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  • Suède : militant pour l’accueil des migrants, elle se fait violer par 2 d’entre eux

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    Rappelons que la Suède – l’un des pays les plus ouverts à l’immigration – a désormais le 2e plus haut nombre de viols par an (derrière l’Afrique du Sud libérée de l’apartheid).

    D’après les statistiques officielles, une Suédoise sur 4 sera violée.

    Une Suédoise « d’une quarantaine d’années a été brutalement violée par un adolescent afghan, tandis qu’un autre migrant la molestait », a-t-il été expliqué dans un tribunal du pays.

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  • VIVE JEANNE, VIVE LA FRANCE ! (ET EN CHANTANT, S’IL VOUS PLAÎT.)

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    « « Sonnez fanfares triomphales, Tonnez canon, battez tambours ! Et vous, cloches des cathédrales, ébranlez-vous comme au grand jour ! En ce moment la France toute entière est debout avec ses enfants, pour saluer comme nous la bannière de la pucelle d’Orléans ! » »

    Tel est le premier couplet du cantique À l’Etendard qui devrait résonner ce soir à Orléans, pour honorer la Pucelle. Après des siècles, ou presque, d’oubli, elle fut quasi-simultanément (en 1920) canonisée par l’Église et honorée par la République à travers une fête nationale fixée le 8 mai. Date, qui hasard de l’Histoire, célèbre aujourd’hui la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    Quiconque, à 15 ou 20 ans, a entendu résonner cet hymne dans une cathédrale sans frissonner, est un sourd ou un menteur. Et celui qui n’était pas là ce jour-là a raté sa vie. Cela sans vouloir faire mon Jacques Séguéla.

    L’historien républicain Jules Michelet appelait Jeanne d’Arc, de façon toute oxymorique, « la Sainte laïque ». Elle est, en effet, à la fois symbole de fierté et de réconciliation. Et Emmanuel Macron lui-même – adepte d’un « en même temps », interprétable, au choix, comme ambivalent ou unitaire – l’a compris, qui l’a citée lors de l’hommage aux Invalides à Arnaud Beltrame, évoquant « [l’incarnation] de l’esprit français de résistance ».

    La France, la résistance… mais aussi l’espérance. Les unes n’allant pas sans l’autre. Soyons clairs : à quoi bon se fatiguer, ma brave dame, si tout est plié ? Autant aller tout de suite en Belgique nous faire euthanasier. Non mais quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? De vous à moi, d’ailleurs, est-il bien raisonnable d’en faire encore à présent ? Tout est écrit, c’est inéluctable, la France est finie, on vous dit : c’est la marche funèbre des défaitistes, le requiem des toutestfoutuistes, qui hantent parfois, il faut bien le dire, jusqu’aux colonnes de Boulevard Voltaire : « Les mauvais succombent à la tentation du mal ; mais les bons succombent à une tentation infiniment pire : à la tentation de croire qu’ils sont abandonnés », fait dire Charles Péguy à Jeanne d’Arc, figure emblématique s’il en est de « Cette petite espérance qui n’a l’air de rien du tout. Cette petite fille espérance. Immortelle. »
    Parce qu’évidemment, nous qui connaissons la fin, ne pouvons imaginer la grande pitié d’alors au Royaume de France, bref, à quel point c’était mal barré, pour le dire façon Renaud plutôt qu’archange Saint Michel. Et l’humble outrecuidance, qu’il fallait à cette fillette pour prétendre sauver la France. Avec en sus un « gentil dauphin » pusillanime et tristounet, plus boulet que soutien.

    Mais l’espérance n’est pas l’insouciance, et peut même rimer avec souffrance. Sa mort sur le bûcher montre que les procès en sorcellerie, les condamnations d’aujourd’hui peuvent être les canonisations de demain. Et vice versa. Pour se consoler, c’est toujours ça.

    Notre époque a aussi ses sacrifiés, et sans grandiloquence, on a le droit de supposer que leur sang versé saura aussi féconder le sol français : parmi eux, Arnaud Beltrame, on l’a dit, mais aussi, le Père Hamel, ou encore, victimes non pas de l’islamisme mais de notre laxisme, deux fillettes placées par leurs parents sous le patronage de la petite bergère de Domrémy : Jeanne-Marie Kegelin, et Anne-Lorraine Schmitt.

