Mardi 18 novembre, l’élu FN de Nevers, Christophe Gaillard, s’est fait remarquer en conseil municipal en pointant du doigt l’affiche du documentaire sur la cité du Banlay, La relève c nous, sur laquelle ... Lire la suite »
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Les familles plumées demandent à être reçues par François Hollande
Le collectif se félicite de cette première journée de manifestations et met la pression sur les députés qui vont examiner en deuxième lecture les mesures contestées :
"Plus de 50 manifestations à travers toute la France se sont tenues aujourd'hui à l'appel des Familles Plumées. Rassemblant entre quelques centaines et quelques milliers de manifestants devant les préfectures de France, cette mobilisation marquait le lancement de la réaction des familles à la démolition de la politique familiale. Dans le viseur des associations, syndicats et familles qui sont retrouvés au sein du collectif des Familles Plumées, 2 mesures phares : la réforme du congé parental et la mise sous condition de ressources des allocations familiales. Ces mesures contenues dans le PLFSS 2015 (Projet de Loi de Finance de la Sécurité Sociale) ont été adoptées en 1ère lecture à l'Assemblée nationale avant d'être supprimée au Sénat.
« Dès demain, le texte reviendra devant les députés pour une 2ème lecture. C'est pourquoi nous avons tenus à nous mobiliser à la veille de ce nouvel examen pour sensibiliser les députés sur les enjeux de ce texte et ses conséquences concrètes pour la vie quotidienne de millions de familles » explique Julie Graziani, mère de famille et porte-parole des Familles Plumées. Car malgré les propos du gouvernement, les Français sont chaque jour de plus en plus nombreux à comprendre que ces mesures vont les toucher directement. « Qui a recours au congé parental ? Certainement pas les familles les plus aisées ! » explique Didier Leprice-Ringuet, porte-parole des Familles Plumées. « Nous serons présents tout au long des débats à l'Assemblée, y compris dans les tribunes pour suivre les débat en séance plénière. Nous devons soutenir les députés courageux qui sont de plus en plus nombreux à oser avoir une parole libre sur ce sujet et à dire haut et fort leur inquiétude sur cette démolition de la politique familiale. C'est très grave. Nous ne pouvons rester les bras croisés » poursuit Julie Graziani.
Les résultats du sondage commandé par les Familles Plumées à l'IFOP sont d'ailleurs sans appel. 81% des Français estiment que la politique fiscale menée par le gouvernement pénalise fortement les familles, 3 Français sur 4 (74%) se déclarent opposés à la réforme du congé parental et près de 8 Français sur 10 (77%) dénonce la mise sous condition de ressources des allocations familiales en craignant un abaissement année après année du seuil à partir duquel les allocations familiales seront réduites voire supprimées.
« La mobilisation ne fait que commencer » estime Julie Graziani. « Si le Président de la République ne veut pas faire de l'année 2015 une année sombre pour lui, il doit être à l'écoute des Français, et pas seulement des casseurs. La balle est dans son camp et dans celui de sa majorité. Nous attendons donc sa réponse rapide à notre demande de rendez-vous. On ne peut pas faire disparaître la politique familiale en privant les familles du dialogue qu'elle demande. M. le Président, ne faites pas des sans-dents des sans-voix ! » conclue-t-elle."
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UMP : Sarkozy, combien DE divisions ?
L'ancien chef de l'État devait être élu dès le premier tour à la présidence de l'UMP, mais le score sans appel qu'il réclame est loin d'être acquis.
Dans un peu moins d'une semaine, 268 341 adhérents de l'UMP seront invités à choisir leur nouveau président. Le scrutin, par Internet, SERA ouvert du vendredi 28 novembre à 20 heures (heure de la métropole) au lendemain même heure. En cas de besoin, un second tour serait organisé le 6 décembre. Mais Nicolas Sarkozy devrait redevenir président dès le premier tour du scrutin, tout l'enjeu pour lui étant de faire le score le plus élevé possible face à ses deux concurrents, Bruno Le Maire et Hervé Mariton. Objectif : avoir les mains libres et transformer le parti en vue de 2017.
