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  • L’Aubé dorée “accorde” le passage gratuit aux péages autoroutiers.

    Grèce. L’Aube dorée a organisé une manifestation afin de dénoncer le fait que les automobilistes grecs doivent payer pour l’utilisation des autoroutes, alors que le coût de celles-ci a déjà été largement assumé par les payements des usagers.

    Les nationalistes sociaux ont occupé les postes de péage dans toute la Grèce afin de laisser passer gratuitement les automobilistes qui, pour la plupart, se rendent dans leur famille à l’occasion de la fête [orthodoxe] de Pâques. L’augmentation des prix des péages autoroutiers, suite à l’intervention de la Troïka, a rendu impossible pour nombre de Grecs le fait d’assumer le coût financier des transports vers l’endroit où vit leur famille.

    Les militants de l’Aube dorée ont distribué le magazine du parti aux automobilistes afin de dénoncer l’attitude des médias du système à l’égard du parti.

    Voir les photos

    http://fr.altermedia.info

  • Alain Gérard : Vendée, les archives de l’extermination

    massacres Vendée
    Le Massacre des Lucs-sur-Boulogne, vitrail de l’église paroissiale.

    L’historien Alain Gérard vient de publier les archives des témoignages sur les massacres subies par les habitants de l’ouest de la France pendant la Révolution. La majorité de ces archives viennent des révolutionnaires eux-mêmes, les victimes étant mortes, et les rescapés peu ou pas du tout lettrés, sauf de rares exceptions.

    Ce que fait remarquer l’historien c’est que des « générations d’historiens ont eu beau scruter les archives à la recherche de l’ordre écrit décisif qui réintégrerait l’impensable dans un semblant de logique commune. Et ils ont bien trouvé des éléments dont il faudra tirer parti, mais il faut bien l’admettre : personne n’a, à ce jour, découvert d’ordre écrit adressé par le Comité de salut public ou par la Convention à Carrier de noyer les rescapés de la Virée outre-Loire, ni à Turreau de détruire l’ensemble de la population vendéenne. Vous voyez bien, triomphent les négationnistes, il n’y eu que des violences, regrettables certes, mais inséparables des guerres civiles, à replacer dans le contexte des mentalités du temps et des luttes de factions : ces gens ont été victimes des circonstances.

     

    Mais si effectivement aucun ordre écrit d’extermination n’a été donné, comment comprendre que Carrier, Turreau et d’autres aient pu s’en faire les agents, en un temps où tout général et même tout représentant en mission se sait étroitement surveillé ? Comment de surcroît interpréter le reflux, à partir de 1794, de la terreur exercée en Vendée, au moment où justement la Révolution glisse massivement vers la Grande Terreur, qui sera officialisée par la loi du 22 prairial ? Et d’abord, pourquoi l’émergence d’un système aussi affranchi du droit et de l’humanité, et qui ne peut s’expliquer par les circonstances, puisqu’à l’intérieur les factions sont vaincues et que la situation est rétablie sur les frontières ? La Vendée, parce que c’est le lieu où la terreur a exercé ses plus grand ravages, pourrait bien constituer le lieu privilégié par où observer ses mécanismes intimes ».

    Cette recherche est d’autant plus intéressante que la chose s’est répétée puisque d’autres négationnistes font remarquer qu’on n’a trouvé aucun ordre écrit d’Hitler ordonnant l’extermination des juifs.

    L’historien nous guide dans une réflexion où « le déni précède le crime » : « Alors que le moindre tyran est censé endosser ses forfaits, ce qui est neuf ici, c’est que le déni précède le crime » et invente « le massacre démocratique ».

    Alain Gérard conclut que « le plus stupéfiant, dans toute cette histoire, est peut-être le silence de Robespierre. Un silence assourdissant, alors que l’examen de ses papiers présenté par Courtois à la Convention le 5 janvier 1795, prouve qu’il est abondamment renseigné sur l’extermination en cours ».

    Pour ce qui est de la lecture de ces massacres, âmes sensibles s’abstenir.

    GÉRARD Alain, Vendée, les archives de l’extermination, éditions du Cvrh, 2013.

    http://histoire.fdesouche.com

  • La théorie du genre : prochaine bataille ? Après Taubira, Peillon ?

