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Tony Anatrella : L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée
L’Éducation nationale met en place un vaste programme pour banaliser les orientations sexuelles. La dictature des moeurs arrive !
Les activistes de la lutte contre l’homophobie s’inquiètent de l’augmentation des témoignages de personnes se plaignant de discrimination du fait de leur orientation sexuelle.
Il faut dénoncer ces actes, mais il est injuste de prétendre que les débats autour du “mariage pour tous” en sont la cause. Elle est davantage à chercher dans le système politique qui se met en place au nom des orientations sexuelles. Depuis quand les pulsions partielles devraient-elles gouverner la société ?
L’homophobie est un argument qui pénalise la pensée et masque les enjeux de l’homosexualité. Exemple. Un garçon de 15 ans a confié à l’un de ses copains qu’il était bisexuel et lui fait des propositions. Lors d’un match de foot, il se montre si maladroit que le copain qui a refusé ses avances révèle devant les autres son inclination, lui attirant les remarques désagréables du groupe. On peut le regretter, mais s’agit-il d’homophobie, pour autant que ce mot ait un sens ? Ou n’est-ce qu’une réaction classique d’un garçon face à un comportement aguicheur contraire à ses intérêts psychiques qui s’articulent sur l’altérité sexuelle ? L’adolescent se demande pourquoi il attire ce type de personnalité ; il en est troublé et irrité. En réalité, il réagit pour ne pas régresser dans la phase du miroir qui le collerait au même que soi, ni être entraîné dans l’indifférenciation première où l’autre n’est que le prolongement de soi, ni douter de son désir.
Dans la psychologie sexuelle de l’enfant comme de l’adolescent, la logique qui fonde l’unité interne de son lien sexuel se réalise dans l’altérité des sexes. Cette unité concourt, dans le meilleur des cas, à affermir la confiance en soi, à donner de la cohérence au self et à être authentique.
Cette dynamique psychique se comprend au moment où, à l’adolescence, le sujet va intégrer son corps sexué qui se modifie dans la cohérence de son identité sexuelle. Une opération psychique à un moment fragile lorsque l’enfant, à l’identité pubertaire hésitante, cherche à consolider son inscription dans la différence sexuelle. La fixation infantile aux premières identifications narcissiques peut être la cause d’incertitudes identitaires à travers la bisexualité, d’échec du remaniement de ces identifications qui achemine vers l’homosexualité ou encore du refus d’intérioriser son corps sexué en valorisant le corps de l’autre sexe. La recherche de l’égalité est un leurre : au lieu de penser la sexualité en termes d’identité, sous l’influence de la théorie du genre, on l’impose en termes d’orientations sexuelles, ce qui n’est pas la même chose. [...]
La suite sur Valeurs Actuelles
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tony-Anatrella-L-homophobie-est-un
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[Paris] 10 octobre 2013 : Richard Millet à la librairie Contretemps
Le 10 octobre 2013, la Librairie Contretemps organise une signature avec Richard Millet.
Librairie Contretemps, 41 rue Cler, 75007 Paris (M° Latour-Maubourg), de 19 heures 30 à 21 heures 30.
Venez nombreux rencontrer ce grand écrivain... politiquement très incorrect !
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KEYNES (2° partie)
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KEYNES (1° partie)
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La Grèce, laboratoire du mondialisme
Depuis la crise de 2008, la Grèce sert de laboratoire au mondialisme.
Pour la finance tout le monde a relevé que la prise de pouvoir en Grèce par les mandataires des bulldozers mondiaux de la finance internationale et de l'Union, qui étranglent le peuple grec, sont en fait une expérimentation pour voir jusqu'où on peut aller trop loin en la matière.
Ce qui est beaucoup moins relevé, c'est que l’arrestation d'une quinzaine de responsables et d'élus du mouvement Aube dorée entre parfaitement dans ce schéma.
En effet, un chanteur d'extrême gauche ayant été assassiné par un individu se réclamant du mouvement aube dorée, c'est toute la direction de ce parti qui a été arrêtée.
Peu importe à quoi appelait ce rappeur, mort et d'extrême gauche, à l'instar de Meric, ce ne peut-être qu'un saint ripoublicain.
Pourtant a-t-on vu tous les imams et islamistes militants arrêtés lors de l'assassinat de Pim Fortuyn ?
Les Pays bas ont-il expulsé l'ambassadeur du Maroc à cette occasion ?
Chaque fois que les antifas tabassent et agressent un prétendu fasciste, trouve-t-on Besancenot ou Mélanchon au trou ? Que nenni. Au contraire, ils paradent .
