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  • ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…

    L’histoire s’est passée en Suède.

    Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
    Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.

    Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.

    Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.

    Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan ! 

    Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.

    On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…

    La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…

    Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/

  • Un grand mérite de l’épopée Trump est d'avoir dévalué la « valeur média »

    6a00d83451619c69e201b7c948fe58970b-250wi.jpgVivien Hoch, docteur en philosophie et fondateur du Comité Trump France, dresse le bilan philosophique de la première année de la présidence de Donald Trump :

    "Il manque une description philosophique du tableau Donald Trump. Donald Trump mérite d’être pensé à sa juste valeur. Son comportement public, sa manière d’inscrire son action dans l’efficacité et de nouer des deals, demandent une analyse rigoureuse qui le prenne au mobilisent des concepts et transforment l’art de faire de la politique. Donald Trump n’est pas un politique. Il pratique la grande politique, qui inscrit ses actions dans le temps long et qui provoque une métamorphose de la société.

    Chez Trump, la présidence des Etats-Unis vient couronner un tempérament, une stratégie et, comme le disent les philosophes, une vision du monde qui est gagnante.

    Cet vision du monde, c’est celle du Businessman. Trump mène sa vie, sa famille, son entreprise, sa campagne et son pays comme un homme d’affaires : «Tout est de l’ordre des affaires, que vous le vouliez ou nom». Cette affirmation n’est absolument pas anodine : l’homme contemporain est un être-pour-les-affaires. Cela veut dire que l’homme se définit comme celui pour qui tout est à faire, tout est à construire, tout se négocie dans un seul but : son propre intérêt– en l’occurrence celui du peuple américain. Il ne s’agit pas de s’enfermer dans le monde des affaires, mais faire du monde une affaire.

    Faire des affaires veut également dire : prendre des risques, s’aventurer dans des possibles inattendus, et désamorcer en permanence les certitudes. Ce sont les qualités qui ont propulsé l’Occident en maître du monde. Donald Trump condense dans sa personne et dans son être ce qui a fait la réussite de l’homme occidental. [...]

    Un grand mérite de l’épopée Trump, c’est qu’il a, à lui seul, complètement dévalué la « valeur média » auprès de l’opinion mondiale. Il rappelle que tous les discours sont idéologiquement situés, et que le discours des médias dominants est univoque. Il pousse les médias à avouer clairement leurs présupposés et leur situation d’énonciation, c’est-à-dire le « point de vue » duquel ils parlent, et montre que ce point de vue est souvent profondément le même. Sous couvert d’être «ouverte aux tendances», la dialectique des médias revient en fait toujours au même : mêmes critiques, mêmes conclusions, mêmes idées.

    Donald Trump dénonce cette rigidité hypocrite des médias. Il réintroduit de l’herméneutique là où il n’y avait que de la répétition inlassable du même. Il montre que les médias sont enfermés dans un abject mimétisme. Il réintroduit de l’altérité là où il n’y avait que consanguinité d’intellects. Par là, il sauve la raison d’être du journalisme : en donnant en permanence à commenter des faits, des paroles et des actes qui sont totalement étrangers et répulsifs aux médias, il les réveille de leur sommeil dogmatique. Il permet à la démocratie de revivre, et de réaliser à nouveau son essence : assumer le conflit."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une pensée de la nostalgie ?

    Michel Serres, le philosophe bien connu, s’insurge contre la mentalité décliniste et notamment contre le slogan : « C’était mieux avant. » Il vient d’écrire un essai sur le sujet et s’en est expliqué dans une discussion courtoise avec Alain Finkielkraut à son émission Répliques sur France Culture. Il y a désaccord entre les deux académiciens, le second réclamant le droit de se plaindre de certains désagréments de l’époque. Je ne me permettrais pas d’arbitrer un tel débat qui, ne connaîtra vraiment jamais de fin. Le président Macron s’est proclamé progressiste, tandis qu’un courant d’opinion conservateur semble s’affirmer chez nous, comme rarement auparavant. Est-il assuré que le clivage progressiste-conservateur soit désormais le plus pertinent pour caractériser les enjeux intellectuels, politiques, moraux de notre temps ? Lorsqu’on veut imposer ce clivage jusque dans l’Église pour classer les évêques, voire même le Pape, d’un côté ou de l’autre, je ne suis pas rassuré.

