Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 17

  • Pèlerinage Paris-Chartres 2016

    Chers Camarades,

    Chaque année, pour la Pentecôte, Notre-Dame de Chrétienté organise un Pèlerinage de Notre-Dame de Paris jusqu’à Notre-Dame de Chartres dans un esprit traditionnel français.

    Comme chaque année, l’Action Française propose à ses membres animés par la Foi Catholique de participer au Pèlerinage au sein du Chapitre Sainte Jehanne de France(seconde fille de Louis XI et fondatrice de l’Ordre de l’Annonciation de la Vierge Marie). Ce Chapitre est l’un des plus anciens du Pèlerinage de Chartres et est entièrement géré par l’AF.

    Le pèlerinage se déroulera du samedi 14 au lundi 16 mai (semaine juste après la fête de Sainte Jeanne d’Arc).

    INSCRIPTIONS :

    Ouverture aujourd’hui (20 mars)
    - Région "PARIS EST +77"
    - Chapitre "SAINTE JEHANNE DE FRANCE"
    - LIEN INSCRIPTION

    PRIX :
    - Entre 54€ et 38€ jusqu’au 15 avril (en fonction de votre lieu de résidence)
    - Entre 68€ et 50€ après cette date (en fonction de votre lieu de résidence) S’inscrire en famille permet de limiter les frais (tarifs dégressifs)

    INFOS PRATIQUES :
    - Départ le samedi 14 très tôt en matinée (arrivée à Paris conseillée le vendredi 13 au soir)
    - Possibilité de rejoindre le pèlerinage en cours de route le samedi et le dimanche.
    - Arrivée à Chartres le lundi 16 en fin d’après midi.
    - Retour à Paris le lundi 16 vers 20h

    SECRÉTARIAT DU CHAPITRE :

    Antoine Berth - chapitresaintejehanne@gmail.com - https://twitter.com/berth_antoine

    Amitiés d’AF,

    Luigi Chef de Chapitre & Antoine

     

  • « Le cosmopolitisme, c’est la guerre ! »

    aristote

    « Le cosmopolitisme, c’est la guerre !

    L’Europe est à nouveau frappée par des attentats meurtriers.
    Pendant ce temps, le gouvernement français inonde le peuple d’une honteuse propagande dénonçant ses prétendues tendances « racistes », « islamophobes », « antisémites », etc. Une campagne de culpabilisation et de diversion très coûteuse et parfaitement contraire à la réalité.

    Des agressions, viols et meurtres à connotation raciste ont lieu en effet en grand nombre en France, mais ce sont les Français qui en sont victimes et quasiment jamais les auteurs.
    Une guerre se fait jour sur le sol d’Europe (et il y a en France de nombreux « Molenbeek »), mais elle n’est pas initiée par les Blancs, qui ont été trop gentils et accueillants.
    Le principe de réalité se rappelle douloureusement aux Européens, qui doivent garder en tête, comme l’histoire le prouve, qu’une société multiraciale est une société multi-conflictuelle.

    La « campagne antiraciste » du gouvernement, si déconnectée des réalités, signifie qu’il a peur. Peur non pas du terrorisme et des véritables menaces – dont il est responsable -, mais peur d’un réveil populaire qui s’opposerait à l’idéologie de l’Oligarchie politico-médiatique et in fine à sa domination.

    Le rejet de l’invasion migratoire, le refus de l’entreprise de culpabilisation et de reniement national, et plus encore l’essor du nationalisme sont en effet les vrais sujets d’inquiétude de la caste dominante.

    Jamais l’antagonisme entre l’idéologie cosmopolite au pouvoir et les intérêts du peuple n’a été aussi palpable.

    S’il y a encore des Français qui croient de bonne foi – sous les coups des médias et de l’« Éducation nationale » – que le « nationalisme c’est la guerre » et que l’abolition des frontières est l’assurance de la paix, il nous revient de leur ouvrir les yeux au plus vite, aidés hélas par des faits qui confirment évidemment les analyses du mouvement national depuis des décennies.