Il s'agit bien de briser toute résistance nationaliste baptisée pour l'occasion "neo-nazie", même pas néo-fasciste — ce qu'elle est peut-être — non, néo-nazie.
Regardons bien la Grèce c'est l'Europe de demain que l'on voudrait pour nous.Frise grecque antique . Ouh les vilains nazis ! Emblème d'Aube Dorée. Ce n'est rien d'autre qu'un élément de frise bien moins "nazi" que son lointain précurseur. . http://polemiquepolitique.blogspot.fr/2013/09/la-grece-laboratoire-du-mondialisme.html
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Visage pâles en danger, cachez ce racisme que je ne saurais voir…
Dans son ouvrage Sale Blanc ! Gérald Pichon livre une enquête sur ce qu’il considère être aujourd’hui la haine raciale la plus répandue en France, et dans le même temps la plus niée. Il y décrit aussi la haine de soi-même d’une société tout entière, incapable de reconnaitre que l’autre n’est pas forcément une victime. Il y assène une démonstration rigoureuse et foisonnant de chiffres et d’exemples. Entretien avec l’auteur :
Minute : Tout d’abord, Pourquoi avoir demandé à Pierre Sautarel de préfacer votre ouvrage ?
Gérald Pichon : Tout simplement parce qu’il est le principal animateur du site Fdesouche, incroyablement vilipendé alors qu’il a largement contribué à faire émerger dans le débat public la question du racisme anti-Blancs et/ou anti-Français. Je pense d’ailleurs que c’est une des principales raisons de son succès.
Et qu’est-ce qui vous a poussé à écrire cette enquête ? Avez-vous vous-même été confronté au racisme anti-blancs que vous décrivez dans votre ouvrage ?
Ce qui m’a poussé à écrire Sale Blanc! c’est d’abord et avant tout l’envie de faire connaître cette réalité occultée par les médias et l’immense majorité de la classe politique. Ils nous ont menti pendant des décennies sur le prétendu racisme des Français de souche, dépeints le plus souvent comme d’affreux xénophobes incapables de s’ouvrir à la « diversité », alors que – comme s’efforce de le démontrer mon enquête – ce sont au contraire les « petits Blancs » qui sont les principales victimes de la haine raciale en France.
Le plus grave, c’est que la classe politico-médiatique préfère se taire alors qu’elle est très bien informée des agressions, des meurtres, des viols ou des insultes qui touchent les Blancs à cause de leur couleur de peau! Sans doute considère-t-elle que ces milliers de victimes sont le prix à payer pour achever de transformer la France en société multiraciale. Ayant vécu dans les banlieues de l’immigration, j’ai vu comment cette fracture ethnique s’est développé et comment ils ont tout fait pour étouffer cette réalité.
Français ou Blanc, pour les bandes ethniques, c’est pareil !
Racismes anti-Blancs, anti-Français, anti-Occidental sont souvent traités d’un même bloc dans votre enquête, entretenant une certaine confusion. Pensez-vous que ces sentiments reposent sur les mêmes ressorts ?
Ces trois haines, car je préfère parler de haine envers les Blancs dans mon ouvrage, n’ont pas précisément, ou pas toujours, les mêmes ressorts idéologiques. Cette confusion est plutôt entretenue par les médias, la justice et souvent les victimes elles-mêmes. Car il faut être franc: plus de trente ans d’idéologie antiraciste à la sauce Harlem Désir empêche le plus souvent les agressés de comprendre les motivations raciales de leurs agresseurs.
Il y a un tel décalage entre la propagande quotidienne sur le mon de merveilleux du « vivre en semble » et cette réalité du racisme anti-Blancs que les victimes ont du mal parfois à se dire que la seule couleur de leur peau peut susciter la haine. Alors, elles vont broder des explications fumeuses, préférant trouver des excuses à leurs bourreaux, plutôt que de regarder la vérité en face. Les bandes ethniques, elles, voient seulement un petit Blanc, donc une proie facile car sans communauté pour le protéger et sans réflexe de préservation identitaire.
Selon vous, pourquoi cette forme particulière de racisme est-elle si peu condamnée (moralement, politiquement, et même dans les tribunaux) ?
Elle n’est pas condamnée car elle va à l’encontre du dogme voulant que les victimes du racisme en France, en Europe et dans le monde soient les extra-Européens, et donc que le raciste est forcément un hétérosexuel blanc, accessoirement misogyne et « beauf ».