    Et puis n’y a-t-il pas nécessaire complémentarité entre le progrès et la conservation, l’innovation et la tradition ? Ce qui compte c’est le bonheur commun, la chance donnée à l’humanité de se perpétuer en profitant au moins des progrès partiels que lui ménagent ses recherches et ses découvertes. Mais il y a quand même un problème philosophique grave qui s’interpose dans nos tergiversations. C’est celui de notre humanité même. Le progrès va-t-il lui permettre d’être fidèle à elle-même, ou l’entraîner dans des mutations qui produiront une transgression de sa nature essentielle ?

    Là-dessus je suivrais volontiers l’excellent Sylvain Tesson, qui ne se veut pas du tout progressiste et se réclame même d’une sorte de maxime d’Albert Camus : « La pensée d’un homme est avant tout sa nostalgie. » Qu’on le suive ou pas sur la nostalgie, cela n’empêche pas qu’il pose la bonne question à propos de l’emprise techniciste qui prétend aboutir à une humanité augmentée, celle du transhumanisme. « Tout juste sommes-nous encore autorisés à trouver que la conversation entre l’homme et la machine est moins intéressante que le génie pur. Après tout, l’homme augmenté existe déjà : Shakespeare, Raphaël, Stravinski. » Et d’ajouter : « Je crois que je suis technophobe et j’en profite tant que ce n’est pas encore un délit d’opinion ! Cela viendra » (Figaro 22 janvier). Eh oui, cher Sylvain, il pourrait être hérétique d’affirmer que ce qu’on appelle progrès n’est pas forcément désirable.  

    Gérard Leclerc

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 23 janvier 2018.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • TRIBUNAL D’EVRY : POLICIERS ET AGENTS DE SÉCURITÉ PILLAIENT LES SACS

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    Paris Vox cliquez ici  Le poste de sécurité à l’accueil du tribunal d’Evry s’est révélé être en réalité un haut lieu de vol. En effet, des policiers et des agents de sécurité y avaient mis en place un système permettant de dérober des objets dans les sacs passés par le scanner.

    A la suite d’une enquête de six mois, cinq personnes ont été interpellées, trois agents de sécurité d’une société privée (S3M) ainsi que deux policiers adjoints de sécurité. Ils ont tous été suspendu de leurs fonctions.

    Les vols, plusieurs dizaines, auraient débuté en septembre 2017 et duré plusieurs mois. Les complices dérobaient essentiellement l’argent liquide présent dans les sacs.

    Un scandale qui secoue tout le tribunal, choqué d’avoir été le théâtre de tels agissements. L’image de la police se trouve elle aussi écornée, au grand dam de Jean-François Papineau, le chef de la police dans le département, attaché à « l’exemplarité » de la fonction.

    Ni la société impliquée ni la présidence du tribunal qui l’a choisie comme prestataire ne se sont exprimées sur cette affaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • CNEWS - Ludovine de La Rochère débat sur la GPA et la bioéthique - 18/01/2018

  • Eric Zemmour met le feu sur CNews

    Débat d'hier matin, suite à sa victoire judiciaire en cassation :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Mise en application depuis le 1er janvier de la loi liberticide sur les réseaux sociaux NetzDG

    ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le président de l’association allemande des journalistes ainsi que le président de la Fédération Européenne des Journalistes, sont unanimes et condamnent la loi en ces termes : « nos craintes déjà présentes pendant le processus législatif ont été confirmées. La loi NetzDG viole la fondamentale liberté d’expression. »
    Une affaire a renforcé le malaise

    L’affaire dite « Titanic » a renforcé le malaise. Rien à voir avec le naufrage du fameux navire. Titanic est un magazine satirique allemand.

    Voici l’histoire : la police de Cologne a twitté en arabe au moment des fêtes de fin d’année ses bons vœux et quelques recommandations sur la manière de se comporter.

    Une parlementaire de la droite conservatrice Beatrix von Storch a alors répondu au tweet de la police, je cite « Pourquoi un site officiel de la police tweete-t-il en arabe ? Pensez vous que ce soit pour apaiser les hordes barbares et violeuses des hommes musulmans ». Son compte fût supprimé sans aucune forme de procès par Twitter.

    Malicieux, le magazine Titanic reprit sous forme humoristique et parodique un faux compte de la parlementaire en écrivant sous son nom cette phrase badine : « Lors du dernier tournoi de fléchettes les hommes blancs boivent et poussent la boule, une de nos dernières traditions allemandes ? ». Twitter non seulement a supprimé ce tweet mais aussi le compte du journal, compte rétabli deux jours plus tard après de fortes pressions médiatiques.

