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  • Objection : que les élus locaux se réunissent

    Communiqué de Bernard Antony :

    "N’étant pas en pareille situation, je ne jette pas la pierre aux quelques rares maires hostiles à la dénaturation du mariage mais finalement obligés de faire célébrer les palinodies du pseudo « mariage pour tous » après quelques tentatives de baroud d’honneur. Confrontés au dilemme de se soumettre ou de se démettre.

    Or, vaille que vaille, ne vaut-il pas mieux que demeurent en place ces bons maires ? En revanche, je ne puis taire ma tristesse devant le fait que la direction de la Manif dite pour tous, en possession d’importants fichiers d’élus locaux et de tous les moyens pour les réunir, ne l’ait pas fait.

    En effet, si plusieurs centaines de maires au moins, voire plusieurs milliers, s’étaient réunis pour décider d’une commune réaction d’objection de conscience, cela aurait manifesté une claire volonté de ne rien lâcher et d’œuvrer pour que soit un jour décidée l’abrogation de cette nouvelle loi de défiguration de l’écologie humaine. Ils auraient pu annoncer une volonté d’épuisement de tous les moyens de retardement pour inciter les paires sodomites à aller se faire républicainement pareiller par des maires de gauche ou très partisans de la dénaturation homothétique.

    Ils auraient pu encore prévoir par exemple la libre lecture, non illégale, avant les obligations étatiques, d’un texte exprimant leur désaccord devant le pensum d’un acte légal de violation de la loi morale.

    En tant que patriote français et en tant que militant chrétien pour le respect de la morale universelle, j’ai admiré l’immense sursaut, et notamment de la jeunesse, des foules du pays réel français pas encore soumis aux diktats totalitaires du « big brother » LGBT. Et ce, malgré les trop évidentes manœuvres de détournement de leur opposition au profit d’un délirant bredouillis de soumission à l’homocratie trop longtemps manifesté à la tête de la Manif pour Tous.

    Mais depuis la mise à l’écart de  la porte-parole déjantée sur laquelle la charité implique de ne pas injustement s’acharner, on aurait pu espérer qu’une stratégie de véritable résistance politique (ni politicienne, ni partisane) aurait été mise en place.

    À l’évidence, il n’en a rien été et la Manif dite pour tous semble être un gros bateau désemparé d’où certains mettent à l’eau diverses chaloupes de sauvetage. Les dirigeants et avocats de l’AGRIF, qui mettent en œuvre tout ce qui leur est possible de faire pour la solidarité avec des persécutés du système totalitaire, espèrent qu’enfin viendra l’heure d’une réflexion salutaire pour une stratégie efficace de résistance au Baal-Moloch LGBT.

    Ils sont prêts, le cas échéant, sans exclusive pour leur part autre que l’accord sur la base du respect de la loi naturelle, à apporter leur petite pierre à l’édifice de résistance française de reconquête humaine."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Nicolas : le Président de l’Association professionnelle des magistrats réagit aux propos de Taubira

    Sur BMFTV, Christiane Taubra s'est exprimée sur la condamnation de Nicolas. Les réactions ne se sont  pas fait attendre : 

    "Les déclarations de Mme TAUBIRA, Garde des Sceaux, rejetant la responsabilité de l’incarcération de Nicolas Bernard-Buss , condamné à quatre mois d'emprisonnement dont deux ferme suite à la manifestation anti mariage gay, sur la législation de la précédente majorité, sont totalement de mauvaise foi ou relève d’une rare incompétence.

    Tout d’abord, la loi sur les peines planchers ne s’appliquait certainement pas à ce jeune homme qui n'est pas un récidiviste au sens juridique du terme.

    Ensuite, même si elle s’appliquait, les juges sont toujours libres de "descendre en dessous du plancher" en motivant leur condamnation.

    Car, contrairement à la propagande gouvernementale, la loi sur les peines planchers n’entraîne pas une automaticité dans la sanction.

    Enfin, mettre en cause la procédure de comparution immédiate, c’est surtout mettre en cause le Procureur de Paris qui a choisi cette voie procédurale. Procédure qui existe depuis de très nombreuses années et qui a été utilisée quel que soit le gouvernement en place.

    En réalité, devant le tollé provoqué par l’incarcération de ce jeune manifestant, alors que de nombreux récidivistes avec casier judiciaire à rallonge restent impunis, la Garde des Sceaux tente d’allumer de lamentables contre-feux qui ne trompent personne.

    1er juillet 2013

    Jean-Paul GARRAUD

    Magistrat

    Président de l’Association professionnelle des magistrats

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Prism : l’Union européenne a fait partie des cibles de la NSA

    L’Union européenne a fait partie des «cibles» de l’Agence nationale de sécurité américaine NSA, accusée d’espionner les communications électroniques mondiales dans le cadre du programme Prism, écrit l’hebdomadaire allemand Der Spiegel à paraître dimanche [30 juin 2013].

