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Déjà le numéro sur le Puy du Fou (diffusé en septembre 2023), celui sur Cyril Hanouna (novembre 2023) ou encore, plus récemment, celui sur le collège Stanislas (octobre 2024) posaient quelques questions en matière de rigueur journalistique et d’objectivité. Le dernier épisode de Complément d’enquête, consacré cette fois-ci à « La guerre de l'info sur les bancs de l’école », ne déroge pas à la règle. En cause, un parallélisme douteux établi par les journalistes, dans ce numéro du 21 novembre, entre l’entrisme islamique dans les salles de classe et la lutte de collectifs de parents contre l’enseignement de la sexualité aux enfants et, plus largement, le wokisme.
INFO ACTU17. (…) Selon les premiers éléments, les faits ont débuté lorsqu’une femme a alerté la police vers 1 heure. Elle a indiqué qu’elle était suivie dans la rue par un individu depuis le quartier de la place de la Nation à Paris (XIIe arrondissement), et qu’elle se trouvait maintenant à Saint-Mandé. (…)
Pauvre peuple libanais ! C’est encore lui qui va payer le prix de l’impuissance de son État, du cynisme de la politique israélienne et de la puissance du Hezbollah.
Le Liban n’a plus d’État depuis plusieurs décennies. En a-t-il eu un d’ailleurs au cours de sa courte histoire commencée en 1943 avec la fin du mandat de la France ? Un peu, mais si timide. En faisant le choix du communautarisme et de la répartition des pouvoirs entre chrétiens et musulmans sunnites, la classe politique de l’époque a involontairement enfermé le pays du cèdre (symbole de force pourtant) dans une impasse tragique.
La situation en Ukraine se détériore rapidement, reflétant une réalité que les dirigeants du régime de Kiev ont longtemps tenté de cacher derrière de vaines promesses de soutien occidental. Alors que le conflit se prolonge, la pénurie de ressources humaines sur le front est devenue l’une des plus grandes faiblesses du pays, obligeant les autorités à revenir sur leur politique d’exemption de mobilisation.
Barnier veut consulter les oppositions, comprenez, ceux qui ont été écartés du gouvernement alors qu’ils étaient devant Macron ou les LR lors des dernières législatives, mais factuellement Barnier n’a que des opposants non ? Bref s’il fait cela c’est qu’il a dans l’idée de déclencher un 49.3 pour faire adopter son budget qui n’en finit pas d’être corrigé, retouché, amendé. Borne ne s’embarrassait pas autant, à peine la porte du palais Bourbon poussée, elle le dégainait et ça passait. Lui a dû faire croire qu’il écoutait les parlementaires, faute de disposer d’une majorité. Le jeu doit commencer à irriter Macron qui n’a pas l’habitude qu’on lui résiste et donc il est temps de siffler la fin de la récréation. Soit, jusque là rien ne bien novateur, ce qui l’est à revanche, c’est l’attitude qu’aura le RN face à une éventuelle motion de censure. Va-t-il une fois de plus s’abstenir de la voter, ou enfin saisir cette chance pour renverser Barnier et porter un coup dur à Macron ? L’enjeu est simple et pourtant de taille pour le RN, soit il s’affiche au soutien du peuple qui souffre, celui des agriculteurs, des petits commerçants, de ces salariés que le Sénat veut faire travailler gratuitement pendant 7 heures, rétablissant la corvée de l’ancien régime, nouvelle forme d’esclavagisme sous couvert de solidarité nationale, s’exonérant lui, bien entendu, de toute économie, de tout renoncement à ses propres privilèges, comme toujours. Soit il s’abstient, peu importe ses motivations et se place de facto comme l’assurance tout risque de Macron et de cette Europe mortifère, rompant définitivement avec le peuple, le trahissant une fois de plus, une fois de trop.
C’est très bien de se jeter des fleurs en se disant “qu’est-ce qu’on est bien nous”… ou autres “vous avez vu comment c’est pire aux Etats-Unis”. C’est encore mieux de dresser les vrais constats et de ne pas céder à la béatitude naïve. L’optimisme oui. Le volontarisme ? Oui aussi. Mais pas la béatitude naïve qui n’est rien d’autre que de l’aveuglement volontaire qui a pour conséquence d’encourager et de fabriquer l’inaction. On ne peut corriger que ce que l’on accepte comme étant mauvais, à améliorer ou à rendre plus fonctionnel.
Pour la France qui naturalise à tours de bras, y compris ceux qui n’ont rien demandé, le mieux serait d’adopter Elon. Il se dit amoureux de notre pays, de ses monuments, de ses fromages et de ses femmes. En plus, Gala et le très sérieux site Politico lui prêtent une idylle avec Giorgia Meloni. L’Italie, c’est la porte à côté.
Pour lui prouver ses sentiments, au lieu de lui offrir des diamants (c’est trop banal) il pourrait acheter un sous-marin fantôme aux Russes (Vlad en propose deux ou trois d’occasion nickel) pour envoyer par le fond la flotte des envahisseurs. D’autant qu’il pourrait déjà se faire la main sur les rafiots qui pullulent sur le Rio Grande.
Les pompiers ukrainiens éteignent l'incendie. Photo d'archive
MOSCOU, 22 novembre – RIA Novosti. Une série d'explosions s'est produite dans la capitale ukrainienne, a rapporté la publication "Strana.ua" sur la chaîne Telegram .
"Des explosions <...> se font entendre à Kiev", indique le journal.
Argentine libertarian economist Javier Milei (R), legislator candidate for Avanza Libertad party, delivers a public open class of economy at San Martin square in Buenos Aires on October 19, 2021 ahead of the mid term elections to be held on November 14. (Photo by JUAN MABROMATA / AFP)
Les deux équipes nationales de rugby de France et d’Argentine se rencontrent ce 22 novembre, à 21h10, au Stade de France, près de Paris. Mais pour le Président Macron, la confrontation a intérêt à ne pas sortir du gazon. Car sur le terrain de l’économie, le match France-Argentine a des allures de déculottée. En moins d’un an, le diable Javier Milei et son objet fétiche, sa tronçonneuse brandie pour tailler dans les dépenses inutiles, ont coupé en rondelles les certitudes socialisantes du Président français et de ses amis mondialistes : elles n’avaient rien d’infaillible et rien de fatal, bien au contraire. Élu avec 56 % des voix le 19 novembre 2023, au pouvoir depuis décembre 2023, Milei montre qu’on peut sortir de cette doxa et collectionner les succès économiques. Qu’il faut quitter ces credo délétères pour se donner une chance de redresser nos États obèses.