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  • 26 mai : la manif pour tous en direct

    En bus (départ de la Sarthe ce matin) :

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    Les bus regroupés par les forces de l'ordre (ceux venus d'Auvergne sur la photo) :

    Image

    En train : 

    Mpt
    De Belgique : 

     "3 cars sont partis de Bruxelles ce dimanche 26 mai de bon matin. Plus de 120 personnes se sont organisées en co-voiturage. Sans compter ceux qui partent de leur côté. 

    Ils ont rendez vous a 13:00 près de la porte Dauphine entre le Bd Lannes et l'avenue Chantemesse (à deux blocs au sud de la porte Dauphine).
    Le réveil des consciences se propage. 

    Ces français résidents en Belgique sont accompagnés de Belges souhaitant prêter main forte à cet élan puissant.  Ils comptent bien propager cet esprit dans le royaume qui s'est endormi (façon grenouille dans une marmite qui chauffe - il nous faut un coup de pattes pour sortir). 

    La flamme se transmet !"

    Le groupe Sclérose est là avec son tube "On lâche rien":

    Sclérose

    3 points de départ en ébullition :

    Austerlitz

    Aus

     

    Aus2


    Porte Dauphine :

    Dauph
    Dauph2

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    Trop de monde sur les points de départ : la manif est lancée avec 45 minutes d'avance!

    Porte Dauphine : présence d'Henri Guaino, de Ludovine de la Rochère. de Philippe Brillault, d'Hervé Mariton, de Gilbert Collard, de Christian Jacob, de Jean-Frédéric Poisson, de Jean-François Copé, de Jacques Remiller, de Brice Hortefeux, de PAtrick Louis, de Xavier Lemoine

    Jfc Gc Hm

    Hm Fromantin Frt

     

    Ludovine de la Ronchere
     http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • De nouvelles vidéos de l'action d'hier soir sur les Champs-Elysées

  • Notre-Dame-des-Landes : Hollande conseille à Ayrault de « prendre du recul »

    26/05/2013 – 10H50 NANTES (NOVOpress Breizh) – Il faut savoir ménager la chèvre et le chou. C’est ce qu’a su faire Claude Chéreau, président de la commission du dialogue, machin inventé par Jean-Marc Ayrault (30/11/2012) « dans un souci d’apaisement » (sic) ; c’était au lendemain de vigoureux affrontements à Notre-dame-des-Landes. On ne pouvait attendre d’avantage d’un homme habitué à fréquenter les cabinets (François Mitterrand et Lionel Jospin).

     

    D’abord un pas en avant : « Je n’ai aucun doute sur la pertinence du projet. J’ai des doutes sur la pertinence de certains arguments. Mais je suis convaincu de la nécessité de construire un nouvel aéroport à Nantes, tout de suite ou dans cinq ans », affirme M. Chéreau (Presse-Océan, 05/04/13). Puis un autre pas en arrière avec quatorze « conclusions et recommandations » – dont l’application ne peut que retarder sérieusement le démarrage de l’opération – dans le rapport remis au Premier ministre (mardi 9 avril 2013).

    L’affaire rebondit mardi 14 mai à Brest. Jacques Auxiette (PS), président du conseil régional des Pays-de-la-Loire, et Pierrick Massiot (PS), président du conseil régional de Bretagne, flanqués de leurs vice-présidents, sont réunis afin d’aligner leurs positions sur plusieurs questions. « Mais le plus gros dossier à l’ordre du jour était, bien sûr, celui des transports. Jacques Auxiette attend pour le 14 juillet un nouvel arrêté préfectoral avec le calendrier des travaux « qui devraient débuter à l’automne » [à Notre-Dame-des-Landes]. Les dessertes du futur aéroport sont le grand enjeu des deux régions : car, tram-train et liaisons rail améliorées entre Nantes et Rennes, Brest et Quimper dans le prolongement de la future LGV [Paris-Rennes]. « LGV et aéroport, ces deux investissements sont historiquement significatifs pour nos deux régions », martèle Jacques Auxiette. » (Ouest-France, 15/05/13).

    Pour ce dernier, les travaux à Notre-Dame-des-Landes pourraient donc démarrer à l’automne. « C’est son souhait, il pense que les recommandations émises par les différentes commissions peuvent être prises en compte dans un délai assez court », explique-t-on au syndicat mixte aéroportuaire.

    « Le calendrier laisse les opposants dubitatifs. Le mois prochain, ils ont prévu de faire le point en préfecture sur les recommandations émises par la commission du dialogue, les experts scientifiques et les experts agricoles. » (Ouest-France, 16/05/2013). Vu l’importance et le nombre des relevés à effectuer, des objections auxquelles les maîtres d’ouvrage doivent obligatoirement répondre, l’affaire ne semble pas aussi simple que le souhaiterait M. Auxiette. Un exemple : les scientifiques ont refusé de valider le volet environnemental.

