Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 38

  • Devant le lobby LGBT, Hillary dévoile sa haine des vrais Américains

    Après le Brexit, nous devons appeler de nos vœux la victoire, aux États-Unis, de la vérité face à la haine et au mensonge.

    Hillary Clinton vient de commettre une erreur fatale qui devrait lui coûter sa victoire et assurer à Donald Trump son élection à la présidence des États-Unis si ce dernier sait habilement profiter de l’événement. En effet, cette dernière intervenait vendredi dernier devant le parterre LGBT à l’occasion du gala de son comité de soutien Lesbien, Gay, Bi et Trans. Montrant sa véritable nature hétérophobe, anti-familiale et xénophile, la candidate devait insulter copieusement l’électorat républicain de Donald Trump. Jugez-en.

    « En général, en gros, vous pouvez mettre la moitié des partisans de Trump dans ce que j’appelle le panier des déplorables », […] « Les racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, islamophobes. Et j’en passe. » Pour elle, la seconde moitié des électeurs de Trump est constituée de personnes qui considèrent que le gouvernement les a laissés tomber et souhaitent juste, désespérément, le changement.

    Lire la suite

  • L'islam est-il ou non compatible avec....?

    Variation sur un thème. Il est parfois difficile de suivre les raisonnements de Jean-Marie Le Pen et de sa fille Marine sur ce sujet. Il s'avère qu'en fonction de la fin de la question, les réponses sont différentes.

    En 1989, Jean-Marie Le Pen considérait que l'islam était incompatible avec l'Europe :

    "Je crois profondément que, pour des raisons très profondes,l’islam est incompatible avec la culture européenne… cela ne dépend pas de nous, c’est la charia, c’est le fait qu’il n’y a pas de possibilité dans l’islam de séparer le laïc du sacré, la religion de la politique… et c’est pour cela que je suis un adversaire de la politique d’immigration, en particulier de ressortissants musulmans dans notre pays".

    En 2009, Jean-Marie Le Pen estimait au contraire qu'il n'y avait pas d'incompatibilité entre les cinq piliers de l’islam et le mode de vie français :

    "A mon sens, aucune. En principe, les religions chrétiennes étaient religions de paix, de fraternité et d’amour. Ça n’a pas empêché les catholiques et les protestants de s’égorger des siècles durant, tel qu’en Irlande aujourd’hui encore."

    Côté fille, Marine Le Pen considèrait en 2009 que l'islam n'était pas absolument compatible avec la laïcité :

    "Je pense que la France peut être laïque parce qu'elle est chrétienne de culture, et on s'aperçoit d'ailleurs que les pays musulmans ont les plus grandes difficultés à être laïcs. Les pays musulmans qui sont laïcs l'ont été en général par la force [...] La laïcité n'est pas absolument compatible... pas naturelle, avec l'islam, puisque l'islam confond le spirituel et le temporel".

    Mais en 2016, Marine Le Pen déclare sur TF1 le 11 septembre que l'islam "laïcisé" (sic) est compatible avec la république :

    "Depuis plus d'un siècle, nous vivons en France notre laïcité de manière tout à fait sereine. Ça n'était pas dans le débat public, parce que personne ne contestait que la France a des racines chrétiennes (...) laïcisées par le siècle des Lumières (...) C'est aux musulmans de répondre à cette question.Moi, je crois que oui. Un islam tel que nous l'avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions"

    Il faut avouer que tout cela n'est pas très clair et n'aide pas à discerner la réalité de l'islam. En avril 1990, le RPR-UMPtenait une plate-forme électorale dont voici une proposition d'alors sur l'islam. Mais ça, c'était vraiment avant...quand la droite était encore un peu de droite :

    "L’islam n’apparaît pas conforme à nos fondements sociaux et semble incompatible avec le droit français. Il y a bien incompatibilité entre l’islam et nos lois. C’est à l’islam et à lui seul de [s’adapter] afin d’être compatible avec nos règles."

