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  • De l’enseignement mis à mort à l’enseignement du néant (partie 2)

    Comment en est-on arrivé là ? Un seul mot : le refus de l’échec scolaire, c’est-à-dire le mythe de l’égalité. Refus implacable, massif, refus tenu désormais comme un devoir de l’école. Zéro échec… Les principes de la qualité, principes sans aucun doute souhaitables pour la production massive de biens, mais qui ne s’appliquent pas à la formation des esprits.

    Il y a les handicaps sociaux que l’on veut compenser. Ils ne sont pas un rêve, ils sont une implacable réalité. Il fallait les reconnaître, les définir, fixer les critères, déterminer les moyens à mettre en œuvre. Mais tout cela devait se faire en maintenant un droit fondamental, le droit de l’école à l’échec scolaire, sans lequel elle ne peut plus être qu’un gigantesque village Potemkine. Ce qu’elle est devenue.

    L’école est aujourd’hui confrontée à un chantage moral qui prend une intensité de plus en plus délirante, comme en témoigne les questions liées au racisme, à l’immigration, et surtout au refus de prendre en compte la spécificité de l’islam. Il fallait reconnaître en chacun la capacité à répondre aux exigences d’un enseignement digne de ce nom, accepter aussi que pour certains cela puisse prendre plus de temps, et les y aider. Au lieu de quoi, on s’est contenté de reconnaître leur humanité, et on a sommé l’école de reconnaître, et de ne reconnaître que la forme abstraite de l’humaine condition et de s’incliner devant elle. Les programmes de français, en particulier de la seconde et de la première, se sont fait les ardents relais et les zélateurs inconditionnels de cette idéologie de l’altérité, qui est en réalité la nouvelle doctrine de l’école mise dans les manuels, et les textes servent d’autant mieux les dogmes que l’inculture des enseignants de lettres et de philosophie est consternante.

    Quant au baccalauréat, il est devenu un droit imprescriptible de la personne, puis par extension, la moyenne partout, et enfin, l’obtention de tout diplôme.

    Le fruit de cette démence : la persécution des bons élèves, ou tout simplement de ceux qui sont simplement encore des élèves et se comportent comme tels. Ils seraient en droit d’attendre le soutien de l’institution… Mais c’est l’institution elle-même qui promeut et donc qui est responsable de ce qu’ils subissent. Il suffit d’entendre le discours de justification et d’excuse systématique des persécuteurs.

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  • Minute répond à ses détracteurs

    Avec un numéro spécial à paraître demain :

    M

    Michel Janva

  • [Paris] cercle d’étude : Application de la pensée d’Action Française vendredi 22 novembre

    L’école de pensée qu’est l’Action Française ouvre ses portes trois vendredis par mois pour la tenue du cercle des étudiants animé par Pierre de Meuse pour les parties initiation et application de la pensée d’AF.. C’est l’occasion d’apprendre les bases ou de se refamiliariser avec la pensée nationaliste maurrassienne !

    RDV 18h30

    10 rue Croix des Petits Champs Paris 1er (2ème étage)

    Métro : Palais Royal - Musée du Louvre.

    Renseignements : etudiants.paris@actionfrancaise.net

  • 11 Novembre 2013 : communiqué de soutien aux jeunes interpellés d’André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    La jeunesse en révolte

    Le 11 novembre 1940 étudiants et lycéens ont défié l’occupant sur les Champs-Élysées et à l’Arc de Triomphe. Pourquoi ? Essentiellement parce qu’ils étaient des patriotes humiliés par la défaite et que leur jeunesse les poussait à l’action.

    Le 11 novembre 2013, on célébrait l’armistice victorieux de 1918 et les survivants de 1940 se réunissaient devant la plaque qui leur est consacrée sur les Champs-Élysées. Mais il y eut aussi des jeunes gens qui s’en prirent au chef de l’État et le sifflèrent.

