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Le Français, cible de l'Etat islamique
Lu ici :
"L'Etat islamique a appelé aujourd'hui ses partisans à riposter aux frappes lancées par la France et les Etats-Unis dans le nord de l'Irak en s'en prenant à leurs ressortissants.
"La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu'il soit Français, Américain ou d'un de leurs pays alliés", déclare le porte-parole du groupe, Abou Mohamed al Adnani, dans un message audio diffusé lundi et repéré par le groupe de surveillance SITE.
"Si vous ne pouvez pas trouver d'engin explosif ou de munition, alors isolez l'Américain infidèle, le Français infidèle, ou n'importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le", poursuit-il".Et certains vont encore nous bassiner avec la religion d'amour et de paix...
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La quête du roi fait apparaître dans toute sa réalité le pouvoir des mythes anciens
Il y a aussi une tout autre histoire, une authentique quête – véritable pendant celle de l’Anneau – qui sillonne le livre. Elle donne à la faërie une autre dimension, une dimension proprement humaine. Conduite exclusivement par les hommes et pour les hommes, sous l’œil bienveillant de Gandalf et des Elfes, c’est la quête d’Aragorn pour devenir ce qu’il est ! Cet engagement elfique pour que les hommes puissent avoir un destin en Terre du Milieu est tout aussi essentiel que la destruction de l’Anneau de Sauron. Mais cette quête-là est bien plus « calculée » : elle fait apparaître dans toute sa réalité le pouvoir des mythes anciens.
Quel sens peut bien avoir ce Retour du Roi, d’un Roi imaginaire, comme dit du Seigneur des Anneaux ? Les temps présents ignorent très largement ce que peut être un roi, et même ce que les rois, au cours de l’histoire humaine, ont pu représenter. On peut même voir une contradiction dans la manière dont Tolkien exploite ce thème.
Dans une faërie, un tel retour du Roi est tout à fait compréhensible : on peut parfaitement le concevoir comme faisant partie des thèmes incontournables de ce type de récit. Nombreux sont les textes médiévaux, en effet, qui se concluent sur cette eucatastrophe (néologisme tolkenien pour signifier la fin heureuse des faëries).
Mais son importance dans les livres du Seigneur des Anneaux est singulière. Ce n’est pas simplement un roi qui revient en puissance, mais une véritable quête qui parcourt le livre. Les livres I, II et IV sont entièrement consacrés à la quête de l’Anneau – mais les livres III, V et la moitié du livre VI sont, eux, consacrés à la guerre du Roi, au Roi, au retour du Roi et à la libération du Comté, terme de l’histoire. Si la vaste entreprise du professeur Tolkien a un sens – et, pour cela, on peut lui faire confiance : dans tous ses écrits, il a rigoureusement respecté la logique – ce sens, sans nul doute, il faut aussi le chercher là.
Tolkien a beaucoup écrit. Surtout pour répondre aux interrogations de ses lecteurs et critiques. Dans l’une de ses nombreuses lettres, à propos du pouvoir de l’Anneau, il dit ceci, qui peut sans difficulté s’appliquer à toutes les formes de pouvoir : « Si je devais philosopher à propos de ce mythe, je dirais qu’il s’agissait de représenter d’une façon mythique une vérité qui consiste à dire que la puissance (ou plutôt la potentialité), si elle doit être exercée et produire des résultats, doit être externalisée. A un degré plus ou moins important, elle doit, en quelque sorte, passer hors du contrôle direct de son propriétaire. Un homme qui veut exercer un pouvoir doit avoir des sujets extérieurs à lui-même et dont il dépend » (Lettre 211). Phrase éclairante : on y voit ce qui précisément différencie un pouvoir ayant comme « externalité » l’élection – dont la légitimité ne dépend alors que de l’efficacité de sa propagande, de sa « communication » – et un pouvoir dont « l’externalité » s’établit sur une tradition dans le respect des lois écrites et non écrites... Un pouvoir royal est contraint parce qu’il représente, parce qu’il est : c’est ainsi qu’il est tenu en laisse par son « externalité ».