    Der Spiegel fonde ses accusations sur des documents confidentiels dont il a en partie pu avoir connaissance grâce à l’ancien consultant américain de la NSA Edward Snowden, à l’origine des révélations sur Prism.

    Dans l’un d’eux, daté de septembre 2010, classé «strictement confidentiel», la NSA décrit comment elle espionnait la représentation diplomatique de l’Union européenne à Washington.

    Il s’agissait non seulement de micros installés dans le bâtiment, mais aussi d’une infiltration du réseau informatique qui lui permettait de lire les courriers électroniques et les documents internes. La représentation de l’UE à l’ONU était surveillée de la même manière, toujours selon ces documents, dans lesquels les Européens sont explicitement désignés comme des «cibles à attaquer».

    La NSA avait même étendu ses opérations jusqu’à Bruxelles. Il y a «plus de cinq ans», écrit Der Spiegel, les experts en sécurité de l’UE avaient découvert un système d’écoutes sur le réseau téléphonique et internet du bâtiment Justus-Lipsius, principal siège du Conseil de l’Union européenne, et qui remontait jusqu’au quartier général de l’Otan dans la banlieue de Bruxelles.

    En 2003, l’UE avait confirmé la découverte d’un système d’écoutes téléphoniques des bureaux de plusieurs pays, dont la France et l’Allemagne. Mais il est difficile de savoir s’il s’agit de cette affaire dont parle l’article du Spiegel.

    Der Spiegel a également recueilli sur son site internet des réactions de personnalités européennes, comme le président du Parlement européen, l’Allemand Martin Schulz, qui estime que «si cela se confirme, il s’agit d’un immense scandale». «Cela nuirait considérablement aux relations entre l’UE et les Etats-Unis», ajoute-t-il.

    Pour le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, Jean Asselbron, «les États-Unis feraient manifestement mieux de surveiller leurs services de renseignement plutôt que leurs alliés».

    L’espionnage américain est «hors de contrôle», juge-t-il, soulignant que si les activités de renseignement «sont justifiées par la lutte contre le terrorisme (…) l’UE et ses diplomates ne sont pas des terroristes».

    Toujours sur le site du Spiegel, le député européen écologiste Daniel Conh-Bendit appelle à une rupture immédiate des négociations sur le traité de libre-échange transatlantique, tant qu’un accord n’a pas été signé avec les États-Unis sur la protection des données. Des négociations en ce sens, lancées en 2011, n’ont toujours pas abouti.

    Mercredi, l’Union européenne avait demandé aux États-Unis de lui fournir «aussi rapidement que possible» des réponses à ses questions sur le programme de surveillance américain Prism.

    AFP (via Libération) http://fortune.fdesouche.com

  • Syrie : pourquoi pas une solution chrétienne ?

    Depuis plus de deux années, la Syrie s’autodétruit chaque jour un peu plus. Près de cent mille morts, des millions de réfugiés et de déplacés, un patrimoine historique et architectural multiséculaire détruit. Des atrocités sans nom commises tant par les forces du régime que par les groupes armés de l’opposition. Une guerre civile qui ressemble de plus en plus à une guerre de religion entre musulmans sunnites et musulmans chiites et alaouites. Une montée en puissance, au sein de l’opposition armée, des groupes extrémistes, financés et armés par des monarchies arabes rétrogrades. Une implication croissante de la milice chiite libanaise Hezbollah, soutenue par l’Iran, avec tous les risques que cette intervention aux côté du régime de Damas fait courir à la fragile stabilité du Liban voisin.

    La communauté internationale, profondément divisée entre États-Uniens, Européens, Russes, Chinois, Turcs et Arabes, s’est montrée impuissante et incapable de trouver un début de solution. Et ce n’est pas la décision de certains États occidentaux, dont la France, d’armer les rebelles qui permettra à la Syrie de sortir de la crise.

    Certes, le régime des Assad Père et Fils était, et reste, dictatorial. Oui, ce régime a massivement et durablement violé les droits de l’homme. Ce régime est effectivement contrôlé par un clan issu d’une minorité religieuse, celle des alaouites. Mais une telle situation est-elle unique dans le monde arabe ? L’Arabie saoudite et le Qatar, qui ont juré la perte du régime de Damas, sont-ils des exemples de démocratie et de respect des libertés ? À Bahreïn, le régime en place n’est-il pas, lui aussi, issu d’une minorité religieuse et n’a-t-il pas réprimé son « printemps arabe », dans l’indifférence internationale ? Que dire de la situation prévalant en Irak, « libéré » depuis dix ans de sa dictature ? Y meurt-on aujourd’hui moins qu’à l’époque de Saddam ? Les droits des minorités religieuses ou ethniques y sont-ils moins bafoués ?