    Sur le terrain politique, le dossier semble prendre l’eau au plus haut niveau ; il indisposerait l’Elysée qu’on se serait pas étonné : « Hollande a fortement suggéré à son Premier ministre de prendre du recul face au projet du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes. Les conclusions de la commission du dialogue sur ledit aéroport permettent de gagner du temps et de désamorcer en partie la grogne des opposants. [Le rapport] recommande une série d’aménagements et d’études complémentaires. Lesquelles devraient retarder d’un an au moins le début des travaux. Voire de deux ans, en cas de recours. Pas sûr qu’Ayrault soit encore à Matignon à cette échéance. » (Le Canard enchaîné, 15/05/13).

    En cas de départ de Jean-Marc Ayrault de Matignon, la donne s’en trouverait évidemment modifiée. Le vent ayant tourné, la religion du préfet ne pourra que coller à celle du nouveau gouvernement ; il n’est pas certain que les grands travaux « inutiles » soient toujours à la mode – tellement les contraintes financières sont fortes, à la fois pour l’Etat et pour les collectivités territoriales, en ces années de vaches maigres. Quant à Jacques Auxiette, une fois perdu le soutien du Premier ministre, ses certitudes et ses affirmations péremptoires perdraient de leur consistance. « La voix de son maître » n’aurait plus de « maître ». Mais les loisirs nécessaires pour écrire un second livre. Après « Aéroport du Grand Ouest : pourquoi j’y crois », il pourrait nous livrer : « Aéroport du Grand Ouest : pourquoi j’y ai cru ».

    Et puis Jean-Marc Ayrault ne sera plus maire de Nantes, ce qui changera le rapport de force local. Ni maire ni Premier ministre, l’ex «boss » n’aura plus les moyens d’imposer sa volonté avec autant de facilité. Mais il faudra quand même compter avec les milieux d’affaires (promoteurs immobiliers, entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics, banquiers etc.), toujours à la recherche de grain à moudre et possédant les moyens de se faire comprendre.

    http://fr.novopress.info

  • L’arme de l’inflation

    Après avoir concédé l’indépendance des États-Unis, la dynastie Rothschild s’est assurée d’obtenir le cours légal forcé d’une monnaie papier sans valeur intrinsèque, qu’elle sera la seule à pouvoir imprimer sur l’ensemble du territoire américain. C’est la naissance ici du capitalisme, qui est engendré par une croissance qui sera inflationniste.

    En effet, la banque centrale et ses partenaires, les banques commerciales, peuvent diffuser dans l’économie des liquidités qui ne correspondent pas forcément à un stock de métaux précieux précis. Ainsi ce que l’on appelle les fonds propres deviennent alors variables en fonction des lois bancaires. Si la loi autorise 10 % de fonds propres, la banque privée peut créer 90 % de monnaie papier grâce à la banque centrale ou de manière électronique comme aujourd’hui.

    Les citoyens ne peuvent plus contrôler la valeur de leur monnaie car ils ne savent pas combien de billets sont imprimés. Mais le plus grave, c’est que la monnaie n’est pas neutre. On entend par là le fait qu’à chaque création monétaire, la première personne bénéficiant de ce crédit en achetant des biens sur le marché accroît alors la valeur des biens restants, car ils deviennent plus rares.

    L’individu s’accapare des biens grâce à une monnaie inexistante, elle n’est pas issue du travail, c’est donc un vol. Mais étant le premier à bénéficier de cette nouvelle monnaie fraichement crée, il ne subit pas l’inflation. Une entreprise qui est leader sur un marché confortera sa place grâce à cet effet que l’on nomme « effet Cantillon ». Elle bénéficie d’un avantage en s’octroyant les plus gros crédits et provoque de l’inflation pour ses concurrents déjà présents ou pour de futurs entrepreneurs désirant s’installer sur le marché. Les coûts d’acquisition du capital, c’est-à-dire les machines, les outils, les infrastructures, sont de plus en plus chers. De moins en moins de personnes peuvent mobiliser des fonds pour créer de la concurrence. Des situations d’oligopoles et de monopoles privés apparaissent. Les grandes entreprises rachètent les petites. On observe ici l’accumulation de capital au sens de Marx par une seule et même entité. Mais c’est bien grâce à cet effet mis en valeur par Richard Cantillon au 18ème siècle qui conditionne ce système. L’usurier s’assurant de la complicité de l’industriel par ce mécanisme. Ceci n’étant possible que grâce à l’invention de l’imprimerie qui permet une monnaie papier fabricable très facilement et en quantité phénoménale.