    Une analyse d’Yvan Blot. -
    « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel », a déclaré Vincent Peillon. Pour le ministre socialiste de l’Education « le gouvernement s’est engagé à s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités, notamment par une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ». D’où l’importance accordée à la propagande pour la théorie du genre qui sera enseignée, selon la loi Peillon sur la « refondation » (sic) de l’école, dès six ans. Pour le député socialiste Julie Sommaruga, il s’agit de « substituer à des catégories comme le sexe ou les différences sexuelles, qui renvoient à la biologie, le concept de genre qui, lui, au contraire, montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites ». Polémia présente ici un texte original d’Yvan Blot décortiquant les origines de la théorie du genre, montrant le rôle des Anglo-Saxons dans sa promotion et la rupture idéologique et géopolitique entre l’Occident et la Russie sur ce sujet.
    Polémia

    La théorie du genre : le triomphe de l’ « immonde »

    Le « mariage pour tous » est une revendication issue de la « gender theory » ou théorie du genre, venue d’Amérique. Le fondateur, John Money, fut responsable du suicide d’un de ses patients qu’il avait voulu faire changer de sexe. Mais la théorie, inspirée aussi d’auteurs français comme Simone de Beauvoir ou Jean Derrida, n’a pas cessé de progresser en Occident, partant du milieu universitaire mais relayé ensuite par des groupes de pression et par les médias.

    Elle affirme que le genre (masculin, féminin) est imposé par la société et n’a rien à voir avec le sexe biologique. Elle est d’essence matérialiste et égalitariste et constitue une idéologie et non un acquis scientifique.

    Critiquée par la majorité de l’opinion (lorsqu’elle en est informée), par les scientifiques (notamment au CNRS en France), par les responsables religieux, elle a de plus en plus force de loi en Occident qui connaît une coupure Est/Ouest croissante. Alors que la théorie du genre modifie le droit familial et assure la promotion de l’homosexualité, la Russie a adopté cette année une loi interdisant la propagande homosexuelle auprès de la jeunesse. Elle a été critiquée pour cela par l’Union européenne (Madame Ashton) et par les Etats-Unis mais elle maintient sa politique en faveur de la famille (création d’une fête de la famille) et de la natalité (capital naissance) malgré l’opposition des Occidentaux et des organisations internationales (le secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon défend la théorie du genre et prône l’arrêt de toute aide aux pays pauvres qui n’adoptent pas des lois en faveur de la « diversité sexuelle », notamment l’homosexualité).

    La théorie du genre, dans sa forme extrémiste, veut supprimer les notions de famille et de lignée, et « déconstruire » la société actuelle au profit d’une société d’individus déracinés interchangeables, conformes au besoin de l’économie mondialisée.

     Yvan Blot http://www.polemia.com
    4/05/2013
    On lira l’analyse approfondie de la théorie du genre par Yvan Blot, en Pdf, Pdf, en cliquant

  • Lyon subventionne le Conseil régional du culte musulman

    Lu sur Lyon Mag :

    "Le candidat FN pour les prochaines municipales à Lyon n'a pas digéré le vote d'une subvention lundi lors du conseil municipal. Cette dernière, qui atteint 16 000 euros, sera versé au Conseil régional du culte musulman dont le siège se trouve à Villeurbanne. L'équipe de Gérard Collomb se défend de financer un culte et indique promouvoir "des activités culturelles, de médiation et de cohésion  sociale" du CRCM ainsi que leur volonté d'encourager le dialogue inter-religieux.

    " S'il veut financer certains cultes qu'il le dise et qu'il l'assume et qu'il ne trouve pas un vague prétexte culturel ou social à des subventions clairement clientélistes et communautaristes, s'emporte  Christophe Boudot, secrétaire départemental du Front National. Le maire  de Lyon se moque une nouvelle fois des Lyonnais. (...) La vision de la  société de Gérard Collomb n'est pas la mienne. Alimenter l'islam et promouvoir une religion dans une France qui obéit encore, au moins, dans les textes, au principe de laïcité n'est pas ma conception de la France républicaine une et indivisible. La vérité, est que monsieur Collomb et  les socialistes, complétement dépassés par le phénomène de violence  urbaine  par celui de l'immigration incontrôlée et celui du  développement des communautarismes doivent continuellement acheter la  paix sociale pour ne pas voir sombrer les grands centres urbains dans le chaos."

