Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 493

  • 540 CRS pour... 80 manifestants

    Le régime est aux abois. La signature, hier, du pacte d’avenir breton par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault s’est effectuée sous très haute surveillance. Dès 14 h, le quartier de l’école des hautes études en santé publique était complètement bouclé par un impressionnant dispositif policier. Pas moins de 500 CRS ont interdit tout déplacement autour de l’établissement dans lequel était attendu, à 16 h 30, le Premier ministre accompagné de 4 autres ministres.

    Pourquoi un tel déploiement de force : officiellement pour faire face aux éventuelles manifestations de protestation dont les Bonnets rouges. Ils étaient présents mais étaient à peine une quinzaine. Avec les autres organisations, le nombre des manifestants se chiffrait à moins de 100. Et parmi ces manifestants une trentaine de la Manif pour tous.

    Il faut continuer à les harceler.

    Michel Janva

  • De La Manif pour Tous au Jour de Colère du 26 janvier 2014

    Le Salon Beige a interrogé François Billot de Lochner à propos des manifestations qui vont se succéder, de dimanche prochain, au mois de janvier prochain.

    Vous êtes président de liberté politique et de France Audace, serez-vous à la manifestation LMPT dimanche 15 décembre à Versailles (14H30 - Place d'Armes, près du Château) ?

    FBien sûr, je serai présent à La Manif Pour Tous ce dimanche à Versailles, comme j’étais présent à toutes les autres. Nous avions prévenu que nous ne lâcherions rien, et nous tenons parole. Nous ne sommes pas dupes de ce gouvernement, qui de toute évidence, veut détruire la cellule familiale. Le mariage homosexuel est une première étape, la partie immergée de l’iceberg. Va s’ensuivre logiquement l’ouverture de la PMA pour les femmes et la GPA, c'est-à-dire les mères porteuses, pour les hommes. Tout ceci sur fond idéologique qui nie la nature humaine. L’idéologie du genre est une aberration. Nous refusons qu’elle soit enseignée à nos enfants. Et nous refusons bien évidemment les mesures fiscales pénalisant gravement nos familles.

    Vous appelez donc vos membres à y participer?

    Nos membres sont naturellement incités à participer à chaque événement organisé par La Manif Pour Tous. L’appel au rassemblement à Versailles ne fera pas exception à la règle. Le gouvernement table sur un essoufflement de la mobilisation. Mais quand on décide de s’attaquer délibérément aux fondements de la société, il est normal et sain qu’elle se défende. Nous appellerons à descendre dans la rue autant de fois que nécessaire.

    Quelle forme, selon vous, doit prendre La Manif Pour Tous ? Doit-elle continuer sur cette ligne ?

    La Manif Pour Tous doit continuer sur cette ligne. Elle est multiforme et doit le rester. Les actions dans les rues (manifestations, rassemblements) alliées à une réflexion de fond (université d’été, grenelle de la famille) sont un bon équilibre. Le dialogue avec sa base militante doit se maintenir, comme elle l’avait fait en septembre, par son sondage auquel avait répondu plus de 40 000 personnes. Et j’invite les responsables du collectif à écouter ses militants qui sont très déterminés à ne rien lâcher, et qui ont passé un stade dans le mécontentement. Je pense qu’ils sont véritablement excédés par les politiques en cours, qu’ils en ont assez d’être méprisés par une élite déconnectée des réalités. Les bannières « familles en colère » sont un bon indicateur de l’évolution de la contestation.

    D'autres manifestations vont avoir lieu dans les prochains mois, nous entendons de plus en plus parler du 26 janvier qui sera Jour de Colère. Qu'en pensez-vous?

    JIl est évident que la segmentation des contestations fait le jeu du gouvernement. La coagulation doit se faire. Ce n’est que tous ensemble que nous réussirons à faire plier nos dirigeants qui maintiennent leur cap suicidaire coûte que coûte. J’ai lu avec intérêt le manifeste du Jour de Colère. Cette initiative citoyenne et non partisane est intéressante et mérite qu’on la soutienne. Chaque mouvement de contestation doit s’entendre avec les autres pour un grand rassemblement unitaire.

    Vous appelez donc à rejoindre les différents mouvements qui se mettent en place ?

    La pression ne doit jamais relâcher. L’heure est trop grave, les enjeux trop importants. Chaque mouvement qui se lève et lutte contre la destruction systématique des valeurs de notre pays mérite d’être suivi. Mais je pense, au risque de me répéter, que tous ces mouvements ont intérêt à s’entendre et à s’unifier sur la base de leurs points communs, qui sont nombreux, afin de peser encore plus dans le rapport de force que le gouvernement a décidé d’instaurer.