    Les chrétiens, qui sont les plus anciens habitants de la Syrie mais qui ne représentent que 10 % de la population, assistent impuissants à la destruction de leur patrie. De plus en plus, ils sont victimes de ce conflit inter-musulman dans lequel ils ne souhaitent pas prendre parti. Soupçonnés de soutenir le régime en place par les uns, de ne pas dénoncer la rébellion par les autres, ils sont suspects aux yeux de tous. Nombre d’entre eux préfèrent quitter ce pays dans lequel ils vivent depuis deux millénaires.

    Ces chrétiens pourraient contribuer à sortir le pays du gouffre. Une personnalité chrétienne irréprochable, acceptable tant par l’opposition que par le régime, pourrait être désignée pour diriger un gouvernement de transition inclusif. Le fait d’être chrétien permettrait à une telle personnalité de ne pas être perçue comme une menace, ni par les sunnites, ni par les alaouites. Cela contribuerait aussi à rassurer la communauté chrétienne quant à sa place au sein de la société dans la Syrie de demain. Une telle solution pourrait aussi être acceptable tant par les puissances occidentales que par la Russie. Elle aurait en outre l’avantage de mettre un coup d’arrêt aux ambitions des groupes les plus radicaux, qui ont pour but d’imposer leur ordre religieux au détriment de la majorité de la population loin de partager leur obscurantisme.

    Une solution irréaliste ? Aujourd’hui, nul n’est en mesure de l’emporter militairement. Fort heureusement, la victoire militaire d’un camp ne serait en effet que le début d’une nouvelle tragédie.

    Hervé Cheuzeville dans Boulevard Voltaire

    http://fr.altermedia.info/

  • Chronique de livre: Jean-Jacques Rousseau et les origines françaises du fascisme

     

    Dimitri Kitsikis, Jean-Jacques Rousseau et les origines françaises du fascisme, Les Documents de Ars Magna Editions, Ars Magna, 2006

    Jean-Jacques Rousseau et les origines françaises du fascisme est un petit opuscule de 42 pages qui se propose d’analyser la pensée de Jean-Jacques Rousseau à la lumière de la grille de lecture mise en place par l’auteur pour les fascismes. Ainsi après quelques considérations d’ordre général sur la pensée grecque, la philosophie, le matérialisme, le progrès et quelques références à la religion orthodoxe (l’auteur est grec) en introduction, s’entame un dialogue entre 13 critères et des éléments de l’œuvre du philosophe genevois.

    L’intérêt de ce petit document est donc multiple, puisqu’il nous informe  sur la pensée philosophique,  sur Jean-Jacques Rousseau mais également sur l’idéologie fasciste. Ainsi dès la page 3, l’auteur catégorise trois grandes idéologies : le libéralisme, incarné par Voltaire et correspondant au parti des Girondins pendant la Révolution française, le fascisme, incarné par Rousseau et qui prend forme chez les Robespierristes et enfin le communisme, avec la figure de Gracchus Babeuf. De fait pour l’auteur il n’existe que trois grandes familles politiques et les mouvements « populistes » sont pour lui des mouvements de cette « troisième idéologie » qu’il nomme « le fascisme ». Le fascisme est une idéologie qui puise dans le romantisme, le mysticisme, la recherche d’un paradis perdu et qui s‘oppose au monde moderne, occidental et bourgeois, voltairien, sans pour autant refuser certains éléments de la modernité. Le fascisme serait un « traditionalisme moderniste ».

    Ces quelques considérations ont le mérite d’éclairer le débat actuel sur Rousseau (cf. entretiens d’Alain Soral ou le numéro 143 d’Eléments), mais aussi sur Voltaire (voire Marion Sigaut). Dimitri Kitsikis détermine treize thèmes et pour chacun des thèmes, l’auteur donne la « réponse du modèle » puis des éléments de la pensée de Rousseau.

    -         Attitude à l’égard du concept de classe et importance donnée à la paysannerie

    -         Attitude à l’égard de la propriété privée [petit ou grande], de la circulation de l’argent, du contrôle économique de l’Etat [étatisme] et de la notion de bourgeoisie nationale et d’autarcie [économique].

    -         Attitude à l’égard de la nation : réalité subjective ou objective ? et du nationalisme : égalitaire ou chauvin ? La nation par rapport au concept d’Etat.

    -         Attitude à l’égard de la démocratie et des partis politiques.

    -         Attitude à l’égard du héros politique, c'est-à-dire du chef charismatique.

    -         Attitude à l’égard de la tradition.

    -         Attitude à l’égard de l’individu et de la société.

    -         Attitude à l’égard de la femme.

    -         Attitude à l’égard de la religion.

    -         Attitude à l’égard des concepts philosophiques de rationalité et d’irrationalité.

    -         Attitude à l’égard de l’intellectualisme et de l’élitisme.

