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  • DU FRONT NATIONAL AU RASSEMBLEMENT NATIONAL

     Un congrès pour définir une stratégie d'investissement de la République.

    Par Yves Morel

    Le Front national a porté incontestablement un espoir patriotique pendant de longues années, en dépit des innombrables difficultés, cassures, revirements qu’il a connus. Mais est-il possible de vouloir s’emparer du « système », tout en prétendant être « anti-système » ? Toute la question est là. Le dernier congrès est le ralliement annoncé des « lepénistes » au système. 

    Le Front national fait peau neuve et devient Rassemblement national. Marine Le Pen a justifié ce changement par la nécessité de faire de sa formation un « parti de gouvernement ». Ainsi, le FN poursuit le lent cheminement qui le mène de l’opposition trublionne et marginale à l’accès aux responsabilités.

    Une progression continue

    Un coup d’œil synoptique sur les grands moments de l’histoire du FN atteste de la cohérence de cette démarche. En octobre 1972, le parti naît, porté sur les fonts baptismaux par les dirigeants d’Ordre Nouveau, désireux d’élargir leur assise en satellisant les survivants du tixiérisme, et les jeunes nationalistes de la FEN, du GUD et autres groupuscules. En 1974, Jean-Marie Le Pen se fait connaître des Français en présentant sa candidature à la présidentielle, même s’il ne glane que 0,74% des suffrages. En 1984, le même JMLP fait un tabac à L’heure de vérité, émission politique de forte audience, et son parti réalise une percée aux européennes. En 1986, grâce à l’instauration éphémère de la proportionnelle, le FN obtient 35 sièges de députés. Deux ans plus tard, JMLP obtient 14% des voix à la présidentielle. Le FN devient incontournable et perturbe la vie politique. Rien ne semble pouvoir arrêter sa progression. La scission mégrétiste de 1998 ne l’entame pas, et JMLP est présent au second tour de la présidentielle de 2002. Sa fille dédiabolise le parti, et figure au second tour de la présidentielle de 2017.

    Des succès certains, mais limités

    Mais cette montée est toute relative : sa représentation parlementaire est insignifiante. On a beaucoup parlé des mairies conquises par le FN, mais elles sont au nombre de 27 sur 36 365, et il en va de même de sa présence dans les conseils départementaux ; seul son nombre de conseillers régionaux a quelque importance numérique (333 sur 1758). D’autre part, la prestation de Marine Le Pen face à Macron a été désastreuse ; et son score de 33,9% des voix (parmi seulement 43% de suffrages exprimés, il convient de le rappeler), s’il constitue un net progrès par rapport à celui de son père en 2002 (17,79%), a fait figure d’échec et de sanction d’incompétence. Le FN reste un parti mésestimé et suspect.

    Des orientations inévitablement fluctuantes

    Et ce ne sont pas ses variations programmatiques qui vont lui donner une crédibilité. Pour mémoire, rappelons que le FN a été successivement poujadiste, néo-libéral, de nouveau poujadiste, dirigiste et protectionniste (en économie), européen, puis anti-européen, atlantiste, puis « gaulliste », puis russophile, pro-israélien, puis pro-arabe (en politique étrangère), partisan de l’abrogation de la loi autorisant l’IVG, puis simplement du non-remboursement de celle-ci par la Sécurité Sociale, et variant sur la question du mariage homosexuel (en matière sociale). Pour nous en tenir à la période la plus récente, il a campé sur une position gaulliste équidistante de la gauche et de la droite, hostile à l’Europe et à l’euro, entée sur la défense du modèle social français, sur le patriotisme économique et le refus du nouvel ordre libéral mondial. La rupture avec Philippot a entraîné l’abandon de cette ligne et l’a fait revenir à une conception plus classiquement conservatrice de l’économie.

    Ces fluctuations étaient inévitables. Elles sont le lot rédhibitoire de tout mouvement politique opposé au système, mais qui tente de s’y intégrer pour l’infléchir, avec l’espoir, à terme, de le dominer.

    Une telle entreprise est une gageure. Le système ne peut engendrer que le fruit de sa chair et de son âme. Et tout essai d’intégration implique obligatoirement la conversion à ses valeurs, ses principes, ses habitudes de penser et de sentir, et ses interdits. Autant dire, pour un parti antisystème, un reniement total.

