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  • Mosquée salafiste à Evreux avec la complicité du maire LR

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    "Rachid Ayouchede nationalité algérienne et sans profession, est le président de l’ « Union Cultuelle Musulmane d’Evreux », association qui porte le projet de construction de la « grande mosquée » d’Evreux. Imam, il se déclare ouvertement salafiste et s’habille ostensiblement comme un membre de cette mouvance, tout en disant respecter les principes de la république française.

    Il organise fréquemment des rendez-vous avec les religieux salafistes des départements limitrophes sur le site de la future mosquée, notamment lors des dernières fêtes islamiques. La présence de ces personnes suscite l’inquiétude de certains fidèles. Depuis son arrivée à la tête de l’UCME,  Mme Zohra.H, par le passé ex vice-présidente de cette association et présidente de l’association de femmes « EL WAFFA » a pris la décision de quitter cette entité, reprochant à Ayouche sa condescendance envers les femmes. A terme, le bureau de l’UCME pourrait écarter son président, mais en attendant, le maire élu sous l’étiquette UMP-UDI, Guy Lefrand, avec le soutien de Bruno Lemaire, soutient ce projet de mosquée. Concernant  l’implication de la mairie, Mohamed Derrar, adjoint au maire d’Évreux en charge de la jeunesse, de l’animation des quartiers et des cultures urbaines, était présent à la journée de collecte de fond pour la construction, le 11 mars 2017. D’ailleurs, lors de ce « diner de Gala », les femmes devaient entrer par une porte séparée, et étaient regroupées dans une pièce séparée par un rideau."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • IMMIGRATION : LE SEUIL DE TOLÉRANCE EST DÉPASSÉ

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    Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Le « seuil de tolérance » théorisé par le sociologue, économiste et démographe Alfred Sauvy (et qui lui a valu d’être dénigré par sa propre famille politique : la gauche) signifie qu’au-delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.

    Plusieurs pays d’Europe sont concernés, en particulier l’Italie, qui est au bord de la guerre civile (aucun média n’en fait l’écho) et avec laquelle l’Autriche envisage de fermer ses frontières.

    En France, rien n’est fait pour stopper les vagues migratoires, qui de toute façon sont ingérables dans l’espace Schengen. Le pays n’est même plus en capacité de savoir qui se trouve sur son territoire. L’État est dépassé, la situation est clairement hors de contrôle.

    Par ailleurs, même si une solution visant à stopper toute nouvelle vague d’immigration vers l’Europe était mise en œuvre (l’Union européenne fait exactement le contraire, même si les autorités italiennes semblent vouloir responsabiliser les ONG pro-migrants vis-à-vis des passeurs en Libye), il est déjà trop tard. La cohabitation avec les populations locales des pays concernés est de plus en plus difficile, et tourne déjà à l’affrontement.

    Seul un retour des migrants vers leurs pays d’origine pourrait désamorcer le conflit général qui s’annonce. C’est, d’ailleurs, en ce sens que Gérard Collomb a annoncé le versement d’une prime d’aide au retour portée à 2.500 euros par personne : une mesure qui, toutefois, risque de produire l’effet inverse à celui escompté, en attirant plus nombreuses les populations concernées. De plus, il est peu probable que les étrangers présents sur le sol européen repartent d’eux-mêmes, puisque dans le seul cas de la France, 96 % des déboutés du droit d’asile se maintiennent sur le territoire, selon un rapport de la Cour des comptes publié en 2015.

    Si l’on ajoute à cette problématique alarmante le phénomène lié à l’islamisation grandissante de nos territoires, sur fond de menace terroriste, force est de constater que la poudrière est bien en place, et qu’il ne manque plus qu’une étincelle pour déclencher l’explosion.

    Les autorités s’y préparent et pourraient bien profiter de ces tensions pour justifier des mesures autoritaires leur permettant de garantir, sous couvert d’assurer la continuité de l’État et de ses institutions, la sécurité des citoyens, au détriment de nos libertés individuelles déjà largement mises à mal.

    Comme à chaque période trouble de notre histoire, ceux qui ont les moyens de se mettre à l’abri le feront. Pour les autres, ils n’auront plus qu’à remercier ceux qui sont responsables de cette situation (nos dirigeants successifs) et à prier pour l’avenir de leurs enfants.

    http://www.bvoltaire.fr/immigration-seuil-de-tolerance-depasse/

  • La Suède refuse l'asile politique à une iranienne convertie au christianisme

    Une actrice iranienne, Aideen Strandsson, convertie au christianisme secrètement, arrivée en Suède avec un visa de travail de trois ans, a demandé l’asile à la Suède... qui lui a été refusé. Pourtant, en raison de sa conversion au catholicisme, elle est passible de sanctions pouvant aller jusqu’à la peine de mort si elle retourne dans son pays.  