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com

  • Vies contre profits

    par Joseph Stiglitz

    La Cour Suprême des Etats-Unis vient d’entamer ses délibérations sur une affaire qui met en lumière une question profondément problématique concernant les droits de propriété intellectuelle. La Cour doit répondre à la question suivante : les gênes humains – vos gènes – peuvent-ils être brevetés ? En d’autres termes, quelqu’un peut-il essentiellement être autorisé à détenir le droit de, disons, tester si vous avez un ensemble de gènes qui implique que vous avez plus de 50% de probabilité de développer un cancer du sein ?

    Pour ceux qui sont étrangers à l’univers mystérieux du droit de la propriété intellectuelle, la réponse semble évidente : Non. Vous êtes le propriétaire de vos gènes. Une entreprise peut détenir, au mieux, la propriété intellectuelle sur son test génétique ; et parce que la recherche et le développement nécessaires au développement de ce type de test peuvent entrainer un coût considérable, l’entreprise pourrait à juste titre faire payer le fait de le pratiquer.

    Mais Myriad Genetics, une entreprise basée dans l’Utah, prétend à plus que cela. Elle prétend détenir les droits sur tous les tests visant à rechercher la présence des deux gènes associés au cancer du sein – et a appliqué ce droit de manière impitoyable, bien que leur test soit inférieur à un test que l’Université Yale était disposée à proposer à un prix nettement inférieur.

    Les conséquences ont été tragiques : un test approfondi et abordable qui identifie les patientes à haut risque sauve des vies. Empêcher de tels tests coûte des vies. Myriad est l’exemple parfait d’une corporation américaine pour laquelle le profit prend le dessus sur toute autre valeur, y compris celle de la vie humaine.

    Voici un cas particulièrement poignant. Normalement, les économistes discutent de compensations : des droits de propriété plus faibles, dit-on, seraient un frein à l’innovation. L’ironie ici est que la découverte de Myriad aurait de toute façon été faite, compte tenu des efforts internationaux mis en œuvre, et financés par des fonds publics, pour décoder l’ensemble du génome humain qui a été une remarquable avancée des sciences modernes. Les bénéfices sociaux de la découverte antérieure de Myriad ont été minimisés par les coûts imposés par son impitoyable recherche de profit.

    Plus généralement, on admet aujourd’hui que l’actuel système des brevets impose des coûts sociaux conséquents, et ne contribue pas à tirer le meilleur parti de l’innovation – comme le démontrent les brevets de Myriad liés à la génétique. Car après tout, Myriad n’a pas inventé les technologies utilisées pour analyser les gènes. Si ces technologies avaient été brevetées, Myriad n’aurait peut-être pas été en mesure de réaliser sa découverte. Et le contrôle étroit de ses brevets a freiné le développement par d’autres de tests meilleurs et plus fiables pour la recherche de ce gène. Le problème est simple : Toute recherche est basée sur des recherches antérieures. Un système de brevet mal conçu – tel que le nôtre – peut freiner la poursuite des recherches.

    C’est la raison pour laquelle nous n’autorisons pas de brevets dans la recherche mathématique fondamentale. Et c’est pourquoi la recherche démontre que breveter les gènes limite la production de nouvelles connaissances en matière génétique : la plus importante contribution à la production de nouvelles connaissances est la connaissance antérieure, à laquelle les brevets freinent l’accès.

    Heureusement, ce qui motive les avancées les plus significatives en matière de connaissances n’est pas le profit, mais la propre poursuite de la connaissance. Cela est vrai de toutes les découvertes et innovations transformatives – l’ADN, les transistors, les lasers, l’Internet, etc.

    Une toute autre affaire juridique américaine a mis en lumière l’un des principaux dangers du monopole induit par les brevets : la corruption. Dans la mesure où les prix excèdent largement les coûts de production, de considérables profits peuvent être obtenus en persuadant les pharmacies, les hôpitaux, ou les médecins de se fournir chez vous plutôt qu’ailleurs.

    Le procureur du district sud de la ville de New York a récemment accusé le géant pharmaceutique suisse Novartis de faire exactement la même chose en donnant illégalement des dessous de table, honoraires, et autres bénéfices aux médecins – soit exactement ce qu’il avait promis de ne pas faire à la suite d’une affaire similaire qui remonte à trois ans.

