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  • "Le peuple est toujours décevant."

    Paris, 26 mai, sur l’esplanade des Invalides, 19h02

    Donc, Manolito, Jeannot-le-Nantais et Barjotine avaient prévenu les Français : des hordes sanguinaires, dopées au nationalisme le plus concentré et à l’homophobie la plus pure allaient déferler sur Paris, ravageant tout sur leur passage.

    N’écoutant que leur courage, les forces de l’ordre s’étaient massivement portées au secours des braves manifestants inconscients – ceux en tout cas qui n’avaient pas voulu entendre les douces voix de la raison qui les incitaient à abandonner un combat inutile, car la loi c’est la loi et la loi on ne discute pas – et ne venez pas me parler du CPE, ce n’était pas la même chose.

    Rue de Rennes Place des Invalides

    Valls, dispensateur de grâces

    Oui, malgré les appels désespérés du bénin Manolito, inquiet comme un père de famille voyant ses jeunes enfants souriants s’approcher de dangereux dealers pour leur proposer de l’orangeade, des manifestants s’étaient déplacés. Folie ? Bravitude ? Geste désespéré bien propre à cette extrême-droite qui sommeille en chaque Français ? On ne sait. Manolito avait au moins essayé de limiter les dégâts et avaient demandé aux petits-enfants de rester chez eux, si possible avec leur mère, et leurs grands parents, tous ceux dont les os fragiles et les chairs tendres risquaient de pâtir des poussées brutales des nervis d’extrême-droite surentrainés au close-combat, armés jusqu’aux dents et enivrés par l’appât du chaos. Dans leurs fols assauts contre les courageuses forces de l’ordre, ils allaient tout piétiner et immoler d’innocentes victimes à leurs injuste cause – les corps allaient joncher le pavé froid et mal défendu de Paris (et Bertrand serait encore obligé, malgré sa peine, d’envoyer la facture pour le nettoyage). [...]

    La suite sur Le Printemps français

  • Les Antigones manifestent contre les Femen à Paris

    COMMUNIQUÉ des Antigones - ATTENTION DERNIERE MINUTE : Le rassemblement des Antigones empêché par un déploiement des forces de police. Manuel Valls fait preuve de complaisance coupable à l'égard des Femen qui quant à elles n'ont jamais fait une seule heure de garde à vue.

    Les Antigones ne sont pas un énième mouvement. C'est un simple rassemblement de femmes. Loin de toute considération politique ou confessionnelle, nous revendiquons notre droit élémentaire et notre devoir fondamental à être des femmes à part entière.
    La femme a sa dignité, celle-ci ne passe pas par l'exhibitionnisme et l'hystérie. Elle passe par notre sagesse, notre calme et notre détermination à bâtir notre avenir. Filles de nos pères, épouses de nos maris, mères de nos fils, nous ne rejetons pas les hommes. Nous sommes au contraire persuadées que c'est avec eux, en complémentarité, que nous construirons notre futur.
     
    Rappelons-nous de l'Antigone de Sophocle. Cette jeune femme a fait des choix, préférant suivre ses valeurs et la légitimité de la loi naturelle plutôt que d'obéir à des injonctions iniques. Nous nous opposons ainsi aux Femen, qui, telles des chiennes de garde, sont aux ordres d'une idéologie qui sape les bases de notre société et bafoue nos valeurs. Les Femen ont poussé le féminisme jusque dans ses retranchements les plus sordides, il est temps que cela cesse.
    Pour cela, Iseul des Antigones a été jusqu'au cœur des Femen, pour les comprendre et les connaître. Elle y a vu un manque total de formation, camouflé par une unité d'action. Et des jeunes femmes françaises, simples pions, piégées et embrigadées par des militantes étrangères et de riches dirigeants voulant imposer des valeurs qui ne sont pas naturelles à notre société.
    Femen est un mouvement liberticide. Car il porte atteinte à la liberté d'expression en interdisant le dialogue. Car il porte atteinte à la liberté de culte, qui est pourtant un droit fondamental dans notre pays. Femen porte également atteinte à la dignité de la femme en voulant faire croire que c'est dénudées que nous nous exprimons le mieux.
    Ces méthodes totalitaires et manipulatrices doivent cesser. 150 femmes, vêtues de robes blanches, sourire aux lèvres et groupées derrière la bannière d'Antigone, se sont rendues samedi 25 mai devant le local des Femen, dans le 18ème arrondissement parisien. Elles ont demandé le retour d'Inna et d'Oksana en Ukraine, l'arrêt de subventions directes ou indirectes à leur mouvement et la fin de l'immunité pour ces femmes qui se revendiquent comme des « terroristes » mais que la Justice de notre pays n'a jamais placé ne serait-ce qu'en garde à vue pour toutes leurs actions.
    Les Antigones
    Pour mémoire : manifestation des Antigones contre les Femen
    P

     lusieurs dizaines de jeunes femmes, qui se sont baptisées "Antigones", se sont réunies samedi après-midi à Paris pour dénoncer les "méthodes totalitaires et manipulatrices" du mouvement féministe radical des Femen à proximité de leur local.