    « Tout le monde connaît la situation en Iran et en Islam. Dans la charia, la conversion à une autre religion n’est pas acceptable et elle est punie de mort.».

    La Suède vient pourtant de lui refuser l’asile, au motif que sa conversion relève « de son choix » et qu’elle n’aurait « qu’à affronter seulement six mois de prison en Iran » !

    La Suède est ce pays qui accueille des immigrés clandestins, et annule des festivals de musique pour éviter que les immigrés ne commettent des agressions sexuelles. La Suède a accueilli récemment 244 000 demandeurs d’asile (dont 34% de Syriens et 10% d’Irakiens).

    Les dirigeants hongrois ont publiquement fait savoir par la voix du vice-Premier ministre Zsolt Semjén que la Hongrie lui accorderait l’asile.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Climat : Au-delà du tollé !

    par Felix D. Sbirov.

    Dans la foulée de la sage décision de l’administration trump de se retirer de la calamiteuse & coûteuse COP21 & derrière l’onanisme desKhmers verts & la doxa pseudo-scientifique du GIEC, qu’en est-il réellement de l’environnement ? Petit rappel à l’ordre de Jean Cuny sur le sujet.

    Le retrait des États-Unis de l‘Accord de Paris sur le climat a suscité un tollé dans la classe politique française qui une fois de plus fait preuve de sa grande hypocrisie. Le fameux accord sur le climat n’est qu’une déclaration d’intentions ne comportant aucun engagement juridique effectif.

    Selon l’article 2, le réchauffement climatique devra être contenu « bien en deçà de 2°C » par rapport à l’ère préindustrielle. Pour atteindre cet objectif, les émissions de gaz à effet de serre devront atteindre « un pic aussi rapidement que possible ». Tous les cinq ans, un bilan sera effectué.

    Le dogme de base est que le « réchauffement climatique » est d’origine humaine.

    Et de pointer du doigt les émissions de carbone dues à l’automobile, à l’industrie et à la production d’électricité. Curieusement on ne se préoccupe pas de celles des avions(1) et des navires.

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  • Brocéliande contre le monde moderne

    Notes pour servir à la constitution d'un Front Brocéliande contre le monde moderne

    « J'ai revêtu plusieurs aspects 
    Avant d'atteindre ma forme naturelle. 
    J'ai été le fer étroit d'une épée 
    (Je le croirai si je le revois) 
    J'ai été une goutte dans l'air 
    J'ai été une étoile scintillante 
    J'ai été un mot dans un livre... 
    J'ai été un tisonnier dans le feu 
    J'ai été un arbre dans un fourré »

    Câd Goddeu (Le Combat des Arbres)

    « ... l'intuition, qu'il y a quelque vaste processus à l'œuvre qui réalise l'acmé de la création, l'entéléchie de toute lutte vitale, dans ces larges et fraîches feuilles d'extase magique, qui s'ouvrent et frémissent dans l'air invisible ».

    John Cowper Powys

    La forêt était vivante. Par les rumeurs, les grands gestes, les hauteurs mouvantes, les silences tapis, les lueurs vertes, les éclats soudains lorsque le soleil tombe, la forêt vive nous parlait. Nous étions, en quelque sorte, ses enfants. Nous aimions la verticalité de la forêt, les cimes perdues, presque indiscernables, les racines tels de gros serpents, l'humus, le pourrissement délicieux des feuilles. Les troncs, plus ou moins espacés, évoquaient de longues notes de musique qui finissaient par s'accorder dans le tumulte polyphonique de la forêt. Mais chaque arbre avait son message, sa présence propre. Les arbres ont de si fortes individualités que nous en oublions les essences et les espèces. Comme les humains, les arbres ont leurs histoires et, je m'aventure à l'affirmer, leurs consciences !

    Je crois à cette individualité ancrée dans la terre et doucement vaguante, en son faîte, avec le vent, le ciel ! Je crois à l'individualité farouche des arbres, des terres, des animaux et des hommes. L'homme moderne ne reconnaît que ce qu'il peut classer dans quelque abstraite catégorie. Aussi bien, je ne suis pas un homme moderne. La densité de l'être, sa force, sa vertu, son bonheur témoignent de l'intense singularité de toute chose...

