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  • Sortie (très attendue) à la fin du mois de janvier du livre d'Alban d'Arguin : EOLIENNES SCANDALE D'ETAT

    2821599050.jpgC’est l’ouvrage le plus com­plet sur la ques­tion des éo­liennes à ce jour. L’auteur en cerne les origines à travers l’écologie qui, dépouillée de ses oripeaux de la « bien pen­sance verte », apparaît sous son vrai visage de parti de l’étranger rassembleur des der­niers trotskystes à la solde du mondialisme. Il en démasque aussi la dialecti­que et les enjeux fondés sur trois affirmations hasar­deu­ses : la lutte contre le « réchauffement » climati­que, l’extinction « imminente » des énergies fossiles, et la « nécessaire » sortie du nucléaire.

    La thèse de l’auteur est terri­ble : L’éolien est un scandale d’Etat qui conduira tôt ou tard les politiques français promoteurs de cette aberra­tion devant la Cour de justice de la Ré­publique.

    Ce livre est une arme essen­tielle et exhaus­tive dans le combat, à la disposition des mé­dias objectifs, des politi­ques incorruptibles (il en reste sans doute) et de ceux qui luttent avec courage au quotidien partout en France où sortent de terre de nou­veaux parcs éo­liens.

    Il y a une impérieuse urgence à rejeter les in­jonctions dic­tatoriales de la Commission euro­péenne si on ne veut pas assister à l’agonie de la France défigurée, la France infectée, la France spoliée...

    Eoliennes scandale d'Etat, Alban d'Arguin, Synthèse éditions, collection Pourquoi ?, 178 pages, 20 €

    L'auteur : Alban d'Arguin, DEA de droit public, DEA d'histoire, Études d'actuariat (ISUP Paris) a fait une carrière de manage­ment et de direction générale à l'international dans un grand groupe financier. Il est retiré aujourd'hui dans l'ouest de la France où il travaille à la restauration d'un domaine entouré de vergers anciens. Il collabore épisodiquement à plusieurs re­vues sous forme de chroniques. Passionné par l'ornithologie et les questions environnementa­les, il a participé récemment à la création d'une association op­posée à l'implantation d'un parc industriel dans sa région. Confronté à l'aberration de ce projet "d'énergie du vent", il a décidé d'instruire objectivement et exhaustivement la question de l'éolien en France

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  • Nouvelles victoires judiciaires de Jean-Marie Le Pen face à la direction du FN

    6a00d83451619c69e201b8d2589fe5970c-320wi.pngDeux nouvelles décisions de justice rendues mercredi et jeudi donnent à nouveau raison à Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front National. Ce dernier communique :

    "Le recours contre l’exécution provisoire du jugement qui m’a confirmé dans la fonction de président d’honneur du FRONT NATIONAL a été rejeté ce jour par la cour d’appel de Versailles.

    Hier déjà, la cour de cassation avait définitivement enterré le soi-disant « congrès postal » qui visait illégalement à me déchoir. Ces décisions de justice s’imposent sans délai aux dirigeants du parti que j’ai fondé et dirigé durant 40 ans.

    Apaisement et rassemblement sont les préalables aux succès 6a00d83451619c69e201b8d258a65e970c-320wi.pngélectoraux. Il faut maintenant panser les plaies d’une base militante meurtrie et en finir avec l’esprit d’exclusion."

    Comme je l'écrivais en novembre dernier lors de la décision initiale de justice (Mais qu'attendent donc Jean-Marie et Marine Le Pen pour se réconcilier ?), il serait temps pour les dirigeants du FN, en particulier Marine Le Pen et Florian Philippot, d'arrêter cet entêtement ridicule et d'envisager une réconciliation de compromis. Ils ont une vraie carte à jouer dont l'enjeu est une victoire à la présidentielle et aux législatives. La dédiabolisation du FN est un mythe qui ne peut effacer 40 ans de vie politique. Face à la gauche macroniste ou mélenchoniste et face à une "droite" filloniste de plus en plus sensible à l'UDI et autres NKM, il est peut-être temps de s'unir...

    Interrogé par Le Point il y a quelques semaines, Florian Philippot déclarait avec la froideur et le cynisme qui le caractérisent :

    "Je ne connais pas l'histoire du Front national. Enfin, je connais vaguement son histoire par les médias. Un parti politique, c'est sympa, il y a des combats communs qui créent des liens évidents. Mais ça reste un moyen d'accéder au pouvoir. En bon gaulliste, je ne suis pas là pour sacraliser les partis."