    Avantages et limites de la stratégie philippotiste

    C’est la voie choisie par Marine Le Pen depuis son accès à la présidence du Front le 16 janvier 2011. La fille du père fondateur a entrepris un aggiornamento, reposant sur le dépassement du clivage droite/gauche et l’abandon de la question identitaire. Ainsi, guidée par Florian Philippot, le FN s’est opposé aux contraintes budgétaires européennes, a réclamé la sortie de la zone euro, a opté en faveur d’un protectionnisme favorable à la défense des entreprises françaises, et a dénoncé le néolibéralisme mondial, fauteur de délocalisations industrielles, de dumping social et de pénétration conquérante des capitaux étrangers dans notre pays. Corollairement, il a préconisé une politique étrangère indépendante à l’égard de l’Europe et des États-Unis.

    Il adoptait donc un programme typiquement jacobin de défense de la nation et du peuple français contre un monde hostile, à l’image de la France révolutionnaire en lutte contre l’Europe des monarchies. Ainsi, il s’inscrivait dans la vieille tradition républicaine et gaulliste, avec un adjuvant de populisme poujadiste. Un tel programme semblait de nature à unir une large base populaire. D’autant plus que Philippot affichait son attachement à certains des fondamentaux de la République (laïcité de l’État, libertés publiques), et éliminait de son discours les faits de société sur lesquels les positions traditionnelles du Front tenaient à distance de lui les électeurs déçus du système, certes, mais imprégnés des valeurs de la gauche : libération des mœurs, mariage homosexuel, avortement, immigration.

    Cette stratégie fut payante. Le Front fit une percée électorale parmi les ouvriers, les travailleurs précaires, les chômeurs, les petits entrepreneurs, commerçants et exploitants. Dans les régions industrielles sinistrées du nord et du nord-est, le ralliement des ouvriers valut au Front de beaux succès électoraux. Et, lors de la présidentielle de 2017, Nicolas Dupont-Aignan, le gaulliste, conclut une alliance avec Marine (avant de revenir en arrière, après la défaite).

    Mais cette stratégie avait aussi ses limites. Elle éloignait du FN sa clientèle habituelle : conservateurs et libéraux de la vieille école, catholiques peu ou prou traditionalistes, militants nationalistes à la fibre identitaire et régionaliste (et non jacobine), tous déconcertés par ce populisme et cet oubli des combats passés de la droite nationale pour la défense de l’identité française. Or, ces catégories étaient le substrat pérenne du Front, et représentaient un nombre d’électeurs supérieur à celui que l’orientation philippotiste permettait de prendre à la gauche. Ce fait a été attesté durant la dernière présidentielle : 20% des électeurs de Fillon se sont reportés sur Marine Le Pen, contre seulement 7% de ceux de Mélenchon. En cherchant à conquérir un électorat de gauche, afin de devenir un parti néo-gaulliste, le FN risquait d’apparaître comme un simple mouvement protestataire de type poujadiste. Et l’échec du mouvement Poujade, à la fin des années 1950, rend l’analogie particulièrement inquiétante. A fortiori quand on considère l’irréalisme du programme de gouvernement du FN proposé par Philippot, en matière économique : abandon de l’euro, protectionnisme, dirigisme colbertiste, maintien de la retraite au terme de 40 annuités, Sécurité Sociale intégrale, maintien du nombre de fonctionnaires. Un irréalisme dont tous les Français, y compris les électeurs lepénistes, sont conscients, et qui interdit au FN d’acquérir la majorité propre à lui permettre l’accès au pouvoir.

    Vers le ralliement à la droite républicaine

    Consciente de ce danger de marginalisation, Marine Le Pen s’est séparée de son trop hardi collaborateur et a opté pour une ligne plus réaliste. Cela implique, fort logiquement, l’abandon de ce que le programme de Philippot comportait de radical, tout en conservant la défense des intérêts nationaux contre les exigences européennes et en ne revenant pas sur les concessions à l’air du temps en matière de mœurs.