    -         Attitude à l’égard du concept de tiers monde.

    A l’exception du point sur la femme, puisque Rousseau est plutôt mysogine là où les fascismes exaltent le rôle social de la femme, l’auteur trouve des correspondances pour chacun des thèmes, valorisation de la nation, de la petite propriété, de l’égalité sociale, de la démocratie directe, du rôle du chef, ou législateur, de l’antiparlementarisme, du tiers mondisme (l’auteur n’hésite pas d’ailleurs à illustrer de nombreux points de son propos par l’expérience kadhafiste tout au long de l’ouvrage). Il fait également quelques ponts entre anarchisme et fascisme, particulièrement sur l’irrationalité, l’élan vital révolutionnaire, la volonté conduisant aux confins du nihilisme.

    rousseau.jpgLa première lecture de cet opuscule m’a totalement enthousiasmée, mais quelques problèmes existent. La lecture se révèle particulièrement frustrante par moment, car nous n’avons pas de traduction de l’ouvrage grec, D. Kitsikis, "Τ μοντέλο τς τρίτης δεολογίας", pp. 233--253, in τρίτη δεολογία κα ρθοδοξία, Athènes, Hestia, 1998, qui précise le modèle mis en place par l’auteur pour l’étude des trois grandes idéologies (libéralisme, fascisme, communisme). Aussi la totalité du propos se développe sur 35 pages, alors que certains points nécessiteraient de longs développements. Il me paraît par exemple hasardeux de proposer un modèle, sans les justifications qui s‘imposent parfois et aussi de résumer la pensée de Rousseau à quelques extraits. L’auteur ouvre ici des perspectives intéressantes, qui nécessiteraient un certain approfondissement. Lorsque nous consultons sa production intellectuelle et sa carrière universitaire, nous pouvons regretter qu’il ne fasse pas plus de publication en français sur l’histoire des idées politiques car Dimitri Kitsikis apparaît tout au long de ces pages comme un esprit étranger à toute compromission intellectuelle…

    Jean http://cerclenonconforme.hautetfort.com

  • Les subventions de la mairie de Paris en forte hausse

    Entre 2000 et 2011, les subventions de la Mairie de Paris aux associations ont connu une hausse de 52,2 %. Les associations proches de la gauche se servent dans le budget de la Ville.
    Elle est un fléau à la Mairie de Paris, Bertrand Dela­noë l’a contractée, c’est la subventionnite aiguë ! Pour preuve, aujourd’hui au Conseil de Paris, une délibération sur deux sert à attribuer des subventions. M. le Maire a cédé au clientélisme des associations amies. Et les ré­sultats sont accablants… 

     

     

    Quand Bertrand Delanoë prend les rênes de la Mairie en 2001, le budget pour les associations est de 133 millions d’euros. Dix ans plus tard, il est monté à 203 millions et fut même de 290,5 millions d’euros en 2007. Cette politique dite de soli­darité se ressent sur la dette de la ville de Paris qui est passée de 1 milliard en 2001 à 2,9 milliards d’euros en 2011

     

     

    Le site de la Ville de Paris recense 2 200 associations ayant reçu une subvention en 2011. Cette liste apparemment inof­fensive révèle bien des outrances. Afin de rendre le processus de distri­bution plus opaque, l’obtention des subventions est décidée lors d’une multitude de délibérations, qui se font par arrondissement ou par action. Théâtres, centres culturels, expo­sitions… Les associations culturel­les sont les plus consommatrices de subventions avec 94 millions d’euros en 2011. Le seul budget culture de la Ville de Paris était de 370,8 millions d’euros en 2009 contre 227,3 millions en 2000 pour la municipalité Ti­béri

     

     

    Sous Delanoë, la politique culturelle s’illustre par de grands coups de com’ via un dispendieux gigantisme, type Paris Plages ou Nuit blanche. Un exemple : la Maison de la Mé­tallurgie. Fer de lance des lieux culturels alternatifs, cet établisse­ment, via son association Comité des métallos, a reçu 18 500 euros en 2011. Le PS y a ses habitudes, de nombreuses réunions de militants s’organisent dans l’établissement. La réouverture du site en 2007 avait nécessité une remise en état des lieux pour 13,5 millions d’euros. Après la rénovation, elle a connu des problèmes immobiliers (dé­gâts des eaux dans le hall d’en­trée, descellement d’éléments de façade…). De plus, l’association sera rapidement défici­taire de 250 000 euros en 2009. La subvention annuelle de 2 millions d’euros de la Ville de Paris étant consommée à 90 % par les charges de person­nel… Ce projet n’a jamais été viable et la Mairie se décharge de toute responsabilité : « La Maison des Métallos a souffert d’une gestion qui a manqué de rigueur et de professionnalisme » ont déclaré les représentants de la Ville. Pourtant Gérard Paquet, l’ancien directeur de l’association n’était pas un dé­butant. Il avait fondé et dirigé le festival de Châteauvallon (Var) pendant trente­ deux ans. 

