Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 462

  • Les mauvaises idées du Medef

    Le Medef évoque la suppression de 2 jours fériés et la création d'un salaire inférieur au Smic, complété par des aides de l'Etat.

    L'organisation préconise encore l'ouverture accrue de commerces le soir et le dimanche.

    En avril, le Salon Beige s'était interrogé sur la proposition de Pierre Gattaz de réduire le SMIC, juste avant une allocution de Manuel Valls qui s'opposait fermement à cette réduction... mais imposait 50 milliards d'économies aux parlementaires socialistes. Cinq mois après, le même timing "opportun" se reproduit. Pierre Gattaz propose de réduire le SMIC et le nombre de jours fériés... la veille d'un nouveau vote de confiance à l'Assemblée Nationale.

    Etonnant, non ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/09/les-mauvaises-id%C3%A9es-du-medef.html

  • La fête de L'Huma rendez-vous du pseudo-modèle social

    Ce 14 septembre au soir Le Monde mettait en ligne sa rubrique "les 5 infos à retenir du week-end". Le quotidien plaçait évidemment au premier rang l'atroce traitement d'un de leurs otages par les islamo-terroristes. Mais, une fois passée l'émotion occidentale légitime, il invitait ses lecteurs à considérer, somme toute, que la grande question demeure celle des bleus à l'âme de la gauche européenne.

    On compatit en effet, tout en se demandant s'il n'existe pas un lien, entre les nuisances et les aveuglements du politiquement correct de gauche, depuis et l'affaiblissement de l'Europe face aux dangers qui la menacent de plus en plus. Un dernier point concernait certes l'actualité sportive, mais le centre de ce petit monde nombriliste se situait bien à l'inoxydable Fête de L'Huma.

    Évoquons quand même d'abord nos amis scandinaves. On parle en effet, on va parler du regain électoral de la coalition gaucho-écolo en Suède ce 14 septembre.

    Le quotidien officieux de la politique française observe tout de même que les sociaux-démocrates suédois crédités de 31,3 % des voix, restent dépourvus d'idées. Certes, ils écartent avec horreur toute coopération avec le parti "populiste" des "démocrates suédois" qui vient de doubler son score, 12,9 % contre 5,7 % il y a quatre ans. Il manque pourtant quelque 20 sièges à la coalition qu'ils pourraient former avec les écologistes et le "parti de gauche" pour obtenir une majorité absolue. (1)⇓

    En vérité, après huit ans de pouvoir le cartel sortant de centre-droit subissait le phénomène courant dans toutes les démocraties qui s'appelle l'usure du pouvoir. Et ses adversaires n'ont su développer depuis 2012 que des critiques sur la privatisation de certaines maisons de retraite, l'une d'entre elles était devenu un objet de scandale, sans personne que ne s'interroge sur les conditions réelles des établissements publics du même ordre qu'on ne veut plus appeler des "hospices". Dans une Europe vieillissante et sénescente tout ceci fait peur à un électorat de plus en plus important qui rejette le miroir de sa propre réalité.

     

    La différence entre la France et la Suède est que cette dernière avait eu le courage ces dernières années de remettre en cause ce "modèle suédois" dont on nous avait tant gavé dans les années 1960 et dont les "heureux bénéficiaires" avaient soupé.

    Au contraire le gouvernement Valls, présenté pour réformateur, décrié comme "continuateur" d'une "austérité" qui, en fait n'a jamais commencé s'accroche à la fiction du maintien en l'état du prétendu "modèle social", c'est-à-dire des options périmées remontant à 30, 50, voire 70 ans.

    La deuxième nouvelle soulignée par Le Monde portait en effet sur une décision annoncée, curieusement, par le Secrétaire d'État aux relations avec le parlement. Jean-Marie Le Guen, au lieu et place de Marisol Touraine ministre, elle, des Affaires sociales a cru bon de revenir sur le constat gouvernemental des jours précédents : celui d'une évolution des indices de prix ne justifiant pas l'augmentation des pensions.

    N'importe les règles d'indexation, bienvenue aux "coups de pouce" : tout ceci pour ne pas donner aux Français l'impression

    qu'ils sont entrés dans une phase de rigueur, ne parlons même pas des "réformes structurelles" que réclament nos partenaires européens, devenus nos bailleurs de fonds.

    Tout ceci sert de toile de fond aux remugles venus de La Courneuve où se retrouvait, fidèle au poste chaque année, la "varie gauche", celle des amis et des alliés d'un parti communiste de moins en moins audible en direct mais de plus en plus présent dans les coulisses.

