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  • [Moulins] CR de la conférence du Printemps Français du 7 décembre à Moulins

    "Comme annoncé, Résistance Bourbonnaise à tenu ce weekend, à Moulins, sa première conférence sur le thème de la Résistance. Nous pouvons nous féliciter tant de la qualité des interventions de Béatrice Bourges et de Frédéric Pichon que de la forte mobilisation du public (70 personnes). D’autres conférences sont d’ores et déjà programmées. "

    Résistance Bourbonnaise

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Moulins-CR-de-la-conference-du

     
  • L’Histoire de France à la poubelle

    Les Soviétiques n’avaient pas fait pire que ce qu’a entrepris depuis des décennies ce qu’il est convenu de nommer l’Éducation nationale de France : dilapider l’héritage de ‘’notre’’ histoire, la découper en tranche et rejeter ce qui ne correspond pas à la vision idéologique qu’elle cherche à imposer à la jeunesse française, tout autre chose que la simple vérité.

    Car l’histoire de la France, notre patrie, ne lui appartient pas : elle ‘’nous’’ appartient’’, elle est l’âme de ce peuple que nous sommes, comme l’est également sa langue. Notre droit à notre histoire est absolu et la ‘’massacrer’’ – comme l’écrit Fabrice Madouas dans Valeurs actuelles de cette semaine – est à la fois un viol et une sorte de génocide culturel. (La nullité de l’enseignement général comme de la langue française en particulier participe au même crime dont l’État français est responsable ‘’et’’ coupable.) [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

  • Le radical-socialiste Borloo prépare-t-il son ralliement ?

    131210Le délitement du gouvernement Ayrault part en ce moment dans tous les sens. Montebourg boude visiblement le Premier ministre en perte de vitesse. Tout le monde se gausse de sa prétention à"remettre à plat" une fiscalité qu'il est jugé incapable de réformer, et que le chef de l'État lui-même en a immédiatement saboté l'annonce. Même le docile Moscovici montre des signes d'impatience. (1)⇓

     

    Une telle situation autorise d'autant plus aux interrogations et aux dévoilements des ambitions et arrière-pensées que les décisions semblent remises, sinon à la conférence de presse du 14 janvier au lendemain des élections municipales des 23 et 30 mars 2014 et européennes du 25 mai. Autant imaginer une nouvelle combinaison ministérielle pour fin juin, à la veille des départs en vacances.

     

    Or l'une des derniers atouts professionnels que l'on peut reconnaître au successeur des glorieux Émile Loubet (1899-1906) et Armand Fallières (1906-1913) tient à la manipulation méthodique de l'opinion. Elles reposent sur les faux bruits et sur l'activation des réseaux.

     

    Parler d'une "combinaison" dans la composition du gouvernement peut sembler anachronique sous la Ve république. Mais la fameuse anaphore "moi président" ouvrait-elle autre chose, outre sa part de mensonge, qu'un retour à la IIIe république. À nouveau, nous voici gouvernés par la science des dosages à partir des tendances internes du parti socialiste. Certains imaginent le retour d'Aubry, une catastrophe pouvant toujours en cacher une autre. On ne s'étonnera même pas que certains milieux maçonniques en arrivent à répandre l'hypothèse d'un retour de Fabius à Matignon en dépit des diverses casseroles qui lestent le parcours de ce brillant cavalier.

     

    En réalité, on feint de commencer à se servir d'une nouvelle potion magique gauloise. Le plus éclatant clin d'œil a consisté a emmener le prédécesseur de Hollande, que l'on traînait jusqu’ici dans la boue, pour rendre un hommage à Mandela. On fait appel à l'idée d'union nationale. Ceci permettra bientôt de tout justifier. S'y référer suppose l'abandon de l'union de la gauche, et, au sein de la droite mobilise le thème d'une opposition qui se prétend "constructive".