    Pourquoi ? Parce qu’ils étaient aussi des patriotes humiliés, indignés par la dégradation et l’abaissement de leur patrie dont ils rendaient responsable, ainsi qu’il est normal, le chef de l’État, précisément parce qu’il est le chef et, par là même, responsable. Ils le manifestèrent en le sifflant, ce qui était sans doute une impolitesse mais rien de plus. Au demeurant le Figaro du 13 novembre soulignait que nombre de chefs d’É- tat ont eu à en essuyer de pires et qu’aucun ne fut à l’abri de l’outrage. Pensons égale- ment à la couverture de l’hebdomadaire Marianne traitant le président Sarkozy de «  voyou ». Aucune poursuite judiciaire ne fut alors engagée.

    Dans le cas présent, il serait scandaleux de vouloir traîner devant les tribunaux de jeunes patriotes que leurs sentiments et leur jeunesse même ont poussés à réagir comme le firent leurs aînés dans un tout autre contexte il est vrai. Leur condamnation par la justice serait une navrante injustice. Il faut donc protester par tous les moyens en notre pouvoir et dé- fendre ces jeunes gens qui sont l’avenir de notre patrie.

    André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?11-Novembre-2013-communique-de

  • Et si le FN détenait les clés de Marseille ?

    Jean-Claude Gaudin tentera-t-il, d’ici le premier tour, un rapprochement avec un FN qui, piloté par Marine Le Pen, a le vent en poupe ?

     
     

    Les sondages se suivent et se ressemblent. Alors que les prochaines élections municipales s’annoncent difficiles pour un président et une majorité désormais minoritaires, et que se profilent déjà dans la foulée des élections européennes désastreuses pour le PS, deux enquêtes d’opinion successives indiquent que les socialistes sont en mesure de l’emporter en mars 2014 dans la deuxième ville de France. Un rayon de soleil méditerranéen dans un ciel désespérément plombé. La reconquête de la cité phocéenne si longtemps gérée par feu Gaston Defferre contrebalancerait d’un point de vue psychologique, à supposer que Lyon et Paris restent aux mains de la gauche, des résultats globalement négatifs. Ce n’est pas sans raison que Jean-Marc Ayrault, grattant des fonds de tiroirs qui, paraît-il, étaient vides, a réussi à dégager trois milliards d’euros, ou de promesse d’euros, pour Marseille.

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  • A propos de la petite fille caillassée à Nancy

    Suite à mon post, Gabrielle Cluzel a mené son enquête :

    "L’histoire se déroule samedi après-midi, à Nancy. À l’appel de l’association anti-IVG « SOS Tout-Petits », une vingtaine de Lorrains se sont rassemblés place de l’Alliance afin d’y réciter un « rosaire pour la vie ». Une famille de Metz est spécialement venue pour l’occasion avec ses quatre enfants. Sur place, un cordon impressionnant de CRS et, surtout, tout autour, une soixantaine d’antifas. Trois fois plus nombreux, donc, que ceux contre lesquels ils sont venus protester.

    Comme le reste du petit groupe, la famille messine égrène pacifiquement son chapelet. Leur voix est rapidement couverte par les insultes et les cris qui fusent. Lorsqu’ils se mettent à chanter, l’agressivité des antifas monte d’un cran et les injures s’amplifient. Et puis d’un coup, vers 15 h, des jets de projectiles. Qui s’interrompent quelques instants pour reprendre de plus belle. Des objets divers, et des cailloux. Les CRS, impassibles, continuent de faire les Casques bleus. Mais soudain, le troisième enfant de la famille venue de Metz, une petite fille de quatre ans, fond en larmes. Une pierre l’a touchée à la tête. Elle cache son front dans le manteau de sa maman, un front qui saigne, orné d’un gros œuf de pigeon.

    Les parents, quoique bien secoués, n’ont pas porté plainte. Pas plus qu’ils n’ont accepté l’offre d’un représentant des Renseignements généraux sur place de les escorter jusqu’à la voiture familiale. Pourquoi ? Parce que, selon le père de famille, cela n’aurait servi à rien sinon, dit-il, à « les ficher ». Il faut dire – car il ne s’en cache pas –, qu’il n’a plus confiance dans la police, ayant été lui-même, il y a quelques mois, à Metz, plaqué au sol par les CRS lors de l’inauguration du tramway « Mettis » pour un petit drapeau de la Manif pour tous, puis parqué durant deux heures avec d’autres grands délinquants dans son genre. Une réaction instinctive qui en dit long sur le climat de confiance dans lequel vivent actuellement certaines familles françaises dans leur propre pays.