Tolkien affirme à plusieurs reprises qu’il n’aime pas beaucoup ce que nous appelons démocratie. Mais on ne trouve sous sa plume aucun discours qui tenterait de théoriser un anti-démocratisme politique. Son livre n’a rien d’un livre politique. Ce n’est pas du tout de ce côté-là qu’il faut chercher.
Pour Tolkien, chrétien, catholique, la seule égalité qui vaille est devant Dieu : « Non pas que je sois un démocrate dans ses aspects habituels, sauf que je pense, pour parler littérairement, que nous sommes tous égaux devant le Grand Auteur » (Lettre 163). Cette pensée a conduit à certains esprits un peu limités à imaginer qu’il pourrait avoir quelque accointance avec des pensées et des penseurs hostiles à la démocratie. Il n’en est absolument rien ! Ce n’est vraiment pas son sujet. Son biographe Humphrey Carpenter précise : « Tolkien, en jargon moderne, était ‘de droite’ en ce qu’il honorait le roi et sa patrie et qu’il ne croyait pas au gouvernement du pays par le peuple ; mais il ne s’opposait à la démocratie que parce qu’il ne pensait pas qu’en fin de compte les hommes en tireraient profit » (Une biographie).
François-Marin Fleutot, Les mythes du Seigneur des Anneaux
http://www.oragesdacier.info/2014/09/la-quete-du-roi-fait-apparaitre-dans.html
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Non, Nicolas Sarkozy n’a pas changé
Dans la lignée de son premier message de vendredi, Nicolas Sarkozy est intervenu au journal de 20 heures de France 2 ce dimanche.
Nicolas Sarkozy est de retour en politique. Il a d’abord fait courir le bruit, puis a publié un « statut » sur Facebook, expliquant les raisons de son come-back dans le style des films à suite hollywoodiens. Un plan média bien rodé pour concourir à la présidence d’une UMP qu’il entend rénover de fond en comble. Il se présente en homme neuf ; pire, il se pense homme providentiel, sauveur de la France (et des journaux) !
Dans la lignée de son premier message de vendredi, Nicolas Sarkozy est intervenu au journal de 20 heures de France 2 ce dimanche. Une tribune de roi pour un homme retiré depuis déjà deux ans. Comme attendu, l’ancien résident a tenu une ligne incompréhensible, piochant du centre au FN. Il s’est grimé en rassembleur et a proposé de changer le nom de l’UMP, en tenant son fameux couplet : « J’ai changé, je vous ai compris. J’ai fait des erreurs… » Moi. Je.
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Congrès 2014 – Renouvellement des instances dirigeantes du FN
Chers Amis,
Beaucoup me sollicitent à l’occasion de notre prochain congrès pour donner un avis sur l’élection du nouveau comité central du Front National, et d’une façon plus générale sur le renouvellement de nos instances dirigeantes.
Comme vous le savez sans doute, je n’ai pas souhaité cette fois-ci être candidat à la présidence du Mouvement. Je considère en effet que la présidente Marine LE PEN a fait la preuve de son énergie et de son aptitude à nous conduire vers des succès qui, je l’espère, nous préparent à exercer demain les responsabilités du pouvoir, afin de sortir notre cher pays du bourbier dans lequel il se trouve actuellement.
J’ai également toute confiance dans nos parlementaires et dans les membres actuels du Bureau Politique, ceux qui m’ont soutenu naguère comme Christophe BOUDOT, Jacques COLOMBIER, Françoise GROLET, Jean-Marc de LACOSTE-LAREYMONDIE, Brigitte NEVEUX, Charles PERROT, Catherine SALAGNAC, Bruno SUBTIL, Thibault de la TOCNAYE, etc…, mais aussi tous ceux que j’ai vus à l’œuvre, et qui, à l’époque, n’ont pas nécessairement milité en faveur de ma candidature.