    Public Citizen, une association de consommateurs américaine a en effet calculé que rien qu’aux Etats-Unis, l’industrie pharmaceutique a payé des milliards de dollars en conséquences de décisions de justice et d’accords financiers entre les firmes pharmaceutiques et les gouvernements d’états et fédéral.

    Malheureusement, les Etats-Unis et les pays avancés font pression pour un renforcement des régimes de la propriété intellectuelle partout dans le monde. De tels régimes vont limiter l’accès des pays pauvres à la connaissance dont ils ont besoin pour leur développement – et priver de médicaments génériques salvateurs les centaines de millions de personnes qui n’ont pas les moyens de payer les prix imposés par le monopole des firmes pharmaceutiques.

    Cette question est d’ailleurs âprement discutée dans le cadre des négociations continues de l’Organisation Mondiale du Commerce. L’accord de propriété intellectuelle de l’OMC, l’ADPIC (TRIPS en anglais, ndt) avait à l’origine prévu une extension de « flexibilités » pour les 48 pays les moins développés dont le revenu annuel par habitant est inférieur à 800 dollars. L’accord original paraît remarquablement clair : l’OMC devra étendre ces « flexibilités » à la demande des pays les moins développés. Mais alors que ces pays ont fait la demande de ces « flexibilités », les Etats-Unis et l’Europe semblent hésitants à les obliger.

    Les droits de la propriété intellectuelle sont des règles que nous créons – et qui sont supposées améliorer le bien-être social. Mais les régimes de propriété intellectuelle déséquilibrés mènent à des inefficacités – comme les profits obtenus par monopole et une incapacité à maximiser l’utilisation des connaissances – qui freinent le rythme de l’innovation. Et comme le démontre le cas Myriad, ils peuvent aussi entrainer la perte de vies humaines.

    Le régime de propriété intellectuelle américain – et le régime que les Etats-Unis sont parvenus à imposer au reste du monde avec l’accord ADPIC – est déséquilibré. Nous devrions tous espérer que par sa décision dans l’affaire Myriad, la Cour Suprême contribuera à la création d’un cadre plus sensible et plus humain.

    PROJECT SYNDICATE  http://fortune.fdesouche.com

  • La nourriture industrielle nous empoisonne

    En France, l’industriel Euralis est accusé de se servir de foies malades pour fabriquer son foie gras :

    Philippe Lapaque, dit avoir vu passer sous ses mains de gaveur des volatiles malades.  »De toutes sortes de pathologies : une sorte de grippe, les yeux qui coulent, les diarrhées ou la maladie qui entre autres atrophie la croissance et rend les canards nains, rachitiques, avec des os aussi fragiles que du verre« . Très choqué par ce qu’il a vu, Philippe Lapaque dit avoir rapidement arrêté son activité, notamment après avoir vu les formateurs d’Euralis conseiller l’utilisation de médicaments sur les canards, une pratique proscrite. « Nous avons des notes de techniciens d’Euralis préconisant à ces gaveurs d’augmenter les doses de sulfate de cuivre pour lutter contre les maladies, c’est ce qu’on met dans les piscines pour lutter contre les mousses« , explique l’avocat des gaveurs.

    Lire la suite sur le site de France Info…

    En Chine, ce sont de bons petits plats préparés à base de rats que l’industrie propose :

    Ainsi, des détaillants de la province du Jiangsu (au nord de Shanghai) ont vendu de la viande de rat ou de renard qu’ils ont mélangé à une solution de produits chimiques. Dans la province de Guizhou, le ministère a retrouvé des plats à base de pattes de poulets assaisonnées à… l’eau oxygénée. D’après le ministère, cette enquête a démarré en mars dernier après la découverte de milliers de cochons morts déversés dans des rivières dans la région de Shanghai

    Lire la suite sur le site de la Tribune…

    Bon appétit !

    http://www.contre-info.com/

  • 3ème grande marche aux flambeaux en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc à Bordeaux !