    Le financement d’une économie par création monétaire artificielle et non pas par une épargne réelle issue du travail engendre donc une montée des prix qui peut s’exercer plus particulièrement dans un secteur donné, comme l’immobilier par exemple lorsqu’il s’agit de crédit à la consommation. Mais c’est l’économie en général qui subit une inflation. L’augmentation des prix n’est pas due à l’accroissement de la population mondiale ou à la diminution des ressources naturelles.

    Le niveau des prix est fondamental dans une société car il conditionne le chômage. En effet, les individus décident de travailler en fonction des prix. Si le prix du logement augmente, les individus chercheront à travailler davantage. Le niveau des prix détermine la volonté ou pas de travailler. L’inflation oblige au travail dans une durée que seule la banque centrale et les autorités financières décident. Vous travaillerez toujours plus pour courir après l’inflation.

    Si la monnaie était restée métallique, comme de l’or ou de l’argent, alors point de création monétaire artificielle possible car ces matériaux ont un poids et des caractéristiques faciles à contrôler pour le citoyen. Un individu qui veut créer de la monnaie doit trouver des mines d’or et est alors assujetti aux contraintes d’investissement naturelles. Si la quantité des biens présents dans l’économie augmente et que la quantité de monnaie reste la même, c’est-à-dire le même stock d’or, alors le prix des biens matériels diminuent par une simple division. Les contraintes de liquidités ne sont pas un problème. Un particulier peut faire fondre sa monnaie et diviser la pièce en 2 pour avoir une monnaie plus liquide. Nous entrons alors dans ce qu’aurait été la croissance jusqu’à aujourd’hui, c’est-à-dire une croissance déflationniste. Une augmentation des richesses matérielles issues du travail c’est-à-dire du mérite, de la créativité, de l’ingéniosité, de l’effort, du progrès technique en somme pour des valeurs monétaires qui diminuent.

    L’inflation détruit votre épargne, vos projets et vous maintient dans l’esclavage des temps modernes, le salariat. Elle profite au banquier grâce au paiement du taux d’intérêt et aux premiers détenteurs de cette nouvelle monnaie. Mais c’est une course en avant qui s’annonce, une course à l’endettement contre l’inflation. Les prix étant en augmentation, beaucoup d’individus n’ont pas les moyens d’entreprendre ce qui les condamne au chômage. Marx nous parle peu du rôle de la banque dans son analyse du capitalisme. C’est pourtant un château de cartes fragile reposant sur une monnaie frauduleuse. Au lieu de cela, seul un communisme lui a paru la solution logique à ces maux. Or, l’accumulation de capital est la même, au lieu d’une seule et grande entreprise internationale, on confie cela à un État tout-puissant. La liberté des fruits du travail de chacun n’étant pas assurée.

    Le dollar de la Réserve fédérale permet donc à ses créateurs de mettre en esclavage un territoire immense ainsi qu’une population importante, qui fournira le travail nécessaire à l’extraction et à la gestion de ressources nombreuses. Ce simple cours légal forcé d’une monnaie sans valeur est le tour de force de cette élite qui s’est donné les armes d’une domination mondiale. Seule une insurrection pacifique, qui consisterait à utiliser une autre monnaie métallique pour ses échanges, peut générer une économie saine et purificatrice parallèlement à celle en vigueur, qui utilise l’euro. Chaque individu peut dans la limite de ses moyens entamer ce changement.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • Interview d'Olivier Tournafond sur le lobby homosexuel :

    De nos jours la France semble vivre à l’heure de l’absurde. Comme écrit le président de CIVITAS Alain Escada, et on lui donne complètement raison, on assiste à « la légalisation de ce qu'on appelle pudiquement la procréation médicalement assistée, puis la gestation pour autrui, qui consiste en réalité à louer les ventres des femmes et à pratiquer la marchandisation de l'être humain pour permettre à des duos homosexuels, par définition stériles, de pouvoir acheter des enfants et de s'en prétendre les parents ». Suite à la tristement célèbre loi Taubira, les fonctionnaires viennent d’élaborer, pour le soumettre à l’Assemblée Nationale, un "Programme d'action gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre". Si ledit programme est appliqué à la lettre la France tournerait à l’ Hôpital Sainte-Anne, à l’asile d’aliéné. Pour comprendre tous les tenants et les aboutissants nous avons fait appel aux compétences d’Olivier Tournafond, professeur de droit à Paris, bien connu pour ses activités au nom des valeurs éternelles d’une France historique et catholique.