    Les manifestantes, pour la plupart vêtues de jupes blanches, souhaitaient se diriger devant le local des Femen, dans le quartier populaire de la Goutte d'Or, mais elles en ont été empêchées par un impressionnant déploiement de gendarmes mobiles en tenue anti-émeute.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Invalides : les nouvelles exactions de Manuel Valls

    Manuel Gaz, au mépris des règles, tente de faire dégager les Invalides en encerclant la foule et en la gazant ! Aucune porte de sortie n’est prévue !

    Et des zéxtrémistes ultra :

  • DISCOURS DE LUDOVINE DE LA ROCHÈRE, PRÉSIDENTE DU COLLECTIF LA MANIF POUR TOUS - MANIFESTATION DU 26 MAI 2013 -

    Chers Tous, Vous êtes là, foule immense, merci ! Merci à tous les bénévoles de La Manif pour Tous, à Paris, dans nos régions ; et à ses porte-paroles, et le premier d’entre eux, Frigide Barjot. Vous avez rendu notre Manif Pour Tous possible.

    Merci aux intellectuels, aux juristes, aux syndicalistes, aux scientifiques, aux membres du corps médical, aux responsables politiques qui se sont engagés à nos côtés. Ils ont eu le courage de braver la pensée unique.

    Merci surtout à vous ! Français de métropole, d’outre-mer et de l’étranger.

    Vous avez eu l’énergie qu’il fallait pour vous lever hier et aujourd’hui. Et vous vous lèverez encore demain !

    Nous sommes plusieurs millions à avoir défilé pacifiquement au cours de ces longs mois d’hiver contre la loi Taubira, la PMA pour tous, la GPA et l’homophobie. Nous n’avons pas cassé une vitre, une vitrine, brûlé une voiture. Rien !

    Nous ne sommes ni un mouvement politique, ni un mouvement confessionnel, ni une coalition d’indignes homophobes.

    Nos adversaires auront tout essayé pour le faire croire. Mais ils ont échoué, car il saute aux yeux que notre cause est ouverte à tous ceux qui se soucient d’abord du droit et du bien-être des enfants, que nous ne sommes concernés que par l’intérêt, l’équilibre et le bonheur de la famille.

    Nous sommes là, toujours aussi nombreux, parce que nos valeurs fondamentales et universelles nous rassemblent.

    La vérité, c’est que nous n’avons pas la même conception de l’égalité que nos opposants. Notre conception, majoritaire dans le pays, c’est d’abord l’égalité des enfants qui importe, l’égalité devant le droit d’avoir un père et une mère, c’est-à-dire une origine et une filiation réelles, et non une filiation fausse. C’est autour de cela que nous rassemblons des athées, des chrétiens, des juifs, des musulmans, des gens de gauche et de droite, des hétéros, des homos. Pour tous, la vérité que nous devons à l’enfant est sacrée. Nous ne voulons pas que le mensonge soit la trame même de la vie des enfants de ce pays, que l’idéologie du genre triomphe.

    Alors, comme nos opposants ne nous comprennent pas, ils refusent le débat, nous méprisent et nous calomnient.

    Mais cette fois-ci, c’est nous qui sommes dans le vent, à défaut du sens de l’histoire. Car nous ne cherchons pas un pseudo sens à l’Histoire, nous l’écrivons !

    Toutes les générations sont là, et parmi elles, celle des pères, des mères, celle de la jeunesse, chacune veillant sur nous, sur la France, en silence, pacifiques.

    Oui, nous sommes tournés vers l’avenir ; oui, nous avons confiance dans l’avenir ; oui, nous bâtissons l’avenir et c’est pourquoi nous manifestons. Nous voulons un monde meilleur, et non le meilleur des mondes.

