Cet accord « commercial » sent très mauvais sur le plan militaire. Il est incompatible avec la neutralité de l’Ukraine et sa démilitarisation.
Rappelons ce qui s’est dit le 28 avril :
« La Russie pose ses conditions pour ouvrir des négociations. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a formulé, ce lundi 28 avril, plusieurs demandes préalables à l’ouverture de discussions pour la paix en Ukraine, notamment la reddition de l’Ukraine, sa démilitarisation, sa renonciation à rejoindre l’Otan et aussi l’assurance de garder la péninsule de Crimée, annexée en 2014, et les quatre régions ukrainiennes que Moscou a annexées en septembre 2022. »