    Forcément, si Florian Philippot se fie aux médias pour l'histoire politique du FN, on comprend mieux le peu d'intérêt qu'il accorde à la personne de Jean-Marie Le Pen. Mais ce n'est pas le cas de Marine Le Pen...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La gifle...

    La République est née de la violence, et elle s'en glorifie en la justifiant par le but à atteindre : la Révolution française, dès le 14 juillet 1789 et jusqu'au champ de défaite de Waterloo qui clôt le cycle des guerres révolutionnaires et napoléoniennes, est sanglante, même si elle n'est pas que cela. Ce souvenir du sang versé et, surtout, de sa funeste abondance, fut d'ailleurs longtemps un obstacle à l'établissement de la République ou, du moins, à son enracinement, car, de la Vendée au pays basque, les populations locales n'oubliaient pas que, pour elles, la République n'avait guère eu d'égards ni d'humanité. Aujourd'hui encore, les notables en appellent aux valeurs de la République sans en avoir vraiment fait l'inventaire, et il est frappant de constater combien il est difficile d'évoquer la Terreur et ses applications dans nombre de provinces françaises sans susciter la méfiance des autorités scolaires et universitaires... J'en ai, en d'autres temps et un jour d'inspection, fait l'amère et significative expérience !

    Une fois la République établie, que cela soit en 1848 ou après 1870, toute marque d'hostilité à son égard et toute révolte, qu'elle soit sociale ou politique, furent considérées comme inacceptables : la République était la nouvelle Terre promise, et s'en défier était alors (et est encore ?) un véritable sacrilège laïque ! Les ouvriers massacrés en juin 1848, ou ceux de Draveil et les mineurs de Courrières, les manifestants du 6 février 1934, désormais accusés de tous les maux quand c'est bien la République qui avait nourri, en son sein, les corrupteurs et les corrompus, témoignent de cette violence du régime, au nom d'elle-même, pour, disaient les fusilleurs (je parle bien des donneurs d'ordre, de ces « sinistres bourgeois » que dénonçait Bernanos, de Thiers à Ramadier en passant par Frot et Daladier), « sauver la République », forcément « en danger »...

    Cela n'alla pas forcément jusqu'à la fusillade des impétrants, mais la prison fut souvent une alternative à celle-ci, même pour des violences mineures (mais indéniables et parfois revendiquées) à l'égard des représentants (ministres ou parlementaires, voire présidents) du régime républicain : ainsi, lorsque l'ouvrier menuisier Lucien Lacour, camelot du roi impénitent, gifla le président du conseil nouvellement arrivé à Matignon en 1910 (Aristide Briand), cela lui valut 3 ans de prison ferme ! L'autre jour, c'est M. Valls, ancien premier ministre, qui, de passage en terre bretonne, a été giflé, assez mollement si l'on en croit les images, mais assez visiblement néanmoins pour que les médias ne retiennent que cela de son déplacement électoral. Aussitôt, de l'extrême-droite à l'extrême-gauche, ce fut un bel hourvari contre l'agresseur qui, circonstances aggravantes ?, est à peine majeur, soupçonné de régionalisme ou d'indépendantisme breton, et de sympathies soraliennes, mélange de confusion et de mal-être qui, parfois, caractérise la sortie de l'adolescence... (C'est le professeur qui, en ce moment, parle et écrit !) 

    Les réactions indignées du public de Droite dans les commentaires de la presse sur la toile, les appels à la défense des valeurs de la République (litanie agressive, en fait), les déclarations de solidarité répétées envers M. Valls, m'ont agacé : je n'ai pas souvenir d'une telle indignation lorsque ce même M. Valls a, là encore mollement mais toujours visiblement, « giflé » un militant du Mouvement des Jeunes Socialistes lors d'une Université d'été socialiste d'il y a quelques années ! C'était quasiment le même geste, et M. Valls s'en est-il excusé ? A ma connaissance, non ! Ainsi, « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir », comme le grince Jean de La Fontaine dans sa fable des « Animaux malades de la peste »...

    Je ne hurlerai donc pas avec les loups contre ce jeune homme que peu d'avocats de plume et de clavier défendent et défendront. Qui sait, si moi-même, je n'ai pas été tenté, un jour, de souffleter quelque « Monsieur » de cette République si forte avec les petits et si servile devant les puissances d'argent, cette République négligeant de condamner Mme Lagarde quand, dans le même temps, elle embastille un jeune contestataire sans appui ni fortune ?