    « Étendard de la délivrance,
    À la victoire il mena nos aïeux
    À leurs enfants il prêche l’espérance
    Fils de ces preux, chantons comme eux Chantons comme eux !
    Vive Jeaaaaanne, vive la Fran-an-ce ! »

    Voilà le refrain.

    Les « fils de ces preux » – frileux, grincheux ou même paresseux – manquent parfois cruellement d’entrain. Puisse ce 8 mai nous donner l’envie de nous bouger le train.

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • Ce que nous sommes Aux sources de l'identité européenne

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    Ex: http://archaion.hautetfort.com

    Tonique, un vrai cordial !, le manifeste que publie l’Institut Iliade sous la houlette de l’historien Philippe Conrad,  ancien directeur de séminaire au Collège interarmées de défense et patron de la défunte Nouvelle Revue d’Histoire. Son exaltation de la Chrétienté médiévale, un tantinet indulgente sur le mode de conversion de notre continent, touche d’autant plus que la France vient de perdre un officier qui incarna la figure du chevalier – je veux parler du lieutenant-colonel Beltrame. L’ombre du regretté Dominique Venner plane aussi, et nul ne s’en étonnera, sur tout le recueil, tant les douze auteurs communient dans cet esprit de rébellion aristocratique auquel s'identifia si bien l’auteur du Coeur rebelle.

    L’objectif, atteint, était de synthétiser en une langue aussi claire qu’accessible les fondements d’une manière d’être, celle des Bons Européens : leur mémoire ancestrale, le regard qu’ils portent depuis les origines sur le monde et, last but not least (car il ne s’agit nullement d’un chant funèbre, encore moins d’un exercice d’antiquaire), les combats à mener, aujourd’hui et demain, contre les utopies niveleuses et les discours dissolvants, contre cette fatigue entretenue par les forces du néant. De la préhistoire indo-européenne à la musique contemporaine, des Kourganes à Arvo Pärt, de la Grèce d’Ulysse à la Rome d’Auguste (mais, curieusement, la Matière de Bretagne semble avoir été omise), les contributeurs mettent en évidence ce sens de l’excellence, ce goût de la mesure et ce refus de l’hubris, ce souci de la communauté civique (la polis, encore un mot grec), cette préférence pour les continuités créatrices (et non pour les ruptures stérilisantes) qui caractérisent le Finistère de l’Asie – Europa nostra.

    Dans une lumineuse formule,  le musicologue Jean-François Gautier évoque la vérité, fondement de notre vision cosmique : « non un contenu doctrinal descendu de cieux inconnaissables, mais l’expression d’une subtilité d’observation dont le sage sait tirer les bonnes conclusions ». Plus loin, Lionel Rondouin, ancien officier et normalien,  définit à la perfection le type gibelin par opposition au guelfe, le tenant, souvent puritain, de dogmes universels (et du droit d’ingérence quand il s’agit de les imposer).

    Les Douze (dont un Belge qui se pique d’hellénisme) tentent chacun d’illustrer la quintessence de la dissidence antimoderne. Lire et faire lire ce bréviaire, s’en inspirer dans notre résistance quotidienne à l’ahurissement, l’utiliser comme source (pérenne) de purification mentale, voilà quelques pistes offertes aux amazones et aux hoplites de notre bel aujourd’hui.  

    Christopher Gérard

    Philippe Conrad dir., Ce que nous sommes. Aux Sources de l’identité européenne,Editions Pierre-Guillaume de Roux, 198 pages, 16€

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Déjà 7 blacks bocs ayant participé au saccage du 1er mai remis en liberté ! Bravo la justice !

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    1er Mai : 7 suspects d’extrême gauche mis en examen, mais remis en liberté

    Intox : l’AFP et le service public veulent faire croire à la sanction des anti-républicains
    Les groupes d’extrême gauche ne sont pas dissous

    « Sept personnes - sur 1.200 – soupçonnées d’avoir commis des dégradations après la manifestation du 1er-Mai à Paris ont été mises en examen et remises en liberté sous contrôle judiciaire, contre l’avis du Parquet qui avait demandé leur détention provisoire, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

    La justice se rend coupable d’une inexactitude visant à masquer l’intention révolutionnaire des « suspects ». « Présentés à un juge d’instruction dans la soirée de vendredi, rapporte l’AFP, les suspects ont été mis en examen pour « dégradations en réunion » et « participation à un groupement formé en vue de commettre des violences aux personnes ou des atteintes aux biens« , a détaillé la source judiciaire. En vérité, le groupement est pré-existant aux faits de violence.