    Cet arbre qui m'adresse un signe de bienvenue lorsque le chemin tourne et revient du côté du soleil n'a pas son égal et je me soucie fort peu de ce qu'en pensent les naturalistes. Il verdoie doucement dans l'air encore pâle d'Avril. Toute la mélancolie du renouveau bruit avec le vent venu des hauteurs qui retourne vers elles les paumes cendrées des feuilles, comme des mains, avec leurs nervures intelligentes. Cet arbre me salue quand je passe — mais il me semble que sa grande tâche est un colloque avec des présences que je ne vois pas mais dont la profusion architecturale des branches est le Temple. Les Tibétains croyaient que la symétrie attire les démons. Mais ils croyaient aussi à l'harmonie et à l'interdépendance universelle, et je vois ce matin qu'il n'est rien de moins symétrique ni de plus harmonieux que ce Temple feuillu...

    Je veux bien être traité de panthéiste ! C'est en effet la grande manie des abstracteurs modernes. Pourtant, ce mot, pour moi, ne veut rien dire. Car ce que disent les arbres à mon entendement est d'un ordre trop subtil pour convenir à de grossières terminologies. Panthéiste ? Si l'on y tient ! Mais avec Plotin et Saint­-François, avec Taliesin et Novalis ! Je sais fort bien que la beauté — où s'unissent la transcendance et l'immanence — n'est pas omniprésente, que souvent la transcendance s'éloigne, et que l'immanence devient lourde en cet âge de fer. J'aime les arbres car ils nous enseignent la légèreté. Certes, les arbres ne volent pas mais ils accueillent les oiseaux, hôtes et protecteurs des libertés les plus fragiles. Il faut bien voir que les racines des arbres ne sont pas moins dans le Ciel que dans la terre. La plus haute branche est l'éloge ultime de la terrestre légèreté. Veulent-ils nous enseigner l'esprit ceux qui ne frissonnent point avec le souffle à la plus haute branche de leur désir ?

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  • GONZAGUE SAINT BRIS, C’ÉTAIT QUAND MÊME QUELQU’UN !

    Par Nicolas Gauthier
     
    C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher  (Repris de Boulevard Voltaire - 10.08 - cet excellent article pour saluer Saint-Bris).

    Gonzague Saint Bris n’est plus. Ce mardi, il s’est tué en voiture, contre un arbre. Triste journée, car moi, j’aimais bien Gonzague Saint Bris. C’était un aristocrate selon mon goût, c’est-à-dire passablement fêlé de la théière, accroché au château de ses ancêtres comme une bernique à son rocher. Mais aussi capable de consacrer un livre à Michael Jackson tout en traversant les Alpes à dos de mulet, en hommage à Léonard de Vinci et son périple jadis effectué pour répondre à la très royale invitation de François Ier.

    Écrivain, essayiste, homme de presse et de radio, éphémère chargé de mission au ministère de la Culture, de 1986 à 1988, Gonzague Saint Bris était aussi conseiller municipal de Loches (ville rendue fameuse par « Les Grosses Têtes » et la non moins célèbre madame Bellepaire), tant il était viscéralement attaché à sa Touraine natale. En 1978, il fonde le mouvement des Nouveaux Romantiques, petit souffle d’air frais en ces temps de technocratie giscardienne triomphante, avec des camarades à peu près aussi ébouriffés que lui, quoique à demi-chauves pour la plupart : Patrick Poivre d’Arvor, Francis Huster, Étienne Roda-Gil, Frédéric Mitterrand et Brice Lalonde.

    Tout cela ne mène évidemment pas à grand-chose, on s’en doute. Même pas à une intronisation par trois fois repoussée à l’Académie française. Dommage pour cet auteur prolifique – une cinquantaine d’ouvrages au compteur, ce n’est pas rien – qui, en 2016, reçoit le prix Hugues-Capet pour l’ensemble de son œuvre. Juste réparation pour cet homme qui, à l’instar d’un Max Gallo, ne fut jamais véritablement accepté par la communauté très fermée des historiens « officiels » ; un peu comme un Stéphane Bern ou un Lorànt Deutsch. Historiens du dimanche ? Pas du tout, ces personnes ayant le don de populariser l’Histoire de France à heures de grande écoute télévisuelle et de la vulgariser de la manière la plus intelligente qui soit.

    Certes, ils vont droit à l’essentiel, résument plutôt que de se perdre dans les détails, ne prétendent pas au savoir universel, mais commettent finalement moins d’erreurs factuelles que nombre de leurs confrères universitaires. C’est l’école Alain Decaux, qui fut à l’Histoire ce que Jean Vilar était au théâtre : tous pour la culture et, surtout, la culture pour tous ! Il était donc logique qu’un Stéphane Bern salue la mémoire de son illustre devancier en la matière.