    La seule issue est le rétablissement de pouvoirs publics animés d’un sain nationalisme, c’est-à-dire qui ont en tête ce qu’est réellement une nation et qui ont à cœur de défendre ses intérêts, au premier rang desquels sa sécurité, sa souveraineté, son identité, sa cohésion, son homogénéité.
    Clamons haut et fort que « le cosmopolitisme, c’est la guerre » et que le « nationalisme, c’est la paix » !

    Thibaut de Chassey
    Directeur du Renouveau français »

    http://www.contre-info.com/le-cosmopolitisme-cest-la-guerre#more-41408

  • Lavrov: l’UE doit arrêter ses "jeux géopolitiques" et s’unir avec la Russie

    L'Union européenne doit arrêter ses "jeux géopolitiques" et s'unir avec la Russie dans la lutte contre les "terroristes", a déclaré mercredi le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, au lendemain des attentats de Bruxelles.
    "J'espère vraiment que les Européens mettront de côté les jeux géopolitiques et s'uniront (avec la Russie) pour ne pas permettre aux terroristes de prendre le contrôle de notre continent commun", a déclaré Sergueï Lavrov au début des entretiens avec son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier, cité par l'agence de presse Ria Novosti.
    M. Steinmeier doit également s'entretenir dans l'après-midi avec le président russe Vladimir Poutine. Il sera suivi par le Secrétaire d'Etat américain John Kerry, attendu dans la journée dans la capitale russe.
    Les attentats qui ont frappé mardi matin à l'heure de pointe l'aéroport et une station de métro du centre de la capitale belge ont fait une trentaine de morts et plus de 200 blessés. Ils ont été revendiqués par le groupe takfiriste Daesh (EI), quatre jours après l'arrestation d'un des auteurs présumés des attentats de Paris, Salah Abdeslam.
    Vladimir Poutine a dénoncé ces attentats et estimé qu'ils "montrent une nouvelle fois que le terrorisme ne connaît pas de frontières et menace les populations du monde entier".
    "La lutte contre ce mal nécessite la coopération internationale la plus active", a-t-il ajouté.
    Le président de la Commission des Affaires étrangères de la Douma (chambre basse du Parlement russe), Alexeï Pouchkov, avait de son côté déclaré mardi que pendant que le secrétaire général de l'OTAN Jen Soltenberg combattait "une menace russe imaginaire (...), des gens se (faisaient) exploser sous son nez à Bruxelles".

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVlZkllyElQgpZBJB.shtml

  • Entre les mâchoires du loup…

    Il faut croire que nous arrivons à un carrefour dans notre Histoire suite à un emballement frénétique typique de notre société post-moderne. 2015 marque en effet le début de ce qui semble être une nouvelle ère avec le retour en puissance du terrorisme islamique sur le sol européen et ce pour le plus grand malheur de l’irénisme ambiant et de l’hédonisme-matérialiste de l’homo occidentalis. Hélas ! La réponse à la menace terroriste est tout aussi funeste que la menace elle-même : outre le déni de réalité, l’état d’urgence et la société sécuritaire. Nous sommes littéralement dans la gueule du loup.

    Le contexte

    « Nous devons cette vérité à nos peuples: il y a aura d'autres attaques, des attaques d'ampleur, c'est une certitude. Cet hyper-terrorisme est là pour durer. » C’est en ces termes que le premier ministre français, Manuel Valls, décrivit la situation lors la Conférence sur la sécurité de Munich en février dernier. Les uns y verront un langage de vérité, le fameux « parler vrai », tandis que le autres, dont nous faisons partie, y voyons surtout un aveu de faiblesse, soit l’arbre qui cache la forêt déboisée de ce qui fut jadis la souveraineté de l’Etat-nation. Pour Carl Schmitt, « Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnelle », et autant dire qu’en raison des attaques terroristes de 2015 on ne la sent pas vraiment, la souveraineté de l’état.