     

     

    Au nom du multiculturalisme, le Maire Delanoë a décidé de construire, pour 22 millions d’euros, l’Institut des cultu­res d’Islam (ICI), installé rue Po­lonceau et rue Stephenson dans le XVIIIe arrondissement. Ce centre comprendra des espaces dédiés à la culture et deux salles de culte. A l’occasion des prières, les salles culturelles pourront recevoir des fidèles, ce qui, chacun en convien­dra, constitue une infraction à la loi sur la laïcité… L’Association des musulmans de l’ouverture (AMO) devra, en principe, rembourser 6 millions d’euros, somme destinée à financer le lieu de culte. Or cette association n’est aujourd’hui pas en mesure d’aligner le moindre centime malgré les voya­ges de son représentant en Iran ou en LibyeEn 2011, le Conseil de Paris a versé à l’ICI 682 200 euros et 75 000 euros pour son local

     

     

    Les associations antiracistes, soutenues par le PS sont, elles aussi, l’objet de la générosité des Parisiens. SOS Racisme a reçu 235 000 euros en 2011, la Licra 40 500 euros le MRAP 20 000 euros… Les subventions aux associations de migrants comme France terre d’asile et La Cimade se sont en­ volées à l’occasion des printemps arabes. La Mairie avait débloqué 1,5 million d’euros pour loger des Tunisiens, notamment dans le très chic VIIIe arrondissement… 

     

     

    Côté sport, les associations ne sont pas en reste. Le très fortuné Max Guazzini, intime de Bertrand Delanoë, a reçu 235 000 euros en 2011 pour son club de rugby, le Stade Français. Jusqu’à l’arrivée des Qa­taris au PSG, la Mairie versait un million d’euros de subventions annuel­les au club de football. Elle s’est contentée cette année de donner 170 000 euros à la Fondation PSG. 

     

     

    Le personnel municipal n’a pas à se plaindre lui non plus. Le Maire gâte ses fonctionnaires… pour avoir la paix. L’AGOSPAP (Asso­ciation pour la gestion des œuvres sociales des personnels des ad­ministrations parisiennes) a reçu 7 874 000 euros en 2011, 8 millions en 2010. Et pourtant, les grèves s’enchaînent… Encore une fois, est­-ce aux contribuables pari­siens de financer ces largesses ? 

     

     

    Une centaine d’équivalents temps plein travaillent à la Ville à instruire des demandes de subvention, pour un coût total estimé à plus de 4,2 millions d’euros, selon le rapport de l’Inspection générale de la Ville de Paris de 2009.

    Source  http://www.oragesdacier.info/

  • Les Français n'ont plus la mémoire courte : Présidentielle 2017, ils rejettent Sarkozy et Fillon

    Nicolas Sarkozy et François Fillon sont tous deux rejetés par six Français sur dix pour la présidentielle de 2017, mais le premier est plébiscité par les sympathisants de l’UMP qui sont partagés sur le retour du second, selon un sondage IFOP publié par le Journal du Dimanche.

    Parmi l’ensemble des Français, 40% souhaitent que « Nicolas Sarkozy soit candidat à la prochaine élection présidentielle », contre 60% qui ne le souhaitent pas. Pour François Fillon, les chiffres sont très proches : 38% contre 62%.

    Chez les sympathisants de l’UMP, 87% souhaitent la candidature de l’ancien président contre 13% sont d’un avis contraire, tandis que 46% sont favorables à celle de l’ancien Premier ministre, contre 54% qui ne le sont pas.

    En revanche un consensus se dégage pour pronostiquer que l’un et l’autre seront candidats. 61% des Français et 75% des sympathisants UMP le pensent pour Nicolas Sarkozy, et respectivement 74% et 80% pour François Fillon. [...]

    AFP - Libé

    http://www.actionfrancaise.net/

  • 3 juillet, à 20h00, esplanade des Invalides pour un pique-nique des GAV

    Sont invités à participer celles et ceux qui ont été victime d’une GAV, et également celles et ceux qui sont prêts à l’être. Nous avons été plus de 500 victimes de l'idéologie et du système répressif.
    Liste non exhaustive:

     

    • 67 GAV le 14 avril (tentes devant l’Assemblée Nationale)
    • 56 GAV le samedi 25 mai 2013 (Champs-Elysées)
    • 19 GAV le 26 mai (rue de Solferino)
    • 293 interpellations et  212 GAV le dimanche 26 mai (Invalides)
    • 93 personnes interpelées dont 2 GAV le lundi 27 mai (Lycée Buffon)
    • 7 GAV le 9 juin 2013 (Roland-Garros)
    • ...

