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l'information nationaliste - Page 649

  • La Bombe «européenne»

    par Marc Labelle

    Depuis que la bombe atomique ou nucléaire est détenue par des puissances de camps opposés (1949), elle possède le statut exclusif de dissuasion, car son utilisation impliquerait la destruction mutuelle assurée. En principe, cette dissuasion vise à sanctuariser le territoire national.

    Or, le président français Emmanuel Macron a récemment énoncé que la dissuasion nucléaire de la France s’étendait à l’Europe. Au surplus, l’Ukraine, un pays néonazi et mafieux qui n’est pas membre de l’Union européenne ni de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord fait néanmoins partie de la conception macronienne de l’Europe.

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XV – 3) – La Pologne trahie

    Partie I

    Partie II

    Quels sont les problèmes qui ont occupé les dirigeants et les diplomates des grandes puissances du monde au printemps et à l’été 1939?

    • La tâche première d’Hitler était de neutraliser la menace de l’entrée en guerre de l’Union Soviétique. Espérant que l’Angleterre et la France trahissent une fois de plus leur allié – la Pologne, le Führer a voulu éliminer la menace polonaise sans risquer un affrontement avec les Russes. Par la suite, il lui serait possible de reprendre un siège à la table des négociations avec les Britanniques, mais il serait alors en mesure d’insister pour être traité sur un pied d’égalité.
    • La tâche principale de Staline était exactement la même – neutraliser le danger d’une attaque allemande contre l’Union Soviétique. Staline pourrait bien sûr tenter de conclure un traité d’alliance avec la France, la Pologne et l’Angleterre. Mais nous savons que les dirigeants des démocraties occidentales n’auraient jamais signé un tel traité. Et c’est exactement ce qui s’est passé. Même lorsque l’inévitable attaque allemande ne pouvait plus être ignorée, la Pologne suivit docilement les conseils de Londres et refusa de signer un traité d’alliance avec l’Union Soviétique. En conséquence, Staline n’avait d’autre choix que de conclure un accord avec Hitler.

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  • Gabriel Attal sera le seul à répondre à l’Assemblée Nationale. Exit les ministres !

    C’est un changement incroyable.

    Lors des traditionnelles questions au gouvernement, une nouvelle formule a été inaugurée.

    Désormais, il n’y a que le premier ministre qui répondra aux députés.

    D’ailleurs les ministres peuvent ne plus venir… pas la peine de les voir défendre leurs dossiers devant les représentants du peuple.

    Les Français connaissaient les questions au gouvernement (QAG). Ils vont découvrir ce que l’on pourrait appeler les QAGA, pour « questions à Gabriel Attal ». Les députés s’apprêtent à inaugurer, ce mercredi 3 avril, une toute nouvelle formule de ce fameux rendez-vous politique, qui leur permet d’interpeller directement le gouvernement sur n’importe quel sujet.

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  • RAPPEL : dimanche 7 avril, à Combourg (35), Roland Hélie invité du Parti de la France

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    Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, et Pierre-Nicolas Nups, membre de la direction du PdF.

  • Comment l’argent public, via des dizaines d’institutions publiques culturelles, des établissements scolaires, la Villa Médicis, les hôpitaux de Marseille, finance-t-il le nouveau bateau de SOS Méditerranée à 27 millions d’euros ?

    Face à la crise migratoire, les réponses proposées viennent souvent des Gouvernements et des ONG. Mais connaissez-vous le Navire Avenir ? Ce projet citoyen veut créer un bateau humanitaire via les chemins inattendus de l’art et de la culture. Pour le construire, le collectif Navire Avenir tente de réunir 27 millions d’euros, pour une mise à flots espérée en 2025.

    institutions et organismes co-financeurs de la réalisation du navire

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  • Intermittents du spectacle : profiteurs ou boucs-émissaires ?

    Festival d'Avignon
     

    Il y a deux choses que la droite libérale déteste tout particulièrement : la dépense publique et les « parasites » qui vivent de celle-ci, les « parasites » étant des individus qui gagnent très peu mais déjà beaucoup trop, selon elle, comparativement au travail qu’ils fournissent. Car la droite, on le sait, c’est l’amour du « secteur privé », gage de rigueur de gestion et d’efficacité économique. Et peu importe que les règnes de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, les rapines des patrons voyous, les naufrages bancaires et les errements délirants des traders dilapidateurs de milliards démontrent le contraire, seul compte le mythe.

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  • « La grande bascule arrive : ça va chauffer ! » Florian Philippot et Aldo Sterone

  • Le collège musulman Avicenne de Nice dans le collimateur des autorités

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    Michel Festivi 

    Dans ces colonnes j’ai souvent évoqué le combat des autorités administratives et judiciaires contre le lycée musulman Averroès de Lille qui a vu son contrat d’association résilié par le Préfet des Hauts-de-France, et des recours qui s’en sont suivis. Et bien le collège musulman Avicenne, sis à Nice, dans le quartier sensible de l’Arianne, a reçu un arrêté préfectoral de fermeture définitive pour la fin de cette année scolaire. Il s’agirait du seul collège musulman des Alpes-Maritimes.

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  • Une guerre normale

    L’année 2024 fixera l’orientation définitive de cette guerre d’Ukraine, avec les élections américaines. Soit une négociation, ou un prolongement sans limite de la guerre ou encore une tragédie européenne. L’article propose un plan de paix.

    Tout part de Pologne et d’un Polonais. L’invasion de la Pologne, c’est le point de départ de la deuxième guerre mondiale. C’est l’analyse magistrale du Polono-Américain, Zbigniew Brzezinski (Le Grand Échiquier), qui fonde la guerre d’Ukraine : sans l’Ukraine, la Russie n’est qu’une puissance moyenne comme l’ont affirmé Obama et Macron, anticipant une Russie sans Ukraine. Russie = le PIB de l’Italie, autant dire pas grand-chose dans l’ordre des grandes puissances.

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