La haute autorité de l'UMP, sous la direction de la juriste Anne Levade, supervisera les opérations, en prenant garde à ne pas laisser se reproduire les errements de fin 2012 entre copéistes et fillonistes, qui avaient failli faire imploser le parti.
Une campagne dynamique
A priori, le scrutin, organisé après le départ forcé de Jean-François Copé causé par l'affaire Bygmalion, ne devrait pas réserver de surprise. Dans un contexte compliqué pour la majorité - PS divisé, exécutif en difficulté -, Nicolas Sarkozy, qui signe à 59 ans un retour inhabituel pour un ex-président deux ans et demi après sa défaite face à François Hollande, devrait remporter la mise dès le premier tour. Il ne devrait toutefois pas rééditer SON score de 2004 (85 %), quand il avait conquis le parti pour la première fois : Bruno Le Maire, 45 ans, est crédité d'au moins 20 % des voix et Hervé Mariton, 56 ans, de 5 à 10 %, notamment auprès des militants opposés au mariage homosexuel, dont il est le champion. Si le revirement récent de Nicolas Sarkozy en faveur de l'abrogation de la loi Taubira pourrait lui faire gagner des voix auprès de cet électorat, il pourrait lui en faire perdre ailleurs. Selon un récent sondage, les pro-mariage gay et adoption pour les couples homosexuels sont désormais majoritaires parmi les sympathisants UMP (58 %).
En outre, auprès des sympathisants de droite (et non les adhérents du parti), l'ex-président accuse une nette baisse de régime. 73 % d'entre eux souhaitaient voir Nicolas Sarkozy élu président de l'UMP, il y a un mois. Ils ne sont plus que 63 %, selon un sondage Odoxa pour i>Télé et Le Parisien/Aujourd'hui en France publié vendredi. 31 % (+ 5) préfèrent Bruno Le Maire et 5 % (+ 4) Hervé Mariton (1 % sans opinion).
Les trois candidats ont mené chacun une campagne dynamique, ORGANISANT de nombreux meetings à travers la France (plus d'une centaine aussi bien pour Le Maire que pour Mariton, une vingtaine pour Sarkozy). Nicolas Sarkozy veut "chambouler" l'UMP de fond en comble, pour redorer son blason, en changeant notamment son nom. C'est "une folie", réplique Le Maire, autoproclamé "candidat du renouveau", qui veut "reconstruire" le parti. Pour Hervé Mariton, l'UMP doit devenir "un grand mouvement populaire à la fois libéral et conservateur".
"Sarkozy, stupéfiant DE banalité"
Malgré ces disparités, leurs PROGRAMMES ne diffèrent pas fondamentalement, notamment sur les questions économiques et sociales (recul de l'âge de la retraite, fin des 35 heures...). Idem sur l'immigration. Tous trois sont partisans d'une immigration choisie, diffèrent sur Schengen (durcissement pour Le Maire, refonte pour Sarkozy). Les vraies différences entre les candidats, qui n'ont jamais débattu entre eux, Sarkozy y étant opposé, ce sont leur personnalité et leur objectif. Mariton et Le Maire (du moins son entourage) ne ménagent pas leurs critiques envers Sarkozy.
Le premier lui reproche son "ambiguïté" et sa "timidité" quand les Français attendent des "réformes courageuses". Selon un proche du second, "Sarkozy n'a pas une idée nouvelle, c'est stupéfiant de banalité". L'ancien président continue de plaider pour "le rassemblement", d'exalter "l'autorité", "la République" et "la démocratie militante", en ignorant, ou en feignant d'ignorer, ses deux concurrents, répétant que dans sa famille politique, il n'a "pas d'adversaires".
"Bruno SERA incontournable"
S'il gagnait largement, Nicolas Sarkozy pourrait se poser comme patron du premier parti d'opposition, titre revendiqué par le FN depuis sa victoire aux européennes, et s'arroger le bénéfice des victoires annoncées de la droite aux élections départementales et régionales de 2015. Il pourrait plus facilement se frayer un chemin jusqu'à 2017, via la primaire de 2016 qu'il a promis de réinscrire dans les statuts de la nouvelle UMP. Mariton, qui ne sera pas candidat à cette primaire, craint du coup de voir son parti "réduit à une machine servant des ambitions personnelles". Quant à Bruno le Maire, il croit à son destin et laisse planer le doute. Tout dépend de son score. "Bruno sera incontournable", prédit-on dans son entourage.
