
Il y a quelque chose de touchant dans la manière dont la Chine s’obstine à s’adresser à la bande de criminels tarés qui nous gouverne et qui ne cesse de s’auto-féliciter devant sa capacité à détruire, diviser, rendre impossible toute coopération. Sans doute au-delà de ces salauds néo-colonialistes, tortionnaires impénitents les Chinois espèrent convaincre les populations. Y a-t-il quelque chose à attendre du nombrilisme étroit des peuples occidentaux et de leur incapacité à autre chose qu’à la division et à la xénophobie ou à l’ignorance, l’acceptation de la censure ? Il faut être comme les communistes russes ou chinois bien persuadés de l’antifascisme des «peuples frères» pour avoir encore quelque espérance. Le véritable auditoire est le reste du monde qui paye toujours la facture (comme les travailleurs, retraités, jeunes des pays européens mais qui en réclament toujours plus pourvu que l’ennemi désigné, l’immigré, le Chinois, le Russe en bave).