    La mâchoire supérieure : l'état d'urgence

    En conséquence des attentats du vendredi 13 novembre 2015, François Hollande déclara l’état d’urgence. A première vue rien de vraiment surprenant. Cependant ce dernier en étant prolongé, pour l’instant ad vitam aeternam, et, conjugué avec les nouvelles lois sur le renseignement, esquisse un tout autre dessein : Des militants écologistes l’ont appris à leur dépend lors de la COP21… L’état d’urgence est supposé être effectif jusqu’à la fin de la résolution du problème. Hors un « hyper-terrorisme » qui « est là pour durer » suppose donc un état d’urgence qui est là pour durer également. L’exceptionnel devient donc prétexte à l’instauration de mesures émanant d’un gouvernement se sentant en danger car honnis et contesté par sa base. Cet état d’urgence est, la plupart du temps, à géométrie variable : certaines manifestations sont maintenues malgré des troubles à l’ordre public (manifestations d’antifas mais aussi de lycéens) tandis que d’autres sont arbitrairement interdites (notamment les manifestations de patriotes). La devise du gouvernement « français » ? Dur avec les faibles, faible avec les durs ! Quant à l’efficacité du dit état d’urgence, nous l’avons vu de nos propres yeux lors de l’affaire de la conférence de Bernard Lugan le 3 mars dernier à Clermont-Ferrand. On peut donc, en plein état d’urgence, constituer des groupes armés pour attaquer des étudiants et un hôtel sans que cela pose le moindre problème. Remplacez les militants d'extrême-gauche par des islamistes armés de kalachnikovs et nous vous laissons imaginer le carnage...

    La mâchoire inférieure : le nouveau terrorisme islamique

    C’est un ennemi de l’intérieur organisé en réseau et charpenté par un dogme : l’islam. Tous les musulmans ne sont pas terroristes certes, mais tous les terroristes dont nous parlons sont musulmans et se réclament de l’islam. C’est un fait indiscutable. Dans nos pays d’Europe de l’Ouest, et plus particulièrement en France et en Belgique, des foyers d’infection se sont petit à petit développés avec, à n’en pas douter, un « laisser-faire » de la part de l’Etat. Ce terreau, nous le savons, est constitué avant tout par des délinquants et de criminels ré-islamisés, des« islamoccidentaux », qui empruntent le pire du dogme et du fanatisme islamique et le pire de la société occidentale : d’un point de vue sociologique, nous avons à faire à un cocktail redoutable… Ces créatures hybrides sont donc passées de la vente de drogue aux attentats de masse devenant de facto l’avant-garde violente de l’islamisation de l’Europe. Impossible d’agir en conséquence si les dirigeants et les classes politiques françaises et européennes n’admettent pas l’incompatibilité ontologique entre l’Islam/islam et la société occidentale, mais aussi avec notre Weltanschaaung et notre conception de l’Imperium Européen.

    Les mâchoires se referment

    Le résultat, nous le voyons aujourd’hui avec les attentats sur le sol belge, est la création et l’instauration d’un climat anxiogène. Maintenir la population dans la peur est le but premier mais aussi le point commun entre l’Etat Français et les organisations islamo-terroristes. L’agneau se tourne vers son berger ou se soumet au prédateur, l’un étant souvent le persona (masque) de l’autre. Des années d’intense propagande ethno-masochiste, de repentance et surtout d’irénisme ont transformé ce qui fut il y a bien longtemps l’hoplite de la Grèce antique en festivus festivus pacifiste. Redresser la barre est un défi de taille.

    Ainsi nous devons faire face à deux menaces à la fois : d’une part, un système oligarchique de plus en plus autoritaire qui détourne les pouvoirs étatiques pour arriver à ses fins et se maintenir en place (la mâchoire supérieure) ; d’autre part, une menace politico-religieuse nourrie de la décrépitude de nos sociétés occidentales et de l’impossible assimilation de milliers d’étrangers de culture musulmane sur notre sol (la mâchoire inférieure) et de leur religion conquérante. Les deux veulent instaurer à terme une dictature reposant sur des idéaux universalistes, bien que l’essence de ceux-ci soit envisagée de manière complètement différente par les deux parties (anthropo-centré et individualiste pour le premier, theo-centré et holiste pour le second). Par conséquent nous devons comprendre que nous venons d’entrer dans les années décisives et que nous devons nous préparer individuellement et collectivement. Ensuite, il est évident qu’une troisième voie s’impose : rejeter le choc de civilisation en ne prenant parti ni pour le camp occidental ni pour l’Islam : le dualisme n’est pas une fatalité de l’Histoire mais une fatalité de l’esprit humain.