    VDLR. M.Tournafond, pourriez-vous nous expliciter ce nouveau texte sorti du creuset de l’administration française. Les enfants doivent-ils maintenant apprendre dès le berceau la différence entre un homosexuel et hétérosexuel. Et qu’est-ce en fait que la théorie du gender ?

    Olivier Tournafond. La théorie du gender n’est pas un canular que j’aurais inventé ; et pourtant je crois qu’elle dépasse l’entendement. C’est une théorie qui a été longuement concocté dans les années 70 dans les milieux gauchistes et féministes. Selon cette théorie les différences sexuelles ne seraient pas le résultat d’une réalité biologique et physiologique mais constitueraient seulement des préjugés sociaux qu’il faudrait éradiquer au nom de l’égalité entre les hommes et les femmes. Evidemment elle contredit la perception naturelle que nous avons tous des hommes et des femmes, ainsi que toutes les observations scientifiques des biologistes, car la différence sexuée touche tout le règne animal. Mais les groupes de pression ont accompli un travail de sape très important depuis maintenant une trentaine d’années. Et dans le régime oligarchique qui est le nôtre et qui porte le nom de « démocratie parlementaire » on sait que les groupes de pression peuvent avoir une influence considérable sur le législateur. Passant outre l’avis des gens sérieux et aussi de la majorité des citoyens, celui-ci a fini par prêter l’oreille à cette théorie pour le moins farfelue. Et elle est effectivement sur le point de devoir être enseignée notamment en France, dans les établissements scolaires, dans les tribunaux, paraît-il, bref, dans un certain nombre d’établissements publics avec en plus des sanctions pénales à la clé pour ceux qui seraient réfractaires… C’est un peu comme si on obligeait les gens à croire que la Terre est plate sous peine des sanctions pénales ! Et encore cette dernière théorie aurait-elle encore l’excuse de l’apparence, ce qui n’est même pas le cas de la théorie du « gender ». J’y vois forcément une nouvelle forme d’obscurantisme. Il serait peut-être intéressant de se pencher sur les causes de ce trouble mental collectif.

    VDLR. Nous avons décortiqué le soi-disant programme d’action et on avait relevé la phrase suivante : « Le fait de conseiller à un homosexuel de se corriger sera considéré comme une attitude sectaire ». Sauriez-vous nous éclairer là-dessus ?

    Olivier Tournafond. Cela relève plus du « droit-fiction » que de ce qu’il est convenu d’appeler « le droit positif ». En effet dans l’état actuel des choses, conseiller à un homosexuel de retrouver une attirance hétérosexuelle ne peut pas être poursuivi devant les tribunaux. Mais on peut imaginer qu’une législation à caractère totalitaire intervienne et c’est sans doute ce à quoi certains travaillent d’arrache pied. Déjà il existe un certain nombre de précédents inquiétants: par exemple le simple fait de critiquer certaines minorités est passible de sanctions pénales. Rappelez-vous le député Vanneste qui, pour avoir dit que le mode de vie homosexuel, était selon lui « inférieur » au mode de vie hétérosexuel parce qu’il ne permettait pas de produire d’enfants, a été poursuivi pendant de très nombreuses années devant les juridictions répressives. Vanneste a finalement été complètement blanchi par la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation, mais après de très longues années de procédure. On sait bien maintenant que l’on ne peut plus parler ouvertement de certaines choses en France parce qu’il y a des lois qui instituent des délits d’opinion.

    VDLR. Vous êtes aussi un fervent défenseur de la culture historique de la France aussi bien que de sa religion. Or le projet de loi Taubira implique que « les nouveaux immigrés se déclarant homosexuels et discriminés pour cette raison dans leur pays d'origine pourront s'établir en France ». Donc la France deviendra un déversoir de tout ce beau monde, c’est bien cela je présume ?