    L’évolution à venir est on ne peut plus prévisible. Pour notre part, nous l’avons décrite en un article passé : une évolution à l’italienne, analogue à celle qui, sous la direction de Gianfranco Fini, a abouti à faire du MSI un parti modéré, participant aux gouvernements, dirigé par des caciques régulièrement pourvus en maroquins et autres prébendes, converti au néolibéralisme et au fédéralisme européen, acquis à l’évolution des mœurs. Signe annonciateur de cette transformation : le soutien public apporté par Marine Le Pen au candidat LR à l’occasion de la présente législative partielle à Mayotte. Désormais, la présidente de ce qui est devenu le Rassemblement national ne renvoie plus dos à dos gauche et droite « républicaine », comme les deux faces d’un « système », jugé mortifère pour la nation ; elle marque sa préférence pour la seconde ; il s’agit là de l’amorce d’un rapprochement qui ne cessera de s’approfondir.

    Il n’est cependant pas évident que la route du Rassemblement national vers son intégration à la droite républicaine soit aussi aisée que celle du MSI, tant, en France, les idées et les tabous de la gauche règnent en maîtres absolus sur les esprits, les médias, l’intelligentsia et la classe politique.

    Le système voue la droite nationale à l’échec

    Ce qui est cependant certain, c’est qu’une telle évolution était courue d’avance. Notre système politique interdit tout triomphe de la droite nationale, il faut le comprendre une fois pour toutes. Il fonctionne comme un laminoir sidérurgique : tout ce qui passe par lui en sort à l’état de produit standard. Il était donc parfaitement logique qu’après avoir défendu contre vents et marées (et contre tout le monde) la nation française, sa civilisation, son identité et ses intérêts vitaux, après avoir bravé les tempêtes et l’opprobre publique, essuyé les pires injures, le Front national devint une composante du « système » qu’il dénonçait. Le changement de nom du parti confirme ce que nous avons déjà écrit en une autre occasion : Le Front national, c’est Fini.   

     Yves Morel

    Docteur ès-lettres, écrivain, spécialiste de l'histoire de l'enseignement en France, collaborateur de la Nouvelle Revue universelle 

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    Marion Maréchal-Le Pen au « Conservative Political Action Conference » aux USA, le 22 février 2018. Son nom rassemble toute une droite conservatrice qui cherche une expression politique.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La Russie avertit Macron et les USA : Toute attaque de la Syrie au profit des djihadistes entraînera une « riposte russe »

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    Source Breiz Atao cliquez ici

    Alors qu’une nouvelle opération d’intoxication a été lancée par les USA, la France, la Grande-Bretagne et Israël contre la Syrie pour justifier une intervention au profit des djihadistes contre le gouvernement de Bachar al-Assad, la Russie a annoncé que cela supposera de l’affronter militairement.

    « La Russie répondra si son armée est frappée par des frappes US en Syrie » a indiqué un sénateur russe.

    Comme le rappelle le journaliste Elijah Magnier, qui couvre le conflit depuis le début, toute frappe contre l’armée syrienne reviendra à frapper l’armée russe car cette dernière a des officiers dans toutes les unités du gouvernement syrien.

    Mensonge visant à légitimer une intervention au profit des djihadistes

    Malgré l’utilisation frauduleuse et récurrente de mensonges sur l’utilisation « d’armes de destruction massive » par des pays que les USA, Israël ainsi que leurs vassaux veulent détruire, le même motif est utilisé une nouvelle fois par les médias occidentaux et leurs commanditaires.

    Chacun se souvient de ce prétexte à l’ONU pour la guerre d’Irak en 2003 avec pour conséquence la mort d’un million de personnes et l’émergence de l’Etat Islamique. cliquez ici

    Le même scénario s’est reproduit contre la Libye de Mouammar Kadhafi en 2011, avec les conséquences que l’on sait : l’effondrement de ces états laïcs, la montée en puissance de milices djihadistes armés par les pétromonarchies et les états occidentaux et enfin, le chaos migratoire. cliquez ici

    Malgré cette réalité, la propagande néo-conservatrice, qui domine largement les médias occidentaux et français, ont décidé de recourir à la même excuse pour secourir les djihadistes soutenus par les pétromonarchies et Israël, dans la région de Damas.

    C’est une organisation financée par George Soros (source) et affiliée aux Frères Musulmans, les « Casques Blancs », qui ont une nouvelle fois monté une attaque chimique fictive.