    Donatien/CNC

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • La PAC en accusation

    À l’heure où les meuglements des vaches ont été couverts, au salon de l’agriculture, par les cris de « Hollande démission », la tension qui s’amplifie entre le monde paysan et le monde politique souligne à quel point le fossé qui se creuse sera difficile à combler.

    Il y a d'un côté la terre, de l'autre idéologie. Bruxelles a cru pouvoir imposer cette dernière à ceux qui vivent sur la terre, en une politique agricole commune : la fameuse PAC. Résultat : les paysans meurent. Mais avant, ils se révoltent...

    Prévue par le traité de Rome du 25 mars 1957, entrée en vigueur le 14 janvier 1962, la politique agricole commune (PAC) est fondée sur Vidée de contrôle des prix et de subventionnement, afin de développer l'agriculture en la modernisant, sous la houlette de Commission européenne.

    Ses objectifs principaux sont d'accroître la productivité de l'agriculture, d'assurer un niveau de vie équitable à la population agricole, de stabiliser les marchés, de garantir la sécurité des approvisionnements, d'assurer des prix raisonnables aux consommateurs.

    Elle dispose dans ce but d'outils tels que le contrôle des prix, les subventions, le protectionnisme , et le contrôle de la production. Dans la pratique, cette politique est donc interventionniste, et vient se substituer à la pratique d'un marché libre, ce qui explique l'opposition qu'elle a rencontrée dans le monde paysan il y a soixante ans.

    L'équation originelle est délicate : augmenter la productivité et rémunérer correctement les producteurs sans ponctionner davantage le consommateur relève du casse-tête. Bruxelles trouvera rapidement la solution, qui consiste à subventionner le monde agricole.

    Le système atteindra très vite sa limite. Subventionné, le paysan deviendra dépendant non seulement d'une politique, mais des subsides que l'Union européenne lui octroiera.

    Dépendance

    À ce prix, il doit accepter de cultiver ce qu'on lui impose - et tout le monde a en mémoire des histoires absurdes de paysans contraints d'arracher ce qu'ils venaient de planter - et aux prix qu'on lui impose. Très vite, en effet, la question d'une productivité accrue pose celle des débouchés. La solution, c'est évidemment la concurrence -déloyale, dénoncent ceux qui la subissent ; solution qui passe bien sûr par une baisse des prix.

    L'engrenage, soixante ans plus tard, est tel que la plupart des agriculteurs français (pour n'évoquer qu'eux) aujourd'hui s'affirment contre la PAC, mais n'envisagent pas de vivre sans elle. De fait, la politique des prix qui leur est imposée les oblige à vivre - quand ils y parviennent -avec les subventions. Bernard Larmes, président de la Coordination rurale, l'expliquait tout dernièrement à notre confrère Minute : les PAC successives ont été catastrophiques, mais comme on ne peut se passer de politique commune, il faut une PAC respectant une préférence communautaire, une « exception agriculturelle ».

    C'est bien ce que, sous la pression des manifestations agricoles récentes, le gouvernement français prétend faire aujourd'hui. Mais ce n'est pas précisément le but que poursuit la Commission européenne.

    Au tournant des années 2010, fêtant le cinquantième anniversaire de cette politique commune, Bruxelles affirmait vouloir rendre la PAC « plus efficace ». C'est-à-dire, principalement, « renforcer la compétitivité ». Et donc pousser le système existant plus loin encore dans sa logique.

    Le commissaire européen à l'Agriculture Phil Hogan n'a rien dit d'autre lorsqu'il est venu, à l'occasion du salon de l'agriculture, à la rencontre des agriculteurs. « Je vois et comprends les difficultés », a-t-il affirmé en promettant de « faire de son mieux en fonction des contraintes réglementaires et financières ».

