de l’Œuvre est de secourir et d’aider les Orientaux en Orient même. Mais en France, il existe un ordinariat pour les Orientaux, c’est-à-dire une sorte de tutelle pour les ressortissants des Églises d’Orient installés dans le pays. Le responsable en est historiquement l’archevêque de Paris, c’est-à-dire le cardinal Vingt-Trois aujourd’hui, sauf pour les Églises ayant un évêque spécifique, comme les Ukrainiens, les Arméniens et les Maronites. C’est un quasi-diocèse, et j’en suis donc le vicaire général. Cette tutelle vis-à-vis des paroisses catholiques de rites orientaux consiste à les aider à garder leur personnalité propre tout en prenant place parallèlement dans la réalité française. Cette « diaspora » s’est constituée en plusieurs vagues, depuis les catholiques russes ayant fui la Révolution de 1917 jusqu’à l’immigration contemporaine. [....]
La suite dans La Nef
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-chretiens-d-Orient-une
Les islamistes ne se cachent même plus pour y effectuer des quêtes illégales sur la voie publique !
Le Val-de-Marne, porte sud-est de Paris, « incubateur » du djihad ? Selon le FN-94, « terre d’import-export du djihad, il fait partie du Top 5 français » avec 130 suspects fichés. Et les islamistes ne se cachent même plus pour y effectuer des quêtes illégales sur la voie publique !
Même si 130 connus, c’est peu – 0,01 % des Val-de-Marnais -, c’est tout de même inquiétant.
Passons sur un Coulibaly qui, bien que n’habitant pas le « 9-4 », s’y promenait souvent près du bois de Vincennes. N’a-t-il pas choisi, en janvier, l’Hyper Casher de la porte de… Vincennes à Paris pour sa prise d’otages ?
Mais il n’était pas le premier à fouler le sol val-de-marnais : une enquête de la chaîne privée Val-de-Marne TV note que la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) avait interpellé en novembre 2013 à Cachan et Thiais quatre hommes d’une filière vers la Syrie…
En octobre 2014, un autre Val-de-Marnais, Salim Benghalem, 34 ans, était classé « djihadiste wanted » par les États-Unis.
Lu sur Christianophobie Hebdo :
"Les attaques terroristes contre les chrétiens du Pakistan, comme celles qui ont touché deux églises de Lahore [Pendjab] en mars 2013 et l’attentat à la bombe contre une église de Peshawar [Khyber Pakhtunkhwa] en sep tembre de la même année, ont rendu nerveuse la communauté [chrétienne] [...].
Le gouvernement fournit une sécurité pour différentes églises dans des grandes villes, mais les actions terroristes dans le Pendjab et le Khyber Pakhtunkhwa fournissent la démonstration que les dispositifs de sécurité du gouvernement ne sont souvent pas suffisants [...].
Conséquence de cet état de fait, un groupe d’hommes chrétiens a imaginé une stratégie pour combattre cette menace terroriste au Pakistan.
Après les attaques de mars, 16 jeunes gens se sont regroupés pour constituer une équipe de sécurité, afin de défendre les églises locales. Ce qui inspire la formation de cette équipe se trouve en Luc 11, 21 : « Lorsqu’un homme fort et bien armé garde sa maison, ce qu’il possède est en sûreté. »
Le but de cette équipe n’est pas de dénoncer les défaillances du gouvernement, mais de défendre les églises. L’équipe a d’abord offert ses services à la Shalom Presby terian Church située dans la Bahar Colony de Lahore [...], puis a étendu son offre afin d’assurer la sécurité à six autres églises des environs [...].
La police locale et les services officiels de sécurité soutiennent totalement la mission de cette équipe estimant que cela ac croîtra la sécurité des églises, car elle est capable d’identifier les ac tivités ou les gens suspects pen dant les services religieux [...].L’initiative de ce jeune groupe de chrétiens constitue un con sidérable pas en avant pour la protection des églises et, en même temps, elle est un acte de courage de la part de ces jeunes chrétiens. Ce ne sont pas des agents de sécurité professionnels, mais leur détermination et leur persévérance à protéger les églises sont trop fortes pour pou voir être ébranlées.
