Le billet de Patrick Parment
C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.
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Le billet de Patrick Parment
C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.
Terje Tvedt, professeur, historien et écrivain, connu pour son analyse critique de la politique d’aide et du rôle des ONG humanitaires dans les structures de pouvoir internationales, a été interrogé dans Conflits suite attaques de l’administration Trump contre USAID. Il déclare notamment :
« Honte à ce ramassis de conneries », dénonce l’association des victimes du bal de Crépol ce mercredi 19 mars, jour de sortie du livre-enquête Une nuit en France, anatomie du fait divers qui a déchiré le pays.
par Yoann
Alors que des vidéos montrant des civils ukrainiens enrôlés de force par l’armée circulent sur les réseaux sociaux, David van Hemelryck, présent en Ukraine ces dernières années, livre un témoignage poignant. Connu en France pour être le pilote de la banderole #Destitution, il décrit une réalité glaçante : des hommes sont arrachés à leur quotidien pour être envoyés au front.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je ne suis pas un petit lapin de six semaines. Je connais la dureté des relations internationales. Bien évidemment qu’il faut être fort.
Bien évidemment qu’il faut avoir quelques armements pour assurer sa sécurité et sa… souveraineté !
Ce n’est pas à moi qu’il faut venir dire cela. Cela fait des années que j’écris sur les abandons et les renoncements si coupables de ceux qui nous dirigent et vendent nos intérêts, nos souverainetés au monde entier.
Cette France pitoyable qui ne veut pas d’une « épreuve de force » avec l’Algérie et qui fait semblant de croire qu’on peut discuter avec ce pays radical, qui hait la France jusque dans son hymne national… Discuter avec l’Algérie, c’est baisser éternellement sa culotte, ce dont la France est coutumière avec ce pays qui ne nous est d’aucune utilité, diplomatiquement et économiquement. Ainsi, nous ne réclamons pas les ardoises dues en matière de frais de santé, nous continuons à payer des retraites à des gens morts depuis longtemps, nous versons des aides au développement à un pays qui non seulement ne se développe pas mais véhicule des valeurs totalement opposées à celles de l’Occident. La réalité est que Paris a peur des réactions des gens de la diaspora algérienne en France, des émeutes… et Paris croit quoi, qu’en baissant éternellement sa culotte, il s’assurera de la paix et de l’amour avec une partie non négligeable de ces gens biberonnés à la haine de la France ? L’épreuve de force, il la faudra, tôt ou tard. A s’y prendre comme cela, Macron, toujours lui, dont le soutien à l’islam, y compris radical, est ouvertement affiché, fait penser à cette puissante maxime de Churchill : nous choisissons le déshonneur pour ne pas avoir la guerre et nous aurons les deux. Nous avions listé, au RPF, une série de mesures à prendre contre ce pays avec lequel, quelles que soient les concessions faites, nous n’aurons jamais la paix : les voici : L’Algérie et sa guerre contre la France – Rassemblement du Peuple Français
Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :
Le service public de l’électricité a été pendant des décennies une force de notre pays, nous assurant l’accès à une énergie abondante et bon marché, aussi qu’une vraie indépendance nationale. Las, tout le bloc central, du PS et des Verts à LR, ont accepté de saboter cet actif majeur en créant un pseudo marché, qui n’est que la constitution de rentes juteuses, comme le montrent les comptes d’EDF…
Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.