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Aujourd’hui âgé de 41 ans, Smaïne Marzouk est père de deux enfants, selon nos confrères de France 3 Régions. Il est marié à sa cousine, qui vit au Maroc. Il aurait déjà été condamné à 21 reprises pour des délits divers et assez graves : vols avec violence, refus d’obtempérer, conduite sans permis, violences sur personne dépositaire de l’autorité, menace avec arme, menaces de mort et dégradations. (…)
Pour comprendre la guerre russo-américaine par Ukraine interposée, il faut en connaître les antécédents et les enjeux. La guerre en Ukraine ne commence pas en février 2022, mais en octobre 1853 avec la Guerre de Crimée quand une coalition dirigée par la Grande-Bretagne s’oppose à l’expansionnisme russe. Cette rivalité entre un empire maritime et un empire continental s’exacerbe lorsque le géographique britannique, Halford Mackinder, postule en 1904 que le chemin fer renforce la puissance russe au détriment de l’empire britannique. Les Etats-Unis qui supplantent l’empire britannique en 1945, reprennent à leur compte la vision britannique. Elle implique de facto l’asservissement de l’Union soviétique. Cette rivalité n’a pas lieu d’être. Ce chemin de fer qui inquiétait tant Halford Mackinder, peut être un lien entre Etats-Unis et Russie, comme l’explique William Gilpin dans son livre publié en 1890 : « The cosmopolitan Railway ».[1] Un tel chemin de fer serait profitable aux deux nations. Il ne fut pas écouté. Henry Wallace, vice-président des Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, adhérait à cette vision à laquelle Franklin Roosevelt n’était pas insensible. Le sort voulu que Roosevelt mourut trop tôt et que la convention démocrate préféra Harry Truman à Henry Wallace.
Ce 14 janvier 2025, le Premier ministre s'est livré à un exercice rhétorique dont il disait en privé : « Tout ça est dans ma tête depuis 2007 ». C'est dire d'emblée le décalage entre l'urgence des questions concrètes à résoudre et l'intemporalité des principes généraux énoncés devant l'Assemblée nationale. Ceux qui attendaient de lui un programme d'inaction n'ont pas été déçus. Tout au long des 90 minutes de lecture d'un texte de 49 pages, on pouvait comprendre l'état de faiblesse dans lequel nous a plongé depuis 7 ans la Macronie finissante.
Les États-Unis et leurs mandataires de l’OTAN sont en train de perdre sur les champs de bataille d’Ukraine. L’administration Biden, qui tente de «prévenir Trump», c’est-à-dire de prolonger le conflit, essaie donc (encore) de vaincre la Russie en s’attaquant à ses moyens économiques.
Il s’agit principalement de réduire les ventes de ressources russes. Le fait que des tiers, les acheteurs qui ont besoin de ces produits, soient également touchés par ces mesures n’est pas préoccupant, mais peut être considéré comme un élément supplémentaire.
« Un migrant a affirmé qu’il ne savait pas que violer une femme endormie était mal. » Outre-Manche, l’affaire fait grand bruit. Mi-janvier, un homme d’origine jamaïcaine, débarqué en 2001 au Royaume-Uni, comparaissait devant les juges pour contester son expulsion. Au terme de la procédure, les magistrats ont finalement décidé d’annuler son renvoi en Jamaïque. En cause, son orientation sexuelle. L’individu assure, en effet, être bisexuel, ce qui l’empêcherait donc de retourner en toute sécurité dans son pays d’origine. Or, ce ressortissant jamaïcain, qui avait été qualifié de « dangereux pour la communauté » par les autorités, avait été condamné en 2018 à sept ans de réclusion pour le viol d’une femme. À l’époque, il plaidait l’ignorance : aux juges qui l’interrogeaient, il assurait ne pas savoir qu’avoir une relation sexuelle avec une femme endormie - donc présumée non consentante - relevait du viol. Une argumentation, révélée ces derniers jours par la presse, qui ne manque pas d’indigner de nombreux Britanniques. Les tribunaux français font, eux aussi, face à cet argument d’écart culturel…
Google a déclaré à l’UE qu’il n’ajouterait pas de vérifications de faits aux résultats de recherche et aux vidéos YouTube, ni ne les utiliserait pour classer ou supprimer du contenu, malgré les exigences d’une nouvelle loi européenne, selon une copie d’une lettre obtenue par Axios.
LA PHRASE DU JOUR : « On se moque de la femme arnaquée de 800.000 € par un faux Brad Pitt. Nous, on s’est faits arnaquer de 3300 milliards par un faux Mozart ».
La paix en Ukraine semble se profiler et les entreprises européennes envisagent déjà de pouvoir récupérer leurs billes en Russie. Il faut bien se le dire, la Russie de Poutine n’est pas celle de Brejnev, fermée aux échanges commerciaux internationaux. Ce commerce était florissant, notamment pour les entreprises allemandes, mais également françaises, dans une moindre mesure, mais tout de même. Chimie, acier, automobile, aviation, produits agricoles… sont les principaux créneaux industriels des échanges avec la Russie, en contrepartie d’une énergie russe, assez bon marché, mais dont la source a été coupée par décision idéologique, que nous avions combattue au RPF, en expliquant dès le départ qu’il fallait continuer commercialement, privilégier la voie diplomatique, retirer les bases américaines d’Ukraine et respecter les accords de Minsk. Mais à l’évidence, des intérêts supra-européens étaient à l’oeuvre et l’un des objectifs de la guerre en Ukraine était d’affaiblir l’industrie européenne et de ce point de vue, c’est assez réussi.