    Venez nombreux honorer à Bordeaux, le 1er juin, la sainte de la patrie. Rendez-vous à tous les patriotes à 21h00, devant la Cathédrale de Bordeaux, pour une marche aux flambeaux ! Français levez-vous, notre nation ne doit pas tomber! Ne les laissez pas faire !

    http://www.contre-info.com/

  • 84 milliards : coût budgétaire de l’immigration selon le rapport Posokhow

    La Seine-Saint-Denis est l’un des départements où il y a le plus d’immatriculations de véhicule de grosse cylindrée. C’est aussi le département métropolitain qui coûte le plus cher au budget de l’Etat. Mais c’est « les yeux grands fermés » (Michèle Tribalat) que les médias observent l’immigration. Il s’est même trouvé un universitaire lillois pour affirmer que l’immigration rapportait plus qu’elle ne coûtait : sans doute, pour M. Chojnicki, le moyen le plus facile de se faire connaître, à défaut d’être bien… sérieux. Toutes les autres études concluent au contraire à un surcoût budgétaire dû à l’immigration : de 17 milliards dans la dernière étude de Jean-Paul Gourévitch (2012) ; de 42 milliards chez Pierre Milloz (1997) dont l’étude ancienne continue de faire référence par sa rigueur méthodologique, de 73 milliards chez Yves-Marie Laulan (2012). Jean-Yves Le Gallou a, lui, évalué à 18 milliards le seul coût d’entrée et d’accueil des 200.000 immigrés supplémentaires annuels (coût en infrastructure notamment).

    Omerta statistique et différences de périmètre d’étude

    Ces écarts de chiffres peuvent légitimement surprendre mais ils s’expliquent de trois façons :

    - d’abord, par l’omerta statistique qui rend l’accès aux données difficile et qui implique de poser des hypothèses ;
    - ensuite, par les définitions retenues pour les populations étudiées ;
    - enfin, par le périmètre des dépenses et des recettes analysé.

    Polémia présente ici le rapport d’André Posokhow, auditeur, consultant, diplômé d’expertise comptable.

    André Posokhow aboutit au chiffre de 84 milliards : l’équivalent du déficit public.
    Ce chiffre, plus élevé que celui d’autres études, s’explique par le caractère global de l’étude :
    André Posokhow prend en compte les secteurs où il y a clairement des surcoûts dus à l’immigration : la police et la justice, par exemple.

    Mais il ne néglige pas pour autant, contrairement à d’autres études moins complètes, les autres secteurs tels que l’éducation ou le logement où il y a, là aussi, des surcoûts mais aussi des coûts tout courts qui doivent être pris en considération. André Posokhow prend en compte l’ensemble des recettes fiscales et sociales dues à l’immigration ; par souci de cohérence, il réimpute aussi à l’immigration un coût moyen des services publics auxquels les immigrés et descendants d’immigrés accèdent proportionnellement aux autres résidents. Le rapport prend aussi en compte, en dépenses comme en recettes, les collectivités territoriales. Au final, le rapport Posokhow fait apparaître un solde recettes/dépenses négatif de 63 milliards.

    Enfin, André Posohow n’oublie pas que sur les trente dernières années l’immigration a contribué au déficit public. Ce déficit public a lui-même coûté au budget de l’Etat en intérêts versés ; intérêts versés qui ont eux-mêmes nourri l’endettement. Au final, André Posokhow estime à 21 milliards les intérêts annuels de la dette en 2013 qui ont pour origine ce déficit.

    C’est ainsi qu’on arrive à un total de 84 milliards : un gisement d’économies considérable dans la perspective du redressement des finances publiques.

    Polémia livre ci-dessous à ses lecteurs la présentation de son étude par André Posokhow, ainsi que le texte intégral de l’étude en PDF. Polémia invite ses lecteurs à faire part de leurs observations. D’autres études suivront : une monographie sur la Seine-Saint-Denis et des analyses plus fines du coût des différentes immigrations selon leur provenance géo-civilisationnelle.
    Polémia

    Présentation par son auteur de l’étude sur le coût net de l’immigration pour les finances publiques de la France

    En novembre 2012, Contribuables associés a publié sa monographie n° 27 sur « L’’immigration en France. Dépenses, recettes, investissements, rentabilité ». Cette étude a été établie par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, spécialiste de l’Afrique et des migrations. Elle présente un déficit de la balance dépenses/recettes de 8,760Mds€ auquel il est ajouté un montant relevant de l’Aide publique au développement de 3,277Mds€ et des investissements au titre de la politique d’intégration de 5,375Mds€ pour aboutir à un coût net de l’immigration de 17,412Mds€. Or, le même expert affirmait en conclusion de la monographie n° 23 de mars 2010 que « chaque année, l’immigration représente pour les pouvoirs publics un surcroît de dépenses de 30,4 milliards d’euros », soit à peu près le double du déficit de la monographie n° 27 plus récente.