    Ne voyez aucune apologie de la violence dans mes propos, mais je l'avoue : je n'aime pas l'hypocrisie, et celle que révèle un peu plus cette anecdote, en elle-même si révélatrice d'une ambiance de fin de règne (fin de régime ?), qui voit un ancien premier ministre faire preuve d'autoritarisme à défaut d'avoir fait, en son temps gouvernemental, montre d'autorité, me conforte dans ma défiance à l'égard d'une République si peu capable, désormais, d'unir et, quand il le faudrait, de pardonner... Que certains envisagent de confier la magistrature suprême de l’État à un homme qui ne connaît pas la valeur du pardon des offenses et, donc, de la grâce (pouvoir régalien du « monarque républicain » de la Cinquième), ne me rassure pas : elle m'effraie, tout simplement !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1373:la-gifle&catid=51:2017&Itemid=62

  • « Interrompre ce processus sera une excellente chose »

    Marine Le Pen, invitée hier de la matinale d’Europe 1, a rappelé que l’euro, monnaie unique dont l’échec a été acté par « 140 économistes dont quatre ou cinq qui sont Prix Nobel d’économie » avait «  entraîné une augmentation spectaculaire des prix », « une baisse du pouvoir d’achat »,  un véritable «  dumping monétaire ». « (Selon le FMI) l’euro est sous-évalué de 6% pour l’Allemagne et sur-évalué de 15% pour la France, cela veut dire qu’il y a un différentiel de 21% de compétitivité du fait de cette monnaie unique. Cela nous tue ». Autre dogme des  Bruxellois qui refusent de voir la réalité économique et sociale quand elle ne valide pas leur idéologie supranationale, l’ultra libre-échangisme, cheval de Troie du mondialisme,  est lui aussi aujourd’hui battu en brèche dans la Mecque même  du capitalisme libéral, à savoir les Etats-Unis. Au début du mois, dans un entretien accordé au média suisse RTS, la candidate du FN à la présidentielle notait que « le Brexit et l’élection de Donald Trump, c’est le refus du laisser-faire, du laisser-aller et du laisser passer » , d’une « mondialisation qu’on nous avait présentée comme heureuse et qui en réalité est sauvage, qui entraîne des migrations massives, qui entraîne une désindustrialisation catastrophique et un bouleversement pour les peuples qui la subissent ».

    Ultra libre-échangisme auquel Donald Trump a donné un coup d’arrêt, qui en annonce certainement d’autres, en signant « lundi dans le Bureau ovale un document mettant fin à la participation des Etats-Unis au traité de libre-échange transpacifique (TPP». « Durant sa campagne, Donald Trump avait dénoncé un accord terrible et promis de s’en retirer au plus vite. L’administration Obama le présentait au contraire comme le nec plus ultra de tous les traités de libre-échange, car cet accord va bien au-delà de la simple levée des barrières douanières. Il prévoit aussi la levée de barrières non tarifaires, comme l’ouverture des appels d’offres nationaux par les pays membres aux entreprises étrangères sans avantages indus pour leurs propres entreprises publiques, ou encore le respect du droit du travail selon les normes de l’Organisation internationale du travail (OIT). De nombreuses ONG dénonçaient cependant les effets pervers d’un texte jugé opaque sur les droits des travailleurs, l’environnement, la perte de souveraineté ou encore l’accès aux médicaments ».

    Interrogé sur le site francophone  de Russia Today,  Bruno Gollnisch était invité à réagir le 23 janvier à cette décision du nouveau président des Etats-Unis. Nous reproduisons ici in extenso cet entretien.

    RT France : Donald Trump a ordonné le retrait des Etats-Unis de l’accord de partenariat transpacifique (TPP) signé par Barack Obama. Selon vous, quelles seront les conséquences politiques et économiques de cette décision ?

    Bruno Gollnisch : Cela montre que Donald Trump ne croit pas aux vertus du libre-échange à l’échelle mondiale. Les relations commerciales entre les nations sont une bonne chose, mais il doit y avoir, selon des intérêts nationaux, des mécanismes correcteurs qui s’appelaient autrefois les droits de douane. Ils permettent de compenser, par exemple, le dumping social que pratiquent un certain nombre de pays avec de très bas salaires et en privant des salariés de toute protection sociale, d’assurance maladie ou pension de retraite.