    Dernier détail : la mère de famille est d’origine gabonaise. Pour des antifas, réputés attachés à la lutte contre le racisme, on peut dire qu’ils ont bien visé. C’est sans doute, voyez-vous, qu’il en va de la diversité comme du reste, il y a la bonne diversité et il y a la mauvaise. Et celle qui récite des chapelets ne mérite sans doute rien d’autre qu’être lapidée, même si elle n’a que quatre ans… Un peu de mesure, chers amis ! Les antifas ne sont que de grands maladroits. De gentils anarchistes qui n’ont pas le compas dans l’œil et n’auraient jamais pensé blesser une petite fille. Allez, n’y pensons plus, un peu d’arnica, et la bosse va se résorber. Et ne tentez pas d’imaginer le tollé si d’autres que les antifas avaient commis pareille « maladresse », c’est très mauvais pour votre ulcère d’estomac !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/a-propos-de-la-petite-fille-caillass%C3%A9e-%C3%A0-nancy.html

  • Dédiabolisation, banalisation ou normalisation ?

    Depuis plus d’un an, les résultats successifs aux élections partielles montrent un désintérêt grandissant des électeurs qui se réfugient en masse dans l’abstention.
    La cause principale réside ici dans le fait que les partis de la mafia socialaud-démocrato-écolo-capitaliste refusent de se remettre en cause, font preuve d’un total manque d’imagination et surtout d’un aveuglement idéologique.
    Ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu mettre leurs promesses en œuvre et se retranchent derrière les diktats de Bruxelles pour justifier leur incompétence, leur incapacité et leur veulerie. Est-ce la fin du front « ripouxblicain » ?
    Évidemment  les électeurs, qui sont souvent des contribuables et des parents, ouvrent lentement mais sûrement les yeux et constatent que de Brest à Bucarest et de Nice à Stockholm, les mêmes maux pourrissent le quotidien des Européens, ceci grâce en partie aux réseaux sociaux et à Internet, en sus des médias conventionnels.
    Rien n’a changé depuis 40 ans ! Le mondialisme pervers accepté par nos dirigeants -au travers des accords du GATT, puis de l’OMC- a conduit nos économies dans un champ de ruines.
    L’immigration sauvage, imposée par les gourous de la société multiculturelle, est un échec absolu et coûte des centaines de milliards d’euros aux contribuables européens.
    L’insécurité permanente est un fléau social que les gouvernements traitent avec amateurisme, préférant appliquer le culte de l’excuse pour les délinquants, sans s’occuper de la réelle souffrance des victimes.
    La multiplicité des drogues occasionne des ravages parmi notre jeunesse à qui l’on enseigne des fadaises dans nos écoles, au lieu de leur inculquer les valeurs qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et partout dans le monde.
    Ne parlons pas de la pression fiscale qui augmente année après année, en écœurant ceux des travailleurs qui sont encore animés par une conscience professionnelle et le goût du travail bien fait. À tel point que les entrepreneurs les plus actifs vont exercer leur talent dans des pays plus accueillants.
    Comment dès lors s’étonner que les partis nationalistes recueillent tous les déçus des lendemains qui déchantent ?
    Pourquoi être surpris que des bataillons de mécontents rejoignent actuellement ceux qui défendent la préférence nationale d’une part, mais aussi le bien commun ? Et que la caste politico-médiatique, qui durant des décennies a craché sur les mouvements non-conformistes, soit aujourd’hui acculée à reconnaitre ses torts face à la réalité ?
    Mais ce qui est absolument délicieux, c’est d’entendre certains (nes) déclarer qu’ils se sont  « normalisés », alors qu’ils étaient catalogués hier comme « sulfureux », « nauséabonds », ou « infréquentables ».
    Le diable s’est-il habillé en Zara ? La démocrasse est-elle en danger ?
    Pieter KERSTENS
    http://www.francepresseinfos.com/2013/11/dediabolisation-banalisation-ou.html#more