    Olivier Tournafond. Là aussi on pousse le raisonnement à ses conséquences ultimes. Mais l’expérience politique a démontré que les conséquences ultimes arrivaient malheureusement... Pour citer des exemples tirés du passé, on peut évoquer les programmes ahurissants de Lénine et d’Hitler que personne au départ ne prenait aux sérieux. A chaque fois il n’était pas évident que ces idéologues iraient jusqu’au bout de leur logique infernale. On haussait les épaules…Mais finalement ils les mirent bel et bien en application ces programmes ! Et d’autant plus facilement que personne n’y croyait…Et la farce sinistre se traduisit par des millions de morts et la dévastation de la Civilisation europénne ! On peut donc être légitimement échaudé par tous ces précédents et éprouver une inquiétude légitime devant les projets à la fois loufoques et sinistres de certains ministres en mal de reconnaissance. Avec la pression des lobbies et l’ambition politique tout est possible… On peut donc en effet dès maintenant extrapoler un certain nombre de conséquences de ce projet de loi, qui d’ailleurs sont déjà partiellement en application parce qu’il y a je crois déjà à l’heure actuelle la possibilité de demander l’asile homosexuel... Je dois vérifier les textes mais je crois que ça existe. Quoi qu’il en soit, vous avez vu juste, beaucoup de gens de tendance homosexuelle pourront être tentés de venir pour profiter des avantages d’une société, en outre particulièrement généreuse en matière de redistribution et de prestation sociale ! Et ce sera d’autant plus tentant que beaucoup de pays du Moyen Orient, d’Amérique Latine et même d’Europe comme la Russie ont des législation défavorables à l’homosexualité comme à d’autres variantes sexuelles discutables. Je ne cherche pas à porter un jugement moral, car on sait que la sexualité est un univers tout à fait à part qui relève de la vie privée de chacun et de la liberté individuelle. Mais au fond, justement ce que veulent les oligarques qui dirigent la France, c’est aller bien au-delà de cette liberté de la vie privée qui est désormais acquise et imposer ces variantes sexuelles comme de nouveaux modèles sociaux à part entière. Autrement dit, alors que les gens peuvent avoir la vie sexuelle qui leur convient, dans l’indifférence générale et sans être le moins du monde persécutés, on veut maintenant inverser les valeurs et prôner ces phantasmes sexuels comme de nouveaux modèles sociaux dignes d’être défendus par le droit et dans le monde entier. C’est tout simplement grotesque ! C’est comme si je vous disais que désormais les adeptes de sado-masochisme pourront avoir leurs propres mariages, leurs propres institutions, leur reconnaissance sociale et qu’ils pourront recevoir l’asile s’ils sont persécutés dans certains pays. Encore une fois, je ne m’inquiète guère des pratiques sado-masochistes, qu’elles soient « soft » ou « hard », car elles relèvent de fantasmes sexuels qui touchent à la vie intime et peuvent même servir de soupape de sureté. Mais cette facette de la vie privée ne doit pas être consacrée comme un modèle social à imiter. Bref, mon inquiétude est provoquée par ce désir de transformation d’un fantasme en modèle social universel. La réside le mal à mon avis, et non pas tant pas dans les pratiques elles-mêmes. Il est dans la confusion des genres ; dans l’amalgamme de la vie sociale et de la vie intime ; dans la perte de toutes les valeurs collectives.

    VDLR : La France ne frôle plus le désastre. Elle plonge dans les profondeurs abyssales de l’irrationnel idéologique en renonçant à la dignité des sexes, à la dualité de la nature humaine, à son histoire, à sa religion, aux principes de la diplomatie internationale, comme l’intangibilité des frontières. Le pays qui a été le phare de l’humanité ne dépérit même plus. Il pourrit maintenant, en contaminant les pays en voie de développement. Comment peut-on enseigner le respect de la culture française quand le pays entier devient une référence inversée, un cas complètement à part ! Et comble du fanatisme politique, la sénatrice Rossignol a déclaré récemment à la télévision : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat ». Le Führer doit applaudir dans l’eau-delà, car le projet n’est pas seulement totalitaire mais devient carrément hitlérien. On y refuse à un être humain jusqu’au droit d’être Européen, Chrétien et Parent… Pauvre France !

    Alexandre Artamonov, La Voix de la Russie

    http://www.actionroyaliste.com/

  • Interdiction du « Printemps Français »: les tontons macoutes sont de retour…

    À l’approche de la grande manif pour tous du 26 mai, notre très zélé ministre de l’intérieur, qui a de la suite dans les idées, s’apprête à frapper un grand coup contre ceux qui troublent à ses yeux, l’ordre public (voir notre communiqué). C’est-à-dire ses opposants. Je ne parle pas de la droite parlementaire avec laquelle par le jeu de l’alternance, les socialistes partagent le gâteau.

    Non, il s’agit des Français que personne n’écoute et qui sont de plus en plus nombreux à se mobiliser. Frigide Barjot elle-même n’en croit pas ses yeux :

    Il existe une France insoupçonnée, qui ne fréquente ni le Fouquet’s , ni la rue de Solferino et qui ne croit plus aux promesses du « demain on rase gratis ».

    Cette France a décidé de dire non à une loi portée par quelques individus branchés, rencontrés dans les cocktails de Matignon ou de l’Elysée et dûment sponsorisés par ceux là même qui financèrent la campagne du chef de l’État.