     

    Ainsi Borloo, toujours président du parti radical socialiste, était-il le 4 septembre l'invité de Guillaume Durand. (2)⇓

     

    Ses dernières initiatives ont été prises sans consultation des instances et des adhérents de l'UDI. Aussi bien son rapprochement avec François Bayrou que le largage de la candidature de Christian Saint-Étienne à Paris, au profit de NKM – en laquelle il ne croit pas, confirment le peu de conviction du personnage. On veut le faire parler d'une éventuelle candidature à la présidentielle de 2017, alors qu'il vise Matignon, dont il raté le coche en 2011.

     

    Car ses propos, lors des 5 premières minutes de l'entretien correspondent exactement à l'hypothèse de son ralliement comme "sauveur"

     

    il accuse certes d'amateurisme l'équipe Ayrault, mais son propos entend le poser lui, l'inventeur de l'écotaxe, en professionnel de la bonne gouvernance. Dans le cadre de l'union nationale, à laquelle il se dit ouvert, il se prétend prêt à gouverner alors que toute le monde le sait, à l'UDI, incapable de dessiner le moindre brouillon de programme.

     

    Retenons simplement qu'il s'offre à étudier la "mise à plat" fiscale que. dans ce cadre, il s'engouffre dans la dénonciation de la grande injustice fiscale qui entacherait, selon lui, la fiscalité locale. On voit poindre la mise en œuvre de la "péréquation". Introduite de façon catastrophique, mais non fortuite, dans la constitution sous la présidence Chirac elle aboutirait à faire payer encore un peu plus.

     

    Ce prétendu chef de "l'opposition sérieuse" ne dit pas que des âneries. Il raccourcit l'acte de naissance de notre "modèle social". Il le dit "né en 1945 d'un accord entre les communistes et les gaullistes". Le phénomène fut évidemment plus complexe. Il ose s'écarter du cliché selon lequel la démographie française figurerait au nombre des atouts d'un pays dont, de toute évidence, 20 % de la natalité constitue plutôt un handicap, etc.

     

    On peut donc faire confiance à M. Borloo pour décevoir ceux qui croient en lui. De ce point de vue, je ne serai pas déçu.

     

    JG Malliarakis 

     

    Apostilles
    1 cf. "Moscovici règle ses comptes avec Jean-Marc Ayrault" in Le Monde" en ligne le 23 novembre.
    2 sur LCI-Radio Classique.

    http://www.insolent.fr/2013/12/le-radical-socialiste-borloo-prepare-t-il-son-ralliement-.html

  • Classes prépa : les excellents propos de Jacques Julliard

    L’AF 2873 avait épinglé Jacques Julliard : aussi est-elle d’autant plus libre de saluer les excellents propos, libres de toute démagogie, tenus par l’éditorialiste de Marianne sur les classes prépas dans le numéro du 7 décembre 2013.

    Malheureusement pour le magazine, Marie Huret (p.42 du même magazine) se livre à cette "vindicte de tous les médiocres" dénoncée par Julliard (p.12). L’honneur de Marianne est sauf !

    " Sous prétexte d’en faire profiter les enseignants des zones défavorisées, on a entrepris de réduire dans des proportions importantes, de l’ordre de 10 %, la rémunération des profs de prépa, c’est -à-dire des classes préparatoires aux grandes écoles. Comme c’est une des rares choses qui fonctionnent bien dans le système scolaire français, rien n’est plus urgent qu’y mettre le bazar. Il y a longtemps que les profs de prépa et les prépas en général sont l’objet de la jalousie mesquine et de la vindicte de tous les médiocres, de tous les besogneux, qui sont légion dans l’administration et dans la secte pédagocratique. Au nom de l’égalité ! Comme si les pays démocratiques n’avaient pas besoin d’une élite du savoir ! Pourquoi, en si bon chemin, ne pas aligner le traitement des directeurs de l’administration centrale sur ceux des instituteurs débutants, qui font un métier non moins utile et même plus fatigant ? Il est curieux que, dans leur zèle justicialiste, les premiers n’y aient pas pensé... "

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Classes-prepa-les-excellents

  • La crise ukrainienne et le destin de l'Europe

    131207Les médias ces derniers jours nous ont beaucoup parlé de l'Afrique. Un peu trop sans doute. Ceci n'annonce pas seulement des orages non désirés. Car cela permet aussi d'occulter une fois de plus les questions européennes.