  • Leur « règle du je » contre les Français

    «Dans ce scrutin, nos succès et nos victoires dépasseront le cadre des communes concernées. Plus nombreux (ils) seront, et plus le système sera tétanisé, paralysé» : Marine Le Pen a clôturé hier salle Equinoxe à Paris la Convention  du FN consacrée aux  municipales. Dans  un discours plein d’allant,  elle a pointé les récentes diversions tentées par la gauche aux affaires pour occulter son bilan catastrophique, étrillé « la politique désastreuse de ce gouvernement et de ceux qui l’ont précédé »,  exposé son  optimise raisonné quant aux objectifs qui sont ceux de l’opposition nationale dans ce scrutin – voir l’intégralité de son intervention  sur www.frontnational.com. A l’heure ou dans un effort désespéré pour retenir leurs électeurs par le col,  l’UMPS et ses relais  tentent une énième offensive sur le thème « le FN c’est le racisme », félicitons nous du succès judiciaire – certes en demi-teinte -  remporté par la présidente du FN a-t-on appris vendredi.

     Marine Le Pen a en effet obtenu de la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris  que Charles (dit Haïm) Musicant,  directeur de la publication du site internet du Conseil Représentatif des Instituions Juives de France (Crif),  soit  reconnu coupable de diffamation à son égard. M.  Musicant a été condamné à 500 euros d’amende avec sursis, un euro de dommages et intérêts à la présidente du FN, ainsi que 1 500 euros de dommages et intérêts.

     En cause l’article proprement délirant commis par le  « philosophe » pipo(le) Bernard-Henri Lévy,  «Marine Le Pen, Google, l’antisionisme et à l’arrivée, Villeurbane» sur le site de la revue littéraire qu’il dirige, La règle  du jeu,  repris et mis en ligne sur  celui  du Crif le 5 juin 2012. BHL y accusait Marine  entre autres joyeusetés,  de «faire systématiquement huer, dans ses meetings, des noms à consonance juive ».

     Très « curieusement » ( ?),  le tribunal  a estimé que si BHL a certes «manqué de prudence» (sic)  dans son propos, la présidente du FN   ne prouvait pas qu’il avait expressément consenti à la publication de son texte sur le site internet du Crif. Il a donc été relaxé…

     Bernard-Henry Lévy qui au nom de sa revue, et  en partenariat avec un pseudopode du PS,  SOS Racisme, organisait un événement show-biz hier  en invitant  des personnalités de la galaxie bobo et du tout Paris bien-pensant.  En l’espèce une   soirée de soutien à Christiane Taubira dans un cinéma… du quartier Saint-Germain, ça ne s’invente pas !

     Hors de question en effet pour  ce dernier de laisser l’initiative de ce combat à une néophyte comme  la comédienne Jeanne Moreau qui a osé le devancer. Sous le titre Nous sommes tous des singes français, elle vient de signer  avec le metteur en scène Bernard Murat, le Young leader Denis Olivennes, président de Lagardère Active, l’historien Benjamin Stora et la cinéaste Danièle Thompson, une tribune contre le racisme dans le Journal du Dimanche.

     L’occasion était trop belle de relayer le Haut-commissariat aux droits de l’homme de l’ONU (!), qui,  par la voix d’un porte-parole,  vient d’évoquer  à Genève l’urgence du moment,  à savoir la « Une » de Minute…Ces «abus totalement inacceptables perpétrés à l’encontre d’une responsable politique connue en raison de sa couleur de peau sont une manifestation claire de la montée du racisme, de la xénophobie et de l’intolérance à l’encontre des minorités ethniques ou religieuses et des migrants dans de nombreux pays européens », a déclaré l’agence des Nations Unies.