    Avec plus de constance et de précisions, Jacques Bompard répondait en 2009 à Eric Besson qui déclarait l'islam compatible avec la république :

    "(...) Cette religion n’est pas compatible avec la démocratie, ni avec la laïcité, parce que c’est une doctrine à la fois politique, économique et même civilisationnelle. C’est donc un absolu, non seulement religieux, mais global, comme le montre l’évolution de la communauté musulmane en France, avec le voile, le haïk, les drapeaux exhibés lors des mariages, les prénoms donnés aux enfants : Oussama ou Djihad, par référence à Ben Laden et à la guerre sainte (...) Il suffit de lire le Coran pour s’en convaincre : à côté de sourates souples et tolérantes, y figurent des sourates autoritaires, un Coran totalitaire avec une clé de lecture que les lecteurs ne connaissent généralement pas : quand deux sourates se contredisent, c’est celle qui a été écrite en dernier qui a autorité sur la précédente. Or toutes les sourates autoritaires ont été écrites après les sourates complaisantes… Voilà pourquoi l’Islam n’est pas intégrable." 

    C'est sans doute pourquoi Eric Zemmour s'en est pris à nouveau à Marine Le Pen sur LCI. Car parmi les sujets sur lesquels il est en désaccord, il y a l'islam. Voici son positionnement très clair sur RTL où il déclare qu'il n'y a pas de différences entre islam et islamisme, sur Boulevard Voltaire et surtout dans l'émission C à vous, où ses propos ont fait polémique :

    "L’islam n’est pas une religion, c’est une loi, une nation (...) Le musulman modéré n’existe pas. Il y a simplement des gens qui appliquent à la lettre [le Coran] et d’autres qui n’appliquent pas à la lettre et savent qu’ils ne sont pas de bons musulmans (...) S’ils sont français, ils doivent se détacher de ce qu’est leur religion"

    Et qu'en pensent les Français ? 74% pensent que l'islam n'est pas compatible avec les valeurs de la société française et parmi eux, 94% des électeurs du FNpensent de même et ne seraient donc pas en phase avec Marine Le Pen... 

     CsF2Th5WgAA9hGV

    L'islam est un vrai sujet désormais incontournable et déterminant pour l'avenir de la France. Il s'agit donc désormais de se former, de lire le coran et de se faire sa propre idée et surtout d'éviter toute tentation conformiste, électoraliste ou consensuelle. Pour vous faire une idée, nous vous renvoyons sur ce post de 2014 Ne parlez pas du Coran, lisez-le ! ou sur cette analyse d'Hilaire de Crémiers ou encore vers les interventions toujours pertinentes de Bernard Antony ici, ici, ici ou ici.

    Philippe Carhon

  • Ivan Rioufol : "Nous sommes en guerre. Il faut donc se préparer à la guerre"

    Ivan Rioufol était vendredi 10 septembre en conférence à La Baule afin de présenter son livre « la guerre civile qui vient ». Breizh-info l’a interrogé. Extrait :

    "[...] Je n’ai plus confiance en la classe politique en général. Elle est responsable de cinquante ans de déconstructions de la nation, de son peuple, de son unité. Je vois que le FN développe une approche plus réaliste, qui lui donne des ailes. Mais je crois davantage au réveil, à la lucidité et à la sagesse de la société civile. Le peuple raisonnable sait qui est l’ennemi.

    Les citoyens, de plus en plus réactifs, ont un rôle important d’aiguillon à jouer. En fait l’ennemi est double : il est bien sûr cet islam totalitaire et conquérant, qui a déjà ses < collabos > chez tous ceux qui croient reconnaître le nouveau prolétaire dans le musulman minoritaire. Mais l’ennemi est aussi au coeur de la caste politique qui persiste à s’aveugler et à vouloir jouer l’apaisement devant ce que j’appelle le nazislamisme.

    N’oublions pas que les collaborateurs de Vichy venaient majoritairement de la gauche pacifiste et antiraciste. L’histoire bégaie.

    Pour mener une guerre, il faut être deux, et avoir désigné un ennemi. Les Islamistes ont désigné l’Europe mécréante. Mais avons nous désigné l’ennemi ? 

    Le premier ennemi, c’est nous-mêmes, qui avons cautionné ce monde politique. François hollande a aussi mis beaucoup de temps avant de parler de < terrorisme islamiste >. Mais il faut aller plus loin et désigner l’islam comme le problème à résoudre, sans pour autant désigner tous les musulmans comme boucs émissaires. Il n’est plus possible de soutenir que le Coran serait tombé du ciel, dicté par Dieu. [...]