    La nouvelle sociologie de cette organisation, toujours puissante, toujours nuisible, dément de longue date ses propres théories. Ses cadres d'origine ouvrière représentaient il y a 30 ans encore quelque 45 % de l'appareil. Ce pourcentage s'est divisé par 5, tombant à 9 % alors que les ouvriers représentent aujourd'hui 23 % de la population active du pays. Le gros de la troupe des adhérents et cotisants du PCF se recrute chez les enseignants, c'est-à-dire chez les gens qui formatent impunément, aux frais des contribuables, les esprits des jeunes Français de toutes origines, et chez les salariés des collectivités locales, en nombre croissant.

    Qu'un Mélenchon, épaulé cette année par la venue de son nouvel ami Kerviel, ait réaffirmé en cette occasion sa convergence avec un Montebourg, cette écume des choses, est retenue comme un événement par nos médiats. En réalité, déjà en 2011, toujours à la fête de L'Huma, ils avaient fait ensemble exactement la même déclaration que nous relevions alors. (2)⇓

    JG Malliarakis
     Notes : 

    1.  Cette appellation de "parti de gauche" désigne en Suède un parti qui s'est appelé successivement : Parti social-démocrate de gauche de Suède de 1917 à 1921 puis parti communiste de Suède de 1921 à 1967, puis "parti de gauche – les communistes" de 1967 à 1990. Avec ces gens, il n'est pas considéré comme "immoral" de gouverner. .
    2.  cf. L'Insolent du 19 septembre 1971
  • Les retraités vont payer !

    Les médias, en boucle, disent que les Français ne peuvent pas payer le dernier tiers provisionnel, ils ne parlent pas de ceux qui ne peuvent plus rien payer.   

    La semaine passée, une information est restée de façon surprenante presque sans réaction. Rien de la part de la soi-disant « opposition », rien des « opposants de gauche » et pourtant…

    Le gouvernement – Valls en tête – a décidé de ne pas revaloriser les retraites en octobre, contrairement à ce qui avait été promis. Il avait été annoncé, en début d’année, que la revalorisation de ces retraites, même les plus petites, serait repoussée au mois d’octobre. Comme la parole politique n’a plus aucune valeur, il était évident qu’à la première occasion, au premier prétexte, Hollande reviendrait sur celle-ci.

    C’est fait : même les retraites qui sont sous le seuil de pauvreté ne seront pas revalorisées. Le prétexte, cette fois-ci… il n’y a pas eu d’inflation (sic). Comme tous les Français, je ne m’en étais pas rendu compte. Les augmentations de taxes, d’impôts, de prix de toutes sortes ne faisant pas partie du calcul de l’inflation.

    Lire la suite

  • Le vrai testament de Bastiat : les Harmonies sociales

    140913Frédéric Bastiat (1801-1850) a certes sa petite rue à Paris.

    Mais trop de peu de gens connaissent la pensée de l'homme qui écrivait : "Liberté ! Voilà, en définitive, le principe harmonique. Oppression ! Voilà le principe dissonant ; la lutte de ces deux puissances remplit les annales du genre humain".

    On le connaît, pas assez d'ailleurs, pour son talent d'écriture. Sa plume alerte fait de lui une sorte de Voltaire de l'économie."Depuis que nous avons publié, disait-il avec esprit, un rapport au Roi sur le grand parti qu'on pourrait tirer d'une paralysie générale des mains droites, comme moyen de favoriser le travail, il paraît que beaucoup de cervelles sont en quête de nouvelles recettes protectionnistes."

    La publication de ces Harmonies sociales, écrites à l'heure de la mort, en 1850, pour conclure ses Harmonies économiques publiées quelques mois plus tôt, permettait en 2001 au professeur Jacques Garello de voir en lui le vrai prophète d'une authentique "troisième voie" entre les socialistes étatistes et les conservateurs du capitalisme de connivence.

    À l'heure où les Français remettent en cause une classe politique dont, conseiller général des Landes depuis la Restauration, élu député en 1848, il voyait déjà poindre la nuisance, on ne peut le redécouvrir qu'avec intérêt.

    Il affirme en effet et explique de façon claire : "les Harmonies sociales contenues en germe dans ces deux principes : propriété, liberté. Nous verrons que toutes les dissonances sociales ne sont que le développement de ces deux autres principes antagoniques aux premiers : spoliation, oppression."