     Elle évoque encore les exigences  adressées à la France par le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale, qui lui commande d’utiliser « tous les moyens possibles pour contrer une vague croissante de racisme et de xénophobie ». Propagande quand tu nous tiens…

     Hier,  La Règle du jeu et SOS racisme ont donc  péniblement réussi à réunir 250 de leurs amis et compagnons de route -Christine Angot, Yann Moix, Caroline Fourest, Tahar Ben Jelloun, Karine Tuil, Daniel Lindenberg Dominique Sopo,  la présidente de SOS Racisme Cindy Léonie…-  pour accueillir Mme Taubira.  «Nous sommes là pour dire notre colère face à cette montée, ce retour de l’infamie et du racisme», a déclaré Bernard-Henri Lévy.

     Caroline Fourest, est également intervenue à la tribune pour pointer  «un climat qui constitue un vrai problème de démocratie». Il est vrai que cette dernière y avait toute sa place. Elle figurait significativement dans le livre  Les intellectuels faussaires  de (l’homme de gauche)  Pascal Boniface.  «La grande force » de Mme Fourest, chez qui  « la vigueur de l’accusation est inversement proportionnelle à la rigueur de la démonstration »,  est « d’enfourcher les chevaux de bataille largement majoritaires dans l’opinion et plus encore parmi les élites médiatiques» notait déjà M. Boniface.

     Un constat transposable à l’ensemble des participants de ce petit raout germanopratin  et bien  sûr à BHL lui-même. A l’occasion de la mort du journaliste Philippe Cohen le 20 octobre dernier, le site du  Nouvel Observateur  a eu la bonne  idée, une fois n’est pas coutume, de republier l’article d’ Aude Lancelin paru le 13 janvier 2005. Celui-ci était   consacré  à la sortie de la biographie que M. Cohen avait  consacré à M. Lévy, cet  «inventeur de la gauche folle, cette gauche pratiquant la guérilla antifasciste en luxueux ryads marocains. Cette gauche morale à domesticité… ».

     Les procédés, «les réseaux BHL » y sont décrits, « les claquements de dents qu’ils inspirent. Les plumes achetées par une sole grillée chez Lipp ou par une menace ». Notamment l’accusation d’antisémitisme utilisée contre ceux qui osent le critiquer , « les arguments »  de Bernard-Henri Lévy « parlant de (P. Cohen)  comme d’un traître à leur commune judéité » ;  ses bobards sur son séjour au Bangladesh ; ses attaques infâmes contre Soljenitsyne avant sa tentative de récupération de l’auteur de L’archipel du goulag ;  «  son enquête pakistanaise sur Daniel Pearl », «somme de frasques mythomanes »; « l’affaire de (sa) vraie-fausse amitié de vingt ans avec le commandant Massoud ». Un mensonge   que  le documentariste Christophe de Ponfilly, auteur de Massoud l’Afghan, « dénoncera dans  une Lettre ouverte à Bernard-Henri Lévy. Trois grands quotidiens français refuseront de la publier… ».

     En décembre 2011  nous évoquions sur ce blog  cette confidence de Frédéric Haziza, journaliste à Radio J, qui avait avoué que  « (Bernard Henry Lévy) (l’avait)  appelé à 1h du matin pour lui déconseiller de recevoir Marine Le Pen dans son émission ».«(Une)  révélation (…) (qui venait)  confirmer les dires d’Alain Soral qui affirmait que Guillaume Durand l’avait désinvité suite à un coup de téléphone de BHL, reçu à 1h45 du matin. »

     Le journaliste Eric Naulleau notait pareillement que les gens ont peur de BHL, qui est pourtant le maître de « l’imposture ».  Un homme qui se caractérise par « l’absence totale d’œuvre », qui « essaye tous les ans un costume trop grand pour lui » ( ceux de « Mauriac », « Tocqueville » « Malraux », …) »; «un parrain qui fait régner une forme de terreur inquiétante pour la république », « un escroc intellectuel », un menteur « qui s’est fait prendre vingt fois la main dans le sac sans qu’il y ait de conséquences. »

     Que ce type de personnage, auteur de l’immonde  Idéologie française , prosélyte d’une France  vidée de sa substance,  déracinée,  prenne la tête de cette croisade pitoyable de culpabilisation des Français est un formidable symbole de la déréliction  intellectuelle  du Système constate Bruno Gollnisch . Combien de temps encore la « règle du je » de la caste se maintiendra au pouvoir ?  Une chose est  certaine, la Révolution patriotique qui s’annonce  se fera aussi un devoir de mettre fin à son hégémonie.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/18/leur-regle-du-je-contre-les-francais/