    Si l'on visite les sites des principaux journaux des gros états de l'ouest européen, on découvre d'ailleurs que les opinions respectives se focalisent, à juste titre pensera-t-on peut-être, sur des problèmes bien différents.

    En Italie, où la classe politique implose, La Repubblica centrait ce 6 décembre sur la terrible affaire de l'imam islamo-terroriste Abou Omar arrêté par la CIA, alors qu'il préparait des attentats contre la Péninsule. Silence radio de ce côté-ci des Alpes.

    En Angleterre, où la situation économique s'améliore de plus en plus, le Daily Telegraph présentait pour la préoccupation essentielle du gouvernement de David Cameron, en vue de la réunion de Vilnius, la remise en cause du laxisme de nos politiques migratoires. Silence radio de ce côté-ci de la Manche.

    En Allemagne, la chancelière se trouve paradoxalement contrainte à une coalition avec ses adversaires socialistes, vaincus le 22 septembre. Die Welt consacrait logiquement ce 7 décembre de longs développements au congrès extraordinaire du parti libéral allemand. Évincé de justesse de la Diète fédérale, pour la première fois depuis 1949, le FDP vient de se donner un nouveau chef en la personne de Christian Lindner.

    Monsieur Normal s'était fait exceptionnellement discret lors de cette réunion des 28 et 29 novembre. S'y assemblaient il est vrai des gens sérieux, dirigeants du continent, autour de la présidence lituanienne. Faut-il y voir une surdité volontaire de nos stupides journalistes parisiens, toujours prêts au dénigrement ?

    En consultant au besoin le site officiel de l'Élysée, on découvre au contraire la place très petite consacrée aux "réponses du président aux questions des journalistes à l'occasion du 3e Sommet du Partenariat Oriental." (1)⇓

    À titre de comparaison la rencontre bilatérale avec la [charmante] Alenka Bratusek, chef du gouvernement slovène, le 4 décembre se voit accordée nettement plus d'importance. Ne parlons même pas des nouvelles aventures de Tintin au Congo.

    Fausse modestie ? Sur les 3 minutes et 30 secondes enregistrées à Vilnius, la partie principale commente, avant tout, les chiffres de l'inversion de la courbe du chômage, dont personne ne saurait douter, – dans l'Hexagone.

    Monsieur Nullot se contente, en 90 secondes de réduire la question ukrainienne à un chantage financier, exercé par le gouvernement de Kiev, et pour lequel l'Europe "ne payera pas". Une fois n'est pas coutume, nous renverrons l'ancien président du conseil de la Corrèze à la simple lecture du Monde(2)⇓ Nathalie Nougayrède y suggère, avec pas mal de lucidité, que nous nous trouvons en présence d'un nouveau Yalta, sous la même influence qu'en 1945, celle des sombres connivences du parti démocrate américain.

    À noter d'ailleurs que le Wall Street Journal ou le New York Times consacrent aussi bien au dossier lui-même qu'aux manifestations populaires de Kiev, un nombre considérable d'articles, de photographies et d'informations passées sous silence de ce côté-ci de l'Atlantique.

    Visiblement, une fois de plus, la défense de l'Europe semble plus sérieusement abordée en Amérique que dans les capitales autistes et nombrilistes de l'ouest de notre continent.

    Car il ne faut pas nous tromper. Certes une partie de nos faiseurs d'opinion prend à la légère les pressions que le Kremlin prétend à nouveau exercer sur les pays de l'ancien empire stalinien. Contre les intérêts, et contre le destin européen de son propre peuple, il en manifeste la sinistre nostalgie. Mais, à l'inverse, une bonne douzaine de nations en portent encore les stigmates et le gouvernement de Berlin, avec ou sans le SPD, ne partage certainement pas la frivolité de nos socialistes, toujours alliés aux communistes.

    De Stockholm à Bucarest, un arc de cercle de dirigeants voient certainement dans l'Europe, au-delà des institutions [effectivement] perfectibles de l'Union, bien autre chose qu'une masse de réglementations administratives, qu'une politique monétaire et qu'un jeu de subventions.