La volonté de cette équipe d’étendre sa zone d’action à d’autres églises constitue un exemple parfait d’unité contre la menace."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
Le maire d'Alberville avait enfin trouvé un repreneur pour Le clos des Capucins, dans la Cité médiévale de Conflans, sur les hauteurs d'Albertville, qui tombait en ruines. Mais l'élue de l'opposition Noëlle Aznar-Molliex, par ailleurs élue régionale du groupe "Osons Alberville", s'oppose à cette cession.
Lors du Conseil municipal du 6 juillet, le maire Martine Berthet avait prévu de soumettre au vote des élus la cession de ce site, propriété de la Ville, à l’association du Couvent Saint-François de Morgon, qui souhaite rénover le site pour y implanter une communauté. Cette communauté de capucins est liée à la Fraternité Saint-Pie X.
Le groupe d’opposition de gauche « Osons Albertville » s'oppose à ce projet, non pas en raison de la laïcité (la ville cède la propriété à une communauté religieuse) mais parce que :
"la communauté des religieux capucins du couvent de Morgon dite « d’observance traditionnaliste » se situe dans la mouvance des églises traditionnalistes et intégristes, celle de la Fraternité Saint Pie X, autrement dit non reconnue par l’Eglise de Rome, puisqu’en situation de schisme depuis le concile Vatican II. Ces communautés rejettent l’oecuménisme et toutes les initiatives pouvant favoriser le dialogue inter-religieux. Ce refus du dialogue est prolongé par le rejet caractérisé des autres religions… et par le combat contre les avancées essentielles que constituent la légalisation de l’avortement et l’institution du mariage pour tous."
Heu... il n'y a pas que la Fraternité Saint Pie X qui s'oppose à l'avortement et à la dénaturation du mariage...
La mairie avait préféré céder cette propriété pour un euro symbolique et les moines l'aurait rénovée eux-mêmes. Ce qui aurait évité à la municipalité de détruire le bâtiment ou de payer la rénovation sur l'argent des contribuables.
De son côté, l'évêque Mgr Ballot se voulait apaisant et n'était pas hostile à cette implantation. Donc de quoi se mêle la gauche ?
Le gouvernement a de quoi pavoiser : un nouveau complot terroriste aurait été déjoué dans les Pyrénées-Orientales. Soit quatre jeunes djihadistes français, dont le moins âgé (17 ans) aurait été l’instigateur. But de la manœuvre ? Décapiter un officier de la Marine nationale du cap Béar, près de Collioure, pour ensuite diffuser la vidéo sur les réseaux sociaux.
Pas de pot, c’est grâce ou à cause de ces mêmes réseaux sociaux que les quatre apprentis terroristes se sont fait poisser par les argousins. Comme il se doit, ils étaient en contact avec des combattants de Daech. Mais cela constitue-t-il un réseau pour autant ? Et quid de ce vocable de « terroriste » chaque jour de plus en plus galvaudé ?
Quatre personnes ont trouvé la mort jeudi lors de fusillades dans deux installations militaires à Chattanooga au Tennessee, ainsi que le tireur, ont indiqué les autorités locales lors d’une conférence de presse.
Le procureur Bill Killian a précisé que ces incidents étaient considérés comme « un acte de terrorisme intérieur ».
Un policier a également été blessé mais, selon les médias locaux, ses jours ne sont pas en danger.
Selon la presse, le tireur a été tué par les forces de l’ordre.
A noter le missile ressemble fort à un missile anti-char de type Kornet (russe) . Peu de chance que l’Etat Islamique dispose de missile anti-navire.
La branche égyptienne de l’État Islamique (province du Sinaï), explique dans un communiqué que ses combattants ont « frappé avec un missile téléguidé une frégate » de la marine égyptienne en mer Méditerranée, au nord de Rafah, à la frontière avec la bande de Gaza. L’armée avait auparavant annoncé ce jeudi qu’un bateau de la marine avait pris feu lors d’affrontements entre des jihadistes et des militaires.
Des navires de la marine égyptienne sont allés au secours de l’équipage, tandis qu’un nuage de fumée s’élevait au-dessus du patrouilleur. Des photos publiées sur Twitter sembleraint confirmer cette version