Les deux principaux concurrents de Nicolas Sarkozy en 2016, Alain Juppé et François Fillon, s'en tiennent pour le moment à la stricte neutralité que leur impose leur fonction de coprésidents par intérim de l'UMP (avec Jean-Pierre Raffarin). Mais dès le 29 novembre au soir, la bataille pour la primaire sera lancée.
source : afp via le POINT :: lien
http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEyZFFuFAcYWvURrw.shtml
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Djihadistes : qu’on les laisse partir en Syrie !
Mais enfin, qui sont les responsables politiques français pour juger de ce qu’est le bien, ce qu’est le mal ?
Qui sont-ils, ces dirigeants européens, pour décider qu’aller combattre en Syrie est désormais quasiment un crime contre l’humanité ?
Sont-ce les mêmes politiciens qui votaient il y a quelques mois pour armer massivement les « résistants » barbus à Bachar El-Assad ?
Sont-ce ces mêmes gouvernants qui vantaient hier le courage de ceux qui aujourd’hui égorgent pour effrayer la ménagère occidentale ?
Non, il n y a pas de bien et de mal, comme voudraient l’imposer au monde les fanatiques religieux américains dont Georges Bush était le pantin.
Non , il n y a pas deux mondes, l’un qui serait civilisé, l’autre qui serait celui de la barbarie organisée.
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Colère de Jean-Christophe Cambadélis pour qui le rappel de la situation déficitaire de la France est insupportable
Mais quelle est donc la raison de l’ire de Jean-Christophe Cambadélis ? Tout simplement une vérité émise par un commissaire européen allemand à propos de la situation déficitaire de la France. Une vérité fort déplaisante. Alors, plutôt que de chercher à résoudre les causes de cette situation déficitaire, le premier secrétaire du parti socialiste préfère exiger la démission de Günther Oettinger, commissaire européen à l’Economie numérique.
C’est dans une tribune publiée par Les Echos, que ce commissaire européen a commis cet insupportable affront à la bonne gestion socialiste (défense de rire !).
Günther Oettinger estime que la Commisison européenne «doit traiter la France en tant que pays déficitaire récidiviste». Selon lui, la Commission ne peut prolonger «pour la troisième fois le délai accordé» à l’Etat français pour ramener son déficit public aux normes européennes «sans exiger des contreparties très concrètes et précises».
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Allemagne : Manif pour tous contre le gender à Hanovre
1 200 personnes ont défilé pour la première fois à Hanovre hier, à l'appel de Demo für alle, la Manif pour tous allemande, contre un programme d'éducation sexuelle dans la droite ligne de la théorie du genre.
La coalition rouge-verte (socialiste et écologiste) du gouvernement fédéral de Basse-Saxe estime en effet que 5 à 10% de la population est homosexuelle, bi, trans ou que sais-je encore, et que par conséquent, elle doit considérer que 5 à 10% des élèves du Land le sont aussi. Aussi envisage-t-elle de ne valider les nouveaux manuels scolaires qu'à condition que ceux-ci prennent en compte "la diversité des identités sexuelles et de genre" et ce, quelle que soit la matière. Elle veut également obliger les écoles à laisser intervenir des militants LGBT devant les élèves. Le Parlement fédéral doit voter la résolution en question mi-décembre.
Comme on peut le voir sur cette photo, la mairie d'Hanovre a jugé bon d'afficher les couleurs LGBT tout autour de la Steintorplatz, où s'est terminée la manifestation :
Il s'agit de la sixième manifestation de ce type en Allemagne, d'autres Länder comme le Baden-Wurtemberg et la Rhénanie du Nord-Westphalie ayant déjà présenté des projets similaires.