    POUR COMMANDER LE LIVRE "HARMONIES SOCIALES" 256 PAGES 25 EUROS

    - par internet sur le site des Éditions du Trident

    - ou par correspondance enadressant un chèque de 25 euros
    aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris

    http://www.insolent.fr/

  • Le culte de la diversité

    Le 16 octobre 2009, Anne Lauvergeon, alors patronne d’Areva (en attendant de devenir présidente du conseil de surveillance de Libération) avait fait sensation en déclarant à la télévision : « A compétences égales, eh bien, désolée, on choisira la femme ou on choisira la personne venant d’autre chose que le mâle blanc, pour être clair. » 

         Apparemment le propos sexiste et raciste est éclatant et le délit d’opinion caractérisé... Mais il est dans la ligne des entreprises soucieuses d’une image politiquement correcte. A ce stade, une condamnation pour discrimination offrirait à Anne Lauvergeon une auréole de martyre et un formidable booster médiatique. On peut supposer que, n’étant pas idiote, elle avait parfaitement mesuré le rapport risque/profit de sa déclaration et en conclure que son propos était soigneusement calibré. A l’instar de la sortie de Jean-Paul Agon, PDG de L’Oréal, assurant au Monde le 13 juillet 2007 : « L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume. Aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. » 

         Telle est également la ligne définie par Claude Bébéar, président du Conseil d’Axa et président de l’Institut Montaigne, dans L’Express du 9 février 2004 : « Quand deux candidats de même qualité sont en concurrence, il faut donner la préférence à celui qui est issu d’un quartier difficile. » Beaucoup de grands patrons se sont ainsi engagés dans la voie de la discrimination positive : Alain Mérieux, Henri Lachmann, PDG de Schneider, Serge Weinberg, président de Pinault-Printemps-Redoute. Les grandes entreprises automobiles ont suivi : le président de Renault Louis Schweitzer est même devenu président de la Haute Autorité de lutte contre la discrimination et pour l’égalité (HALDE). PSA a mis en place depuis 2004 un plan de recrutement d’une centaine d’ingénieurs et de cadres étrangers et d’au moins 45 diplômés issus de « zones urbaines sensibles ». L’accord social conclu en 2004 prévoyant « qu’au-delà des règles légales, PSA entend appliquer et promouvoir les meilleures pratiques et lutter contre toutes les formes de racisme, de xénophobie et d’homophobie. » 

         Ces choix peuvent paraître économiquement douteux, mais ils sont médiatiquement judicieux et calculés. Les grandes entreprises sont exposées à des critiques sur leur comportement sociétal : elles délocalisent souvent, licencient parfois et transforment l’environnement. En prenant spectaculairement partie pour la « diversité », elles souscrivent une police d’assurance sur le médiatiquement correct. 

         Rien là de bien original dans ce comportement calqué sur le big business américain. A ce sujet, Samuel Huntington a pointé le rôle joué par la Fondation Ford dans « le soutien de la discrimination positive et les mesures du même type visant à accorder une préférence aux minorités raciales par rapport aux Blancs ». Huntington poursuit ainsi son propos : « Le monde des affaires poussé par des impératifs commerciaux, désireux d’éviter d’éventuels procès et la mauvaise publicité due aux boycotts organisés par les Noirs et d’autres minorités, a joué un rôle très important dans l’établissement des mesures de préférence raciale. Le secret inavouable de la discrimination positive, notait Richard Kahlenberg en 1996, est qu’elle est soutenue par l’Amérique des entreprises. » 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/2014/09/le-culte-de-la-diversite.html

  • LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !

    Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

    Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.

    Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.

    Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

    Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

    Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.

    L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.

    Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.

    « Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »

    A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/le-socialisme-cest-partout-et-toujours-un-niveau-de-vie-plus-bas_116141.html#more-116141

  • Famille : le gouvernement lorgne du côté des allocations

    L’Etat cherche de l’argent. Toujours plus d’argent pour combler l’abysse sans fond de la dette française. Et pour le prochain coup de rabot, il semblerait que le gouvernement ait bien envie de se pencher sur la branche famille de la Sécurité sociale. Cette partie qui accorde des primes lorsque survient la naissance d’enfants et qui permet également aux mères de prendre un congé parental lorsqu’elles le souhaitent. Entre autre. Apparemment tout cela  coûte trop cher puisque des économies sont envisagées dans ce secteur.Objectif : 800 millions d’économie. Ce qui n’est pas une plume…