    La LMPT n'a pas annoncé participer à JDC. Pensez-vous qu'elle aurait intérêt à le faire ?

    2Je n’imagine pas une seconde La Manif Pour Tous ne pas appeler à manifester le 26 janvier. À ma connaissance, la Manif Pour Tous ne revendique pas le monopole de la contestation. Nombreux sont les mouvements qui la soutiennent. Il est donc normal qu’elle soutienne en retour les initiatives qui sont complémentaires avec son message et ses revendications. Les militants défilant derrière la bannière « Famille en colère » ont toute leur place au Jour de Colère. Et je pense qu’ils se retrouvent dans les autres points du manifeste, notamment le matraquage fiscal, pour ne citer que lui.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Bonnets Rouges préparent des Etats généraux

    Les Bonnets rouges préparent des "États généraux de Bretagne" qu'ils souhaitent tenir en février à partir des cahiers de doléances envoyés par leurs comités locaux. Une trentaine de comités locaux se sont montés. 

    Michel Janva

  • Les bonnets en France, les fourches en Italie !

    La Fourche en Italie fait des ravages. Pas l’outil agricole mais le symbole matérialisant aujourd’hui le ras-le-bol des transalpins. Ras-le-bol pour les taxes, le travail précaire et le chômage, et surtout ras-le-bol face aux politiques.

    Un vent de protestation sans précédent bouillonne en continu comme un torrent dans toute l’Italie.

    Interruption du métro dans la capitale, fermeture des magasins dans les centres-villes, occupation des gares et des marchés, regroupements devant les palais institutionnels, opérations escargot aux frontières, marches contre les centres des impôts. Vagues après vagues, depuis dimanche dernier, le peuple déferle. Les manifestations contre « la caste politique » se multiplient dans la péninsule. Un mouvement spontané et anarchique échappant à toute logique baptisé les Forconi (« ceux qui brandissent des fourches », en italien) se propage dans toutes les villes de la péninsule. Lors des rassemblements, un cri unanime traduit l’exaspération des manifestants.

    Un cri qui chaque fois qu’un député apparaît aussi bien à Turin qu’à Milan, à Gênes où à Rome devant le Parlement, se répercute en écho : « Dégage, pourri ! »

    Lire la suite....

  • Une société qui empêche les femmes de s'occuper de leurs enfants est-elle démocratique ?

    Jean-Frédéric Poisson, Président du PCD et député des Yvelines, s’indigne de la volonté du ministre des Droits des femmes Najat Vallaud Belkacem de réviser « l'un des fondements de la fiscalité des ménages: la conjugalisation de l'impôt ».

    "Nous y voilà ! Le gouvernement a trouvé une nouvelle manière d’augmenter les impôts et de détruire la famille : ne plus accorder aucun avantage aux couples mariés, taxer au maximum chaque membre du couple, et empêcher les femmes qui le désirent de se consacrer à l’éducation de leurs enfants.

    Redresser la situation économique de notre pays, ce gouvernement en est incapable : en revanche, trouver de nouvelles manières de ruiner le pouvoir d’achat des ménages, s’introduire dans la vie de famille et dans les choix de vie des couples, il sait faire !

    A t’il oublié l'article no 8 de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH), qui proclame le droit de toute personne au respect “de sa vie privée et familiale”, et qui stipule que “nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires” sauf si si celles-ci sont “nécessaires, dans une société démocratique” ? Une société démocratique qui impose aux femmes qui veulent prendre du temps pour leurs enfants d’aller travailler est–elle encore une société démocratique ?

    J’appelle le gouvernement à faire preuve de plus de considération pour le travail des femmes qui choisissent de s’occuper à plein temps de leurs enfants. Je tiens également à lui rappeler que la société profite grandement de ce temps consacré à l’éducation des enfants, qui favorise la solidité de la famille, la stabilité sociale mais aussi la baisse de la délinquance, de la désespérance des jeunes et de l’échec scolaire.”

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Remise à plat fiscale : un miroir aux alouettes de plus.

    par Jean-Marc Ferrand

    Dans la longue cohorte des polémiques déclenchées par les actions, intentions ou omissions de l’actuel gouvernement de la France s’est invité un nouveau débat : la réforme de deux impôts fondamentaux, la Contribution sociale généralisée (CSG) et l’impôt sur le revenu (IR).