    Qu’avons-nous découvert au cours de ce long chemin ? Nous ne sommes pas seuls ! Nous ne sommes plus seuls, isolés, considérés comme ringards, passéistes ou conservateurs - tandis que les autres seraient éclairés alors qu’ils sont dans l’irréalité.

    Oui, la France s’est réveillée !

    Nous avons réalisé une mobilisation historique. La Manif pour Tous est le plus grand mouvement social que la France ait connu depuis mai 68. Ayons bien conscience de ce que nous avons accompli : nous sommes une force sociale, puissante, déterminée, organisée. Ce succès nous le devons principalement à trois raisons : notre désintéressement (nous pensons aux générations futures), notre souci de protéger le plus faible, notre respect de l’autre.

    Demain ne sera plus jamais pareil.

    Alors que nous nous sommes levés en masse, demandant simplement à être écoutés, à réfléchir sur cette loi non pas seulement sociétale, mais loi de civilisation - selon les termes mêmes de madame Taubira - quelle a été la réponse du président de la République, du gouvernement et des parlementaires ?

    La condescendance, l’arrogance et le mépris.

    Ils font profession d’hommes et de femmes de dialogue, à l’écoute - mais ce ne sont que des mots. Nous n’aurons été reçus que quelques minutes par le président de la République ainsi qu’Erwan Binet le rapporteur de la loi à l’Assemblée nationale ;

    mais jamais par le premier ministre Jean-Marc Ayrault, jamais par le ministre de la Justice Christiane Taubira et le ministre des familles Dominique Bertinotti, jamais par Jean-Pierre Michel le rapporteur de la loi au Sénat, qui en outre nous a insultés, nous traitant d’homophobes.

    A ce refus de dialogue, le gouvernement et ses soutiens ont rajouté la violence, l’arbitraire. Des manifestations ont été interdites ; des enfants innocents, des mères de familles et des personnes âgées pacifiques ont été aspergés de gaz le 24 mars ; des tractages ont été interdits, des porteurs de sweat de la Manif pour Tous ont été arrêtés ; une mère de famille a été violentée sous l’œil d’un préfet qui n’a pas bougé déshonorant le corps préfectoral ; des veilleurs pacifiques ont été interpellés, mis en garde à vue ; des marcheurs partis de Rennes pour nous rejoindre ont été harcelés, contrôlés tous les jours… Quel scandale !

    Leurs crimes ? S’habiller, manifester pacifiquement, veiller le soir en écoutant la lecture de grands textes ou la doctrine de la non-violence. Est-ce cela la démocratie de messieurs Ayrault, Valls et madame Taubira ?

    Nous avons manifesté en respectant les lois de la République ; ils ont réagi comme les apparatchiks d’un Etat totalitaire, et je pèse mes mots.

    Sommes-nous encore dans une vraie démocratie ?

    Après avoir changé arbitrairement la définition du mot mariage, le pouvoir n’a pas cessé de mentir sur les chiffres des manifestations ; il a ordonné au CESE de déclarer irrecevable 700 000 pétitions collectées en 3 semaines, événement inédit dans toute la Ve République. Alors que notre constitution l’interdit, les députés et les sénateurs ont voté la loi en suivant les consignes de vote imposées par le pouvoir, trait caractéristique des régimes dictatoriaux. Seuls quelques héros ont résisté à la pression, tel Bruno Nestor Azérot ! Au Sénat, il y a eu tripatouillage et l’on assista, non pas à un vote, mais à un vol à main levée. Un déni de démocratie dont une partie de l’opposition a été, par sa passivité, la complice.

    Mesdames, Messieurs les élus, où étaient votre liberté de conscience quand vous avez voté cette loi appelée à transformer notre civilisation, où était votre courage vous qui vous êtes abstenus ? Où était votre honneur ?

    Nos adversaires agissent ainsi parce qu’ils ont peur, parce que la loi qu’ils ont voté est une loi inique écrite sous la pression du lobby LGBT- Pierre Bergé, ultra-minoritaire au sein de la communauté homosexuelle, et ils le savent.

    Ils agissent ainsi parce qu’ils sont les représentants d’un temps ancien, d’un temps dépassé, celui d’idéologies mortifères, celui où l’Homme se croyait tout permis, ne tenant pas compte de l’humanité qu’ils lègueraient à ses enfants.

    Mais nous n’en voulons plus !