    Quelles solutions pour redonner espoir aux Français ? La « dictature du droit » (pour reprendre l’expression d’E. Zemmour) couplée à « l’idéal républicain » et à la « religion des droits de l’homme » ne sont ils pas les meilleurs moyens de perdre cette guerre civile ? Fait on la guerre avec des bougies, des stylos et des incantations ?

    Ivan Rioufol :  Nous sommes en guerre. Il faut donc se préparer à la guerre et être plus brutal que l’ennemi, qui ne comprend que la force. Ce rôle doit revenir à l’Etat, dans le respect du droit mais aussi s’il le faut avec le recours à l’armée. Si l’Etat devait se coucher, beaucoup de Français risqueraient de se faire justice eux-mêmes. Les Corses ont déjà lancé l’alerte. [...]"

    Michel Janva

  • Toute la vérité?

    Nouvelle incarnation médiatique de ce djihadisme  qui frappe notre pays, la main du « Français » Rachid Kassim, membre de l’Etat islamique, apparait de nouveau derrière les menaces d’attentats révélées au grand public ces derniers jours. Selon les enquêteurs il aurait déjà piloté depuis la Syrie le meurtre commis par Larossi Abballa d’un policier et de sa compagne le 13 juin dernier à Magnanville (Yvelines), l’assasinat du prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) par Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean le 26 juillet. il serait aussi derrière la cellule de  femmes jihadistes qui prévoyaient unn attentat près de Notre-Dame de Paris (?), arrêtées la semaine dernière par la police dans l’Essonne. Kassim serait également en contact avec le mineur de quinze ans, assigné en résidence depuis avril, soupçonné de pouvoir « passer à l’acte », et arrêté ce  samedi. Invité dimanche du «Grand rendez-vous» Europe 1/iTELE/Les Echos, Manuel Valls a évoqué une « menace (terroriste) maximale (…). Tous les jours, les services de renseignement, la police, la gendarmerie, tous les jours, déjouent des attentats, démantèlent des filières irako-syriennes. »

    Changement de tactique, ou impossibilité de dissimuler plus longtemps la réalité, le Premier ministre a  fait état non pas de 10 000 islamistes radicalisés présents sur notre sol, chiffre auquel s’accrochait jusqu’alors  le gouvernement, mais  d’ environ 15.000 djihadistes potentiels vivant chez eux chez nous, auxquels il faut ajouter « 700 djihadistes français et résidents en France, qui combattent actuellement en Irak et en Syrie.  » Il est aussi loisible de s’interroger sur les possibles infiltrés qui se mêlent aux  immigrés qui veulent gagner l’Europe pour des raisons économiques.  Cette seule fin  de semaine, 3 400 migrants ont été secourus  et  débarqués vers l’Italie samedi  ont annoncé les gardes-côtes italiens.  Les chiffres du  ministère de l’intérieur transalpin font état  de l’arrivée   de 125 000 immigrés sur ses côtes depuis le début de l’année ( 122 000 durant la même période   en 2015).

    Manuel Valls l’a répété hier  « le premier enjeu » de  cette élection présidentielle   » c’est le danger du Front National ». Non!  le premier enjeu de  2017  pour les Français ce n’est pas la menace que font peser Marine et  le FN sur les partis dits républicains qui se partagent les fromages du Système.  Nos compatriotes eux,  attendent   certes une politique permettant à la France de stopper  le déclin  économique,  d’enrayer le chômage,  mais veulent aussi  un Etat fort, assumant ses fonctions régaliennes, capable de protéger leur sécurité, notre identité et notre  souveraineté.