    Une formule qui signifie très clairement que, fondamentalement, rien ne changera. On peut certes promettre d'essayer de prendre certaines mesures susceptibles de donner un bol d'air. Comme, par exemple, la levée de l'embargo avec la Russie.

    Mais, d'une part, cela dépend d'une décision politique, où les questions agricoles ne tiennent pas une grande part.

    Et, d'autre part, cela ne changera rien aux problèmes de fond, et à l'immobilisme sur ce sujet des institutions européennes.

    Peu importe ! Malgré leur colère, les interlocuteurs du commissaire Phil Hogan ont rappelé leur attachement à la construction européenne. Un attachement qui s'explique tout autant par un matraquage idéologique depuis des décennies, que par une difficulté grandissante à boucler les fins de mois.

    En attendant, la Commission européenne peut dormir sur ses deux oreilles...

    Hugues Dalric monde&vie  16 mars 2016

  • « Laissez donc la France à des gens compétents! », répond un caporal-chef de la Légion au socialiste, Jean-Claude Urvoas

    Jean-Jacques Urvoas, actuel successeur de Christiane Taubira à la Justice, avait qualifié un légionnaire de militant d’extrême droite  en raison du tatouage d’une croix celtique qui apparaissait sur la photo du site de la Légion Étrangère qui illustrait la victoire sur un ring de ce légionnaire qui s’apprêtait à reverser la totalité de ses gains aux soldats français blessés en opération. Un autre légionnaire offensé, lui avait répondu sans mâcher ses mots. Ceci donne une idée des sectaires qui détiennent les destinées de la France entre leurs mains. Au moment des faits, Urvoas n’était pas encore ministre d’Etat.

    Le futur successeur de Christiane Taubira au ministère de la Justice écrivait sur son blog:

    « Le légionnaire en question arbore sur son flanc un tatouage représentant une croix celtique. Celle-ci, certes symbole du christianisme éponyme, est aussi et surtout le marqueur fort des mouvements de l’extrême-droite. La présence de cette photo, sur le site officiel de la Légion Étrangère, prend le contre-pied du message de fermeté à l’encontre des groupuscules de l’extrême-droite ».

    Eric Lecointe, Caporal-Chef de la Légion Étrangère, avait tenu à lui mettre les points sur les « i » sur le forum Chemin de mémoire des parachutistes:

    « Bonjour,
    Je viens à mon tour m’indigner suite au commentaire fait par Monsieur Jean-Jacques Urvoas, député socialiste, qui se permet de critiquer un Caporal-Chef de la Légion Étrangère pour un simple tatouage représentant une Croix Celtique.
    Moi-même ancien Légionnaire, et mon collègue ne pouvant se défendre – devoir de réserve oblige -, je ne pouvais rester sans réagir.
    Avant tout, je tiens à rappeler que la croix celtique ou croix nimbée est le symbole du christianisme celtique. Si pour vous elle est le symbole de l’extrême droite, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Est-ce que le jour où un militaire apparaîtra avec une rose tatouée sur le bras vous vous indignerez de la sorte ?
    Vous déclenchez une polémique qui étonnement (ou pas) touche encore un fervent défenseur de la France et des valeurs qu’elle incarne. Vous vous attaquez à un Légionnaire et, je suis désolé, mais je ne peux laisser passer ça !

     

  • 2006 - 2016 : le 30 mars prochain, cela fera dix ans que Synthèse nationale vous informe quotidiennement !

    Diapositive1.jpg

    Chers Lecteurs, Chers Amis,

    Le 30 mars prochain, cela fera dix ans que Synthèse nationale apparaissait sur la toile. Depuis, au moins trois fois par jour, ce blog est alimenté. Il est maintenant quotidiennement consulté par au minimum 3 000 personnes. Parfois, le nombre des connexions dépasse les 25 000.