    Ils nous disent toujours de manière péremptoire que cette loi est sociétale, que c’est une loi de progrès. Mais comment pouvons-nous les croire ? De quels progrès parlent-ils ? Le leur probablement : celui de la marchandisation du corps, celui des ventres à louer, celui du mensonge, oui, vous ne le savez pas, mais vous pourrez désormais avoir deux pères ou deux mères, car ce que la nature ne permet pas, eux se l’autorisent, car ils sont Prométhée.

    Il n’y a pas si longtemps, nous en aurions ri ; aujourd’hui nous en pleurons, nous nous indignons !

    Lancé sur le toboggan de la transgression, plus rien ne les arrête, eux les faux prophètes du progrès et de la modernité.

    Dès qu’ils parlent nature et d’écologie, ils brandissent le principe de précaution.

    Mais quand il s’agit de l’homme, alors la nature disparaît et toute précaution avec.

    Ils ont le mot parité « homme/femme » plein la bouche : il faut de la parité dans les conseils d’administration, il faut un gouvernement paritaire, il faut une Assemblée nationale paritaire ; mais que le mariage soit un lieu de parité, qu’un enfant soit élevé par un homme et une femme, quelle étrange idée !

    Désormais, nous leur disons : arrêtez-vous ! Ecoutez le peuple, débattons, réfléchissons. Mais ils ne le veulent pas.

    Alors, vous, monsieur le président de la République, qui êtes le garant de l’unité des Français : cessez d’être sourd et aveugle, cessez de diviser les Français, cessez de faire monter la colère de tout le pays.

    *

    L’heure est grave.

    Face au mensonge, à l’iniquité que cette loi consacre, oui l’heure de la résistance a sonné. Il s’agit de l’humanité et de son avenir, il s’agit de l’homme et de la femme, il s’agit de nos enfants et de leurs libertés.

    Nous aussi, nous sommes des indignés ! C’est pourquoi nous avons lancé l’appel du 18 mai 2013.

    Notre tâche est immense, mais elle est essentielle. Nous sommes nombreux en France mais aussi à l’étranger. Le monde entier nous regarde, car une nouvelle fois les Français ont osé se lever contre la tyrannie d’une minorité et de ses affidés.

    Je vous annonce, ainsi qu’à ceux qui croient encore que nous allons abandonner, que nous poursuivrons le combat partout en France !

    Faute d’une réponse rapide et appropriée du président de la République à notre rassemblement d’aujourd’hui, préparez-vous à de nouvelles actions dans les jours et semaines à venir.

    Et au delà, la Manif pour Tous sera désormais là, durablement, dans le paysage français et européen. Nous participerons activement à la vie de la Cité avec nos convictions et nos valeurs.

    La Manif pour Tous a 3 missions pour protéger ce que nous considérons comme la clé de voûte de notre société : les familles, et je dis bien les familles.

    Sa 1ère mission : l’abolition de la loi Taubira et, si ce n’est dès demain, alors après-demain.

    Et nous nous battrons pour empêcher ses conséquences immédiates : la PMA pour tous et la GPA.

    Sa 2ème mission : soutenir tous les hommes et les femmes de courage et de bonne volonté qui défendront ces valeurs dans la Cité ; les maires, les élus, les membres des corps intermédiaires, tous ceux qui prendront la parole dans les débats publics opposés au mariage pour tous.

    Sa 3ème mission : se battre pour faire reconnaître la réalité de l’être humain homme ou femme, pour défendre les plus faibles.

    Nous continuerons sans relâche à défendre le mariage homme-femme, la filiation père-mère-enfant, les familles, cellules de base de toute société, lieux de solidarité par excellence, sources de toutes les richesses humaines et économiques de la société.

    Nous allons lutter contre l’idéologie du genre, fondement de la loi « mariage pour tous ». Nous allons intervenir contre sa diffusion, en particulier à l’école ; nous allons mener des enquêtes, publier des études, être des activistes.

    Parce que La Manif pour Tous est désormais incontournable, elle va continuer à se déployer, à se structurer, pour peser encore d’avantage sur le débat public. A cet effet, les adhésions seront ouvertes à ses sympathisants dès le mois de juin.

    La loi est aujourd’hui promulguée : le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

    Notre mouvement d’opposition, immense lame de fond, ne s’arrêtera pas, tout simplement parce qu’il est né du refus inné, profond, d’une loi fondée sur un mensonge qui concerne tous les Français.

    Nous refusons que la politique française se détourne de l’essentiel : les préoccupations urgentes des citoyens qui, aujourd’hui, font face à une situation économique et sociale dramatique.