    La manière dont le sujet a été lancé est un débat à elle seule : Jean-Marc Ayrault a annoncé la réforme à venir dans une entrevue au quotidien Les Echos (peu connu pour être l’organe de liaison de la gauche prolétarienne), et sans en avoir préalablement informé le titulaire de Bercy, Pierre Moscovici, quelque peu concerné par ce projet. Un court-circuitage en règle que n’aurait pas renié Nicolas Sarkozy, orfèvre en la matière. Certes, la fusion de la CSG et de l’IR faisait partie des soixante engagements de campagne de « Moi, président… », mais il est difficile de ne pas voir dans ce coup d’éclat (réussi) une tentative désespérée, voire pathétique, de reprise en main des affaires de l’Etat par un premier ministre singulièrement démonétisé, entraîné dans la débâcle opinionesque de son président, qui a lui définitivement endossé le costume d’un président de conseil général entré par erreur à l’Elysée et n’en trouvant pas la sortie. Spangh’Ayrault joue son va-tout sur cette réforme : un cafouillage de plus le mettrait personnellement dans une situation difficilement tenable aux yeux du public et de son propre camp. L’avenir nous dira si le Nantais s’est révélé fin stratège ou tête brûlée.

    Le fond du dossier, quant à lui, ne manque pas d’intérêt. La CSG et l’IR sont en effet deux impôts que tout oppose : le premier, qui rapportera cette année 90 milliards d’euros, est prélevé à la source, l’année de la perception des revenus, universel et à taux unique quel que soit le revenu du contribuant (tout comme la TVA, soit dit en passant). Le second, qui rapportera quant à lui 70 milliards d’euros, fait l’objet d’un paiement différé d’un an, n’est payé que par un Français sur deux, est progressif, et est pollué par une multitude d’exemptions (« niches »), certaines justifiées (politique familiale), d’autres plus ou moins fantaisistes (investissements dans les DOM-TOM, dans le cinéma…). Le projet du premier ministre comporte deux volets principaux : la fusion de ces deux impôts, d’une part, et la progressivité de la CSG d’autre part, de manière à ce que « les ménages les plus aisés » paient un taux supérieur. Ce second point est une ritournelle bien connue, et nous sommes d’accord sur le principe. Mais, pour le gouvernement socialiste, à partir de quel revenu devient-on un « ménage aisé » ? Toute la question est là. Les réformes précédentes ont montré que ce seuil ne correspondait pas vraiment au train de vie de Mme Bettencourt. Il est à craindre (loin de nous tout procès d’intention) que les classes dites moyennes seront une fois de plus lourdement mises à contribution, et ce d’autant plus qu’elles n’ont jusqu’à présent guère manifesté leur mécontentement, sans doute faute de prise de conscience.

    La fusion de ces deux impôts posera quant à elle une foultitude de problèmes dont on doute que l’équipe actuelle (au vu de ses performances) soit en mesure de les résoudre. Le nouvel impôt sera-t-il prélevé cette année ou l’année prochaine ? Le quotient familial, non pris en compte dans le calcul de la CSG, comme des impôts locaux, sera-t-il maintenu ? Par ailleurs, l’impôt étant collecté par l’employeur, celui-ci peut-il espérer bénéficier d’une ristourne au regard du gain de productivité généré au sein de l’administration fiscale ? Est-il normal qu’un employeur ait accès à la déclaration de revenu d’un de ses salariés (voire de sa parentèle) ? Enfin, la CSG étant à l’origine destinée au financement des dépenses sociales (santé, vieillesse, famille…), est-il opportun de la mêler à l’IR, qui est normalement destiné au budget gouvernemental, et à son premier poste, le service de la dette ? Le conseil constitutionnel serait avisé de se prononcer sur ce qui nous apparaît comme un détournement de fond. Faute de réponse concrète et précise à ces questions, nous sommes contraints de manifester notre scepticisme envers ces projets de réforme. Depuis quelques semaines se font connaître dans le pays diverses contestations anti-fiscalistes : agriculteurs d’Ile de France, Bonnets rouges, chauffeurs routiers… Il n’est pas dans notre ligne d’appuyer telle ou telle revendication régionaliste ou professionnelle. Toutefois, notre gouvernement (qu’on n’ose plus appeler « pouvoir ») a si bien montré son incapacité à entendre la voix de la foule qu’il nous semble qu’une leçon supplémentaire lui serait bénéfique. Un peu de charité que diable ! Nous invitons tous nos lecteurs, sympathisants, amis plus ou moins lointains à prendre part aux initiatives d’opposition à la politique hollandienne. La cravate de travers, le pays à l’envers, ça suffit !