    Si crucial qu'on puisse juger le débat technique entre plus ou moins d'euro, plus ou moins de fédéralisme, etc. on doit en revenir au "désir d'Europe".(3)⇓ Il devrait animer nos dirigeants, ce désir d'une Europe sans doute différente, attachée d'abord à défendre elle-même ses libertés et celles de nos patries contre les nouvelles menaces totalitaires et esclavagistes du XXIe siècle.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2013/12/la-crise-ukrainienne-et-le-destin-de-leurope.html

    Apostilles
    1 cf. "François Hollande a répondu aux questions des journalistes à l'occasion du 3ème Sommet du Partenariat Oriental à Vilnius."
    2 cf. "Le grand jeu d’Obama" in Le Monde en ligne 28 octobre.
    3 cf. Intervention introductive d'Aurélien Véron à la Convention "Europe : et si on en revenait au principe de subsidiarité" qui s'est déroulée ce 4 décembre à Paris. Cette réunion, très intéressante et très dense, devrait être prochainement mise en ligne sur le site de L'Institut des libertés. En cette occasion, nous reviendrons sur les diverses contributions, la plupart d'une grande qualité.

  • Le lobby de l’avortement tente d’intimider le témoin d’un scandale

    Lu sur C-Fam :

    "Un défenseur des droits de l’homme accuse le lobby de l’avortement d’avoir intimidé un témoin prêt à témoigner en public des effets mortels d’un contraceptif de longue durée qu’on injecte aux femmes africaines.

    L’audience programmée devant le congrès américain aurait pu ébranler la politique internationale des Etats-Unis dans le domaine du planning familial. C’est pourquoi le directeur du Rebecca Project, Imani Walker, sous pression du Planning familial, a fait saisir à la dernière minute l’ordinateur d’un de ses principaux témoins, la directrice politique du Rebecca Project Kwame Fosu, et envoyé au congrès des emails informant ces derniers que Mme Fosu avait été licenciée. Celle-ci s’est livrée au Friday Fax dans une interview exclusive.

    D’après elle, pour en arriver là, Walker a subi pendant trois ans les attaques incessantes des « idéologues des droits reproductifs ». Les pressions ont commencé après la publication d’un rapport sur les violations des droits de l’homme perpétrées dans le cadre des programmes de planning familial. Mme Fosu est l’auteur de Depo Provera: Deadly Violence Against Women.( Depo Provera : Une violence mortelle à l’égard des femmes)

    Les médecins africains auraient été payés pour injecter à des milliers de femmes sans méfiance un contraceptif de longue durée dans le cadre d’un essai médical financé en partie par USAID et par la Fondation Gates, explique Mme Fosu. Les lobbyistes, qui rassemblent des gros donateurs issus de l’industrie reproductive, craignent que ce type de révélation amorce le recul des droits reproductifs.

    Au nombre des abus perpétrés par l’industrie pharmaceutiques, les médecins et les fondations puissantes, on compte d’une part des expérimentations non éthiques sur des femmes africaines, d’autre part, un usage généralisé du contraceptif injectable Depo Provera sur des millions de femmes africaines victimes de pauvreté. Ce actes ont été commis malgré en toute connaissance des effets secondaires, dont la liste a été publiée par le Food and Drug Administration and National Institutes Health. « Ce sont des gens comme moi, qui se targuent d’êtres progressistes et qui heurtent les femmes parce qu’ils veulent que tout le monde n’ai qu’une manière de penser : l’avortement, c’est-à-dire se débarrasser des grossesses par tout moyen », a expliqué Mme Fosu.

    Le député William Lacy Clay, membre important du « Black Caucus » du congrès américain (un groupe de députés afro-américains), a expliqué que son bureau avait reçu plusieurs appels du Planning familial pour calomnier Kwame Fosu. Le Planning, distributeur de Depo Provera le plus important, perçoit des millions de dollars du gouvernement américain pour s’occuper de l’administration du médicament aux Etats-Unis et à l’étranger. William Clar informait en septembre des dirigeants sur la manière de désinformer les femmes, en particulier en Afrique, sur les complications associées au Depo Provera. [...]