    2 mois de prison ferme pour Nicolas, le 19 juin (devant M6). Petit comparatif… Après les émeutes du Trocadéro : 3 GAV.

    Et combien d'autres qui étaient prêts à endurer le même sort pour sauver l'avenir !

     

    Alors, les plats cuisinés « lasagnes périmés » te manquent ? Rejoins-nous pour célébrer la victoire de notre engagement sur l'indifférence. Renseignements pratiques : Venir avec son pique-nique, animations prévues, dans la joie et la bonne humeur. RDV Esplanade des Invalides, à 20h00. Organisé par le collectif « Dissidence catholique ».

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Brésil, la colère sans retour

    Depuis le 13 juin dernier, les protestations ne cessent d’agiter le Brésil et les analystes les plus fins patinent. Par son apparente soudaineté, son ampleur nationale, sa diversité, son caractère polymorphe, le phénomène sidère et glisse entre les doigts des commentateurs les plus avisés.

    Le mot appartient à un poète, Carlito Azevedo, qui l’a posté sur son blog : «Qui n’est pas déconcerté n’est pas bien informé.» Depuis le 13 juin dernier, les protestations ne cessent d’agiter le Brésil et les analystes les plus fins patinent.

    Par son apparente soudaineté, son ampleur nationale, sa ­diversité, son caractère polymorphe, le phénomène sidère et glisse entre les doigts des commentateurs les plus avisés. Ceux qui tentent de s’en saisir, de le réduire à des explications, en d’autres mots, de lui imposer un contrôle, fût-il intellectuel, se trouvent rapidement disqualifiés dans la rue et sur les réseaux, théâtres de discussions passionnées. Le mouvement appartient à tous : qui veut crier sa rage crie, qui décide d’énoncer une revendication particulière ou universelle défile dans la rue avec son calicot, qui veut casser et vandaliser y va bon train. Tout n’est pas permis mais personne n’en a cure.

    La colère s’enflamme, au point qu’elle a atteint – mais attention, les chiffres ont du retard – plus de 438 villes de l’immense Brésil. Dans 27 cités du monde, on a manifesté par solidarité avec la population soulevée. Des leaders ? Aucun ou bien des inconnus qui se profilent un peu puis s’effacent aussitôt. La révolte, qui a mobilisé deux millions de personnes dans l’ensemble du pays, possède des visages et des mots qui émeuvent, qui suscitent le rire aux éclats et aux larmes, et dont la force, la pertinence, la lucidité réconfortent. Comme l’apostrophe de cette brunette à la mèche rouge, étudiante carioca de 19 ans, qui tourne sur la Toile. Aux fauteurs de troubles encapuchonnés et aux «Guy Fawkes» cachés derrière le célèbre masque d’Anonymous qui font dégénérer les cortèges, elle enjoint : «Montre ton visage.»

    Et elle explique : «Nous votons au préalable et, toujours, l’action pacifique, avec banderoles et mots d’ordre, fait l’unanimité. Les confrontations avec la police se produisent seulement lorsque nous sommes attaqués. Nous avons tenté de dissuader les anarcho-punks de commettre des actes de violence mais ils décident arbitrairement et seuls. Le mouvement appartient à tous ; pour réduire le poids de cette minorité, rejoignez-nous, venez renforcer nos rangs !»

    Mayara Duarte de Moraes habite Duque de Caxias, une grosse ville industrielle et populeuse, pauvre et violente, de la région métropolitaine de Rio de Janeiro. Son père est chauffeur de camion blindé, sa famille vit sur un revenu de 2.000 réais (864 francs environ). Pour se rendre quotidiennement à l’université, située à Niteroi, de l’autre côté de la baie de Guanabara, elle doit changer de moyen de transport trois fois dans chaque sens. Elle ne reçoit aucun argent de poche, étudie beaucoup, ne sort pas, lit énormément et s’engage dans des actions communautaires pour autant qu’elle n’y perçoive aucune trace d’esprit doctrinaire, précise-t-elle.

    Elle milite dans le Movimento pelo passe livre (mouvement pour le libre passage), le fameux MPL par qui la vague des manifestations a commencé et qui reven­dique le «tarif zéro» pour les ­transports collectifs. «Car l’augmentation du prix des tickets illustre à l’échelle nationale les abus en matière de services publics, à la fois excessivement chers et mauvais, que subissent surtout les pauvres. C’est pourquoi notre action s’est focalisée sur cette question. Mais quand nous manifestons, ce n’est pas pour chasser nos dirigeants. C’est pour les mettre en état d’alerte, comme de mauvais employés menacés de licenciement. Il faudrait parvenir à maintenir la pression de la rue. Je n’hésite pas à généraliser : aujourd’hui, au Brésil, aucun politicien ne gouverne bien. Cette perception est très généralement partagée dans les villes comme au fin fond des campagnes. Nous avons atteint les limites de la patience. Ces politiciens détournent notre démocratie, durement conquise par les générations précédentes. C’est là que réside le danger.» Elle ajoute : «La rue est à nous. Habituons-nous à descendre dans la rue. N’ayez pas peur, ne nous craignez pas, venez exercer votre droit de l’occuper.»

