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l'information nationaliste - Page 1410

  • Aix-en-Provence (13) : hébergée dans un logement social, l’école illicite dispensait à des enfants de 5 à 14 ans des cours de langue arabe et de Coran

    Les services de l’État ont été alertés en juin de cours de langue arabe et de Coran dispensés à quelques jeunes enfants le dimanche.

    […]

    C’est semble-t-il à partir du signalement du voisinage que les autorités ont été alertées. De cet appartement de la résidence Saint-Eutrope, faisant partie du parc social d’Erilia, on ne voyait pas grand-chose du balcon puisque des planches faisaient office de paravent afin de cacher les activités se déroulant à l’intérieur. En l’occurrence, des cours de langue et de religion en arabe, qui étaient dispensés le dimanche matin par des habitants du quartier – selon de premiers éléments de l’enquête, des mamans de la résidence faisaient office d’enseignantes, moyennant, a priori, quelque menue monnaie. On ne sait combien d’enfants y assistaient – entre dix et quinze, guère plus, estime une source, ciblant l’étroitesse de l’appartement. Leur âge ? Entre 5 et 14 ans.

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (4)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)
    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

    *

    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    L’alliance occidentale avec le néonazisme

    Il est donc clair que l’alliance scellée entre les Occidentaux et les néonazis ukrainiens va bien très au-delà de ce qu’on appelle généralement une «alliance objective», à savoir la situation où se trouvent  parfois deux forces politiques ou étatiques qui, à un moment donné, peuvent avoir le même but sans pour autant s’être concertées ou officiellement alliées. Avec le néonazisme ukrainien, le camp occidental a été bien plus loin que ce type d’alliance : il a fait de Svoboda un partenaire fréquentable. Et, ce qui n’est guère moins déshonorant, il a menti sur sa nature pour rendre présentable auprès de l’opinion ce rapprochement avec un parti néonazi. Laurent Fabius est à cet égard un cas d’école. Acte un, il a un entretien officiel avec le chef de ce parti, Oleh Tiagnibok, et ses alliés «démocrates ukrainiens» ; acte deux, il prétend que Svoboda n’est pas d’extrême droite alors qu’il s’agit d’un parti néonazi. Politique de dédiabolisation sinon de réhabilitation d’un parti néonazi à laquelle Catherine Ashton, parmi d’autres, a elle-même participé comme nous l’avons vu plus haut. L’Occident a donc très officiellement offert aux forces nazies ukrainiennes cette récompense des plus précieuses en politique : une «respectabilité», autrement dit l’onction que représentent des entrevues officielles avec les grands du monde occidental et une alliance avec des partis que l’Occident présente invariablement comme incarnant les «valeurs européennes». Sans parler des ministères et postes sensibles sur les plans militaire et sécuritaire que le parti néonazi a obtenus une fois la victoire acquise, comme ce sera le cas après le putsch du 20 février. Ajoutons qu’une «respectabilité», ça se traduit tout naturellement par un accroissement du pouvoir politique. Sauf que lorsqu’on offre la première, on est nécessairement complice du deuxième. On nous accordera que lorsqu’un ou plusieurs États font ces faveurs à un mouvement politique, ils vont très au-delà de ce qu’on appelle une «alliance objective». 

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  • [Hommage au général Georgelin] : « Notre-Dame, c’est le cœur de la France »

    Ils vous avaient peut-être échappé. Cet été, nous vous proposons de lire ou relire les meilleurs articles publiés cette année par BV.
    Cet article a été publié le 14/04/2022.

    Nous avons appris, ce samedi matin, la mort du général Jean-Louis Georgelin (chef d'état-major des armées de 2006 à 2010, grand chancelier de la Légion d'honneur de 2010 à 2016), lors d'un séjour en montagne dans l'Ariège. Chargé, par le président de la République, de la reconstruction de Notre-Dame en 2019, il avait répondu en 2022 aux questions de Boulevard Voltaire sur cette mission atypique. Pour lui rendre hommage, la rédaction a décidé de republier cet entretien.

    Trois ans après l'incendie de Notre-Dame de Paris, le général Georgelin fait le point au micro de Boulevard Voltaire sur les travaux de reconstruction de la cathédrale, qu'il dirige. Il évoque le projet, l'avancée, les difficultés mais aussi la grandeur de ce chantier hors normes et la fierté des compagnons qui y travaillent.

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  • Le plus d’Eléments - Émeutes : notre avant-guerre civile (video)

    Le plus d’Eléments - Émeutes : notre avant-guerre civile

    Retrouvez l’équipe du magazine Eléments autour d’Olivier François, avec ses acolytes : François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart. À l’occasion de la sortie du nouveau numéro d’été, la rédaction d’Eléments revient sur les émeutes : cinq jours de chaos et de pillage qui ont laissé la France exsangue – et amnésique. Un mois plus tard, qui s’en souvient ? Qui en parle ?

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  • 14 juillet 1099 : veille de la libération de Jérusalem par les premiers croisés !

    Libération de Jérusalem par les premiers croisés le quatorze juillet mil quatre-vingt dix-neuf
    Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés enlèvent aux musulmans la ville de Jérusalem.