    Alors que fait un gouvernement brutal et autoritaire devant une opposition qui grandit, s’étend et dépasse les clivages habituels ?

    Il cogne.

    Les gens du Printemps Français dérangent, car non seulement ils ne veulent rien lâcher concernant la loi Taubira, mais il semble qu’ils tirent un enseignement fort intéressant, et sur lequel il faudra revenir après le 26, à propos de la légitimité d’un gouvernement, voire d’un régime, qui n’a d’autre option que le gourdin comme mode d’administration du pays. Le ministre de la « violence » voudrait s’en prendre à une montée fantasmée de l’ extrême droite, ce qui servira une fois de plus de justification absolue aux coups de matraques et jets de gaz , gardes à vues abusives, poursuites pénales et autres mises en scènes médiatiques et dramatiques au sein de la Manif pour tous.

    Ce qui est attristant c’est que le premier flic de France cognera avec la bénédiction hallucinée de la porte parole officielle de LMPT, laquelle nonobstant son patronyme amusant, s’est vraiment prise au sérieux et a perdu son humour décalé qui la rendait si sympathique auparavant et qui devient si ridiculement étrangère au mouvement aujourd’hui.

    Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le lavage de cerveau dans les camps Viêts Minh

    Le lavage de cerveau dans les camps

    « J’ai eu l’occasion de comparer les méthodes des Nazis et des Viêts. Juifs, Tziganes, Résistants de tous bords, s’ils nous réduisaient en une sous-humanité, les nazis ne cherchaient pas à nous convertir. Par la faim, les privations, les Viêts nous amenaient au même état que les nazis, mais ils exigeaient en plus que nous adhérions à leur système, en reniant toutes nos valeurs, notre foi en la justice, en notre pays. »

    Colonel Eric WEINBERGER,

    ancien déporté à Buchenwald et prisonnier du Vietminh

    Chronique de l'horreur et du goulag

    « Les mensonges écrits avec de l’encre ne sauraient obscurcir la vérité écrite avec du sang ».

    Lu Xuan

    écrivain chinois.

    Introduction

    A l’instar de ce qui se passa dans tous les pays communistes, URSS et Chine en particulier, le lavage de cerveau fut pratiqué dans la plupart des camps de prisonniers du Viet Minh. Les modalités en varièrent en fonction des zones géographiques, des périodes de la guerre, et de la nature de la population carcérale : européens, maghrébins, africains, asiatiques.

    Il eut sur les détenus un impact psychologique certain et causa la mort d’un grand nombre d’entre eux.

    Il découle des principes fondamentaux du marxisme léninisme qui cherche à imposer aux « masses» une pensée unique. Et, selon le général Giap, le commandant en chef de l’Armée populaire de la République démocratique du Vietnam, c’est un procédé d’action à l’intention du peuple et de l’ennemi, considéré comme l’instrument du « prosélytisme populaire du communisme ».

    Pour en comprendre les mécanismes, il faut d’abord remonter aux sources du marxisme-léninisme ferment de la « rééducation permanente » pratiquée au détriment de tout captif. Sa culpabilité est établie à priori et proclamée comme postulat de base, puisqu’il est entre les mains de la Révolution.

    Il y a lieu ensuite de décrire la manière dont elle fut mise en œuvre au sein du Viet Minh par le Dich Van, organisme chargé de l’action psychologique à l’égard de l’ennemi.

    De là découle le processus de son adaptation à la mentalité des prisonniers, sous une forme insidieuse, et cynique, en exploitant le meilleur et le pire de l’être humain, ses angoisses et ses espoirs, son isolement et son délabrement physique et moral.

    La doctrine : de Marx à Ho chi minh

    Le lavage de cerveau et les hommes qui le mirent en œuvre furent imprégnés des doctrines du marxisme-léninisme et de l’internationalisme prolétarien. Ces hommes furent Ho-Chi-Minh, Pham-Van-Dong, Le-Duc-Tho, Le-Duan, et Vo-Nguyen-Giap.

    Ces personnages jouèrent un rôle clé dans la création en 1930 puis l’évolution du parti Communiste Indochinois, le LAO-DONG rattaché au Komintern. Il donna naissance à une organisation patriotique, le « Vietnam doc lap dong minh hoï » dont la branche militaire devint le Viet-Minh, qui canalisa et absorba tous les mouvements patriotiques à son profit.

    S’inspirant des écrits de Mao-Tsé-Tung, « le grand frère chinois », Giap élabora les règles de la prise en main et de l’exploitation des masses par la propagande. Il définit le lavage de cerveau comme le prosélytisme, populaire du communisme, susceptible de retourner le peuple pour l’amener à détruire l’ordre ancien et à créer un monde nouveau.