    En dix ans, nous avons donné la parole à plus de 200 personnalités, responsables politiques ou économiques, écrivains, élus et acteurs se réclamant de notre famille d'idées. Nous avons lancé deux revues, Synthèse nationale et les Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez ici, créé une maison d'édition, Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici et un service de diffusion cliquez là. Nous avons aussi organisé des dizaines de réunions, colloques et séances de dédicaces tant à Paris qu'en Province, ce à quoi il faut ajouter nos journées nationalistes et identitaires qui rassemblent de plus en plus de monde chaque année, à Lille en avril et à Rungis en octobre.

    Tout cela a été possible grâce à l'engagement d'une poignée de volontaires et au dévouement de l'équipe de contributeurs qui scrute en permanence l'actualité afin de sélectionner l'essentiel à l'attention des militants et sympathisants de la cause nationale et identitaire. 

    La seconde raison de la longévité et du développement de Synthèse nationale est la fidélité et la générosité de ses lecteurs. Beaucoup nous aident en s'abonnant à la revue éponyme cliquez là ou aux Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez là, certains en adhérant à l'Association des Amis de Synthèse nationale cliquez là, d'autres enfin en achetant régulièrement les livres que nous éditons ou proposons. Quoi qu'il en soit, nous tenons à tous vous remercier pour votre fidèle amitié. Sans vous, il y a bien longtemps que ce site aurait disparu.

    Synthèse nationale fait partie de ces môles de résistance qui gênent le Système. Pour s'en convaincre, il suffit de constater la quantité d'endroits, qu'il s'agisse des services de l'Education dite nationale, des chaines d'hôtels internationaux, des entreprises mondialisées, où son accès est interdit. Cela ne nous décourage pas. Bien au contraire, cela nous incite à amplifier notre action.

    Le dimanche 9 octobre prochain, ce sera la dixième journée nationaliste et identitaire à Rungis, ce sera l'occasion de nous retrouver encore plus nombreux pour fêter ce dixième anniversaire. Le monde est en train de changer, l'heure du retour des peuples, des nations, des identités et des traditions européennes approche. Soyons mobilisés, le combat continue.

    Amitié à tous.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/23/2006-2016-le-30-mars-prochain-cela-fera-dix-ans-que-synthese-nationale-vous.html

  • Étrange agressivité du Coran

    Que cela plaise ou non à nos élites éclairées, le Coran possède un grand nombre d'incitations à la haine. Or, tant que ces textes ne seront pas formellement désapprouvés par ceux-là même qui y souscrivent, il ne pourra y avoir de paix durable en Occident et en Orient, ce que prouve les innombrables actes terroristes de ces vingt dernières années. Car, à la différence de la plupart des autres écrits religieux, la religion de Mahomet s'appuie sur un corpus très belliqueux, pour ne pas dire plus, radicalement contraire aux préceptes chrétiens ou aux écrits bouddhistes, par exemple. En conséquence, même si une majorité de musulmans ne suivent pas les ordres écrits du Coran - le monde serait alors à feu et à sang sur toute la planète - il y a aura toujours une frange d'exaltés pour les appliquer au pied de la lettre, ce qui constitue un problème politique presque insoluble à l'heure ou l'islam radical ne cesse de croître, et où les pays encore à peu près stables (Tunisie, Jordanie) vascillent.