    Sputnik News (source) :

    Comme hier, la frappe de ce lundi 9 survient au surlendemain d’une attaque chimique supposée. Si Washington et Paris ont rapidement démenti être à l’origine de ces frappes — les regards se tournant à l’heure qu’il est vers Tel Aviv —, d’autres points de rapprochement entre ces deux épisodes de crise subsistent.
    Comme en avril 2017, les preuves brandies sont les photos et vidéos d’une «ONG médicale» — à savoir les sulfureux Casques blancs — auxquelles s’ajoutent les accusations des «rebelles» — en l’occurrence de Jaych al-Islam, des extrémistes qui n’hésitent pas à exécuter les civils hostiles à leur mainmise dans la Ghouta orientale.
    Rappelons que les Casques blancs ont été créés en 2013 par un ancien officier britannique reconverti dans le mercenariat, présentés par nos confrères français comme une «ONG» opérant en zone rebelle. Ils sont très officiellement financés et soutenus par l’USAID, l’agence gouvernementale américaine pour le développement et le Foreign Office britannique. Cette vidéo de septembre 2016, où l’on voit Boris Johnson évoquer sa «fierté» de prodiguer 32 millions de livres sterling de soutien aux Casques blancs — soit alors la moitié de l’aide qu’ils recevaient — peut en témoigner.

    Macron décide de mentir sciemment

    Malgré cette réalité, Emmanuel Macron a décidé de mentir sciemment à l’opinion publique pour soutenir le principe d’une guerre d’agression illégale contre le gouvernement syrien qui mène une guerre victorieuse contre le djihadisme.

    S’il n’y a eu à ce stade aucune enquête et qu’aucun élément n’a été présenté à l’opinion publique pour étayer ces accusations, le président français a déjà validé les préparatifs militaires sous les ordres des USA.

    Au demeurant, la « sensibilité » de la présidence française sur les quelques morts alléguées par les djihadistes par un « gazage », la même n’a jamais jugé utile de tenir le même discours à l’Arabie Saoudite, elle-même engagée dans une famine organisée contre la population du Yémen.

    Il faut dire que la France vend d’importantes quantités d’armement à la tyrannie wahhabite saoudienne, de quoi acheter le silence de la très droits-de-l’hommiste présidence française.

    En tout état de cause, la France devra affronter la Russie, puissance nucléaire dont les forces sont déployées partout en Syrie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Notre-Dame-des-Landes : 2 500 gendarmes pour déloger 200 illuminés, par Francis Bergeron

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    Notre-Dame-des-Landes : un si joli nom pour désigner un cloaque boueux encombré de carcasses rouillées et de cabanes de clochards. La ZAD de NDDL : un sigle qui va mieux à la fausse modernité de cette zone de non-droit investie depuis neuf ans par 200 marginaux, curieux mélange de drogués et poivrots, et de dévots du véganisme et de la culture bio. Un endroit que l’on nous présente comme un modèle de contre-société mais qui a tout d’un bidonville infâme.

    Le 17 janvier dernier, Edouard Philippe avait annoncé l’abandon du projet de construction du nouvel aéroport dans cette zone. Il aurait pu, il aurait sans doute dû, dans la foulée, faire évacuer le camp des pouilleux. Il a préféré jouer l’apaisement, la concertation, et garantir une impunité aux « maquisards » (comme se nomment ces pseudo-Résistants).

    Du coup, l’évacuation du camp s’opère au plus mauvais moment, alors que la CGT paralyse la SNCF, que les néostaliniens bloquent les facultés, et que les « islamo-progressistes » marquent des points dans nos banlieues. La « convergence des luttes », pour parler comme un militant NPA, doit englober aussi les « résistants » de NDDL.

    Perfectionner les chausse-trappes

    Le jour, l’heure et la minute du mouvement de reconquête de l’espace public étaient connus de tous les zadistes, qui ont passé la nuit de dimanche à lundi à reconstruire barricades et chicanes et à perfectionner les chausse-trappes. Lorsque les gendarmes ont investi les lieux, ils se sont retrouvés face aux habituels deux cents militants et marginaux, passablement mis en condition par force libations et pétards, rejoints au fil de la journée par quelques dizaines de marginaux armés, de type « black bloc », venus essentiellement pour en découdre.

    Mais la pluie, une pluie froide et continue, a davantage calmé les ardeurs guerrières que la présence massive des forces de l’ordre.

    Autre coup de chance inattendu pour le gouvernement : la grève de la SNCF a empêché le déferlement d’anarchistes venus de Hollande, d’Allemagne ou de plus loin encore, comme cela avait été le cas dans le passé. Les renforts espérés par les zadistes étaient, lundi soir, plutôt maigres. Et la « résistance » de NDDL rappelait davantage la retraite de Russie que le plateau du Vercors.