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Sens Commun : le caillou dans la chaussure de l'UMP
Lu ici :
"Le poids de Sens commun s'est révélé croissant à mesure que le sujet du mariage pour tous devenait central dans la campagne UMP. "Dans la quasi-totalité des meetings, on a une question là-dessus", confirme un membre de l'équipe de Bruno Le Maire. Pour imposer le thème, ils ont été bien aidés par Hervé Mariton, qui a axé sa stratégie sur l'abrogation de la loi Taubira, puis par Nicolas Sarkozy, qui a accepté de jouer leur jeu lors du meeting du 15 novembre."Sarkozy leur a donné de l'importance en se rendant à ce meeting et en refusant par ailleurs toutes les autres invitations auxquelles avaient répondu les autres candidats", estime un proche de Bruno Le Maire. "C'est sûr que Sarkozy nous a donné un beau coup de pouce", admet un militant.
Le mouvement s'est aussi rendu séduisant aux yeux des candidatsgrâce au profil de ses membres, de jeunes actifs issus de la société civile pouvant incarner le renouveau d'un parti vieillissant. "Il y a de moins en moins de jeunes à l'UMP, en cela Sens commun répond à la problématique de la participation des gens de moins de 50 ans", affirme un adhérent. Sens commun ne rassemble, pour l'instant, que 2% des militants UMP, mais son influence semble bien plus forte que ses effectifs. [...]
Sens commun ne compte pas s'arrêter à sa performance du 15 novembre et compte bien peser sur la suite des événements avec, en ligne de mire, les primaires de 2016 qui permettront de désigner le candidat UMP à l'élection présidentielle.Madeleine de Jessey prévient déjà Alain Juppé : "Sa position sur la loi Taubira n'est pas cohérente du tout." Mais en attendant, la porte-parole savoure déjà une première victoire acquise avec le meeting du 15 novembre : "On a fait tomber le tabou de l'irréversibilité, cette idée qu'une loi sociétale ne peut pas être défaite."
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Poutine : le De Gaulle russe ?
La thèse que je soutiens ici est que Vladimir Poutine défend une vision gaullienne de l’Europe et du monde, ainsi que de la souveraineté de la Russie. Il se heurte logiquement à l’hégémonie de Washington et des pays anglo-saxons et, comme en son temps le Général de Gaulle, il est présenté comme un danger et un ennemi. Pourtant, c’est notre meilleur allié.
La diabolisation de Poutine
Le journaliste du Figaro Pierre Rousselet, dans un article intitulé « Le monde sans règles de Vladimir Poutine » (30/10/2014) nous explique, au terme d’une démonstration fumeuse, que Poutine « joue avec une habileté redoutable de sa capacité de nuisance dans un monde où les règles ont de moins en moins d’emprise ». Il veut dire par là que le Kremlin viole le droit international à la suite de la crise ukrainienne. Il se moque du monde et, peut-être sans le savoir, il utilise la méthode de la propagande stalinienne de l’inversion de la réalité. Cette méthode est celle, paradoxalement, de Washington et d’une Union européenne aux ordres. Le monde de Poutine n’est pas ”sans règles”, au contraire, il est ”avec des règles”. Le monde sans règles est celui de la politique étrangère US depuis le bombardement de la Serbie par l’Otan et l’affaire du Kossovo.
Poutine est présenté comme le ”nouveau Tsar”, c’est-à-dire un autocrate non élu, alors qu’il a été régulièrement élu à la présidence avec une majorité plus importante que ses homologues occidentaux. La gauche socialo-trotskiste avait accusé en son temps le général de Gaulle d’être un ”fasciste” – en particulier en Mai 68. La même mouvance idéologique rabâche les mêmes éructations contre Poutine. Et ceux qui diabolisent Poutine et la Russie – notamment tous les milieux atlantistes et ”démocrates” – se satisfont parfaitement de bonnes ententes et d’alliances avec divers régimes tyranniques à travers le monde.