Je me borne donc à faire connaître une partie de mon vote personnel en faveur de certains talents ou fidélités, que je connais personnellement, qui m’ont sollicité et dont je pense que la candidature mérite une attention particulière, ce qui ne signifie pas, tant s’en faut, qu’ils soient les seuls ! C’est la raison pour laquelle la liste ci-jointe, non limitative, est volontairement incomplète et ne saurait être considérée comme une manifestation clanique ni opposée à qui que ce soit.
- ALTHERR Jean-Claude – Bas-Rhin (67)
- ARBONA Philippe – Aube (10)
- BONNIEUX François – Gard (30)
- BOUDOT Christophe – Rhône (69)
- BRIFFAUT Franck – Aine (02)
- CABROLIER Frédéric – Tarn (81)
- CHABLE Pierre-Laurent – Var (83)
- CHARBONNEAU Jean-Romée – Deux-Sèvres (79)
- CHAUSSAT Blanche – Ain (01)
- CHEYNET Pierre – Haute-Loire (43)
- COJANNOT Jean-Marie – Vaucluse (84)
- COLOMBIER Jacques – Gironde (33)
- COLOMBIER Valérie – Gironde (33)
- de CONDÉ Louis – Allier (03)
- de LA MORINIERE Bruno – Mayenne (53)
- de LACHEISSERIE Nicole – Ain (01)
- de LACOSTE LAREYMONDIE Jean-Marc – Charente-Maritime (17)
- de MELLON Odile – Côte-d’Armor (22)
- de PEYRECAVE Gabriel – Loire (42)
- de PEYRECAVE Miguel – Loir-et-Cher (41)
- de VILLEROCHÉ Sabine – Calvados (14)
- GOLLNISCH Bruno – Rhône (69)
- GRANGIS Christian – Ardèche (07)
- GROLET Françoise – Moselle (57)
- HENRIOT Michèle – Pyrénées-Atlantiques (64)
- HENRY Agnès – Rhône (69)
- LANGARD Julien – Vaucluse (84)
- LAROZE Serge – Haute-Garonne (31)
- LE GOUELLEC Erwan – Mayenne (53)
- LE MORVAN Paul – Mayenne (53)
- MALHERBE Gonzague – Gironde (33)
- MARION Agnès – Rhône (69)
- MOREAU Georges – Oise (60)
- MORIN André – Rhône (69)
- NAVARRANNE Amaury – Var (83)
- NEVEUX Brigitte – Vendée (85)
- PERROT Charles – Loire (42)
- PICHON Frédéric – Paris (75)
- PUJOL Emmanuelle – Dordogne (24)
- SALAGNAC Catherine – Hauts-de-Seine (92)
- SAMYN Eric – Ardennes (08)
- SANCHEZ Julien – Gard (30)
- SIMON Pierre-Antoine – Mayenne (53)
- SIMONNOT Alexandre – Val d’Oise (95)
- SOUAILLAT-MARIUS Alexandre – Pyrénées-Orientales (66)
- SUBTIL Bruno – Aube (10)
- VOYANT Serge – Rhône (69)
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Bismarck : le mythe du peuple
N'en déplaise à Michelet, il n'existe pas de peuple conscient de lui-même en tant qu'entité politique. La démocratie est une escroquerie !