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  • Mai 68 : La jeunesse en révolte [2]

    Crédits : Diana Davies 

    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.

    La jeunesse française à l’heure américaine 

    La Seconde Guerre mondiale eut également pour conséquence majeure la fin de l’hégémonie européenne sur le monde, qui fut actée par l’impuissance franco-britannique à mener à bien l’opération de Suez fin 1956-début 1957 contre Nasser et son projet de nationalisation du canal qui relie la mer Méditerranée à la mer Rouge.

    Le Royaume-Uni, « dès 1954, sous la pression des États-Unis soucieux de ménager le colonel Nasser, nationaliste arabe et fraîchement arrivé au pouvoir, […] avait dû accepter de retirer, sous les deux ans, sa garnison. Et lorsque, pour répliquer à la nationalisation par celui-ci du canal de Suez, elle se lança avec la France (motivée, elle, par son soutien à Israël et son désir d’asphyxier la rébellion algérienne en la coupant de son grand allié égyptien), à l’automne 1956, dans une opération militaire pour mettre à la raison celui en qui Guy Mollet voyait un nouvel Hitler, [la Grande-Bretagne] fut, comme la France, priée de se retirer et d’accepter à son tour le nouvel ordre du monde. »[1] 

    En 1968 l’Europe est coupée en deux et sa partie occidentale est dominée par les États-Unis. Cette domination est d’ordre politique, économique et culturelle. « Le repli de l’Europe de l’Ouest sur son pré carré continental, avec la fin des empires, l’émancipation du tiers-monde, les reculs en Méditerranée, va de pair avec la confirmation de sa mise sous tutelle politico-militaire par les Etats-Unis. L’influence de ce pays, seul garant crédible de sa sécurité, commence à dépasser l’horizon géopolitique pour s’étendre aux sociétés avec l’adoption des modes venues d’outre-Atlantique. »[2]

    Le fondement de cette influence nouvelle est militaire. L’organisation du Traité de l’Atlantique-Nord (OTAN) est instituée afin d’assurer la sécurité des pays d’Europe de l’Ouest – la République fédérale d’Allemagne en particulier – face au « péril rouge » que représente l’expansionnisme soviétique. Son existence « se manifestait par la présence d’imposants contingents de soldats avec leur matériel, une aide apportée au réarmement des armées nationales des pays membres et l’installation des organes de commandement, dont la SHAPE (Supreme Headquarters of the Allied Power in Europe) confié à un officier américain. Pour renforcer le dispositif, Washington avait obtenu le réarmement de l’Allemagne de l’Ouest, base avancée de la dissuasion face au pacte de Varsovie. »[3]

    Les libérateurs de l’occupant nazi s’étaient transformés en gardiens de la paix prêts à intervenir en cas de déferlement de chars d’assaut venus de Moscou. Ceci n’allait pas sans susciter quelque opposition : des voix, dont surtout celle du Parti communiste français (PCF), s’élevèrent contre ce qu’ils qualifiaient de « néo-impérialisme ». D’où la réalisation d’un court-métrage par les communistes qui promouvait la consommation du vin français face au succès du Coca-cola.

    Cet impérialisme ayant aussi une dimension culturelle, les coutumes et les traditions françaises se voyaient être concurrencées par le modèle américain. Si les plus âgés étaient peu enclins à céder aux sirènes de l’American way of life, il y avait parmi les jeunes un engouement incontestable pour cette modernité venue d’outre-Atlantique. La guerre froide culturelle battait son plein et dès les années 1960 les États-Unis commençaient à la gagner. Prise en étau, la France du général de Gaulle observait de nouvelles pratiques émerger, de nouvelles modes se répandre, un nouvel esprit se diffuser.

    Des inventions américaines produisaient des usages nouveaux : l’ancienne génération avait vécu à l’heure allemande, la suivante, dont l’œil se tournait vers le monde entier, vers de nouveaux horizons (Chine, Cuba, Vietnam), vivait en définitive à l’heure américaine.