  • Succès de la Marche pour la vie en Espagne

    Lu ici :

    "La IV Marche pour la Vie a rassemblé plusieurs dizaines de milliers personnes dans les principale rues de Madrid (Espagne), demandant au gouvernement du Parti populaire en Espagne pour accomplir la promesse de campagne et d'abroger la loi sur l'avortement toujours en cours dans le pays. Malgré le froid et la pluie à Madrid, des milliers de personnes se sont jointes à l'appel de Derecho a Vivir et Hazte Oir, ils ont commencé Place de la Puerta del Sol pour finir dans la Place de Neptuno formant une grande marée rouge en faveur de la vie.

    En même temps des rassemblements pro vies ont été organisées dans près de 50 villes de toute l’Espagne en demandant au gouvernement de Mariano Rajoy d’abroger la loi de l’avortement. En Tête du cortège une grande bannière avec le slogan de la Marche « Espagne est pour zéro avortement » Pour une Vie entière sans interruption avec la protection de la vie de la conception. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Des sénateurs américains appellent l’UE à lever les barrières à la malbouffe chimique

    Les principaux membres de la Commission des finances du Sénat ont placé la barre très haut pour les négociations commerciales en cours entre les États-Unis et l’Union européenne, en insistant sur la nécessité de résoudre les conflits anciens et pleins d’âpreté, relatifs aux méthodes de transformation de viande de bœuf et de volaille et au blocage, par l’UE, de certaines méthodes américaines de production de viande de bœuf.

    Lors d’une audience de la Commission des finances du Sénat, le 30 octobre, le Président Max Baucus (Démocrate) a déclaré que, pour que le Traité transatlantique (TTIP) soit à la hauteur de son potentiel, les deux parties doivent résoudre ce qu’il a appelé, de la part de l’UE, « les obstacles non scientifiques et injustifiés aux exportations agricoles des États-Unis, y compris le bœuf et la volaille ».

    Selon Baucus, l’Organisation mondiale pour la santé animale (OIE) et la Commission internationale de normalisation dite du codex Alimentarius ont déclaré que les « méthodes de production de bœuf américain sont parfaitement sûres ». Il n’est pas entré dans les détails, mais un collaborateur du Sénat a déclaré après l’audience que Baucus faisait allusion à une interdiction de l’UE portant sur le bœuf et le porc élevés en utilisant un médicament vétérinaire favorisant la croissance, appelé ractopamine, qui a été approuvé par le Codex l’an dernier, malgré les objections de l’UE.

    « Je suis convaincu que nous pouvons surmonter l’obstacle » des questions sanitaires et phytosanitaires (SPS), a déclaré Baucus dans son allocution d’ouverture. Plus tard, durant l’audience, il a noté que l’UE avait abandonné son interdiction d’utiliser autre chose que de l’eau chaude et de la vapeur comme traitement anti-microbien dans la production de viande, lorsqu’elle a autorisé l’utilisation de l’acide lactique sous la pression américaine l’an dernier.

    Baucus a déclaré que le succès était dû au fait que les États-Unis avaient été « clairs et précis » dans leurs demandes, et que faire de même pour d’autres questions sanitaires rendrait le succès des négociations plus probable.

    Il n’a pas mentionné qu’il voulait que l’UE lève son embargo sur le boeuf élevé aux hormones de croissance artificielles. Cette interdiction a été contestée avec succès par les États-Unis devant l’Organisation mondiale du commerce. Au lieu d’un retrait par l’UE de la mesure incriminée, les deux parties sont tombées d’accord sur une transaction qui a ouvert aux États-Unis et à d’autres fournisseurs un certain accès au marché du bœuf sans hormones.

