
Vendredi soir 25 avril, l’agglomération grenobloise a été le théâtre de deux fusillades survenues concomitamment sans qu’aucun lien ne soit établi entre ces deux événements.
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Vendredi soir 25 avril, l’agglomération grenobloise a été le théâtre de deux fusillades survenues concomitamment sans qu’aucun lien ne soit établi entre ces deux événements.
Quand le président Poutine a déclaré qu’il n’avait rien contre des discussions directes avec l’Ukraine, les interprétations sont allées bon train. Mais aussitôt il a été précisé que cette discussion exigeait le respect de conditions diplomatiques qui étaient celles qui avaient été systématiquement violées et qui donc avaient provoqué «l’opération spéciale». Il fallait se faire une raison, cela exigerait beaucoup de temps et de changement d’attitude y compris des «Européens». Donc cela signifiait aussi que la Russie appréciait le fait que les États-Unis renonçaient à être belligérants.
Pendant que les très vaccinés journalistes français regardent ailleurs, des gens travaillent dans le réel et ont réalisé une étude très fouillée, intitulée : « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 avec couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé, laquelle vient d’être publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine. Mais ce n’est pas la première et de loin, puisque de nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès post-pandémie ont été écrits, non pas par des complotistes, mais par des gens de terrain confrontés à une nouvelle mortalité inattendue. Ces chercheurs, généralement indépendants ont attiré l’attention sur les biais des calculs servis pendant la pandémie et dénonçant la mortalité due au seul Covid. Il ont donc comparé les mortalités des périodes, afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde pendant les périodes pré-vaccinale, pandémique et post-vaccinale.
A la une de cette édition, des signaux de paix se multiplient du côté de la guerre en Ukraine et les négociations russo-américaines semblent progresser.
Quand on écoute le patron de Dassault et que l’on veut bien lire entre les lignes, cette histoire d’avion de combat européen le SCAF, c’est d’abord un immense transfert de compétences de la France vers le reste des Etats européens à commencer par l’Allemagne.
Macron fait diversion avec l’imaginaire menace russe, mais cache la sinistre réalité de la menace intérieure, bien réelle et autrement plus tragique.
Dans l’immédiat, chaque soir, une famille française apprend que son enfant ne rentrera pas à la maison. On compte 45 000 attaques au couteau annuelles.
Derrière le vernis technocratique des « bonnes intentions européennes » se cache souvent une réalité bien plus brutale pour les ménages, les artisans, les entreprises et les États. Harmonisation ? Progrès environnemental ? Compétitivité ? L’arsenal législatif bruxellois, en particulier depuis l’adoption du Pacte vert pour l’Europe, s’est mué en une machine normative déconnectée des réalités économiques, sociales et culturelles du continent. Voici un état des lieux de la bureaucratisation rampante que subissent les Européens au nom de l’écologie et de la régulation.
L’Autriche souhaite suspendre le regroupement familial, c’est une première dans l’Union européenne. Afin de permettre au gouvernement de mettre en œuvre cette mesure, la loi sur l’asile doit être modifiée le 25 avril 2025 au Parlement. Selon plusieurs spécialistes, elle serait contraire au droit européen et elle laisse les réfugiés dans un état d’angoisse et d’incertitude.
Pour nos « élites » et nos médias, c’est un fait entendu : la Russie menace désormais l’Europe. Est-ce une réalité, un fantasme, ou encore une stratégie visant à promouvoir un projet fédéraliste européen bien mal portant et largement rejeté jusque-là par les populations du vieux continent ? Gilles Carasso, ancien directeur des Instituts français de Pologne et de Géorgie, nous plonge dans les arcanes psycho-politiques de cette nouvelle « menace russe » agitée frénétiquement pas la quasi-intégralité de l’échiquier politique.
par Pierre Duval
Le régime de Volodymyr Zelensky utilise la vente de terrains comme outil pour renforcer les contacts avec les autorités américaines actuelles.
L’Ukraine «un phare pour le reste du monde de la puissance du capitalisme». Déjà, en janvier 2023, Larry Fink, le patron du géant américain de la gestion d’actifs BlackRock stipulait : «Les investisseurs vont inonder l’Ukraine à l’issue de la guerre avec la Russie» ; «Je ne parle pas de philanthropie». Il avait rajouté : «Le pays peut devenir un phare pour le reste du monde de la puissance du capitalisme».