    Quoi qu’il arrive la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas : elle est appelée à se renforcer et à se déployer encore davantage. Elle continuera d’édifier cette digue qui, seule, stoppera la vague des projets mettant à mal le bien commun, l’avenir de la société, les valeurs de la France, le respect de l’Homme et la vraie démocratie.

    Tenez-vous prêts.

    Les générations à venir comptent sur nous.

    On ne lâchera rien, jamais, jamais, jamais !

    Vive l’Humanité !

    Vive la France !

    http://www.lamanifpourtous.fr

  • Attentats islamistes de Londres et de La Défense : ouvrons les yeux !

    COMMUNIQUÉ de Jacques MYARD, Député de la Nation, Maire de Maisons-Laffitte, Président du Cercle Nation et République

    Le lâche attentat des islamistes contre un soldat britannique à Londres va peut-être enfin ouvrir les yeux aux naïfs anglais et autres qui prônent la tolérance envers les extrémistes religieux et leur garantissent la liberté d’expression.
    Le « Londonstan » récolte malheureusement les fruits de son aveuglement. Dans un monde devenu totalement transnational, sans frontières, il faut désormais que l’on sache que les assassins islamistes sont une cinquième colonne présente dans toutes les banlieues d’Europe.
    Nous devons en tirer toutes les conséquences sur le plan juridique, au regard de la nationalité et des procédures de déchéance, mais aussi sur le plan des dérives communautaires qui ne peuvent plus être tolérées
    La naïveté qui est la nôtre face aux djihadistes est dramatique, elle doit cesser. Regardons les réalités en face, sinon le pire demain est à redouter, c’est la guerre civile qui nous attend.
     
    Agression contre un militaire en patrouille Vigipirate : la preuve par les faits !
    Il ne s'agit pas de tirer des conclusions hâtives et définitives, avant que l'enquête n'établisse les faits avec une parfaite objectivité, mais il n'en demeure pas moins que l'agression perpétrée au cutter contre un militaire en patrouille Vigipirate à la Défense rappelle tragiquement le mode opératoire des événements de Londres.
    Les dérives croissantes d'intégristes islamistes qui s'auto fanatisent sur les réseaux et sites internet sont devenues en France une réalité funeste, comme le souligne le rapport de la commission d'enquête de l'Assemblée Nationale sur le fonctionnement des services de renseignements dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés, à laquelle J.Myard a participé activement.
    Il y a quelques jours certains bons esprits m'ont accusé d'extrémisme alors que je dénonçais notre naïveté face à la montée de l'islamisme djihadiste présent en France et qui constitue une véritable cinquième colonne, ces bons esprits aveugles et irresponsables auront dès lors ainsi tout loisir de réviser leurs jugements irresponsables !
    Cette situation appelle une révision totale de notre politique en matière de contrôle de nos frontières, Schengen doit être révisé, notre politique de naturalisation doit aussi être revue.
    La France est grande et généreuse mais on ne saurait admettre sur notre sol des appels à la haine voire au Jihad.
    Le temps de la naïveté imbécile est révolu car il faut savoir que le temps des terroristes assassins ne fait que commencer !
  • Gros succès de la manifestation d’hier

    Un million de participants selon les organisateurs, 150 000 selon une préfecture qui ne craint pas de mentir encore éhontément.

    Photo des Invalides, alors que des manifestants partaient et d’autres arrivaient pour encore un moment :

    Les pronostics politico-médiatiques, parlant d’un essoufflement et d’une résignation après le passage de la loi Taubira, ont été à nouveau déjoués.

    Hier le ton était fut plus ferme, les gens étaient toujours très déterminés. Il y eut moins d’âneries au micro (l’absence de la traîtresse Barjot y étant probablement pour quelque chose) et les huées ont retenti quand c’était nécessaire.

    Après la dispersion officielle, des milliers de personnes n’ont pas voulu abandonner l’esplanade des Invalides.
    Des heurts notables ont éclaté avec la flicaille : grenades lacrymogènes balancées à gogo et en vain sur la foule, tirs de flashball sur les manifestants, affrontements au corps à corps, avec notamment de nombreux flics en civil très vicelards ; les CRS ont du reculer plusieurs fois, avant que les lieux se vident petit à petit. Nous y reviendrons.
    Cette résistance déterminée et courageuse de nombreux jeunes Français fut réjouissante et réconfortante, alors que le pays sombre dans l’infâmie.