    Un tel discours et les banderoles qui fleurissent, d’une inventivité réjouissante, désorientent au plus haut point les dirigeants brésiliens issus du Parti des travailleurs (PT) d’origine principalement syndicale, dont la rue a été le lieu et le moyen d’expression et qui voudraient, maladroitement, les conserver. D’où quelques mésaventures, comme lorsque des militants «petistes» et syndicalistes, se plaçant en tête d’un cortège à São Paulo pour tenter de le conduire, se font expulser sans ménagements. Aujourd’hui, qui se risque à circuler vêtu du t-shirt rouge du PT risque de se faire prendre en course…

    Comment le parti du président Lula, ce «fils du peuple» si charismatique, porté au zénith au Brésil comme à l’étranger, en est-il arrivé là ? Dix ans de pouvoir et la volonté de conserver les commandes sans partage ont émoussé sa capacité de percevoir le ras-le-bol général. Et celle de comprendre qu’avec la satisfaction des besoins élémentaires, la frustration s’accroît. Car la possibilité de consommer ne comble pas l’exigence de dignité de citoyens qui ne se sentent pas entendus. La vie politique brésilienne, telle que relatée jour après jour par la presse et la télévision, semble réduite aux marchandages d’influence et à la chronique des faits divers. Affaires de corruption, scandales en tout genre, obstructions entre exécutif et judiciaire constituent le pain quotidien.

    Un pamphlet qui circule depuis le 15 juin en appelle ironiquement à voter Dilma Rousseff à la présidentielle de 2014, «car vous obtiendrez de surcroît et en prime, un José Sarney, un Fernando Collor, un Renan Calheiros, un José Dirceu et même un Paulo Maluf». Ces personnalités puissantes autant que douteuses, condamnées par l’opinion et, pour certaines, par la justice, sont celles avec lesquelles le régime a pactisé et dont il ne sait plus se dépêtrer. Aujourd’hui, difficile de dire qui est l’otage de qui. Le PT, qui ne compte que 87 députés sur 513 à la Chambre et 14 sénateurs sur 81, a choisi d’établir sa base d’appui parlementaire à coups d’alliances contre nature et de trocs. L’affaire du mensalão (la grosse mensualité) a révélé un trafic de voix au Congrès impliquant des membres du parti proches du président Lula. Or les peines prononcées lors de ce retentissant procès n’ont toujours pas été exécutées et plusieurs des condamnés restent très influents.

    Les Brésiliens ont troqué un président charmeur contre une Dilma austère et sévère, dont les crises d’autorité et le doigt souvent pointé, façon maîtresse d’école, font la joie des humoristes. D’abord prudente, à mesure que les protestations enflaient – elle a déclaré «la voix de la rue doit être entendue» – elle s’est rendue de Brasilia à São Paulo le 18 juin pour une rencontre discrète avec son prédécesseur et mentor Lula, et avec le préfet de cette ville, Fernando Haddad, celui qui a mis le feu aux poudres en annonçant la hausse du prix des transports. La rumeur veut que le responsable de la campagne électorale de Dilma ait été également présent… «Cela m’insulte !» s’exclame, indignée, Célia, sympathisante du mouvement.

    Le 21 juin, Dilma sort enfin d’un silence pesant ; les passants s’attroupent devant les vitrines où des écrans transmettent son pronunciamento. Que déclare la dame en jaune ? Elle aligne consciencieusement les promesses : les services publics, la mobilité urbaine, la santé, l’éducation seront améliorés et la corruption combattue. Elle dilue la responsabilité du gouvernement fédéral quant aux dépenses consenties pour la Coupe du monde de 2014 et demande aux Brésiliens d’accueillir avec respect l’hôte sportif étranger. «Calmez-vous, nous nous occuperons de tout», demande en substance la présidente. «Elle n’a rien compris», estiment de leur côté les manifestants pas calmés du tout. Ce discours paraît vague, laborieux, dilatoire ; il déçoit.

    De toute façon, il vient trop tard et ne répond pas aux questions précises posées par voie de calicots : «Pourquoi la Coupe du monde de 2014 coûtera-t-elle au Brésil plus que les trois dernières Coupes réunies ?» «Combien d’écoles sont-elles contenues dans le stade national Mané Garrincha de Brasilia ?» Ce stade qui a coûté 1,6 milliard de reais (693 millions de francs) aux caisses publiques et que les manifestants ont surnommé le Stade national de la honte. Ils ironisent : «Si ton fils tombe malade, amène-le au stade.» Et proclament : «La Coupe, je m’en passe, je veux de l’argent pour la santé et l’éducation.» Il est vrai que les conditions dans lesquelles les équipements sportifs se construisent, les retards puis la hâte, l’opacité des attributions, les malfaçons et les dépassements de budget exaspèrent une population qui souffre d’équipements désuets, de graves carences sanitaires, d’insuffisances en tout genre en matière scolaire, et n’en peut plus des inégalités brutales, de l’impunité des puissants et de l’insécurité au jour le jour.