    Lundi en fin de journée treize squats sur quarante avaient été démantelés, un gendarme avait été blessé, et sept anarchistes mis sous les verrous, pour transport d’armes ou de stupéfiants et pour conduite en état d’ivresse.

    Dans différentes villes, les mouvements anarchistes et néostaliniens ont cherché à mobiliser leurs troupes, avec des heurts et des saccages de boutiques en centre-ville à Rennes, à Nantes, et même à Paris. Mais au total les manifestants étaient assez peu nombreux. Et là aussi, pour l’heure, la grève des trains constitue un obstacle à la « convergence des luttes ».

    Il reste néanmoins une trentaine d’autres squats à détruire. Deux cent cinquante enragés sont toujours là, multipliant les provocations devant les multiples caméras de télévision à l’affût de la bavure ou de violences photogéniques. Madame le préfet des Pays de la Loire, Nicole Klein, fait preuve d’un beau sang-froid, mais plus le démantèlement sera long, plus les zadistes espèrent que leurs appels à la mobilisation seront entendus. C’est leur seul véritable objectif.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Incroyable : les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une islamiste

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    Trouvé sur Le Point : L’information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s’épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu’elles feront l’objet d’une seconde enquête préliminaire…
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  • UNIVERSITÉ DE NANTERRE : COMMENT ON A ÉCHAPPÉ DE PEU À LA TUERIE…

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    Encore plus sauvage que le Vietnam et les soldes du Black Friday réunis, Nanterre 2018 demeurera dans les mémoires des démocrates. Là, en effet, les combats font rage comme jamais depuis ce lundi. Évidemment, l’endroit n’est pas le premier trou perdu venu, puisque c’est de « cette université emblématique de la région parisienne qu’est partie la contestation en Mai 68 », nous rappelle L’Obs, avec cette mâle assurance propre aux correspondants de guerre.

    Tout commence donc à sept heures du matin, quand « une trentaine d’individus pénètrent par effraction dans un bâtiment. » Afin d’y organiser la résistance face à l’arbitraire, il va de soi. Seulement voilà, il y a comme toujours un traître dans la place, un certain Jean-François Balaudé, lequel prétend être le président de l’établissement. Et le représentant de la Cinquième colonne en question d’avouer : « On a demandé l’intervention des CRS, car ce n’étaient pas des étudiants de l’université. »

    Présents sur les lieux, les intrépides reporters de L’Obs expliquent : « Les jeunes se sont retranchés sur un toit. » Tandis que les forces de l’ordre, n’écoutant que leur courage – ou les ordres de leur hiérarchie –, préféraient sagement se replier. Mais c’était pour mieux revenir. En effet, deux cents étudiants qui tenaient une assemblée improvisée, finissent par être délogés par les mêmes CRS. Bilan de cette véritable guérilla urbaine ? Trois blessés légers, dont deux policiers. Sans oublier ces blessures qui, elles, ne cicatrisent jamais, ces traumatismes psychologiques subis par ceux ayant vu la mort les frôler de trop près.

    Ainsi, Jean-François Lé Val, élu du personnel au conseil d’administration, se dit extrêmement « choqué » : « Ça fait trente-huit ans que je suis ici, je n’ai jamais vu les CRS intervenir comme ça. » Plus terrifiant encore, Anne-Frédérique Perol, bibliothécaire, se dit « sidérée ». Mais ce n’est rien, par rapport au calvaire enduré par Zoé Vaillant, professeure de géographie : « Le président de Nanterre commémore Mai 68, mais quand on demande le dialogue, il envoie les CRS ! »

    On remarquera, fait aggravant, que les sections d’assaut de l’ordre noir plus haut évoquées n’ont pas jugé bon de mettre sur place les cellules de soutien psychologique qui auraient permis d’aider les victimes à reconstruire des vies désormais brisées à jamais. Même ce geste humanitaire, l’État policier de Macron et de ses sbires l’a refusé, dévoilant ainsi son véritable visage.

    Tout démocrate digne de ce nom ne peut donc que s’indigner devant les explications du fantoche Balaudé, tentant de justifier cette rafle ayant manqué de se transformer en bain de sang : « J’ai considéré qu’on n’était pas du tout dans le contexte de la mobilisation contre la loi ORE, la plateforme de revendication des jeunes occupant le bâtiment était beaucoup plus large, de style autonome. » Nous y voilà… De « style autonome » ? Comme on évoquait autrefois des « suspects de type méditerranéen »… Pourquoi cette « stigmatisation » ?