    Que trouvons-nous dans le Coran ? La supériorité des musulmans sur les non-musulmans y est proclamée urbi et orbi, si Ton peut dire : « Il (Allah) a envoyé la religion de vérité pour la faire prévaloir sur toutes les religions et ce, en dépit des réactions des païens » (S9, v33). L'ouvrage, dont plusieurs centaines de versets sont consacrés à l'exaltation de la torture, de la guerre et du meurtre, incite son lecteur à nourrir des sentiments fort mitigés à l'endroit des non adeptes de l'Islam : « Et tuez ceux-là [les "mécréants"], où que vous les rencontrez » (2,191). Le Coran réclame en outre l'obéissance, une foi aveugle, et une soumission totale. « Qu'on le saisisse [le grand pécheur] et qu'on remporte en plein dans la fournaise ; qu'on verse ensuite sur sa tête de l'eau bouillante comme châtiment » (S44, v47-48). Les musulmans pieux forment une sorte d'élite, et les sceptiques sont relégués au fond de la classe près du radiateur ; leur destin est peu enviable : « Ô vous qui croyez ! Les infidèles ne sont qu'impureté » (S 9, v28). « Ils demeureront éternellement dans l'enfer. Le feu brûlera leurs visages et ils auront les lèvres crispées. » (S3, v!03-104). « Ils seront abreuvés d'une source bouillante. Il n'y aura pour eux d'autre nourriture que des plantes épineuses. » (S88, v5-7). Le musulman, sur la base du Coran, a-t-il le droit et l'obligation d'appliquer les châtiments de l'inventif Allah ? Ce dernier promet en tout cas des récompenses variées à ceux qui appliquent ses médications, et se montre peu mystérieux sur ses intentions : « Tuez les polythéistes là où vous les trouvez ! » (S 9, V5). » Par surcroît, vous n'êtes nullement responsables, en réalité, des bains de sang que vous commettez : « Ce n'est pas vous qui avez tué mais c'est Allah qui les a tués (8,17). » « Combattez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et guérira les poitrines d'un peuple croyant » (9,14). Mieux, vous recevez des bonus : « Que ceux qui tronquent la vie présente contre la vie future combattent dans le chemin d'Allah. Nous accorderons une récompense sans limite à celui qui combat dans le chemin d'Allah, qu'il soit tué ou qu'il soit victorieux ». (4,74). « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus. » (3,169). « Nous les aurons mariés à des houris (vierges) aux grands yeux » (44,54) « Et quiconque émigré dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance » (4,100). Par ailleurs, pour apaiser l'ire de notre sévère divinité, la simple mort du non musulman semble insuffisante : « Nous leur ferons subir le tournant du feu de l'enfer. Chaque fois que leur peau sera cuite à point, nous la remplacerons par une peau neuve afin qu'ils goûtent le tourment » (4,56.) « Des vêtements de feu seront taillés pour les incrédules. On versera sur leur tête de l'eau bouillante qui brûlera leurs entrailles et leur peau. Des fouets de fer sont préparés à leur intention » (22,19-21) « Je vais jeter l’effroi dans le cœur des incrédules : frappez-leur le cou ; faites-leur sauter les doigts ». (8,12).

    Les menaces, la destruction, la torture, l'assassinat, les massacres etc., constituent donc des châtiments évoqués à maints endroits dans le Livre de référence de nos immigrés mahométans, et leur application in vivo recommandée. Si l'islam est une religion de non-violence et le Coran un livre de paix, comme on nous le rapporte sans cesse, ne serait-il pas nécessaire de prouver (avec sans doute quelques difficultés) que les versets mentionnés ci-dessus - et il en est de nombreux autres du même tonneau - sont en conformité avec l'idéal humain des rapports cordiaux entre les hommes ?

    Ce problème d'interprétation de textes qui, par essence, ne souffrent d'aucune discussion, se pose avec acuité lorsqu'un pays subit, amorphe, un changement progressif de nature au terme duquel la Poule au pot se voit peu à peu remplacé par le couscous-boulette, tandis que plus d'une centaine de mosquées salafistes prospèrent, sous le regard bienveillant des faux musclés Cazeneuve et autres Valls. Car - et c 'est ce qui est vertigineux - même si un pourcentage faible de musulmans souscrit à ces sornettes haineuses, nous avons donc, mathématiquement, des milliers d'ennemis potentiels au pays de Molière, bientôt rejoints par les candidats migrants.

    Le cheikh de Syrie Sinan (1167-1193, un extrémiste assassin) était-il une sorte de Nostradamus de son époque ? Voici en tout cas, pour finir, ses paroles, indubitablement multa paucis (« beaucoup de choses en peu de mots ») : « les véritables musulmans sont ceux qui tuent d'autres hommes et se font ensuite tuer eux-mêmes. »

    Grégoire DUHAMEL Rivarol du 17 mars 2016