Dans le cinquième tome de ses Mémoires, un des plus riches, Maurice Barrès cite le chancelier Bismarck, manipulateur lucide et froid des assemblées germaniques parce qu'il savait que les élus du suffrage universel ne représentent qu'eux-mêmes. Dès 1847, dans ses discours au premier parlement prussien, Bismarck raillait les premiers théoriciens du Contrat social, des Droits de l'Homme ; il définissait ainsi le peuple, après une vive critique du suffrage universel :
« Le peuple vrai est une multitude invisible d'âmes. Il est la nation vivante et organisée pour sa mission historique. Il est la nation d'hier et de demain. Il n'a point de voix matérielle qui le dénonce : dans la conscience de sa tradition il puise la force qui le mène aux fins prédestinées : c'est le souverain seul qui sait écouter en lui les voix silencieuses de son vouloir providentiel. » (1)
L'histoire racontée par Michelet ressemble à la tragédie grecque : comme le choeur des Danaïdes dans les Suppliantes ; le choeur des vieillards d'Argos dans Agamemnon, de Thèbes dans OEdipe Roi, comme le choeur des esclaves troyennes dans les Choéphores, des matelots dans Philoctète, le peuple français représenté par ses paysans, ses bourgeois, ses femmes et ses enfants, pleure ses larmes, verse son sang, exprime sa joie, sa colère, son enthousiasme, son indignation, participe activement aux événements, ou au moins les juge, comme une personne consciente, comme un acteur du drame national. C'est de la belle littérature, souvent réussie malgré l'emphase romantique, mais il ne convient de s'instruire dans ce livre, d'y puiser les leçons du passé qui doivent éclairer l'action des hommes dans la cité (2). Le Théâtre, le Roman, ne disent pas l'Histoire, et Michelet « fit de la pensée avec son coeur ».
S'il existe une population, des masses populaires, un peuple, le peuple au sens politique, lui, n'est qu'une nuée sortie d'imaginations enfiévrées par le mythe démocratique. Il n'existe pas, dans la réalité, de peuple visible, conscient de lui-même en tant qu'entité politique. Parler au nom du peuple, déclarer "le peuple a dit", "le peuple a voulu" représente un abus de confiance. La république romaine était dirigée par le Sénat, formé d'anciens magistrats, et le Peuple romain réuni en Comices et votant d'après un processus complexe, d'une structure fort inégalitaire. Le mot république ne doit pas faire illusion : "Le Sénat et le Peuple romain" étaient plus proches de la formule "Le roi en ses Conseils, le peuple en ses États" que du mensonge démocratique qui fait parler "au nom du peuple français". Les représentants des partis qui ont été élus grâce aux machinations de leurs comités ne représentent pas plus la masse des Français que ne le feraient des députés tirés au sort ! Présidentielle, représentative, participative, la démocratie n'a été, n'est et ne sera jamais qu'une escroquerie.
Seul un souverain qui n'a pas besoin de flatter les masses, un monarque absolu, ce qui signifie indépendant, peut non seulement considérer le salut de ses peuples, mais aussi se mettre objectivement à l'écoute de leurs aspirations "silencieuses", "providentielles", et en tenir compte dans la mesure où leur application ne met pas en danger l'intérêt général que lui seul peut discerner.
Gérard Baudin L’ACTION FRANÇAISE 2000 du 4 au 17 décembre 2008
1 - Maurice Barrès, Mes Cahiers, tome V (1906-1907), Plon, Paris, 1932.
2 - Charles Maurras, Trois Idées politiques, Champion, Paris, 1898. Il est indispensable, pour connaître Jules Michelet, de lire, dans cet ouvrage le chapitre Michelet ou la Démocratie. L'ouvrage a été repris dans les OEuvres capitales, tome II, Essais politiques, Flammarion, Paris, 1954.
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Un grand talent de communication au service de lieux communs
Communiqué de Bernard Antony :
"Le seul engagement qu’a pris Nicolas Sarkozy hier au soir, sur le journal de 20h de France 2, est celui de ne pas remettre en cause la loi Taubira sur le mariage homosexuel. On ne peut que le déplorer. On s’en souviendra.
Pour le reste, c’est avec son grand talent de communication, surtout en comparaison de l’extraordinaire médiocrité, souvent aux confins du grotesque, de François Hollande, qu’il a parlé pour finalement ne faire part que de son intact appétit de pouvoir et ne dévider que des lieux communs.
Il a ainsi affirmé vouloir mener une politique de grand rassemblement sur des idées nouvelles mais il n’en a esquissé strictement aucune.
Au contraire, selon un des positionnements les plus éculés de la vieille droite politicienne sans doctrine autre que celle de la séduction électoraliste, il a répété plusieurs fois que les catégories de droite et de gauche, d’extrême-droite et d’extrême-gauche étaient obsolètes.