    Qu’on se le dise.

    L’AF 2875

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Remise-a-plat-fiscale-un-miroir

  • Logement social : une politique sans moyens au détriment des communes

     

    Site de Marion Marechal Le Pen deputee FN du VaucluseQuestions écrites au gouvernement par Marion Maréchal – Le Pen députée Front National du Vaucluse, au sujet de la loi SRU

    Question n° 50-00196  du 11/12/2013

    Mme Marion Maréchal-Le Pen attire l’attention de Mme la ministre de l’Égalité des territoires et du Logement sur les conséquences de la loi N° 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains.

    En application de cette loi, la commune de Pernes-les-Fontaines (84) a vendu, courant 2009, une parcelle à un bailleur social, Vaucluse Logement, afin d’y faire construire des logements sociaux.

    Aujourd’hui, le bailleur social rétorque à la commune qu’il ne peut avancer dans les travaux faute de soutien financier de l’État. La commune continue, quant à elle, de payer la pénalité relative à ces logements manquants. Il lui est demandé quelles dispositions législatives elle envisage de mettre en œuvre pour mettre un terme à cette situation qui obère lourdement les finances publiques des nombreuses communes concernées.

    Découvrir le site de Marion Maréchal – Le Pen

    Source  http://www.nationspresse.info/social/logement/logement-social-une-politique-sans-moyens-au-detriment-des-communes

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Éboueurs de Marseille (envahie par les rats) : 15 heures payées 35, qui dit mieux ?

    « Sur Causeur, Jean-Paul Brighelli se plaint de la prolifération des rats à Marseille. Fort bien, mais allons jusqu’au bout.

    S’il y a des rats, si nos rues sont si sales, c’est parce que les ordures jonchent les trottoirs et si les ordures prolifèrent, c’est parce que les camions-bennes qui sont supposés les ramasser ne le font pas. C’est le fameux fini-parti, maintes fois dénoncé, notamment par la Cour des Comptes, qui permet à nos sympathiques « agents de surface » de rentrer chez eux quand ils estiment avoir accompli leur tâche. En pratique, cela signifie qu’ils ne ramassent qu’une poubelle sur deux – quand ils ne sont pas en grève, bien sûr – et bouclent leurs tournées en 3h30 au lieu des 7h00 sur la base desquelles ils sont payés (chiffre de la Chambre régionale des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur pour 2007).

    Saviez-vous que la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) dont s’acquittent les Marseillais est la plus élevée de France ? En 2011, à Lyon, s’était 70 euros la tonne par habitant tandis qu’à Marseille c’était 149 euros ; 5 euros de plus qu’à Paris ; plus du triple de ce que payaient les Brestois.

     

    L’origine de cette peste, c’est le système Defferre. Né en 1953 lorsque « Gastounet », qui n’aimait pas les communistes de la CGT, a donné les clés de la ville à la toute nouvelle CGT-FO, Force Ouvrière, le syndicat majoritaire qui fait la pluie et le beau temps à Marseille.

    Ce ne sont pas les rongeurs qui coulent la ville ; c’est une toute autre espèce de nuisibles qui a pris le pouvoir à tel point que Gaudin, comme Vigouroux avant lui, n’imaginent même pas les défier et que les frères Guérini en ont fait les chevilles ouvrières de leurs petits systèmes. Voilà les véritables rats ! Ils se cachent encore moins que les rongeurs ; ils défilent même régulièrement au grand jour en chantant l’hymne de la justice sociale et de l’intérêt général.

    Lire la suite

    Via Thomas Joly

  • Salaires : 500.000 smicards de plus en un an

    3,1 millions de salariés, soit 13% des salariés, étaient rémunérés au Smic au 1er janvier 2013, soit un demi-million de plus qu'un an plus tôt.

    Selon cette estimation publiée mercredi par le ministère du Travail, ils étaient au 1er janvier 2013 environ 1,9 million dans les entreprises privées, 540.000 dans l'administration, 340.000 dans les associations ou encore 100.000 dans l'intérim. Depuis le début de l'année, le Smic horaire s'élève à 9,43 euros, soit 1 430,22 euros bruts mensuels (autour de 1 100 euros nets) pour les salariés aux 35 heures.

    La Dares, chargée des statistiques du ministère, précise que cette estimation du nombre des salariés rémunérés au Smic est à prendre "avec prudence", compte tenu notamment de la "fragilité de la méthode d'estimation".

    Ouest-France