    A peu près au même moment, une équipe universitaire dirigée par Xavier Chojnicki a publié le résultat de recherches sur cette problématique dans un livre L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?. On peut distinguer deux directions de travail : l’affichage d’un impact budgétaire positif de la population immigrée en 2005, que les auteurs estiment à 3,9Mds€, et l’évaluation des bénéfices prévisionnels de cette immigration grâce aux techniques de la « comptabilité générationnelle ».

    Les yeux grands fermés

    Devant des résultats aussi divergents entre les auteurs et, pour le même auteur, entre deux études publiées à deux ans d’intervalle, la Fondation Polémia a souhaité faire un point objectif du coût annuel pour les finances publiques françaises de l’immigration en France en rappelant l’existence d’études anciennes élaborées par Jacques Bichot et Pierre Milloz il y a plus de dix ans. La difficulté d’un tel travail est qu’il repose sur des hypothèses et des choix par nature souvent discutables. Il n’existe pas dans ce domaine de vérité certaine et des chiffres exacts. En effet, les données chiffrées de l’immigration sont faussées en France par l’insuffisance des instruments statistiques, comme le souligne Madame Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés (Denoël, 2010).

    Les yeux grands ouverts

    L’objectif du travail présenté ci-dessous est d’examiner et d’apprécier sur une année, comme le fait la monographie n° 27, la différence qui apparaît entre les recettes et les dépenses annuelles provenant du « stock » des immigrés en France comme peut le souhaiter tout citoyen et contribuable français qui dirait : Je veux et je suis en droit de savoir ce que me coûtera cette année cette immigration intensive qui me perturbe ; quant au très long terme, c’est probablement intéressant mais d’ici 2050 il peut se passer beaucoup de choses et des prévisions élaborées aujourd’hui peuvent être complètement démenties. C’est la raison pour laquelle l’approche est celle d’un pur constat statique des dépenses et des recettes annuelles de l’immigration, y compris, le cas échéant, de celles que J.-P. Gourévitch considère comme des investissements. Il convient, dans la mesure du possible, de tenir compte de tous les coûts et de toutes les recettes budgétaires annuels affectés par l’immigration, comme le logement et l’éducation, et non d’éventuels « surcoûts » marginaux. Enfin, cette étude se place bien au plan des recettes et dépenses budgétaires et non pas du point de vue macroéconomique de la contribution positive ou négative au PIB qui constitue une problématique différente.

    L’étude de Polémia procède tout d’abord à une analyse sommaire de l’écart entre les déficits significatifs des monographies n° 27 et n° 23. Il semble que la raison principale en soit une sous-estimation des recettes de l’immigration en 2010 d’environ 34Mds€.

    Pour comprendre la méthode de l’étude il est précisé que celle-ci suit la démarche de la monographie de 2012 de J.-P. Gourévitch pratiquement point par point et fait l’objet de commentaires et éventuellement d’appréciations différentes pour évaluer le différentiel entre les dépenses et les recettes de l’immigration.

    Concernant les coûts l’étude a procédé à quatre types de travaux :

    • -écarter la notion de « surcoût » et retenir le coût total réel comme dans le cas du domaine carcéral pour lequel la monographie n’a retenu que le coût de son extension par la construction de nouvelles places de prison à hauteur de 0,040Mds€ alors que le montant du programme carcéral du ministère de la Justice a été de 2,821Mds€ en 2011. Autrement dit, l’immigration ne représenterait que 1,4% du montant du programme carcéral français !
    • -réévaluer en fonction d’informations récentes la base de certaines évaluations qui ont semblé relativement faibles. C’est le cas de la fraude aux prestations sociales et de la fraude fiscale ;
    • -tenir compte de secteurs importants de la dépense publique qui n’ont pas été pris en compte ou, si cela a été fait, d’une manière marginale. C’est le cas principalement du financement de la construction, de l’éducation, des transports qui sont considérés comme affectés par l’immigration. Ce n’est pas le cas de dépenses régaliennes comme la défense ou la diplomatie ou des dépenses de recherche ;
    • -recalculer les coûts, notamment sociaux, en fonction de nouveaux paramètres mais selon des principes semblables à ceux de la monographie.