La colère anti russe des Anglo-Saxons
Exclu du G8, Poutine a été très mal accueilli au sommet du G20 de Brisbane en Australie les 15 et 16 novembre. Il a interrompu son séjour avant la fin de la réunion, ce qui est parfaitement normal pour un chef d’État qui est maltraité par ses pairs. Or les médias, renversant les torts, ont expliqué que Poutine « narguait » les Occidentaux et faisait de la « provocation ». Plus incroyable, le premier ministre australien Tony Abbott (lui aussi à la botte de Washington) a reproché, à l’ouverture de la réunion, à la Russie de « vouloir restaurer la gloire perdue du tsarisme ou de l’Union soviétique ». Et alors ? Ce propos est proprement scandaleux : la Russie serait donc illégitime à vouloir redevenir une grande puissance ! Sous-entendu : seuls les USA ont vocation à être une grande puissance et la Russie doit se contenter d’être une puissance régionale soumise à la ”pax” americana. Poutine subit de la part des Anglo-Saxons la même attitude d’hostilité que le Général de Gaulle, en beaucoup plus violent du fait de la taille de la Russie. [....]
La suite sur J’ai tout compris
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Poutine-le-De-Gaulle-russe
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La haine... de la liberté d'expression
Un article de Libération qui fait froid dans le dos sur l’état de la liberté d’expression en France.
La France, le pays le plus bâillonné du monde.
La preuve par Libé, qui s’en félicite bien sûr. Pas nous. Voyage en Corée du Nord occidentale.
Qu’est-ce que la haine aux yeux de la justice ?
CHRONIQUE « QUI A LE DROIT ? » Décryptage d’un point juridique au cœur de l’actualité. Aujourd’hui, retour sur les poursuites judiciaires à l’encontre de Jean-Marie Le Pen et de l’essayiste Alain Soral, pour « injure publique » et « incitation à la haine ».
Jeudi, Jean-Marie Le Pen a été condamné en appel à 5 000 euros d’amende pour ses propos sur les Roms, qui « comme les oiseaux », avait-il dit, voleraient « naturellement ». Ce vendredi, c’est sur le cas de l’essayiste d’extrême droite Alain Soral, jugé pour avoir incité « à la haine » contre le journaliste Frédéric Haziza, que la justice doit se prononcer. « J’en ai plus que marre que des gens qui représentent moins de 1% de la population française et qui tiennent à peu près toutes les places de décision crachent à la gueule des Français comme moi », avait notamment dit Soral, ajoutant qu’il existait « une arrogance, une domination et une malhonnêteté communautaire ». Il visait les Juifs.
Mais comment la justice définit-elle la haine ? Et de quel droit vient-elle mettre son nez dans les sentiments, même violents, des citoyens, dans l’âme des justiciables ?
« La haine en tant que sentiment échappe bien évidemment au droit, rassure Gwenaëlle Calvès, professeur de droit public à l’université de Cergy-Pontoise. Chacun déteste qui il veut. En revanche, ce que la justice peut poursuivre, c’est l’incitation à la haine. La haine qui intéresse le droit n’est pas la haine du propos mais la haine qui résulte des propos poursuivis. C’est une haine active. Le discours de haine est un délit car il est dangereux. » Comme le rappelait Charles Girard, lors d’un colloque organisé, lundi, par le Centre d’études et de recherches internationales (CERI) et l’Alliance de recherche contre les discriminations (Ardis), « les discours de haine ne peuvent pas être réduits à la simple expression d’une opinion », notamment parce qu’ils doivent viser des groupes de personnes spécifiques. Déverser sa haine contre le monde entier n’est pas un délit. Contre les Noirs, les femmes ou les homosexuels peut le devenir.
UN ARSENAL DE RÉPRESSION COMPLET [...]
La suite sur Libération
http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-haine-de-la-liberte-d
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Les familles plumées de Gironde se rassemblent dimanche
Les Familles Plumées
Dimanche 23 novembre
Tous dans la rue pour la famille !Rassemblement de 15h à 16h30
Bordeaux
Arcachon - Blaye - Langon - Lesparre - Libourne
devant la préfecture et les sous-préfectures
DES MESURES EN COURS D'ADOPTION PAR LE PARLEMENT VONT IMPACTER
LOURDEMENT LES FAMILLES :
Réduction du congé parental
Allocs sous conditions
Pression fiscale
Les parents raquent les enfants trinquent.
Venez tous avec landaus et poussettes, symboles de notre avenir .