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Évoquée depuis un peu plus d’un an, l’installation d’une croix sur un terrain privé au village de Larcenac à Saint-Vincent, a eu lieu en ce jeudi de l’Ascension. La cérémonie s’est déroulée en fin d’après-midi sur un terrain privé en bordure d’un chemin, à 300 mètres en contrebas du GR 765, le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
L’un des mystères autour de la fin de partie en Ukraine est que le président Donald Trump n’ait pas publié, le 20 janvier, un décret retirant tout soutien à l’Ukraine. Cela aurait été le moyen le plus simple de mettre fin à la guerre.
On se demande si le président va revenir en France. Incapable de régler l’ensemble des problèmes du pays dans lequel il a été élu, le voilà qui distille des leçons de politique internationale entre deux descentes d’avions rocambolesques et propose à Nethanyahu de régler les problèmes israéliens. Macron explique, docte, qu’il faut une solution à deux états, une fois que les otages auront été rendus, quand même et qu’il faudra que le nouvel état reconnaisse Israël, il rêve tout haut. Et il ajoute que sa solution est la « seule » solution. Comme toujours. On a l’exemple en France, l’État gaspille à tour de bras, mais prélever de nouveaux impôts est la « seule » solution. Pendant le Covid, la vaccination était aussi la « seule » solution, nous avons été le pays le plus contaminé au monde. Au début de la guerre en Ukraine, battre la Russie était la « seule » solution, on sait ce qu’il en advient.
À Budapest, le cœur battant de la résistance conservatrice s’est de nouveau fait entendre. Alors que les élites mondialisées poursuivent leur entreprise de déconstruction des nations, la « CPACHungary2025 » – l’édition hongroise de la grande conférence mondiale des conservateurs – s’impose comme rendez-vous incontournable pour tous ceux qui refusent l’effacement des peuples, des cultures et des souverainetés.
À la une de cette édition, le nouveau cycle de discussions entre Kiev et Moscou en Turquie. Une rencontre diplomatique qui semble, une fois encore, vouée à l’échec.
Comment l’Europe, aveuglée, sacre-t-elle un pantin devenu tyran, niant la vérité et semant la ruine de l’Ukraine ? Cet article, né du rêve perdu de 1989, dénonce un narratif occidental arrogant, effaçant les voix russophones. Citoyenne européenne indignée, je pleure notre complicité dans une honte que l’histoire lucide jugera.
« Je ne puis taire ce que je vois, ni trahir ce que je sais. » (Sophocle)
Pour avoir déplu à un adolescent afghan de son quartier à Châteauroux, Matisse a été poignardé à mort le 27 avril 2024. La cour de Châteauroux a rendu son jugement ce 28 mai 2025: Rahim (*) est condamné à huit ans de prison. « Cette décision est une gifle mise à la famille de Matisse », réagit auprès de BV Matthieu Valet, eurodéputé RN et ancien syndicaliste policier.
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Alexandre Volfovitch, a confirmé le 29 mai que le missile balistique de portée intermédiaire Oreshnik serait déployé en Biélorussie voisine avant fin 2025. S’exprimant en marge d’un sommet international sur la sécurité, il a déclaré : «D’ici la fin de l’année, je pense que la décision concernant le déploiement d’Oreshnik, convenue par nos chefs d’État, deviendra réalité».
Ce mercredi 28 mai, en pleine journée, un groupe d’une dizaine de jeunes a provoqué une scène de pagaille au magasin Haribo situé 26 rue de la République, dans le 2e arrondissement de Lyon.
Alors que François Bayrou prévoir une nouvelle augmentation d’impôts, Christophe Machard, chef d’entreprise, propose quelques pistes d’économie dans Les 4 Vérités :
La France croule sous une dette publique de 114 % du PIB (2025) et un déficit de 6,2 % (170 milliards d’euros en 2024), avec des charges d’intérêt écrasantes de 65 milliards d’euros par an. La réponse du gouvernement à cette situation est d’augmenter encore et encore les prélèvements, au risque de créer une véritable crise. Pourtant, des économies substantielles sont possibles, tout en stimulant la croissance par une fiscalité allégée. Voici un plan en six points qui permettrait d’économiser 70 à 90 milliards d’euros par an sans compromettre le bien-être des citoyens ni la dynamique économique.