    Outre-Atlantique, le résultat de l’élection présidentielle de novembre ne sera pas non plus sans conséquence sur nos vies,  selon que le « populiste » isolationniste  Donald Trump ou la calamiteusepasionaria  Hillary Clinton  succèdent à Barack Obama. Pour la première fois un sondage national(CNN/ORC), mais il sont réputés peu fiables aux Etats-Unis,   publié mardi,   donne  Donald Trump gagant d’une courte tête.  Le site du Nouvel Obs rappelait aussi très justement que « l’avance de deux points de Trump est située dans la marge d’erreur (plus ou moins 3,5 points) et le sondage est national. Or, l’élection américaine se jouant dans les Etats-clés (swing states), il est plus pertinent de s’intéresser aux sondages Etat par Etat. »

    Au delà de l’antipathie que sa personne  suscite dans une large frange de la population  américaine, même si celle-ci est largement  tue ou minorée dans « nos » médias conquis quasi unaniment  par leprogressisme  de Mme  Clinton, celle-ci est toujours en butte à de forts soupçons sur son honnêteté. Un  récent sondage ABC/Washington Post, indique que seuls 35% des électeurs Américains  disent lui faire confiance. Il y a eu   l’affaire  des courriels lorsqu’elle était à la tête du Département d’Etat  qui a déclenché une enquête du FBI, les révélations sur ses liens financiers  très troubles avec Goldman Sachs, ses   rencontres avec de très généreux donateurs de la Fondation Clinton quand elle était responsable de la diplomatie américaine…

    Autre doute, Mme Clinton,  comme François Mitterrand en son temps, et comme l’affirme depuis des mois  M. Trump, ment-elle sciemment sur son état de santé, elle qui refuse toujours de publier son bilan médical?  Lors des commémorations du quinzième anniversaire des attentats du 11-Septembre à New-York, auxquelles ils étaient tous deux présents, Mme Clinton a été victime d’une malaise. Non pas « un coup de chaud » comme elle l’a d’abord  dit mais les effets d’ une pneumonie comme a fini par le révéler son médecin. « Chaque fois que je pense à Trump, je deviens allergique » , expliquait-elle  jusqu’alors  à ses fans sans ses réunions pour expliquer  ses quintes de toux…

    Pour dire les choses gentiment,   nous pourrions dire de  Mme Clinton qu’à l’instar de Jules Renardelle aime « la vérité et les mensonges qu’elle autorise ». Jugement qui s’applique aussi aux événements qui ont suivi et entourent la tragédie du 11 septembre 2001.  Dans un tweet , Bruno Gollnisch a rappelé hier sa « sympathie totale pour ces victimes civiles » de cet attentat , » comme pour celles de l’US Air Force (1 million ?) Requiescant omnes in pace. »

    11 septembre  au nom duquel bien des mensonges ont été proférés par les gouvernements américains pour légitimer  des interventions militaires   qui ont déstabilisé le Proche et le Moyen-Orient,  une partie de l’Afrique,  avec les effets dramatiques que nous voyons à l’œuvre aujourd’hui;   de la même façon que les pseudo  armes de destructions massives de Saddam Hussein ont justifié en 2003 une guerre d’agression contre l’Irak avec les mêmes conséquences dévastatrices, pour les Arabes musulmans, les Chrétiens d’Orient, les Africains, les Européens…

    Il n’est d’ailleurs  pas nécessaire d’adhérer aux  » théories du complot » les plus obscures  pour en être convaincu. Bruno Gollnisch le rappelait dans un entretien accordé en janvier 2015 au siteplanet.fr: « Il faut savoir aussi que quelquefois l’invraisemblable est vrai et ce qui prouve d’ailleurs que c’est vrai c’est que c’est invraisemblable (…). Le seul complot c’est sur la sureté intérieure et extérieure de l’Etat qui est l’appel à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation depuis 40 ans. C’est un complot contre la France. Je suis complotiste au sens zemmourien du terme : dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française, etc. » Brisons ce complot là en 2017!

    http://gollnisch.com/2016/09/12/toute-la-verite/

  • Journal du Lundi 12 septembre 2016 : Politique / Les Républicains dans la course

  • Lancement du site régional lyonnais de Synthèse nationale...

    SN RHÔNE ALPES.jpg

    Pour accéder à ce site cliquez ici

     
     
     
  • Les candidats à la présidence ne se préoccupent que de boutons de guêtres !

    Le premier chapitre d’un véritable programme présidentiel devrait être consacré à la refonte de nos institutions par voie référendaire.
    Si chacun s’accorde à déplorer l’interminable crépuscule de la Ve république, l’examen des programmes des candidats –pour ceux qui sont publiés – montre que ceux qui briguent la magistrature suprême se perdent en détails insignifiants du ressort d’un sous-secrétaire d’État.

    Lire la suite