    Dans leurs observations séparées, les sénateurs Tom Carper et Ben Cardin – tous deux originaires de grands Etats producteurs de volailles – ont fait valoir que l’Union européenne doit enfin céder sur ses restrictions envers certains traitements des agents pathogènes (PRT) utilisés par les transformateurs américains de volailles. Ces restrictions ont essentiellement bloqué l’accès des volailles américaines au marché de l’UE.

    Cardin a insisté sur l’importance de résoudre le conflit sur les PRT dans le contexte du commerce. « Ceci est un sujet sur laquelle nous devrons vraiment nous concentrer quand nous en arriverons au côté réglementaire » des négociations du TTIP, a-t-il dit.

    Mais persévérer sur cette question rendrait presque certain de provoquer un autre conflit avec l’UE, qui n’autorise actuellement que l’eau chaude comme traitement anti-microbien pour la volaille. Une proposition précédente de la Commission européenne, visant à autoriser les PRT utilisés aux États-Unis – y compris l’eau chlorée –, a été rejetée par les ministres de l’UE en 2008.

    Cette année, le Département américain de l’Agriculture (USDA) a discrètement donné un autre coup de poignard, en demandant à obtenir l’approbation de l’UE pour le peroxyacide, un autre PRT utilisé par l’industrie américaine.

    Bill Roenigk, vice-président du Conseil national de l’industrie de la volaille, qui a témoigné lors de l’audience, a annoncé cette demande d’autorisation. Après l’audience, il a déclaré ignorer si l’USDA avait déposé la demande d’approbation du peroxyacide en coopération avec la Commission européenne, ou si elle avait pris la décision de le faire unilatéralement, dans le but de rouvrir le marché européen à la viande de volaille américaine.

    Les observateurs avisés disent que cette substance peut avoir une meilleure chance d’être autorisée par les responsables européens car elle ne contient pas de chlore, lequel est utilisé dans les piscines d’eau potable et de baignade pour tuer les bactéries nocives, mais a aussi des propriétés toxiques. Le peroxyacide est l’un des quatre traitements anti-microbiens permis aux États-Unis pour le traitement de la volaille après abattage, mais ce n’est pas le cas dans l’UE. Les autres sont le dioxyde de chlore, le chlorite de sodium acidifié et le phosphate trisodique.

    Les États-Unis ont commencé à contester l’interdiction de ces PRT par l’UE, à l’Organisation mondiale du commerce en 2009, avec un groupe formé en novembre 2009 mais jamais réuni. A cause de l’interdiction posée par l’UE, aucune volaille américaine n’a pu être exportée vers le marché européen depuis 1997, selon Roenigk.

    Ce dernier a estimé que le marché de l’UE constituerait aujourd’hui un marché de 600 millions de dollars pour les produits à base de poulet américain, si l’UE appliquait « des normes fondées sur la science ».

    Cardin et Carper, dans leurs remarques, ont fait valoir que les producteurs américains de poulet et autres produits agricoles doivent être francs avec les membres du Congrès, quant à savoir si le TTIP va vraiment changer suffisamment les pratiques de l’UE pour fournir aux exportations agricoles américaines un accès significatif aux marchés. Cardin a vivement recommandé à Roenigk de fournir une évaluation permettant de déterminer si le TTIP sera profitable, et de ne pas simplement céder sous la pression pour obtenir un accord.

    Dans leurs observations soumises au Bureau du Représentant américain au Commerce plus tôt cette année, l’Institut américain de la viande et l’Association nationale des éleveurs de bovins citent l’interdiction par l’UE de la viande produite avec ractopamine, comme un obstacle réglementaire auquel ils souhaitent que le TTIP s’attaque.

    Ils ont aussi généralement critiqué l’approche réglementaire de l’UE, fondée sur le « principe de précaution » et les préférences culturelles, contre l’utilisation de produits chimiques et d’hormones dans la production de viande bovine et porcine.

    Ils ont exigé que l’UE mette ses pratiques réglementaires en conformité avec les normes du Codex ou de l’OIE, mais n’ont pas demandé que l’UE lève son embargo sur le boeuf élevé aux hormones de croissance artificielles.