    Les Croisés ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt pour répondre à l’appel du pape Urbain II et reprendre aux Infidèles – les musulmans –  le tombeau du Christ.

    L’armée de Raimon de Saint-Gilles arrive la première sans encombre à Bethléem où elle est accueillie par les chrétiens en liesse. Enfin, le 7 juin 1099, les croisés aperçoivent les dômes de la Ville sainte.

    Il faut se préparer à un siège difficile dans la chaleur de l’été. Heureusement, une escadre génoise amène à Jaffa du matériel de siège et du ravitaillement.

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  • Belgique : appel au calme suite à des agressions et humiliations filmées en Flandre, le phénomène s’intensifie sur les réseaux sociaux ; RTBF évoque la récupération politique par l’extrême droite flamande (Màj)

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    19/08/2023

    En Flandre, la police appelle au calme suite à la diffusion de vidéos de violences sur les réseaux sociaux. On y voit des jeunes qui sont frappés et humiliés. Ce genre de vidéos se multiplient, y compris de ce côté-ci de la frontière linguistique.

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  • Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (3)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (2)

    Qui a mis fin à la souveraineté de l’Ukraine ? (1)

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    par Fabrice Garniron

    Retour sur un mythe médiatique

    Un ballet à Maïdan

    Mais revenons aux évènements tels qu’ils se déroulent à Kiev entre la fin novembre 2013 et le putsch du 20 février 2014. A Maïdan, les manifestations redoublent en effet après le refus du président Ianoukovitch, de signer le plan de l’UE. Si ces manifestations ont un caractère massif incontestable, elles ne signifient pas pour autant que la majorité des Ukrainiens les soutiennent, même si les médias occidentaux cherchent à en donner l’illusion. En fait, seuls 35% désapprouvent la décision de Ianoukovitch de refuser le plan de l’UE. La forte mobilisation est en fait celle d’une partie de l’Ukraine, celle de l’Ouest, qui veut l’emporter contre l’autre, celle de l’Est. Quant à la décision de V. Ianoukovitch de ne pas signer ce plan, contrairement aux dires médiatiques, elle n’était pas définitive. Il s’agissait pour lui de prendre le temps d’étudier un accord complexe pour cerner les risques économiques du plan de l’UE pour l’Ukraine et évaluer les compensations européennes nécessaires pour le démantèlement des industries que le plan de l’UE aurait inévitablement provoqué. Comme l’écrit justement Jean Géronimo dans L’Humanité du 7 février 2014: «Contrairement à la rumeur médiatique, il ne s’agit pas d’un rejet de l’Europe mais d’une demande de reformulation de cet accord (qui est) politiquement non neutre et économiquement suicidaire pour l’Ukraine»1.   

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  • Les lacs du Connemara contre Boum-boum, baby : le choc des Titans

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    Pierre-Emile Blairon

    Une jeune et, peut-être, talentueuse chanteuse a récemment défrayé la chronique, comme on dit conventionnellement, en s’attaquant à une chanson du répertoire du chanteur Michel Sardou.

    « Interrogée sur la chanson qui pourrait lui faire quitter une soirée, Juliette Armanet n’a pas mis longtemps à répondre. "Trois fois Les Lacs du Connemara, je pense". Avant de développer son avis sur ce célèbre titre intergénérationnel : "C’est vraiment une chanson qui me dégoûte profondément. Le côté scout, sectaire, la musique est immonde… C’est de droite, rien ne va", a étrillé l’interprète de "L’Amour en solitaire[1]".

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  • "Je suis une chrétienne russe, et je suis blanche. Je suis le peuple russe" !

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    A la mémoire de Darya Douguina

    Par Werner Olles

    Il y a exactement un an, le 20 août 2022, les services secrets ukrainiens ont perpétré une attaque terroriste meurtrière contre Darya Douguina, la fille du célèbre philosophe russe Alexandr Douguine. Des explosifs ont été placés sous dans sa voiture, la machine infernale s'est déclenchée à distance et a déchiqueté la jeune femme. Darya n'avait que 29 ans, elle était philosophe, journaliste et militante héroïque, et sa mort en a fait une martyre pour la vérité éternelle de la tradition, orthodoxe et métapolitique, qu'incarnent l'esprit et l'âme russes. Formée par la lecture de Platon, elle représentait, comme son père, une pensée multipolaire et une révolution qui s'exprime par le rejet radical par la Russie de "l'Occident collectif", une rupture totale avec l'impérialisme mondialiste, son marécage subversif, sa bassesse d'esprit et la haine satanique des boueux occidentalo-mondialistes pour la Russie orthodoxe. Dans toute sa personne, cette jeune femme incarnait la supériorité de la vérité, du bien et de l'esprit sur le matérialisme sans âme et sans Dieu. Sa voie était celle de la lutte métapolitique, qui est cependant toujours une véritable guerre à la vie et à la mort. Ce n'est pas sans raison que la devise de son canal Telegram était "La vie est une guerre sur terre !", et ce n'est pas sans raison que la devise de sa vie était : "Je suis une chrétienne russe, et je suis blanche. Je suis le peuple russe" !

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