Ce discours revenant sans cesse depuis un siècle fut d’une part une constante des fascismes ou autres régimes dictatoriaux et de l’autre des politiciens des droites sans doctrines autres que celles des techniques de la flatterie électoraliste.
On ne peut hélas attendre de Nicolas Sarkozy qu’il attaque vraiment la gauche à sa racine qui n’est pas celle de la justice sociale mais celle de la sécrétion constante des idéologies utopistes et nihilistes de déni de la nature humaine, celle de la culture de mort. On en sait les raisons qui tiennent sans doute à son inculture sur certains plans et aussi à son épanouissement dans les relations « bobos ».
On ne peut à l’évidence attendre de lui qu’il affirme les valeurs à la fois d’enracinement et d’universalité d’une authentique droite de conviction : celle du respect de la vie innocente, celle de l’écologie humaine, celle de la dignité de la personne humaine, de la protection de la famille, des libertés scolaires et professionnelles ; celles enfin d’une France libre et forte dans une Europe redessinée autour de pactes d’alliance pour défendre l’héritage et les valeurs de sa civilisation face aux barbaries totalitaires. [Lire la suite]"
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Bistro Libertés N°04
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Nicolas Sarkozy sur France 2 : paroles, paroles, paroles
Annoncée comme l’événement politique ces jours-ci, l’interview de Nicolas Sarkozy au journal de 20 heures de France 2 n’aura été qu’un exercice de mauvaise psychologie (défauts, sagesse, remise en cause, analyse, etc.), qu’un mauvais story-telling non crédible sur l’humilité et le travail collectif. Mais surtout Nicolas Sarkozy n’aura fait que répéter sa volonté de rassembler (mais avec qui et pour quoi, on ne sait pas), de proposer de nouvelles idées (lesquelles, là encore grande inconnue). Enfin, Nicolas Sarkozy aura répété sa volonté de remettre en cause Schengen et de recourir plus souvent aux référendums. Bref, à part ses admirateurs, il n’aura convaincu personne. D’autant qu’il n’a pas voulu revenir sur son bilan, particulièrement catastrophique sur le plan du Grand Remplacement : un million d’immigrés légaux supplémentaires entre 2007 et 2012, la chute de Kadhafi qui contribue à la venue quotidienne de clandestins africains en Europe, etc.
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Le nouvel Ordre Mondial avance-t-il dans l’ombre d’un Islam unifié ?
Depuis la conférence de Paris sur la coalition contre l’Etat Islamique, une nouvelle appellation de ce califat est apparue qui se répand dans tous les médias: Daech. Renseignement pris, il s’agirait de la traduction phonétique d’EI (Etat Islamique). Ce qui démontre si besoin était que ces gros médias du système répondent comme un seul homme aux consignes qui leur sont données en coulisses. Assistaient à cette conférence, outre les cinq membres permanents de l’ONU, notamment les Emirats du golfe et la Turquie, les grands pays du sunnisme, fers de lance de l’expansion islamiste dans le monde.
Ils se sont donc apparemment entendu avec les pays occidentaux présents pour que le terme islamiste n’apparaisse plus concernant… l’Etat Islamique. Belle tartufferie qui arrange tout le monde. En effet Obama n’a-t-il pas déclaré suite à la décapitation du journaliste américain James Folley que « L’EI ne parle au nom d’aucune religion. Aucune religion ne dit de massacrer des innocents. Leur idéologie est creuse ». Or pour le Coran, seuls les musulmans sont innocents.
C’est ainsi que ceux qui massacrent les populations chrétiennes au nom d’Allah, en application du Coran et suivant une longue tradition qui remonte tout au long des siècles jusqu’à Mahomet sont rangés, non pas dans le rang de quelconques sectes, comme ce fut la cas récemment pour Boko Haram, mais mieux, au nombre de simples idéologues politiques. Des sortes de Lénine, en somme!