    Pour pratiquer cette stratégie d’enrôlement des masses, il faut recruter des cadres entreprenants, intègres et convaincus, les can-bôs.

    Toujours sous l’influence du « Grand timonier » (Mao), il crée en particulier le DICH-VAN chargé de l’action et du prosélytisme à l’égard de l’ennemi,qui se consacrera particulièrement aux prisonniers de toutes races et nationalités issus du CEFEO (Corps Expéditionnaire Français d’Extrème Orient), et aux déserteurs provenant aussi de celui-ci.    

    Ses principes d’action étaient tirés du Petit Livre Rouge de Mao où était écrit : convaincre progressivement une population neutre en recourant à un mélange de terrorisme sélectif, d’intimidation, de persuasion et d’agitation massive.

    L’ensemble des règles et théories découle des œuvres des penseurs initiaux du matérialisme dialectique et du déterminisme historique, en un mot du bolchevisme inspiré par le stalinisme triomphant.

    En effet le PCI (Parti Communiste Indochinois), transformé en Parti du Travail, inscrit dans ses statuts dès 1951 : « Le parti du travail reconnaît la théorie de Marx, Engels, Lénine, Staline et les idées de Mao-Tsé-Tung, adaptées à la Révolution vietnamienne, comme fondement théorique de sa pensée, et comme l’aiguille aimantée qui indique la direction de toutes ses activités ».

    Découlant de tout cela, l’émulation socialiste et le stakhanovisme appelant chacun à se dépasser pour accéder au camp de la paix, provoqueront la mort de nombreux prisonniers, hantés par la promesse et le mirage d’une libération inconditionnelle, présentée comme l’ultime récompense de leur conversion et des efforts faits par eux pour devenir des hommes nouveaux.

    En 1950, après la défaite de Tchang-Kaï-Shek, réfugié à Formose, la Chine de Mao (qui désormais borde le Tonkin), reconnaît le régime d’Ho-Chi-Minh, et va lui fournir une aide substantielle, en particulier des conseillers en rééducation. Fort de cette assistance nouvelle, Giap intensifie avec succès ses actions contre le CEFEO, qui se vide peu à peu de son sang.

    Le nombre des militaires du CEFEO, capturés, répartis dans une centaine de lieux de détention, s’élèvera à 37979 dont 28% seulement survivront, soit 10754. Leur mortalité sera donc supérieure à celle des camps de déportations nazis considérés déjà comme la honte de l’humanité.

    Le niveau des effectifs dans les camps ne cessa de fondre en dépit de la constante arrivée de nouveaux captifs qui ne parvenait pas à compenser la forte mortalité journalière.

    L’organisation des camps fut la tâche du « Bureau central des prisonniers de guerre »,département ministériel (Khu) intégré au Ministère de la Défense, et chargé de tirer le meilleur parti de ces « otages », qualifiés « d’hôtes forcés de l’accueillant peuple vietnamien ».

    Un journaliste français, Léo Figuières, membre du Bureau Central du PCF (Parti Communiste Français), envoyé au Tonkin en octobre 1950, conseilla de sauvegarder ce patrimoine humain pour l’utiliser le jour venu comme monnaie d’échange et favoriser ainsi des contacts susceptibles d’ouvrir la voie à des pourparlers de paix. Il proposa aussi de l’inoculer la doctrine Marxiste au Corps Expéditionnaire par petites doses savamment calculées sous la forme de prisonniers convertis au combat pour la paix et libéré de façon "inconditionelle".

    Le Dich Van

    « N’est pas révolutionnaire qui a pitié de quelque chose dans le monde ».

    Catéchisme du révolutionnaire de Nétchaïev

    En charge de l’Action psychologique à l’encontre de l’ennemi, au sein de son dispositif, le Dich Van met en œuvre les actions de formation et de rééducation, ainsi que celles de la persuasion morale auprès des prisonniers de guerre (appelés thu-binh), en appliquant un principe simple : exclure tout esprit d’humanité.

    Cette doctrine, conforme aux règles élaborées par Giap, fut mise au point avec la participation déterminante du PCF, qui envoya de nombreuses délégations au Tonkin et y maintient des permanents. Il sugerra les données de l'endoctrinement et de la persuasion, les notions d'homme nouveau et de combattant de la paix devant aboutir aux libérations inconditionnelles.

    Maurice Thorez était conscient du bénéfice à en tirer. Il délégua en permanence dans le maquis un certain André, qui y joua un rôle modérateur. La liaison avec le Lao-Dong fut maintenue par de nombreuses délégations parmi lesquelles doit être citée l’Union des femmes françaises, qui garda un contact étroit avec le Viet Minh à Prague.