    Je crois que Donald Trump envoie un signal très fort, comme celui qu’il avait envoyé en prévenant Ford que si cette entreprise restait localisée au Mexique, les voitures fabriquées au Mexique et réimportées aux Etats-Unis payeraient des droits de douane élevés. Monsieur (Mark) Fields a immédiatement annoncé sa délocalisation. Je souhaiterais que ce soit la même politique que la France adopte, ce n’est pas une politique déraisonnable. Ce qui est à mon avis déraisonnable, c’est d’étendre au monde entier le libre-échange, des marchandises, des personnes et des capitaux, parce que cela a des effets destructeurs sur les prospérités, sur les niveaux de vie, sur les identités des peuples. Je crois qu’on assiste à une lutte entre le mondialisme et les identités nationales. Donald Trump se situe indiscutablement du côté des identités nationales.

    RT France : Est-ce qu’on doit s’attendre à la fin d’autres traités de libre-échange comme le TTIP (traité transatlantique) ?

    B.G. : Je l’espère vivement. Ce traité était en réalité très désavantageux pour des secteurs entiers de l’agriculture européenne, il ne présentait pas de garanties sur le plan sanitaire de la qualité des produits. J’aurais été de toute façon, avec beaucoup de mes collègues l’adversaire de ce traité, mais nous sommes minoritaires. Je pense que Donald Trump va interrompre ce processus, ce sera une excellente chose.

    RT France : A quelle réaction doit-on s’attendre de la part de la communauté internationale, notamment des pays censés faire partie du TPP ?

    B.G. : Sans doute des réactions très défavorables, des hurlements, des protestations. Mais le TTIP, par exemple, était à l’étape des négociations. Par conséquent, en droit international, il n’a aucune valeur obligatoire, car il n’a même pas été ratifié, pas signé. Il n’est obligatoire qu’à compter du moment où il est ratifié, et même à compter du moment où les ratifications ont été échangées entre les signataires.

    RT France : Pourquoi y aurait-il une réaction défavorable à la dénonciation d’un traité qui n’est même pas entré en vigueur ?

    B.G. : Ce sont des intérêts des mondialistes qui sont extrêmement puissants sur le plan d’un certain nombre de financiers qui contrôlent une grande partie des médias, et qui, par conséquent, s’en servent pour influencer l’opinion publique.

    https://gollnisch.com/2017/01/26/interrompre-processus-sera-excellente-chose/

  • Fillon, Macron, Hamon : la présidentielle 2017 de tous les scandales !

    Ce qui vaut pour les Français simplex ne vaut visiblement pas pour l’élite de notre République, qui peut profiter du système à plein régime.

    La Ve République ressemble à s’y méprendre aux écuries d’Augias. Ouvrez la porte d’un placard, vous trouverez une collection de squelettes. Commençons par François Fillon, le Monsieur Propre de la droâte de gouvernement. Tout en lyrisme, il affirmait triomphalement, durant la campagne de l’élection primaire : « Mon projet perturbe les castes bien établies. Tous ceux qui, au fond, profitent du système. Tous ceux qui veulent conserver leur pré carré. » Malheureusement pour lui, les révélations du Canard enchaîné sont venues perturber son scénario bien huilé…

    Ce qui vaut pour les Français simplex ne vaut visiblement pas pour l’élite de notre République, qui peut profiter du système à plein régime. Simple paysanne, selon ses propres mots, Penelope Fillon a pourtant été l’attachée parlementaire de son époux, touchant un salaire colossal. En 2006, elle émargeait à 7.900 euros bruts par mois ! Au total, elle aura coûté la modique somme de 5 à 600.000 euros aux contribuables. Celle qui déclarait le 20 mai 2007 au Telegraph, un journal anglais, que les Français l’exaspéraient car ils se croiraient « supérieurs aux autres » et qu’ils ne seraient pas « particulièrement chaleureux » ne pourra pas déplorer leur manque de générosité ! Quand son cher et tendre a quitté Matignon, Penelope s’est recasée à la Revue des deux mondes, en qualité de « conseillère littéraire » pour un salaire de 5.000 euros bruts par mois.

    Son travail s’est résumé à deux critiques de romans anglais… Les bons comptes font les bons amis !

    Pour se défendre, François Fillon a fait preuve d’une malhonnêteté caractérisée, fustigeant la supposée « misogynie » du Canard enchaîné ! Quant à Bernard Accoyer, il s’est empressé d’expliquer que la pratique était courante… Ben voyons !

    Nous aurions pourtant tort de nous focaliser sur le seul François Fillon. Désormais, Emmanuel Macron se trouve aussi dans l’œil du cyclone. Vous savez, ce premier communiant qui lave plus blanc que blanc et entend renouveler la manière dont on conçoit la politique ici-bas. Il semblerait qu’il ait utilisé les frais de représentation de Bercy pour lancer la campagne de son mouvement, En Marche !

