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Un pays à couteaux tirés. Selon un classement établi par l’Indice mondial de la paix pour 2025, la situation sécuritaire de la France se dégrade dangereusement. Notre pays pointe à la 74e place, soit le troisième « niveau de paix » le plus bas d’Europe, devant la Biélorussie et l’Ukraine. En 2010, ce même think tank attribuait à la France la 36e place mondiale.
Plus les sanctions sont sévères, plus fort est le "recul", comme un fusil, selon le Kremlin Commentant d'éventuelles nouvelles sanctions de l’UE contre la Russie, Dmitri Peskov a rappelé que ces mesures ne pousseraient pas Moscou à négocier sur l'Ukraine.
La plaignante était âgée de 16 ans au moment des faits, durant l’été 2022. Élevée au Congo, orpheline de père, cette jeune fille était venue seule en France, sous le statut de mineure non accompagnée (MNA). Elle avait alors été hébergée chez son grand-oncle, qui vit dans l’ouest de l’Ille-et-Vilaine avec sa compagne et ses trois enfants.
Message pour les Français inquiets : un peuple qui ne veut pas disparaître ne peut continuer à somnoler. Israël donne l’exemple en s’attaquant, depuis vendredi, au régime apocalyptique des mollahs iraniens et à ses sites nucléaires. Certes, la menace existentielle qui pèse sur l’Etat hébreu est physiquement plus grave que celle qui rode sur la France ouverte et oublieuse d’elle-même. Cependant, la sous-évaluation des vulnérabilités nationales est la même.
La presse découvre l’existence de Nicolas, ce contribuable surtaxé par l’Etat de l’assistance, qui “provoque la déperdition des forces humaines, l’hypertrophie des appareils publics, animés par une logique bureaucratique plus que par la préoccupation d’être au service des usagers, avec une croissance énorme des dépenses” (encyclique CA n°48).
Depuis son adoption, l’euro est présenté comme un symbole d’unité et de prospérité européenne. Pourtant, la monnaie unique ne profite pas à tous les États membres. Privés de souveraineté monétaire, certains pays sont enfermés dans une économie rigide, avec une croissance faible et un chômage élevé. Cet article analyse les enjeux démocratiques et économiques liés à la zone euro, remet en question le dogme «TINA» (There Is No Alternative), et explore les opportunités offertes par les monnaies numériques nationales et les initiatives monétaires innovantes.
Ambre et Clémence avaient 33 et 34 ans. Elles étaient infirmières dans le même hôpital privé, situé dans le département des Alpes-Maritimes, et habitaient toutes les deux dans le Var. Elles étaient toutes les deux mères de famille. L’une d’elles venait de reprendre le travail : elle revenait de congé maternité. Amies proches, tellement habituées à travailler ensemble que leurs collègues les surnommaient « Tic et Tac », elles allaient au travail en covoiturage, ce jeudi 26 juin.
Après des condamnations pour sept cambriolages, un délinquant est reparti en prison pour quatre nouveaux faits
C’est un as du cambriolage que les policiers de Bordeaux ont pu arrêter. Ils ont remonté sa piste grâce à l’ADN qu’il a laissé sur les lieux de ses délits.
De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que ça ne peut plus durer. Ca parle beaucoup, de Macron dont plus personne ne veut, de Von-der-Leyen, dont plus personne ne veut non plus, mais ça agit peu. En France, ça dépose des motions de censure, mais ça ne les vote pas. Le RN attend l’automne, paraît-il, à moins que ce ne soit le dégel, ou les calendes grecques, toujours est-il que contre l’avis de plus de 60 % de ses électeurs, les députés de ce parti servent de béquille à Bayrou, de manière inexplicable. Ainsi Bayrou, sans majorité à l’assemblée, avec des sondages de popularité calamiteux, arrive à faire ce qu’il veut. Si on veut la fin du macronisme, c’est pourtant assez simple. Soit on entame une procédure de destitution du président, les motifs ne manquent pas, soit on fait tomber les premiers ministres qu’il nomme, les uns derrière les autres, jusqu’à ce qu’il n’ait plus personne à nommer, jusqu’à ce que l’impasse soit totale pour lui et qu’il jette l’éponge. Mais non, ça pérore, ça critique, ça fait des envolées lyriques, mais ça ne fait rien, pire, ça ne dépose des motions de censure uniquement quand c’est sûr que ça ne passera pas.
Ah ! Ces grands soirs de la démocratie subventionnée où vingt associations, selon ceux qui savent compter sur leurs doigts, vingt-deux selon les manifestants, réussissent l’exploit de rassembler tout juste cinquante personnes sur une place du Pas-de-Calais pour protester contre Caroline Parmentier ! Un exploit d’autant plus remarquable que chacune de ces officines bénéficie d’un soutien étatique, régional, municipal ou bruxellois. Il y avait là le nec plus ultra du monde associatif sous perfusion, flanqué de drapeaux inclusifs, de slogans millésimés 1985 et de pancartes « IVG = liberté », bien évidemment brandies par les derniers survivants du mitterrandisme associatif. Un bel alignement de planètes pour un flop d’anthologie.