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Se repentir ? Vous pouvez toujours courir !

    par Pieter Kerstens, collaborateur de la revue Synthèse nationale.

    Parce que mon devoir de mémoire ne commence pas en 1789, ni ne s’arrête au 11 septembre 2001 à la Grande Pomme…

    J’assume tout l’héritage de mes ancêtres, depuis 40 siècles, quand les premiers celtes développèrent un art exceptionnel dans le travail des métaux. Et, avec le témoignage de l’historien grec Polybe, c’est avec détermination que je défends la remarquable culture celte qui englobait pratiquement toute l’Europe occidentale.

    NON, je ne renie en rien l’œuvre de civilisation que mes aïeux ont réalisé en 4.000 ans et qui, au travers des siècles et de par le monde a contribué à la diffusion des valeurs et de la grandeur de l’Europe. C’est bien grâce à Werner Von Braun, un ingénieur allemand, que les américains ont pu, en 1969, marcher sur la lune.    

    En 2013, nous marchons sur la tête !

    À l’opposée des laquais de la Police de la Pensée et des cloportes du « politiquement correct », j’affirme que le bilan des colonisations européennes dans d’autres continents et sous d’autres latitudes est très positif et que nombre de gouvernements exotiques en tirent toujours profit, 50 ans après leur indépendance.   Il suffit de se rendre sur place pour s’en rendre compte, comme je l’ai fait en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud.

    Les incompétents qui nous dirigent, et les journalistes à leurs bottes, doivent cesser d’occulter la réalité, stopper ce révisionnisme de l’Histoire version marxiste et arrêter de nous rendre responsables ou coupables des maux qui accablent la Terre entière.

    Cependant avons-nous encore la possibilité de dire ou d’écrire librement ce que nous estimons être notre conviction ?

    Devra-t-on toujours être d’accord avec les Gouvernants ?

    Ne sommes-nous plus un pays où la liberté d’expression serait garantie ?

    Y aurait-il des anathèmes ? Une police de la pensée ?

    Des tabous ? Une Nouvelle Inquisition ? Un terrorisme « intellectuel » ?

    Sans être raciste ou xénophobe, peut-on encore critiquer et combattre le laxisme des gouvernements et la générosité de notre législation sociale qui dépasse certaines bornes ?

    N’est-il plus toléré de fustiger la politique des autorités concernant la drogue, l’insécurité, la violence dans les écoles, le droit de vote des étrangers, les goulags communistes au XXe siècle ou la dictature des mondialistes et l’arrogance sioniste ?

    Parce que, franchement, depuis 60 ans, les pays sous-développés et « indépendants » devraient chacun ériger un monument en guise de remerciements aux acquis légués par la présence européenne sur  leurs  territoires : exploitations forestières ; plantations de café, thé, bananes, hévéas, etc.; industries diverses (papeteries, cimenteries, tissages, brasseries, etc.) ; mines (charbon, zinc, cuivre, tungstène, diamant, coltran, uranium, phosphate, etc.) ; exploitations pétrolières et gazières ; agriculture variée et élevage divers ; réseaux de communications (voies ferrées, ponts, routes, ports, aérodromes, canaux d’irrigation, barrages, etc.) ; systèmes éducatifs et sanitaires (écoles, lycées, universités, cliniques et hôpitaux ) ; éradication du choléra, du tétanos et autres maladies tropicales ; mais surtout : autosuffisance alimentaire, chassant le spectre de la famine !

    Que reste-il de tout cela aujourd’hui ?

    Des souvenirs, remplacés en 2013 par  l’insoutenable présence des néo-colonialistes chinois qui  pressurent sans vergogne l’Afrique (et d’autres pays, ailleurs).

    Oui, ce que les Européens en général et les Français, en particulier, ont accompli dans les colonies durant plusieurs décennies (et souvent des siècles) mérite le respect et force l’admiration.

    Il est intolérable que certains négationnistes prétendent aujourd’hui que les Occidentaux sont seuls à la source des calamités qui touchent nombre de pays en voie de régression.