Il y a depuis un an, avec les déclarations de Jean-François Copé puis la « nouvelle donne » voulue par la Licra, un timide revirement sur le traitement du racisme anti-Blancs. Il faut savoir que lors de son dernier congrès, en février 2013, la Licra a affirmé vouloir prendre en compte la « nouvelle donne » antiraciste en évoquant le racisme venant des populations issues de l’immigration. Je considère cela plutôt comme une grossière tentative de récupération mais surtout, encore plus pervers, comme un moyen d’amener ce sujet sur une voie de garage.
Puisque cette réalité est devenue si criante désormais qu’ils ne peuvent plus la nier, alors ils vont tout faire pour la minorer. Les tribunaux commencent à s’occuper, timidement aussi, de cette haine mais on est très loin de la réalité des faits. Car condamner c’est laisser une trace statistique, et si la police et la justice s’occupaient de toutes les affaires où les Blancs sont victimes de haine raciale, les rapports officiels seraient obligés d’expliquer à l’opinion publique que ce sont les « visages pâles » que l’on attaque en très grande majorité à cause de leur couleur de peau, et non l’inverse.
Propos recueillis par Marc Bertric
* Sale Blanc ! de Gérald Pichon, éditions IDées, 110 pp., 12 euros. A commander sur : editions-idees.com
Article de l’hebdomadaire “Minute” du 2 octobre 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.
http://fr.novopress.info/141921/visage-pales-en-danger-cachez-ce-racisme-que-je-ne-saurais-voir/
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Fraction - Fière Celtie
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Vincent Peillon interpellé
... par une mère de famille à Caen :
"J’arrive au carrefour avec la rue de la Délivrande, bloquée par un cordon de CRS, mes drapeaux coincés dans mon jean et une bannière rose pliée à la main. Je reconnais un des RG et le salue. Une femme de la police, accompagnée d’un collègue, m’ordonne alors de manière très agressive de partir tout en me prenant par les épaules. Je m’indigne et tente de discuter avec eux. Rappliquent alors 5 CRS casqués qui me repoussent avec leurs boucliers. Je freine des pieds, perds mes chaussures… et prends les passants à témoin de la brutalité des forces de l’ordre. A 7 contre une, forcément…
Je suis finalement “raccompagnée” jusqu’à ma voiture, sous le choc mais très énervée, maintenant plus déterminée que jamais à entrer dans l’amphithéâtre où V. Peillon tient sa conférence.
Je me faufile discrètement par une entrée (oubliée ?), me repère, aperçoit le ministre en pleine interview télé. Que dois-je faire ? Un esclandre, l’aborder simplement, sortir mon drapeau de ma poche ?
Finalement, l’arrivée du Préfet devant moi décide de la suite : je monte sur mon banc et apostrophe le ministre : “Monsieur Peillon !” Panique chez les RG… Il n’a d’autre choix que de se diriger vers moi, il me prend la main pour me faire descendre et je commence à expliquer combien la “théorie” du genre est néfaste pour les élèves, surtout en CP à l’âge de la construction de l’identité sexuelle !
“Comment oser dire à un petit garçon : “Non, tu n’es pas un garçon” ? Ou à une petite fille : “Ton corps n’est qu’un instrument de plaisir, en relation avec d’autres corps, dont le sexe biologique ne compte pas !” ? J’explique la nécessaire complémentarité homme-femme en m’appuyant sur mon expérience de mère. Il a beau me répliquer que c’est “inexact”, je prends les étudiants à partie, tous très attentifs : “Quand vous serez père ou mère de famille, soyez très vigilants !”
“Et vous, monsieur le ministre, écoutez les gens de La Manif Pour Tous, ils ont des choses à dire ! Pourtant il est impossible de dialoguer avec le gouvernement ou ses représentants !”
