Gideon Rachman, chroniqueur au Financial Times, affirme ce qui est évident : «L’Ukraine et ses bailleurs de fonds ont besoin d’un chemin crédible vers la victoire» (archivé) – Financial Times
«L’Ukraine est à court de munitions, d’argent et de soutien diplomatique. Une autre lacune importante sous-tend ces pénuries critiques. Le pays et ses partisans occidentaux n’ont plus de théorie convaincante de la victoire. À moins d’en trouver une, le soutien occidental à l’Ukraine continuera de vaciller. (…)
La crainte doit maintenant être que si 2023 était l’année de la contre-offensive ukrainienne, 2024 sera l’année où la Russie reprendra l’attaque. Les pires scénarios sont que, si l’aide occidentale est coupée, l’Ukraine pourrait être en grave difficulté d’ici l’été. (…)