    Le spectacle qu’offre le pouvoir n’a rien pour rassurer. Dilma consulte, hésite, renvoie la balle au Congrès. Les jours se succèdent et sa cote de popularité, d’abord élevée, chute. Elle paraît désemparée alors que se joue, sans doute, sa réélection. Annonces précipitées et contradictoires ; mesures proclamées puis retirées : les gouvernants abondent dans le sens des protestataires sans que cela suffise à désamorcer leur colère. Le régime «petiste» cédera-t-il à cette vieille tentation, le dialogue direct avec la rue, par-dessus un parlement décrié, ce qu’il appelle la démocratie directe ? Lula silencieux, évasif, prépare-t-il un retour ? Sous quelle forme ? Est-il encore temps ? Est-il vraiment désiré ? Quel est son état de santé ? La crédibilité de la classe politique, tous partis confondus, est réduite à zéro.

    Alors, lorsque Dilma annonce l’engagement de 10.000 médecins étrangers pour pallier le déficit de soignants dans les régions isolées, la rue rétorque : «Puisque nous importerons des médecins cubains pour améliorer les services sanitaires, je veux des politiciens suédois pour en finir avec la corruption !» Justement, voici que ce jeudi, le parlement s’est brusquement attaqué à la question et a adopté un projet de loi qui fait de la corruption un «crime hideux», très durement punissable. Tentative de confondre le mal et le remède qui n’échappe à personne mais éloigne encore davantage de tout apaisement. En effet, nul n’ignore la corruption effrontée qui règne au parlement ni les graves défaillances en matière d’intégrité de celui-là même qui porte le projet, le président du Sénat, Renan Calheiros.

    Entre-temps, les manifestations ne faiblissent pas mais changent de caractère : moins imposantes, plus diffuses, organisées autour d’une myriade de revendications particulières. Elles varient en intensité selon le lieu et la discipline des forces de l’ordre, plus violentes à Rio, plus contenues à São Paulo. Les syndicats convoquent à une journée de protestation le 11 juillet. Peuvent-ils encore mobiliser fortement ? Les réseaux sociaux qui, de leur côté, appellent à la grève générale pour ce lundi 1er juillet parlent, eux, le langage de demain. Que préparent ceux qui se sentent menacés dans leurs prérogatives ? Nul ne sait prédire la forme que prendra le mouvement ni ses effets, mais chacun éprouve le puissant souffle de l’irréversible.

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  • Chroniques de la Vieille Europe : L’histoire est-elle un poison ?

    Le 25 juin, Patrick Péhèle, Pascal Eysseric, Philippe Christèle et Grégoire Gambier recevaient sur Radio Courtoisie, Jean-François Gautier à propos de son livre Le sens de l’histoire, une histoire du messianisme en politique aux éditions Ellipses.

    L’Histoire a-t-elle un sens ? L’antiquité gréco-latine n’en concevait aucun. L’antiquité sémitique, les judéo-hellénismes et christianismes ont chacun proposé le leur, lequel a servi de motif à nombre de conflits. Les idéaux des Lumières, avec leur conviction d’un progrès continu dans la marche d’une humanité globalisée, puis les communismes et le national-socialisme ont renouvelé les propositions d’un sens de l’Histoire à accomplir.

    Du monde antique pour lequel le destin des cités se forgeait à force de courage et de ténacité, jusqu’au laisser-faire du Grand Marché auto-régulateur des économies modernes, il y a des impensés à l’œuvre dans les représentations collectives de l’Histoire. Ce livre souligne combien la compréhension d’un temps historique, avec ses inconnues, diffère de celle d’un sens de l’Histoire, bardé de certitudes ou d’espérances.

    Dans une époque où dominent les incertitudes relatives aux lendemains immédiats, chacun peut trouver, au fil d’une telle enquête sur la variabilité des sens de l’Histoire, de quoi méditer sur son propre devenir, et sur celui de la communauté à laquelle il appartient.

    Jean-François Gautier. Docteur en philosophie. Essayiste, musicologue et historien des sciences. Directeur de l’édition française de l’encyclopédie L’Astronomie (Atlas). A notamment publié L’aventure des sciences (Édition May, 1988), L’univers existe-t-il ? (Actes Sud, Arles 1994), Claude Debussy, la musique et le mouvant (Actes Sud, Arles 1997), Logique et pensée médicale (Avenir des sciences, Paris 2002).

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