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Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a assuré ce lundi 22 janvier en conférence de presse qu’il n’est à ce stade “pas prévu d’évacuations par les forces de l’ordre” des agriculteurs manifestant sur l’A64, en l’absence de dégradations de leur part. (…)
Si pour reprendre la vulgate imbécile : Vladimir Poutine a fait élire Donald Trump – pourquoi ne pas désigner le changement climatique ? – on va rendre la politesse, mais avec des preuves.
Les élites anglo-américaines ont fabriqué le nazisme.
Guido Giacomo Preparata, dans son passionnant Conjuring Hitler, explique comment les élites anglo-saxonnes – l’establishment anglo-américain de Carroll Quigley – ont utilisé le nazisme pour détruire la vieille Europe et empêcher l’unification eurasiatique. L’obsession de la diplomatie anglo-américaine est le contrôle de l’île-monde de McKinder ; on manipule l’hostilité germano-russe du Kaiser à Merkel et on maintient sa suprématie. Selon Preparata (merci à Hervé du sakefrancophone.fr) :
« Une analyse détaillée de l’émergence du nazisme pourrait révéler que l’arrivée des nazis au pouvoir n’a jamais été le fruit du hasard. La thèse du livre suggère que pendant quinze ans (1919-1933), les élites anglo-saxonnes ont corrompu la politique allemande avec l’intention de créer un mouvement réactionnaire, qu’ils pourraient ensuite mettre en place comme pion pour leurs intrigues géopolitiques. »
Le patron de Total Energies a lâché une bombe sans s’en rendre compte ou sans faire exprès et personne, ou presque, n’a relevé l’importance de la sortie du président de Total.
Il nous a expliqué que la première échéance compliquée allait être 2030, date à laquelle d’ailleurs, l’Arabie-Saoudite n’aura plus de pétrole à extraire pour alimenter le monde.
Alors que les grands médias bruissaient des manifestations contre la loi Immigration, c’est dans l’indifférence absolue qu’a défilé, dimanche, la Marche pour la vie 2024. Une édition un peu spéciale, puisque cette marche entendait tenir les deux bouts de la corde : avortement et euthanasie. Reconnaissons qu’appeler au « réarmement démographique » tout en constitutionnalisant l’IVG, c’est un peu comme tirer le coup de départ d’une course de marathon, non pas en l’air, mais dans le pied des athlètes. Le nouveau ministre de la Santé, tout de droite qu’il puisse être étiquete, a de quoi les inquiéter puisque, ne sachant plus comment donner des gages de sa bien-pensance, il a déjà fait sa petite génuflexion devant chacune de ces « grandes causes ». « Vautrin, Vautrin, tu nous mets dans le pétrin » était, du reste, un des slogans préférés avec, pêle-mêle, « défenseurs de civilisation », « arrêtez d’emmerder les embryons », « protéger le faible, ça, c’est fort », « IVG, oui, à la prévention, non à la Constitution ».
Les habitants de Rousson, petite commune de 4.000 âmes au nord d’Alès, veulent se faire entendre de la mairie. “Des logements sociaux, d’accord mais adaptés aux infrastructures existantes”, c’est leur souhait face à la construction en cours d’un nouveau quartier et le projet d’un autre à venir sur le hameau de Brissac.
Sur un terrain de la commune de Rousson, au nord-est d’Alès, 30 logements à loyer modéré pourraient bientôt voir le jour.
Pour cette nouvelle matinale de Radio Courtoisie, Corentin Perrigny, associé au rédacteur en chef de la revue Éléments François Bousquet, évoque la haute figure d’Ernst Jünger en compagnie de l’écrivain Claude Bourrinet à l’occasion de la publication de son dernier ouvrage Ernst Jünger : Dans le ventre du Léviathan aux éditions Perspectives Libres. Un livre qui se penche sur les journaux de guerre du plus français des écrivains allemands pour dessiner la personnalité d’un humaniste auscultant le nihilisme moderne pour dénoncer les idéologies mortifères qui l’ont engendré.
« Si l’agriculture allemande s’effondre réellement, il est possible que la nourriture doive être rationnée dans l’UE », titre le quotidien hongrois Magyar Hirlap. Le gouvernement allemand, après la Covid-19, le financement de l’Ukraine dans le conflit contre la Russie, est obligé de réduire les dépenses au risque de voir son économie craquer. Visant les agriculteurs, il cible aussi les moyens de production pour l’alimentation qui permettent de nourrir la population.
Selon le quotidien hongrois, l’actuelle crise qui secoue l’agriculture en Allemagne est due à l’agriculture ukrainienne, via les États-Unis.
Tout est une affaire de mots. Et la gauche, étant fâchée avec la réalité, en particulier celle de l'immigration, n'a de cesse d'établir des listes de gros mots et de suspects qui osent les employer. Il n'empêche : elle a beau criminaliser l'expression, la réalité s'impose, même à elle. Ainsi en est-il du Grand Remplacement : le même démographe Hervé Le Bras le nie dans un livre mais vient de le reconnaître implicitement quand il commente les chiffres de la natalité. Un autre gros mot de l'extrême droite fait en ce moment le bonheur des vigies de gauche : la remigration. Il suscite actuellement la polémique en Allemagne car l'AfD, donnée à 22 % dans les sondages, a participé à une réunion sur le sujet. Ce projet aurait concerné le retour vers leurs pays d'origine de plusieurs dizaines de milliers d'étrangers. Pour L'Humanité, c'est évidemment « effroyable ». En France, en 2022, Zemmour avait proposé de créer un ministère de la Remigration s'il était élu. Cela ne concernait que les délinquants, les déboutés du droit d'asile et les fichés S. En mars 2022, un sondage OpionWay avait tout de même montré que 55 % des Français y étaient favorables.