    Comme solution provisoire au différend relatif à l’interdiction des hormones, les Etats-Unis et l’UE ont convenu d’une restriction actuellement fixée à 45.000 tonnes de viande de bœuf sans hormone provenant des États-Unis et d’autres pays. Le quota est ouvert aux exportations de bœuf des États-Unis, d’Australie, d’Uruguay, de la Nouvelle-Zélande et du Canada, mais l’Institut américain de la viande a déclaré au Représentant américain au Commerce, plus tôt cette année, que l’administration de ce contingent tarifaire (Tariff-Rate Quota – TRQ) doit être modifiée, afin de garantir aux exportateurs américains « un accès durable » au marché européen.

    De juillet 2012 à juin 2013, les exportations américaines se sont élevées à 16.750 tonnes de viande de bœuf, soit environ 50% du taux de remplissage, selon la Fédération américaine des exportateurs de viande. Ces exportations se sont élevées à 212 millions de dollars, selon le Représentant américain au Commerce.

    Sur les traitements de réduction des agents pathogènes, l’Institut américain de la viande a indiqué dans ses observations que le problème a été en grande partie résolu par l’acceptation de l’acide lactique pour la viande bovine de l’UE, bien que l’interdiction des autres PRT soit maintenue. Le groupe a également fait valoir que la position de l’UE montre son inflexibilité envers l’approbation de nouvelles technologies.

    L’audience n’a pas abordé le point de savoir dans quelle mesure les exigences de l’UE quant à la protection des animaux constitueraient un obstacle aux exportations de poulets américains, même si les problèmes liés aux PRT étaient résolus. Roenigk a seulement fait allusion au point de discorde potentiel, en indiquant que l’UE élève du poulet parmi « le plus cher » au monde.

    Les groupements agricoles des États-Unis ont fait valoir leur opposition à l’augmentation des normes de protection des animaux dans le TTIP, de peur que l’UE essayer d’y intégrer ses règles plus strictes.

    Dans l’élevage de poulets, par exemple, les agriculteurs de l’UE doivent observer les règles sur la taille des cages qui ne sont pas imposées dans les normes agricoles des États-Unis. Les groupements agricoles européens ont dit qu’ils seraient placés en désavantage concurrentiel si les Etats-Unis exportaient de la volaille, à partir du moment où les producteurs américains ne sont pas confrontés aux mêmes exigences coûteuses que les européens.

    L’agriculture n’était pas le seul sujet à l’ordre du jour de l’audience. Cardin a aussi incité Michael Ducker, vice-président exécutif et directeur des opérations de FedEx, à prendre une position plus ambitieuse en faveur de la suppression par l’UE de toute taxe sur la valeur ajoutée pour les exportations américaines, au lieu de se contenter de relever le seuil en dessous duquel les consommateurs américains et européens ne paient pas de taxes sur les expéditions. Ducker était parmi les témoins à l’audience.

    Cardin a déclaré que se contenter de relever ce seuil n’avantagerait pas les exportations américaines confrontées à la taxe sur la valeur ajoutée, et a insisté sur le fait que la concurrence n’est pas loyale entre les Etats-Unis et l’UE en matière de fiscalité des entreprises.

    Selon Ducker, le seuil de taxation pour un envoi en provenance de pays étrangers vers les États-Unis est maintenant de 200 dollars et ce même seuil figure dans les accords de libre-échange négociés entre les Etats-Unis, la Corée du Sud, le Panama, la Colombie et le Pérou.

    Il a également noté qu’un projet de loi est en instance devant le Congrès américain pour porter ce niveau à 800 dollars et que le TTIP devrait adopter ce même niveau d’exemption de taxe des deux côtés de l’Atlantique. Il a déclaré que le seuil est de 30 dollars dans certains États membres de l’UE, voire de 13 dollars dans certains des nouveaux États membres.

    - Article original en américain : InsideTrade (NB : pour accéder à cet article, vous devez vous abonner ou au moins vous inscrire pour profiter d’un essai gratuit d’un mois de cette publication)

    - Traduction (corrigée et complétée par Fortune) : ContreLaCour

    http://fortune.fdesouche.com/333597-des-senateurs-americains-appellent-lue-lever-les-barrieres-la-malbouffe-chimique#more-333597