    En revanche, il n’a pas été tenu compte de l’Aide publique au développement, contrairement à ce qu’a fait la monographie.

    L’étude des coûts débouche sur une augmentation de ceux-ci d’environ 75Mds€.

    D’un autre côté, la prise en compte des recettes fiscales de l’Etat et des collectivités territoriales et des cotisations sociales, recalculées, elles aussi, sur des principes identiques à ceux de la monographie mais en fonction de paramètres sensiblement différents, aboutit à une augmentation du total des recettes d’environ 20Mds€

    Au total, l’excédent des dépenses liées à l’immigration sur les recettes de même nature s’établit pour les finances publiques à environ 63Mds€. A ce montant il apparaît nécessaire de prendre en compte et d’ajouter les intérêts de la dette qui ont pour origine ce déficit qui pèse sur les finances publiques et donc sur la dette, soit 21Mds€, pour aboutir à un déficit final de plus de 84Mds€.

    Il convient de rappeler que dans plusieurs cas de l’étude qui pourraient engager des montants plus significatifs que ceux retenus, ce sont des évaluations modérées qui ont été retenues. Par ailleurs, il n’a été tenu compte que partiellement des dépenses des collectivités locales. L’établissement d’une fourchette haute pourrait aboutir à un déficit pour les finances publiques de près de 100Mds€.

    André Posokhow
    Consultant pour Polémia
    13/05/2013 http://fr.novopress.info

    On lira l’étude d’André Posokhow dans son intégralité en cliquant ici

    Voir aussi :
    16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français
    Coût de l’immigration : le débat continue

    Le coût de l’immigration annuelle supplémentaire : 18 milliards d’euros

    SourcePolémia – 14/05/2013

  • Office Dépôt finance le lobby LGBT

    Un lecteur a écrit à Office Dépôt :

    "Monsieur le Directeur d’Office DEPOT

    OClient depuis sept années de votre entreprise, j’ai le regret de vous faire savoir que je ne ferai plus appel à vos services et je vous prie de trouver ci-jointe ma carte de fidélité.

    En effet, je viens de découvrir qu’Office Dépôt a été récompensée par la National Gay and Lesbian Task Force du Corporate Leadership Award 2013, en remerciement de son aide financière aux organisations LGBT.

    Ce choix politique et sociétal n’est pas le mien. Je ne souhaite pas que mes achats servent à financer des organisations sectaires, marginales et opposées au bien commun de la société civile. En conséquence, il y a trois jours, j'ai procédé à un achat chez un de vos concurrents alors que je n’avais aucune raison de ne pas faire appel à vos services dont j’étais satisfait.

    En ces temps de crise, je vous laisse assumer avec vos actionnaires et votre personnel les choix idéologiques de votre direction. Je ne suis pas certain qu'une entreprise comme la vôtre ait les moyens de blesser les consciences d’une partie de ses clients.

    Quant à moi, je vais m'attacher à faire connaître à mes relations professionnelles les raisons de mon changement de fournisseur.

    Veuillez agréer, Monsieur le directeur, l’expression de mes sentiments respectueux mais déçus."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com

  • [Paris] Valls poursuit les rafles d’opposants au mariage gay !

    Non, ce ne sont pas les racailles gravitant autour du club de foot PSG que Manuel Valls arrête : ceux-là, il les laisse casser les biens publics et privés et cogner les cognes... En revanche, il continue de commettre des rafles de défenseurs de la famille !

    Les Français ne se contenteront bientôt plus de réclamer sa démission : ils exigeront qu’il passe en jugement pour violation des libertés publiques !

    Lu sur Le Salon Beige :

    Il ne s'agissait pas de supporters du PSG. Message d'hier soir :

    "Trente jeunes viennent de se faire rafler à la sortie du bar Le Vauban. Ils sont répartis actuellement entre le commissariat du 15 ème et 5 ème. Ils avaient sorti une banderole contre le mariage gay. Les ramassages continuent en ce moment. Une dizaine de paniers à salade."

    Addendum 12h40 - d'un lecteur

    "nous étions une dizaine au commissariat du 16ème. Capturés à Sèvres Babylone vers 23h30 - car on entendait pas chanter les CRS - nous étions alors une trentaine. Puis répartis comme à l'habitude. 7 filles dans le 5ème, quelques uns dans le 8e, et 10 dans le 16e. Relâchés vers 2h."