A la fin de notre échange, resté calme et serein, je lance au ministre : “Au fait, vous me promettez que je peux rentrer chez moi sans passer par la garde à vue ?” Sourire en coin et hochement de tête du ministre…
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Ghouta : les surprenantes révélations de Mère Agnès-Mariam…
Le blogue Comité Valmy a publié le 27 septembre la retranscription en français d’un entretien accordée par la Mère Agnès-Mariam de la Croix à la chaîne de télévision en langue arabe Al Mayadeen. Cette chaîne, lancée en juin 2012 pour contrer l’influence de chaînes comme Al Jazeera (du Qatar), émet depuis Beyrouth. Ses financiers sont inconnus. Si la direction de la chaîne soutient que ses actionnaires sont des hommes d’affaires arabes, d’autres sources occidentales insinuent qu’elle serait une propriété conjointe entre les Iraniens et un cousin de Bachar Al-Assad… Comme d’usage, dans cette situation moyenne orientale où l’épineux le dispute au mystérieux, il convient de recevoir les propos de la supérieure du couvent Saint-Jacques le Mutilé (Syrie) avec bienveillance et prudence. Ils reviennent sur l’affaire du bombardement chimique de Ghouta – l’oasis de terres cultivées qui entourent au sud et à l’est la ville de Damas – et apportent des informations plus que surprenantes. Les voici…
« Les habitants de la province de Lattaquié m’ont informée avoir vu leurs enfants dans les vidéos sur la Ghouta, filmées par les miliciens armés », a-t-elle dit dans une interview avec la chaine de télévision al-Mayadeen [la religieuse accompagnait l’équipe des inspecteurs de l’ONU lors de leur deuxième visite à Damas] « le premier motif de son action était au début humanitaire, et la veille de l’attaque chimique dans la Ghouta nous étions à Damas. Nous avons vu de nos propres yeux ce qui a eu lieu à Maadamiya. Donc, s’il y avait eu des morts, des victimes et des blessés, on aurait remarqué ceci immédiatement. Mais cette nuit, aucun mouvement inhabituel n’a été enregistré. Les gens ici sont tous des voisins et se connaissent. Les habitants de la Ghouta qui se sont déplacés vers Damas n’ont pas été paniqués par un événement de cette ampleur, surtout que les informations de presse ont fait état de 1 400 morts et de 10 000 blessés dans une petite zone. Nous n’avons pas entendu non plus les ambulances. Tout était calme cette nuit (…) Telles étaient mes premières remarques, et lors de mon voyage en Malaisie, j’ai été en contact permanent avec les habitants de Lattaquié. Le 4 aout, les groupes armés ont ravagé 11 villages dans la province de Lattaquié. Les médias occidentaux ont parlé d’une avancée de l’opposition syrienne, alors qu’un véritable carnage avait eu lieu. Nous avions dressé des listes comprenant les martyrs de la province de Lattaquié et les disparus. Les groupes armés avaient kidnappé 115 personnes dont 65 enfants de moins de 15 ans. Au cours de mon voyage, j’ai appris que des parents de la province de Lattaquié ont reconnu des enfants enlevés de la même région qui sont apparus dans les images diffusées sur les victimes des armes chimiques présumées dans la Ghouta. Les Américains ont choisi 13 films parmi les vidéos présentées par les groupes armés et les ont qualifiés de sûrs (…) « J’étais en contact avec des journalistes allemands, je leur avais dit que je suis incapable de déterminer la date et le lieu de chaque film. Ils m’ont envoyée une liste de 43 films dont les premières vidéos. Ma surprise était grande à la vue des mêmes enfants repris dans au moins quatre ou cinq vidéos. Je me suis dit que ce qui se passe est anormal. Quand je me suis approfondie dans l’étude de toutes les vidéos sur des attaques chimiques présumées, je me demandais à chaque fois : d’où cherchent-ils tous ces enfants ? Où sont leurs parents ? Est-ce possible qu’une mère abandonne ses enfants ? Il est normal qu’un ou deux enfants disparaissent, mais perdre ce grand nombre d’enfants ceci suscite des interrogations (…) Toutefois, j’ai une bonne nouvelle : les enfants étaient anesthésiés, la preuve en est que tous les enfants étaient calmes à l’exception d’un enfant qui pleurait. On aurait administré à ces enfants plusieurs types d’anesthésiants pour donner l’impression qu’ils sont morts. Quant aux jeunes tués, je pense qu’ils sont des éléments des groupes armés qui ont joué le rôle de comparse. S’ils étaient morts, on aurait vu ce nombre élevé de victimes enterrées dans les tranchées énormes creusées pour contenir entre 300 à 400 dépouilles. Mais seules 8 corps y ont été enterrés. Nous n’avons pas vu ceux qui enterrent. S’il y avait vraiment 1500 corps, où seraient-ils alors ? Nous sommes de plus en plus convaincus que ces vidéos n’ont pas été filmées le 21 aout. Elles ont été postées sur internet en ce jour et ceci nécessite plus de preuves ».
Source : Comité Valmy
http://www.christianophobie.fr/document/ghouta-les-surprenantes-revelations-de-mere-agnes-mariamLien permanent Catégories : actualité, géopolitique, insécurité, international, lobby, religion 0 commentaire