    D’ailleurs, le sinistre Balaudé ne trompe personne, n’hésitant pas à signer son crime, lorsqu’il prétend : « Je souhaite repartir en dialogue avec mes personnels et mes étudiants. »

    Plus sérieusement, on lui conseillerait plutôt de repartir en vacances.

    http://www.bvoltaire.fr/universite-de-nanterre-on-a-echappe-de-a-tuerie/

  • Loi immigration: Macron renforce le droit à l’immigration, celle-ci de plus en plus aux mains des mafias

    La loi asile et immigration, loin de restreindre les droits de l’entrisme en France de la part des clandestins, les renforcent. En effet elle élargit le regroupement familial en direction des mineurs, au-delà de leurs parents qui y avaient déjà droit, à leurs frères et sœurs. Même chose pour les filles menacées d’excision qui pourront faire bénéficier leurs parents d’un titre de séjour au nom du droit d’asile, en France, alors que le plus souvent ce sont eux qui décident de l’excision de leur fille!.. Il suffirait de menacer sa fille d’excision pour avoir le droit de s’installer en France!

    Les filières clandestines véhiculent des femmes et des enfants pour les prostituer en Europe

    Les « mineurs isolés » arrivent de plus en plus nombreux depuis les zones musulmanes, d’Afrique surtout, mais aussi d’Asie, de même que les jeunes femmes qui, elles, se retrouvent souvent sur les trottoirs des villes européennes, lesquelles sont prises en main au Nigéria ou ailleurs par des mafias très organisées qui les expédient en Europe pour pouvoir les exploiter, avec leur consentement ou sur tromperie, un peu à la manière dont dans les années 90 les femmes d’Europe de l’Est: Ukrainiennes et Russes, répondant à de fausses promesses d’emploi étaient prises en main, notamment par la mafia albanaise [musulmane] qui était la plus terrible de toutes. L’entrisme des mineurs semble répondre à des aspirations semblables de la part de mafias africaines et européennes complices, et ce ne sont pas les lois qui encouragent l’homosexualité et la dépravation des mœurs en Europe qui risquent de les décourager. La part que les ONG et les gouvernements occidentaux prennent dans ces manœuvres en encourageant l’immigration est d’autant moins rassurante. Car les frontières ouvertes laissent passer, non seulement les terroristes de l’Islam mais également la pègre dans les mains de laquelle de nouveaux esclaves sont précipités, que ce soit dans les fonds marins, sur les trottoirs, dans des caves ou ailleurs.

    Crimes: au-delà des attentats islamiques, la part de la pègre immigrée

    S’il est difficile mais non impossible aux dirigeants européens de dissimuler les attentats islamiques de la part de l’immigration musulmane ancienne ou récente, en revanche c’est silence et bouche cousue en ce qui concerne les crimes occasionnés par la pègre qui rentre toutes portes ouvertes par nos frontières délaissées; rien de plus facile à dissimuler, il suffit de ne pas évoquer le sujet.

    « A Benin City, la capitale nigériane de départ de l’immigration clandestine, on ne prononce jamais le mot « prostitution ». Dans le langage courant, les jeunes filles qui partent vers l’Italie ou la France ne vont pas faire le trottoir. Elles partent « se débrouiller ».  Les vagues de réfugiés qui affluent vers l’Europe comptent de nombreux mineurs. En Italie, comme en France, les lois ont beau imposer leur prise en charge, leur situation demeure précaire. »

    Par exemple, au cours d’une des vingt-deux opérations de sauvetage réalisées les 22 et 23 août au large des côtes italiennes, sur 542 personnes, ils étaient 142 mineurs à descendre du bateau de la marine militaire locale. Pour une écrasante majorité, ils voyagent seuls comme en témoigne à RFI le commandant Antonio Dovizio : « Il y a 130 mineurs non accompagnés, souvent ils entreprennent cette traversée sans leurs parents et c’est une vraie situation d’urgence. » En Italie, selon la loi, le pays doit accueillir tous les mineurs isolés, quelle que soit leur nationalité il est impossible de les expulser. En 2014, pour prendre en charge les 13 000 jeunes concernés, Rome a débloqué 90 millions d’euros. » Source: La Libre Afrique