    À écouter ces saltimbanques de l’humanitarisme, avant l’arrivée des européens (au XVI ème siècle) dans les pays tropicaux, tous les clans, tribus et peuplades auraient vécu dans un cadre paradisiaque avec une cohabitation pacifique chargée de relations conviviales, alors même que l’esclavage des noirs par les arabes dominait l’Afrique et qu’en Asie la Chine imposait sa culture, son administration et sa spiritualité !

    Arrêtons de croire ces bonimenteurs socialauds-marxistes !

    Il est grand temps, de rétorquer à tous les pays quémandeurs : «  Avant de tendre la main, prenez-vous en main ! »,

    Et qu’ils prennent donc exemple sur d’autres pays qui l’ont mis en pratique depuis longtemps et ont pu ainsi accéder au mieux-vivre (Thaïlande, Mexique, Argentine, Corée du Sud, Philippines, Malaisie, Formose etc.)

    Non, l’homme blanc n’est pas responsable ni coupable  « du-trou-de-l’ozone-qui-va-tous-nous-carboniser », de la faim dans le monde, du prétendu réchauffement de la planète, ni de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ou encore de la misère africaine qui pousse les immigrés hors-la-loi à embarquer sur des bateaux pourris, traverser les mers et venir s’installer clandestinement dans nos églises, à la recherche d’aides sociales inexistantes chez eux !

    La volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60 et constitue  le  véritable danger pour l’équilibre et l’identité de notre société, confrontée à l’Islam conquérant.

    Les lois liberticides de 1974, 1981, 1989, 2000 et 2003 confirment une dérive totalitaire du Régime et ouvrent de nouveaux horizons aux ennemis de la Liberté. C’est pourquoi il faudra punir les responsables de ces législations et combattre les collaborateurs de l’invasion musulmane, qui par leur propagande et leur volonté d’imposer la Turquie en Europe nous conduisent vers un choc sanglant de civilisations.

    Il faut le répéter sans cesses : le danger pour notre civilisation et notre identité européennes, ce n’est pas la séparation, le confédéralisme ou l’indépendance des uns ou des autres, le vrai cancer qui menace l’avenir de nos enfants, c’est l’islamisation de nos quartiers, de notre mode de vie, de notre administration et de nos lois. Vidons les ordures politiques qui nous gouvernent.

    http://francephi.com/tribunes-de-notre-invite/se-repentir-vous-pouvez-toujours-courir/

     

  • Serge Dassault : voyou, gâteux, ou les deux ?

    Serge Dassault, 88 ans, se plaint d’être « harcelé et racketté par une bande de voyous ».

    On ne sait si l’on doit en rire ou en pleurer. Serge Dassault, 88 ans, se plaint d’être « harcelé et racketté par une bande de voyous ». C’est dans Le Journal du Dimanche et sur deux pages. Deux pages d’autojustification, dégoulinant de bons sentiments, d’aveux de crapuleries évidentes et de clameurs d’innocence assourdissantes de bêtise.

    Jamais, au grand jamais, l’héritier de son papa n’a acheté le moindre suffrage pour se faire élire maire de Corbeil-Essonnes en 1995. Ni réélire en 2008. Juré craché, foi de l’adolescent qui a connu pendant la guerre « l’humiliation et l’incertitude d’être exécuté le lendemain »… Un p’tit coup de nostalgie des heures les plus noires de son histoire ? Pas seulement, c’est aussi toute une éducation : « À la prison de Montluc à Lyon, enfermé par la Gestapo [...] j’ai appris à avoir le contact avec tout le monde… » Quelques décennies après, cela lui a sans doute servi avec René Andrieu qui « l’a aidé un peu en 1995 » et qu’il a aidé à l’époque : « J’avais essayé de le faire travailler, de lui proposer des emplois. En 1997, il a été arrêté avec plusieurs kilos de drogue dans sa voiture. » C’est ballot, tout de même… « Je l’ai aussitôt viré de mon entourage et il a quitté la ville », poursuit le corniaud de l’Essonne. Mais pour mieux y revenir, quelques années plus tard…

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  • 09/12/2013 - Témoignage d'un jeune Français victime de racisme anti-blanc