    Il y eut près de 300 interpellations au cours de la journée, dont au moins 200 gardes-à-vue, ce qui est beaucoup.
    De nombreuses arrestations et séjours au commissariat ont été réalisés dans la plus totale illégalité, avant même le début de la manifestation : la police se fout des lois elle-même, suivant « les ordres ».

    http://www.contre-info.com/

  • Une étincelle dans la nuit

    "On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité; la vraie tragédie de la vie, c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière. Platon.

    C'est via internet que j'ai rapidement appris le suicide de Dominique Venner.

    Il m'apparaît important de souligner l'importance de ce nouveau media qui nous permet de savoir vite et cela avant même que la censure ne puisse s'opérer. C'est ainsi que son suicide dans un lieu hautement symbolique est désormais connu de tous. A moins que les pouvoirs ne prennent un total contrôle des ordinateurs, presse écrite et télévision ne pourront plus faire l'impasse sur une actualité internétique intense, au risque de devenir totalement déconsidérés, ce qu'ils sont déjà aux yeux des internautes qui s'instruisent via des sites d'information alternatifs.

    Né avant la seconde guerre mondiale, Dominique Venner appartenait à une génération que l'on peut qualifier de Vieille France, appelée à disparaître dans les prochaines années. Son enfance ainsi que son adolescence furent celles de ceux qui ne connurent pas jeunes la société de consommation. Un peu plus âgé, s'il l'avait voulu, il aurait pu comme tant d'autres, prendre le train en marche vers une postmodernité matérialiste, hédoniste et consumériste. La voie qu'il s'est choisie alors qu'il était encore jeune et qu'il n'a plus quittée, fut celle de la rébellion. Pour reprendre une des formules de prédilection du capitaine Pierre Sergent, il fut de ceux qui mirent leur peau au bout de leurs idées. Cela lui valut l'emprisonnement qu'il effectua comme prisonnier politique.

    Soldat passionné par le métier des armes, il ne cessa jamais d'être un intellectuel. Alors que tant d'autres cherchaient arguments pratiques afin de contrer l'impérialisme soviétique, il préféra s'investir doctrinalement de façon à comprendre les ressorts intimes des multiples succès communistes, succès d'autant plus surprenants que les résultats obtenus par les Rouges dans la gestion de la Cité étaient toujours désastreux. Cela fit de lui un tacticien redoutable et redouté, soucieux de transmettre à la mouvance, une efficacité apprise chez les ennemis. Lucide parce que probablement marqué par les lectures de Lenine, de Giap ainsi que des grands techniciens de la Révolution, il tenta d'influencer la mouvance en insistant sur la nécessaire formation de type subversif de l'élite des militants. C'est peut être à Netchaiev (1), le grand Ancien, qu'il me fait le plus songer.

    Comme tant d'autres, je n'ai pu aussi, dès que j'ai su, que songer à Mishima, lui aussi préoccupé essentiellement par le devenir de sa civilisation. A une différence près: Mishima était réactionnaire alors que Dominique Venner représentait l'autre pôle de la mouvance, à savoir la Révolution. Peut être faudrait-il d'ailleurs, une fois de plus, évoquer l'expression oxymorique de Révolution conservatrice.

    La dernière lettre de Dominique Venner est, à l'heure où j'écris, disponible en ligne:

    « Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

    Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

    Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

    Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste. ».

    S'impose dès lors pour tous, un profil bas devant l'acte héroïque.

    Dominique Venner a pu réunir, et en cela il n'a jamais varié, la théorie et la pratique. D'un point de vue théorique, le haut lieu choisi est symbolique nous remémorant un passé millénaire dont certaines sources évoquent la nuit des temps. D'un point de vue pratique, son geste interroge ceux qui viennent d'apprendre et qui méconnaissent l'essentiel. Il s'est choisi, comme Koestler, une mort humaine, ne laissant pas les organes décider pour lui l'heure de sa mort.

    Etincelle dans la nuit, Dominique Venner est resté Grec.

    Alain Rebours http://www.voxnr.com

    Notes :

    1 - Serge Netchaïev: Le catéchisme du révolutionnaire http://kropot.free.fr/Netchaiev-catechismeR.htm

  • Dominique Venner ou la fondation de l’avenir

    Madame, Mademoiselle, Monsieur, Chers Amis et Lecteurs du site,

     

    Votre site préféré rend hommage aujourd’hui à Dominique Venner dont la vie fut rebelle jusqu’au bout.

     

    Toute la rédaction adresse à son épouse, à leurs enfants et petits-enfants et à leurs proches toutes nos condoléances.