    « Plus de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois, a affirmé le 31 janvier 2016 l’agence de coordination policière Europol. Elle craint que nombre d’entre eux soient exploités, notamment sexuellement, par le crime organisé. » source: Arte info 

    Pourquoi cette multitude de jeunes mineurs peuvent ainsi partir seuls, sans leurs parents ? Combien d’autres mineurs dits « isolés » sont-il rentrés en France et en Union Européenne ? Difficile de connaître les chiffres. Les photos de l’immigration qui abondaient au début de cette invasion [2014-2015] sont devenues rarissimes. Que font les reporters ? Existe-t-il une loi du silence dans les médias mainstream, ceux qui ont les moyens de payer des reportages ? Ou bien les photographes sont-il soumis à des menaces ? Les lois sur les images, le droit à l’image etc, est-il en cause ? Pour avoir une idée de cette loi du silence, il suffit de savoir que Marine Le Pen doit répondre devant la Justice d’avoir transmis une photo du terrorisme islamique, lequel terrorisme est apparemment couvert par le secret d’ Etat sous prétexte de ne pas diffuser d’image violentes. En réalité c’est la peur que provoqueraient ces réalités qui doit être à tout prix occultée: dormez braves gens, la République s’occupe de vous!

    Marine Le Pen a été mise en examen pour « diffusion d’images violentes », a annoncé le parquet de Nanterre ce jeudi. Ce délit est passible de 3 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende. La présidente du Front national avait diffusé des images d’exactions de Daech sur son compte Twitter en décembre 2015. Source: Le Parisien

    On a compris: désormais les islamistes pourront égorger ou torturer, plus aucune image ne paraîtra sauf à ce que les informateurs en répondent devant les tribunaux. Le cas de Marine Le Pen restera emblématique du muselage de l’information en France en ce début de XXIème siècle. Et M. Macron nous promet que cela n’est qu’un début. Bref, l’immigration clandestine islamique, conséquence du terrorisme islamique, est recouverte d’un voile pudique.

    Appel d’air à l’immigration

    Le silence de plomb qui recouvre ces questions n’empêche personne de se les poser: que deviennent les mineurs isolés… même lorsqu’ils ne sont plus mineurs ? combien coûtent-ils à la collectivité ? Ce renforcement du regroupement familial étranger autour des mineurs devrait être un nouvel appel d’air à l’immigration, en toute légalité cette fois-ci. La clandestinité, loin  d’être réprimée, sera ainsi encore un peu plus récompensée et encouragée. Car les mineurs, comme les femmes, qu’ils soient pris en main par l’aide sociale ou par la pègre, ou bien qu’ils constituent eux-mêmes la pègre, pèsent lourdement sur la France.

    Les clandestins de Briançon, trop nombreux, occupent la gare SNCF

    On entend souvent évoquer la frontière italienne méditerranéenne, comme source de passage des clandestins en France. Mais ceux-ci rentrent aussi en abondance par les Alpes.

    « Il n’y a plus de places libres au Refuge solidaire de Briançon. Il n’y a plus de places non plus dans le squat « Chez Marcel ». Alors les associations ont décidé d’occuper le hall de la gare SNCF pour mettre à l’abri une centaine d’exilés, le temps d’une nuit. Le temps aussi de trouver des solutions de repli.

    Ce week-end, la pression migratoire s’est accentuée à la frontière franco-italienne. Une centaine d’Africains a réussi à franchir le col de Montgenèvre pour rejoindre Briançon. Impossible de tous les loger. Car la capacité d’accueil du Refuge solidaire n’est que de 15 places officiellement…et une soixantaine de places officieusement !

    Femmes et enfants ont été hébergés à la paroisse mais face à l’urgence de la situation, les associations ont décidé d’installer des matelas et des vivres à l’intérieur de la gare SNCF afin de mettre l’Etat face à ses responsabilités.  « C’est peut-être illégal mais c’est légitime car nous n’avons pas le choix » répètent les bénévoles sur place. C’est dans ce contexte particulier que le nouveau sous-préfet de Briançon prend ses fonctions ce lundi. Si la préfecture n’a pas encore réagi face à l’occupation de ce bâtiment public, les élus de droite Arnaud Murgia (conseiller départemental) et Romain Gryzka (conseiller municipal) jugent ces actes « inacceptables » et demandent l’évacuation de la gare. » Source: Le Dauphiné Libéré du lundi 9 avril 2018

    Que viennent faire dans notre pays ces femmes et ces enfants qui n’y ont pas été invités ? Les ONG « mettent l’Etat face à ses responsabilités », disent les « bénévoles »… un bon moyen pour l’État de se faire une douce violence, pardi! 