    Non content d’être un passeur, Gonzague Saint Bris était, de plus, un homme exquis. Je me souviens de lui, au début des années 1990. Je travaillais à l’hebdomadaire Minute. Entre première guerre du Golfe et psychose collective de la profanation du cimetière de Carpentras, l’ambiance était, comment dire, des plus chaudes… Désireux de m’entretenir avec le bonhomme, je finis par dénicher son numéro de téléphone personnel. Et là, je cite de mémoire :

    – Allo, Gonzague Saint Bris ? Nicolas Gauthier, de Minute ! Ce serait pour une interview…
    – 
    Minute ? Quelle bonne surprise ! Inattendue, surtout…
    – Ça ne vous dérange pas de me parler ?
    – Et pourquoi donc, je vous prie ? Je lis souvent votre journal, fort bien écrit au demeurant…
    – C’est un compliment ?
    – Tout à fait, et dit sans malice…

    La vérité m’oblige à dire que je ne me souviens plus très bien de la suite, si ce n’est que nous avions parlé de la France et de son histoire. La première, il en était éperdument amoureux. La seconde, il déplorait que son enseignement, dispensé à des têtes de moins en moins blondes, devienne peu à peu passé en pertes et profits.

    À l’époque sévissait un autre chevelu à chemise blanche au col perpétuellement ouvert été comme hiver – Bernard-Henri Lévy. Qu’il me soit permis, en termes de look, de gentillesse et d’intelligence, de préférer celui-ci à celui-là.

    Sacré Gonzague !  

     
    Journaliste, écrivain
  • COMMANDEZ LE N°46 (ÉTÉ 2017) DE LA REVUE SYNTHÈSE NATIONALE

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    Au sommaire :

    ÉDITORIAL  Roland Hélie

    LE MOMENT MACRON Patrick Parment

    MERCI MACRON Pierre Vial

    LES CAPRICES DE MACRON  Jean-Claude Rolinat

    LA CHRONIQUE Philippe Randa

    DU CHANGEMENT AU FN ? Marc Rousset

    QUI PAYERA LA CASSE ? Pieter Kerstens

    DE L’INCOMPÉTENCE DE LA FONCTION PUBLIQUE Bernard Plouvier

    ASSEZ DE REPENTANCE Nicolas Gauthier

    IL Y A 60 ANS : L’INDÉPENDANCE AFRICAINE Pieter Kerstens

    LE CLIMAT, LES MOUCHES ET LES ABEILLES Aristide Leucate

    LE BASTION SOCIAL Arnaud Menu

    LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    HOMMAGE À ROLAND GAUCHER Jean-François Touzé 

    PIERRE LAVAL LE MAUDIT Bernard Plouvier

    LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol

    LES BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne

    LES ENFANTS DE MAASTRICHT Un entretien avec Charles-Henri d’Elloy

    LES VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE La chronique de Charles-Henri d’Elloy

    LES BOUQUINS DE SYNTHÈSE NATIONALE

    LA VIE DE L’ASSOCIATION SYNTHÈSE NATIONALE

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  • Immigration et manipulation en Allemagne

    Giampaolo-Rossi.jpgpar Giampaolo Rossi

    Journaliste italien ayant étudié l’archéologie, se défini lui-même ainsi : « D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. À leurs risques et périls.»

    LES MENTEURS DES REDACTIONS

    Ceci est un acte d’accusation sans précédent contre les médias allemands : en pleine urgence migratoire, entre 2015 et 2016, les principaux journaux d’Allemagne ont délibérément falsifié la réalité en publiant une information unilatérale et dénuée de toute critique du phénomène, embrassant exclusivement le point de vue d’Angela Merkel, de son gouvernement et des élites politiques et économiques qui voulaient imposer à l’opinion publique la « culture de l’accueil sans discrimination ». L’accusation ne vient pas des habituels polémistes réactionnaires, des blogueurs sans vergogne ou des xénophobes qui servent de prétexte pour empêcher toute opposition au délire du multiculturalisme idéologique. Non. L’accusation vient cette fois  d’une recherche de la Fondation Otto Brenner réalisée par un pool de chercheurs de l’Université de Leipzig et de la Hamburg Media School, recherche coordonnée par le prof. Michael Haller ; son titre : « La crise des réfugiés dans les médias ». C’est l’étude la plus complète et la plus élaborée méthodologiquement sur ce thème.

    UNE ÉTUDE RAVAGEUSE

    Cette recherche a analysé plus de 30.000 articles des principaux journaux nationaux et régionaux allemands entre 2015 et 2016. Plus de 200 pages de chiffres et de statistiques détaillés sur les articles des journaux Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt, Bild, ainsi que sur des publications en ligne et 85 journaux régionaux.

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