
D’Antoine de Lacoste pour la Revue d’Histoire européenne
Une fois de plus, les médias dominants occidentaux ont pris leurs rêves pour des réalités. C’était sûr : Javier Milei devait perdre les élections législatives après deux ans de présidence. Les sondages allaient dans ce sens, de récentes élections locales s’étaient mal passées et les Argentins ne supportaient plus les remèdes de cheval imposés à marche forcée par le tonitruant président.