    Marisol Touraine, ministre des Affaires Sociales, a beau dire que rien n’est encore acté, les familles ont de quoi s’inquiéter. En effet, l’une des principales solutions envisagée pour réduire les dépenses serait la réduction de la prime de naissance ou encore la diminution de la durée du congé parental. Alors qu’il est, jusqu’à aujourd’hui, possible de prendre un congé maternité de trois ans à partir du deuxième enfant, celui-ci se retrouverait réduit à un an maximum. C’est en tout cas ce que révélait le journal Les Echos, le 8 septembre dernier. En prenant de telles mesures, l’Etat espère faire une économie allant de 300 à 400 millions d’euros. Il voudrait obliger les femmes à travailler et les empêcher de s’occuper de leurs enfants qu’il ne s’y prendrait pas autrement !

    De telles mesures contribueraient encore davantage à étouffer les familles déjà lourdement sollicitées par l’Etat. Il est à craindre également, que la natalité française n’en souffre. Et par ce biais tout notre pays, car quand la base souffre, on ne peut s’étonner que le reste de la société s’en ressente.

    Roxane Dulac

    http://medias-presse.info/famille-le-gouvernement-lorgne-du-cote-des-allocations/15032

  • Le père Guy Gilbert bénit les "sans-dents"... sans son dentier

    Lu ici :

    "C'est une tradition au Cap d'Agde : le père Guy Gilbert, le curé des loubards, bénit chaque année la foule des Brescoudos et de leurs motos. Connu pour son franc parler, il s'en ait pris à l'ex-couple présidentiel dans un discours plutôt "mordant".

    "Merci pour ce moment", a-t-il débuté. "Si vous divorcez ou vous vous séparez de votre mec, ne faites pas un roman de cela !" Avant de conclure : "Moi, je suis un sans-dents, la preuve, regardez !" Et il a enlevé son dentier.

    Il a ensuite recommandé  : "Pensez d'abord à votre famille, n'abandonnez pas vos enfants, occupez-vous d'eux  et surtout pensez que le temps perdu ne se rattrape jamais".  Le père Guy Gilbert a ajouté " Je suis un sans-dents mais je ne suis pas vieux : le 12 septembre, je fêterai mes 79 ans."


    CAP d'AGDE - PRECHE GUY GILBERT AGDE MERCI POUR... parHerault-Tribune

    Michel Janva

  • Étienne Chouard – Frédéric Bosqué : « Éco-villages avec revenu de base »

    Rencontre entre Étienne Chouard et Frédéric Bosqué à l’Université du Revenu de Base.

  • Mistral : un excellent papier de Dominique Merchet

    Mistral : une sanction contre la France, pas contre la Russie Qui, de la Russie ou de la France, paiera le prix le plus élevé à la suite de la décision de François Hollande de suspendre jusqu’à nouvel ordre la livraison du BPC Vladivostok à Moscou ? Il n’est pas sûr que ce soit la Russie et, si la vente était annulée - ce qui, à ce stade, n’est pas certain - le sanctionneur pourrait, au final, s’averé être le sanctionné... Pour une raison simple : la Russie est moins attachée qu’on le croit ici à cette livraison, qui a été très contestée au sein de l’appareil militaro-industriel du pays. Le contrat avait été conclu par l’équipe précédente, celle de Medvedev et du ministre de la défense Serdioukov, très critiqué en interne pour ce choix d’ouverture vers l’Occident qui marquait une rupture radicale avec la tradition soviétique. Les "conservateurs" russes tiennent aujourd’hui leur revanche sur le thème : on ne peut jamais faire confiance à l’Occident et mieux vaut produire nos matériels chez nous.

    Si l’on veut que des sanctions soient efficaces, il faut qu’elles soient douloureuses pour la personne visée. Se casser le poignet en donnant une claque n’est en général pas très malin. Deux choses feraient vraiment mal aux Russes : la fermeture de l’accès aux places financières et un embargo sur les technologies de pointe permettant l’exploitation des hydrocarbures. Ils seraient réellement frappés aux portefeuille. En revanche, les priver de deux porte-hélicoptères va sans doute les gêner, mais pas plus que cela. [...]

    La suite sur Secret Défense

    Et ce, alors que, selon l’Otan, il manque plus de deux milliards au budget français de la Défense... et que Pour les industriels français de l’armement, la crédibilité de la signature de l’Etat est engagée. Un défaut aurait des conséquences sur d’autres contrats...

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Mistral-un-excellent-papier-de