    De lourdes amendes sont prévues par la loi

    La loi incite par la contrainte financière les sociétés qui ne censureraient pas tout ou partie des écrits, post ou vidéos diffusés numériquement et enfreignant 24 articles du code criminel allemand tels « la diffamation de l’État et de ses symboles », « la diffamation des religions » et « l’apologie de la violence ». Une très large part d’incertitude et de nombreuses possibilités d’interprétation donc.

    Ainsi, entre cette censure déjà à l’œuvre et celle attendue en France la liberté d’expression a des soucis à se faire.

    https://fr.novopress.info/

  • Éléments : Demain, tous crétins ?

    1584880532.jpgEléments

    n°170

    en kiosque : 6,90 €

    cliquez ici

    Depuis l’affaire du Barbe-Bleue de Hollywood, avec le délicat hashtag « Balance ton porc ! », on assiste au grand retour des précieuses ridicules et des dames quakeresses, des Trissotines et des Torquemadettes, des mères Fouettard.e.s qui traquent les « dérapages » et les comportements « inappropriés ».

    La police de la pensée est dépassée, on en est à la police des arrière-pensées. Le soupçon vaut accusation, l’accusation vaut condamnation.

    On ne distingue plus la véritable agression sexuelle de la blague de mauvais goût ou de la drague lourdingue. Montée de la subjectivité (le « ressenti ») : si le harcèlement commence quand on se sent harcelé, n’importe quoi peut devenir du harcèlement. Le viol et le chantage sexuel se retrouvent ainsi banalisés.

    Multiplier les amendes morales, purger la société des impuretés du désir, instaurer la « transparence » de la vie intime : la censure au nom de la morale, cela n’a rien de bien nouveau. On sait depuis Robespierre que la Terreur est une « émanation de la vertu ». Cinquante ans après Mai 68, il n’est plus question de « jouir sans entraves », mais au contraire d’entraver le désir, de rendre les relations entre les hommes et les femmes insupportables, de dégoûter chaque sexe de l’autre.

    Mais il s’agit aussi d’abolir la nature humaine. L’homme est carnivore, donc prédateur, donc carnassier, donc agresseur, donc violeur en puissance. L’idéal serait qu’il devienne herbivore. On assiste à la condamnation des hommes, non seulement parce qu’ils sont des hommes, mais parce qu’ils s’obstinent, en manifestant leur attirance pour l’autre sexe, à témoigner du fait que l’espèce humaine est sexuée et qu’il y a en elle du masculin et du féminin. Ce sont ces notions de masculin et de féminin qu’il faut déconstruire, dissoudre, liquéfier au nom de l’hybridation qui aboutira, simultanément, au métissage universel et à l’androgynat généralisé.

    Le seul moyen pour les hommes de ne pas être dénoncés comme des « porcs » serait donc d’accepter la suppression de la différence sexuelle, tout comme le seul moyen d’échapper au racisme serait d’accepter la suppression des différences ethniques. L’homme de demain ne sera d’aucun peuple ni d’aucun sexe.

    Cette tendance à la neutralisation, qui va de pair avec l’allergie à la diversité, on la retrouve désormais partout : il s’agit de gommer les différences, de lisser les aspérités, d’instaurer partout la grisaille uniforme, de rendre les êtres et les choses interchangeables.

    Il y a au fond trois féminismes : celui qui défend les femmes et rappelle que les valeurs féminines ne sont pas moins respectables que les valeurs masculines – c’est le seul qui soit à la fois légitime et nécessaire –, celui qui veut mettre les hommes plus bas que terre parce que la Terre doit être « délivrée du mâle », et celui qui décrète que tout compte fait il n’y a ni hommes ni femmes : le sexe n’est rien, le « genre » est tout. Le mélange des trois aboutit à des contradictions. De même qu’il est difficile de défendre à la fois la parité et la « non-mixité », il est assez contradictoire de dire que les hommes sont des « porcs », que les femmes sont des « hommes comme les autres » et que le masculin n’est qu’une illusion.

    Le 9 décembre 2017, autour de l’église de la Madeleine, un million de Français en larmes assistaient aux funérailles d’un chanteur populaire qui se faisait appeler Johnny. Un mâle blanc hétérosexuel de plus de cinquante ans qui chantait : « Allumez le feu ! » Reste à trouver les allumettes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/