    Mais l’histoire ne s’arrêterait pas là ! L’Élysée aurait aidé Emmanuel Macron à organiser un déplacement au Liban… Quand on l’interroge sur l’origine des dons que son mouvement reçoit, Emmanuel Macron sort son atout : la démagogie. Serait-il donc « populiste » ou « démago » de chercher à savoir quelles fortunes nationales et étrangères soutiennent une personne qui espère présider à la destinée de la France ? Un homme qui compte dans son équipe un certain Bernard Mourad, ancien bras droit de Patrick Drahi. Cet élément pourrait-il, d’ailleurs, expliquer la relative clémence dont bénéficie l’impétrant dans les médias que possède le milliardaire franco-israélien ?

    Concluons ce petit panorama par Benoît Hamon. Depuis dimanche, les révélations se multiplient sur ce personnage. Son porte-parole, le député Alexis Bachelay, soutient ouvertement les islamistes du Collectif contre l’islamophobie en France, dirigé par l’inénarrable Marwan Muhammad… Il a même été jusqu’à relayer l’immonde et mensongère propagande de ce groupuscule sur le réseau social Facebook. Rappelez-vous, Alexis Bachelay a récemment été accusé, par le journaliste Georges Malbrunot, de mendier des vacances tous frais payés à l’ambassade du Qatar…

    Pendant ce temps, Marine Le Pen est interdite de pénétrer dans le camp de Grande-Synthe alors qu’elle a été élue députée française au Parlement européen sur ce territoire… À sa place, on a aperçu la bimbo Pamela Anderson. À quand, le grand nettoyage ?

    http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/fillon-macron-hamon-presidentielle-2017-de-scandales,309330

  • Les médias du système veulent lutter contre la présidence Trump

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : « La presse politique est composée des pires personnes que je n’ai jamais rencontrées » déclarait Donald Trump voilà quelques mois. Le jugement du nouveau président paraît en phase avec celui de ses concitoyens puisque seulement 40 % d’entre eux déclarent avoir confiance dans les médias.
    Sean Spicer, nouveau porte parole de la Maison Blanche, a vivement critiqué la couverture médiatique de l’investiture de Trump. 
    Il reproche une tendance à minimiser le succès populaire. Un succès dont témoigne par exemple le nombre de personnes ayant suivi l’investiture à la télévision. Les médias ont également eu une couverture biaisée des groupuscules anti-Trump, qui avaient justement pour objectif de faire échouer l’investiture en bloquant les accès à la cérémonie… La chaîne CNN est même allée jusqu’à évoquer en direct un possible attentat contre Trump, le jour de son investiture.

    De leur côté le New York Times, le Washington Post et NBC se positionnent comme de prétendus résistants face au nouveau pouvoir. CNN a choisi de ne pas diffuser la première déclaration à la presse du porte parole de Trump, décision saluée par la plupart des médias qui souhaitent un rôle « différent » durant la nouvelle présidence.

    Selon Vladimir Poutine, l’oligarchie américaine tente de déstabiliser la présidence Trump, pour saper sa légitimité et réduire sa capacité d’action. En marge d’une rencontre avec son homologue moldave, le président russe a qualifié d’« intox » toutes les polémiques concernant de prétendues frasques sexuelles de Trump en Russie. Poutine a en outre relevé que cette déstabilisation va d’abord contre les intérêts américains.

    http://fr.novopress.info/

  • Marion Maréchal Le Pen : "Vous avez devant vous un 'accident' ... qui préfère aujourd'hui être devant vous... plutôt que d'avoir été avortée"

    Le député FN décoiffe les féministes gauchistes à l'Assemblée. Marion Maréchal Le Pen a a évoqué publiquement son ascendance jeudi matin dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, en plein débat sur l'extension du délit d'entrave à l'IVG :

    "Vous avez devant vous un 'accident' qui se vit bien et qui préfère aujourd'hui être devant vous, à vous dire vos vérités, plutôt que d'avoir été avortée."

    Elle rappelle ainsi les informations publiées en 2013 par le journal L'Express, qui révélait que son père biologique est le journaliste Roger Auque et non pas Samuel Maréchal, qui l'a reconnue quand elle avait deux ans.

    "La réalité c'est que vous êtes des féministes ringardes. Les dinosaures politiques d'un temps 'soixante-huitard' révolu (...) Vous êtes la honte du combat des femmes, obsédées par la couleur du cartable (...) Complètement à côté de la plaque."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html