    La ligne politique du Tong Bô

    (Bureau politique du Lao Dong, le parti communiste indochinois)

    Elle fut définie entre 1950 et 1952, avec la participation des conseillers français et chinois. Elle retint trois idées majeures : la clémence du Président Ho-Chi-Minh, le combat pour la paix et le rapatriement du Corps Expéditionnaire. Ceci impliquait l’usage constant de l’autocritique et le principe de la responsabilité collective, la hiérarchie et le groupe faisant confiance aux prisonniers, au lieu de les châtier pour leurs crimes.

    En contrepartie, toute tentative de fuite (évasion) étant considérée comme une trahison de cette confiance et une désertion déshonorante du camp de la paix, méritait un châtiment exemplaire : la peine de mort. Il fut appliqué au commandant de Cointet et au lieutenant Chaminade fusillés à Tuyen-Quang en 1951,après l’échec de leur évasion.

    Dès lors étaient crées les conditions de la dépersonnalisation de l’individu qui, privé de ses repères, était amené à s’identifier à la masse, et à porter ses jugements en fonction des tendances de celle-ci,évidemment manipulée par le Can Bô. Le groupe secrettait ainsi sa propre police interne entraînant, sans déviance possible, l’individu sur la voie du combat pour la paix dont dépendait la fin du conflit, c’est-à-dire le rapatriement si ardemment souhaité. Entre temps pouvait survenir pour les plus méritants une libération inconditionnelle anticipée.

    Les esprits déboussolés devenaient hallucinés par le mirage de la libération condition de leur survie.

    S’inspirant des expériences soviétiques et chinoises, le Tong-Bô définit les normes établissant la durée de rééducation nécessaire à l’obtention d’un résultat tangible à l’action entreprise : 12 à 18 mois pour un homme du rang : 18 à 24 pour un sous-officier ; deux à trois ans pour un officier. Quant aux « réfractaires », dits « irréductibles », ils étaient inutiles et dangereux, et devaient être impitoyablement éliminés.

    L’effarante mortalité contraignit le Dich-Van à revoir à la baisse ces normes, car elles dépassaient largement l’espérance de vie du prisonnier moyen : six à neuf mois pour un européen !

    Nul n’a le droit de juger les réactions des gens à ce traitement s’il ne l’a lui-même subi, et connu les horreurs de la vie carcérale où, selon J.J. Beucler : « La pénurie, le climat et la désespérance suffirent à détruire les corps les plus robuste et les âmes les mieux trempées ».

    Tout au long du conflit, des prisonniers de tous grades et nationalités furent donc libérés individuellement ou collectivement, dans les lieux les plus divers et des conditions toujours différentes.

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  • Vers un réveil de la société civile française ?

    La question que bon nombre de Français se pose est écrite : 

     

    "À l'instar du mouvement Tea Party aux États-Unis, le peuple va-t-il finir par se lever en masse pour réclamer justice ?"

     

    Une première réponse :

     

    "Certes, la France n’est pas l’Amérique. Mais le temps politique s’accélérant chez nous sous l’influence conjuguée de la faillite de l’État-providence et de l’impuissance grandissante de nos élites déconsidérées, nous assistons, comme aux États-Unis avec le mouvement des Tea Party, au réveil de la société civile française.

    Rien n’est plus noble que le Tea Party, qui, finalement, n’est rien d’autre que l’expression d’une résistance assumée à l’oppression du pouvoir politique dès lors que celui-ci, au mépris des textes et en particulier de la Constitution, tente d’imposer sa tyrannie en outrepassant les limites imposées par la loi fondamentale.

    En France, le Tea Party est ressenti, en particulier au sein de notre classe politique en admiration béate devant Barack Obama, comme un mouvement d’extrême droite alors qu’il s’agit de tout autre chose : la réaction indignée de colonisés contre une tentative de racket légal fomentée en l’occurrence par le colonisateur britannique :

    Le 16 décembre 1773, soixante Bostoniens nommés les Fils de la liberté grimpèrent à bord des trois navires (...) costumés en Amérindiens (...) Silencieusement, entre 18 et 19 heures ils ouvrirent les tonneaux et jetèrent 342 caisses de thé par-dessus bord, puis ils les refermèrent pour les remettre à leur place, vides (Wikipedia).

    Est-il besoin de rappeler, tant cela tombe sous le sens, que l’article 2. de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 stipule : "Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression" ?" (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Français en révolte - Champs Elysées


    Français en révolte - Champs Elysées - 20130525 par Le_Salon_Beige