FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Ce qui n’était qu’une hypothèse vient d’être validé par un important groupe de scientifiques. L’éditeur scientifique Elsevier B.V. a publié le 26 octobre dernier un article attribuant la majeure partie du réchauffement climatique à l’activité solaire. La thèse a été confirmée par les pairs du comité de lecture de Annual Reviews in Control, une des sept revues scientifiques de l’IFAC, fédération internationale regroupant des milliers d’experts en contrôle, automatique et identification des systèmes complexes.
Comment les thèses du GIEC sont‑elles invalidées ? Par l’approche scientifique. La période observée par l’auteur de l’étude porte sur mille ans, quand celle du GIEC ne porte que sur les 150 dernières années. Ce qui élimine les événements millénaires de la période chaude médiévale et du petit âge glaciaire, notoirement corrélés à l’activité solaire. La seconde erreur du GIEC consiste en la confusion entre cause et effet, à propos des courants océanographiques de type El Niño. D’après le scientifique, il s’agit « d’une erreur méthodologique lourde, évidente aux yeux de n’importe quel expert en science des systèmes ».
Comment expliquer la persistance de la cause humaine comme fondement de toute explication du dérèglement climatique ? Dénoncer l’activité humaine comme l’alpha et l’oméga du réchauffement est bien commode pour les mondialistes. Cela valide leur politique malthusienne de régulation de la population mondiale, véritable fondement des grands rendez‑vous, du type COP 21 hier et COP 22 à Marrakech demain. L’homme étant un parasite pour la planète, il est donc légitime de réduire les effectifs, par la promotion de l’avortement, ou encore par des campagnes de stérilisation des femmes, notamment en Afrique. Il est dommage donc que le pape François se soit fait le relais dans son encyclique Laudato Si des fausses thèses du GIEC, démenties depuis.