    Mais les mafias européennes [souvent d’ailleurs composées de gens d’origine immigrée] s’en donnent à cœur joie elles aussi:

    En Italie, « selon les enquêteurs, Misericordia, un réseau de coopératives gérant de nombreuses œuvres sociales à travers l’Italie, aurait laissé le contrôle de la fourniture des repas à des associations liées au clan Arena. Le 15 mai dernier, les carabiniers ont arrêté le principal responsable de la structure, Leonardo Sacco, membre du clan mafioso. Cet homme de 35 ans gérait les dizaines de millions d’euros versés chaque année par l’Etat italien au centre d’accueil. L’Obs

    « La sève » catholique de M. Macron

    Voilà où conduisent les Droits de l’homme dont les ONG immigrationnistes sont les fers de lance dans notre pays et dans toute l’Europe. Dans une Europe qui doit tout aux banques dont elle s’est rendue entièrement dépendante, quelle place reste-t-il pour la protection des peuples européens ? En France comme en Allemagne et ailleurs en Europe, les dirigeants promus par les consortiums et les capitaux apatrides œuvrent au remplacement des Européens d’origine par des déracinés de culture musulmane. M. Macron qui n’a pas trouvé nécessaire de souhaiter de bonne fêtes de Pâques aux chrétiens, mais qui ne manque jamais de souhaiter un bon Ramadan aux musulmans, a eu beau dire, devant la conférence des Evêques de France ce lundi  que  « ce ne sont pas les racines » chrétiennes « qui importent », « c’est la sève, en précisant qu’il est « convaincu que la sève catholique doit contribuer encore et toujours à faire vivre notre Nation », qui pourrait le croire ? Par ses actes et par ses lois il prouve à tout propos qu’il œuvre pour l’extinction de la sève catholique, avec l’arme de la laïcité qui promeut le remplacement de la religion et de la civilisation chrétienne par celle de l’Islam. Cette nouvelle loi sur l’immigration, une fois encore, le prouve. D’ailleurs, comme l’expliquait le général Gomart, l’invasion n’avance pas au hasard.

    Voir aussi:

    http://www.medias-presse.info/loi-immigration-macron-renforce-le-droit-a-limmigration-celle-ci-de-plus-en-plus-aux-mains-des-mafias/89968/

  • Pour un syndicalisme réellement national

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    Arnaud Malnuit

    Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.

    C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.

    Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front Nationale est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’œuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.

    Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…

    N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.

    Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…

    Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et l'exclusivité nationale pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait pas aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne pas nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.

    Source Parti de la France cliquez ici 

  • Éric Zemmour : “Viktor Orban est désormais l’opposant numéro 1 à Bruxelles”

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    Le parti national-conservateur de Viktor Orban frôle les 50% aux élections législatives en Hongrie, alors même que le scrutin du dimanche 8 avril a connu une très forte participation. Le premier ministre pourra tranquillement entamer son troisième mandat consécutif.

    Pour Éric Zemmour, il s’agit d’une leçon pour tous les partis de droite :

    Le triomphe de Viktor Orban va bien au-delà de la petite Hongrie. C’est une nouvelle victoire électorale de ce que les élites occidentales appellent avec mépris le populisme.

    C’est une leçon pour tous les partis de droite : le parti d’Orban, qui est toujours membre du PPE, qui rassemble les Républicains français et la CDU allemande, gagne haut la main en assumant la lutte contre le grand remplacement et les racines chrétiennes de l’Europe, et en donnant en contre-exemple les pays multiculturels comme la France.

    Après l’Autriche, la Slovaquie, l’Italie et la Pologne, le mouvement parti de Hongrie est revenu à la case départ. C’est la moitié du continent qui, désormais, s’oppose à Bruxelles et aux deux patrons de l’Europe, le Français et l’Allemand. C’est la moitié de l’Europe, y compris l’Italie du nord, qui fait sienne l’illibéralisme théorisé par Viktor Orban.