     

    *

    **

     

    Le 21 septembre 1972, jour de l’équinoxe d’automne, se suicidait Henry de Montherlant. C’est au lendemain de la Pentecôte chrétienne qui marque la montée du Christ au Ciel, un mardi – jour de Mars – et au mois de la Vierge Marie – mai -, que Dominique Venner s’est donné la mort dans « un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire », précise-t-il dans son testament politique.

     

    À 78 ans, Dominique Venner a librement choisi de se retirer définitivement de ce monde dont il voyait poindre l’avènement du nihilisme triomphant. Il est mort comme il a toujours vécu : en homme  debout qui ne plia jamais face à l’adversité. Toute sa vie, il a montré, il a été l’exemple même de la virilité, et pratiqué cette virtu chère à Machiavel et aux vieux Romains. La verticalité faisait sens en lui et a ordonné son existence jusqu’à la fin.

     

    Le jeune parachutiste volontaire qui traquait le fellagha dans le djebel, l’expert renommé des armes, l’activiste pro-Algérie française qui rêvait de renverser par l’opération « Gerfaut » la Ve République naissante, le militant politique qui sut renouer et réinscrire la tradition française dans la continuité européenne, le chasseur réputé dont le patronyme se rapproche si symboliquement de la vénerie, l’écrivain et l’historien à la riche bibliographie, le fondateur et responsable d’Enquête sur l’Histoire, puis de La Nouvelle Revue d’Histoire, l’homme privé, père et grand-père heureux, représentent diverses facettes qui, loin de se contredire, expriment en réalité une cohérence intérieure d’une rare intensité.

     

    En observateur attentif de la longue durée des peuples, Dominique Venner s’inquiétait des signes chaque jour plus visibles de la langueur mortifère de ses compatriotes autochtones. Ce guetteur de l’imprévu historique désirait les voir se réveiller le moment venu. C’est dans cette perspective salvatrice qu’il commit en pleine lucidité un acte ultime.

     

    Par cette action sacrificielle, il a voulu secouer la psyché des Européens, car toute guerre est d’abord psychologique, culturelle, idéologique. Il savait que ce serait le don de soi absolu, l’affranchissement total des siens, de leur amour et de leur amitié, et l’acceptation sereine que son sang vienne, tel un nouveau Saint Chrême, oindre une mémoire collective pas encore amnésique.

     

    « Dans toute guerre, des hommes sont volontaires pour des missions sacrifiées, note-t-il dans Le cœur rebelle (p. 85) ». Cette décision héroïque, Dominique Venner l’a nourrie, méditée, réfléchie patiemment. Dans son billet du 23 avril 2013, « Salut à toi, rebelle Chevalier ! », interrogeant, après Jean Cau, la superbe gravure d’Albrecht Dürer Le Chevalier, la Mort et le Diable, il conclut que « l’image du stoïque chevalier m’a souvent accompagné dans mes révoltes. Il est vrai que je suis un cœur rebelle et que je n’ai pas cessé de m’insurger contre la laideur envahissante, contre la bassesse promue en vertu et contre les mensonges élevés au rang de vérités. Je n’ai pas cessé de m’insurger contre ceux qui, sous nos yeux, ont voulu la mort de l’Europe, notre civilisation millénaire, sans laquelle je ne serais rien ». Il comprend que, au-delà de l’adoption du mariage contre-nature, s’opère un changement d’essence civilisationnelle contre lequel seule peut contrecarrer une ardente et ferme résolution.

     

    S’il a commis le geste irréparable devant l’autel de Notre Dame de Paris, lui le païen qui ne se sentait aucune affinité avec le monothéisme, c’est peut-être parce qu’il a saisi l’urgence du Katékhon, cette figure eschatologique qui retient l’Antéchrist afin de maintenir l’ordre normal du cosmos.

     

    « Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. » Il ajoute dans son ultime billet, « La manif du 26 mai et Heidegger », mis en ligne sur son blogue ce mardi 21 mai dans la matinée qu’« il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes ». Il y souligne en outre qu’on trouvera « dans mes écrits récents la préfiguration et les explications de mon geste ».

     

    Dominique Venner n’était pas un désespéré. Il en était même aux antipodes. Déjà, dans Le cœur rebelle, il insistait, lui l’admirateur de Maurice Pinguet, auteur de La mort volontaire au Japon, sur la haute figure du samouraï et de sa dernière métamorphose historique, le kamikaze, le combattant d’assaut qui, au nom de ses principes, se dépasse une dernière fois. « Mourir en soldat, avec la loi pour soi, exige moins d’imagination et d’audace morale que de mourir en rebelle solitaire, dans une opération suicide, sans autre justification intime que l’orgueilleuse certitude qu’on est le seul à pouvoir accomplir ce qui doit être fait (Le cœur rebelle, p. 85) ». Dans des circonstances qu’il a estimées propices, il a proclamé qu’« il faudrait nous souvenir aussi, comme l’a génialement formulé Heidegger (Être et Temps) que l’essence de l’homme est dans son existence et non dans un “ autre monde ”. C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien ». « Je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable », répond-il par avance à tous ses détracteurs.

     

    « On ne meurt pas chacun pour soi, mais les uns pour les autres, ou même les uns à la place des autres (p. 57) » rappelle Georges Bernanos dans Le Dialogues des Carmélites. L’altruisme héroïque, combattant et radical défendu par Dominique Venner se concrétise par un acte décisif qui transcende toute une œuvre d’écriture et de réflexions pour rejoindre les antiques préceptes des vieux Romains, en particulier ceux du stoïcien Sénèque pour qui « bien mourir, c’est échapper au danger de mal vivre ». Or, ce mal vivre, par-delà la simple condition personnelle, affecte toute la société française et européenne. Arrive le temps que, « le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes ». Dans ce contexte mortel pour l’esprit et pour les âmes, « apprendre aux gens à bien mourir est la grande affaire du stoïcisme, écrit Gabriel Matzneff (« La mort volontaire chez les Romains » dans Le Défi, p. 147) ».

     

    Gabriel Matzneff distingue par ailleurs qu’« il y a ceux qui se tuent au nom d’une certaine idée qu’ils se font de la morale privée et publique, au nom d’une certaine idée qu’ils se font de l’homme : ils quittent un monde où les valeurs à quoi ils sont attachés n’ont plus cours et où partout triomphent celles qu’ils méprisent (pp. 164 – 165) ». Dominique Venner appartient à ces derniers. Il récuse en effet avec vigueur l’antagonisme artificiel et fallacieux entre le postmodernisme sociétal hyper-individualiste et le holisme conquérant de communautés allogènes, parfois musulmanes, sur notre continent. Il s’élève contre cette submersion migratoire qui bouleverse la physionomie européenne habituelle. « Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge contre le crime visant au remplacement de nos populations. »

     

    En mettant fin à ses jours, Dominique Venner témoigne qu’une troisième voie autochtone identitaire française et européenne est la seule apte à préserver nos traditions plurimillénaires. Non, ce n’est pas en entérinant l’institution de l’homosexualité, de la famille monoparentale et de l’avortement de masse qu’on fera reculer l’islam et l’immigration extra-européenne. Et ce n’est pas en acceptant l’implantation de minorités étrangères aux mœurs exotiques qu’on rétablira les principes traditionnels de l’Être européen. C’est en les affrontant simultanément que les Européens ne sombreront pas dans le néant de l’histoire. Mais il faudra beaucoup de force morale pour mener de front ce double combat.

     

    Dominique Venner n’a pas manqué de force morale. En allant, une arme à la main, jusqu’au chœur d’un espace consacré, depuis longtemps profané par des masses de touristes, il a resacralisé le lieu. Avait-il en ses derniers instants le souvenir du seppuku du Japonais Yukio Mishima en novembre 1970, et des immolations anti-communistes du Tchèque Jan Palach en janvier 1969 et du militant solidariste français Alain Escoffier en février 1977 ? Plus que marquer l’opinion, Dominique Venner qui savait que toute fondation pérenne exige un sacrifice préalable a surtout semé par sa disparition assumée les germes d’un renouveau continental et poser les assises d’un nouveau cycle boréen au XXIe siècle.

     

    Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/

  • Les mystères de l’arithmétique socialiste

    Les mystères de l’arithmétique socialiste

    « Manif pour tous », 26/05/2013, Esplanade des Invalides.
    Décidément, les calculatrices du préfet de police s’enrayent
    Polémia
    Il faudra que le gouvernement socialiste explique comment un seul cortège pro mariage gay le 27 janvier sur une distance courte, c’est 150.000 personnes, et quatre cortèges anti mariage gay sur des distances longues, c’est encore 150.000 personnes.
    Mystère de l’arithmétique socialiste ! Réalités du mensonge médiatique.
    Polémia 26/05/2013