    La nouvelle donne géopolitique explique cette américanisation de la jeunesse. Le génie des Américains fut de fournir un modèle, et le paradigme de contestation de ce modèle. Ils parvinrent à réduire l’antiaméricanisme à une forme américaine de protestation. À la culture de l’American way of life s’ajoutait la contre-culture de l’American way of life. « Initié par le modèle hippie, introduit en France par le canal principal de l’American Center, le tropisme vers l’An 01 aura tôt fait de trouver sa forme française, qu’il s’agisse de références nationales (Fourier) ou naturalisées (Kerouac le ʽʽBretonʼʼ), d’organisations nouvelles (écologistes et/ou régionalistes) et de lieux spécifiques (un magazine comme Actuel, un combat comme le Larzac). »[4] 

    Les jeunes Français, en Mai 68, étaient persuadés qu’en se révoltant ils s’opposaient aux États-Unis. En réalité plus ils s’opposaient, plus ils s’américanisaient. Plus ils s’engageaient dans la révolte, plus paradoxalement ils s’enfonçaient dans la soumission. Ils ne faisaient au fond que reproduire la geste des étudiants du campus de Berkeley, en Californie, d’où partit la « contre-culture », ce mouvement de contestation qui commença dans les « sixties ». Comme l’a si bien remarqué Régis Debray, « il fallut en 1968 aux branchés parisiens se rêver Chinois pour s’ouvrir à Manhattan »[5].

    L’aide consentie par lʼOncle Sam à travers le plan Marshall n’avait pas été vaine. Les piétons de Mai furent guidés par des gens qui se présentaient à eux comme communistes et révolutionnaires, ils ne savaient pas qu’en fait ils étaient « les hommes d’affaires du génie de la bourgeoisie qui en avait besoin. […] Ils accomplirent donc le contraire de ce qu’ils croyaient réaliser. L’histoire n’est jamais si rusée que lorsqu’elle fait affaires avec des naïfs. »[6] À dire vrai, en Mai 68 la jeunesse fut autant naïve que révoltée. (Dossier à suivre)    

    [1]  Jean-Michel Gaillard, Anthony Rowley, Histoire du continent européen (1850-2000), Paris, Seuil, 2001, p. 421-422.

    [2]  Ibid., p. 419.

    [3]  Ibid., p. 422.

    [4]  Pascal Ory, « Une ʽʽrévolution culturelle ?ʼʼ, in Dreyfus-Armand et alii, Les Anées 68. Le temps de la contestation, Bruxelles, Éditions Complexe, 2008, p. 222.

    [5]  Régis Debray, Mai 68 : une contre-révolution réussie, Paris, Mille et une nuits, 2008, p. 12.

    [6]  Ibid. p. 26.

    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    Dossier spécial Mai 68

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La politique macronienne veut des "cigales consommatrices" mobiles et individualistes

    Lu ici :

    6a00d83451619c69e20224e0380cd8200d-800wi.png"Le début d’année est plus que difficile pour le marché de la maison individuelle. De janvier à mars, les ventes ont reculé de 17% par rapport au premier trimestre 2017. En forme un an plus tôt, le marché de la maison individuelle a souffert début 2018 en raison de mauvaises conditions météo mais aussi selon les professionnels, d’une réduction des aides publiques à l’accession à la propriété. De janvier à mars, les ventes ont reculé de 17% par rapport au premier trimestre 2017, selon l’indicateur Markemétron publié par Caron Marketing et les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du Bâtiment (LCA-FFB).

    Pour Patrick Vandromme, président de LCA-FFB, une base de comparaison défavorable – les ventes étaient élevées fin 2016 et début 2017 – et les conditions climatiques « désastreuses de début d’année (…) ne peuvent à elles seules expliquer ces mauvais chiffres ». Dans un communiqué, il y voit l’ébauche d’une « tendance lourde », les ménages candidats à l’accession à la propriété, « surtout les plus modestes », ayant été « touchés de plein fouet » par la suppression « totale et brutale » de l’APL accession et la réduction du Prêt à taux zéro (PTZ) en zones B2 et C. Ces zones rurales et villes moyennes sont les « terres d’élection » de la maison individuelle neuve, rappelle fréquemment LCA-FFB.

    Après trois années de croissance, « tous les territoires sont concernés » par le recul des ventes au premier trimestre, « supérieures à 20% » en Auvergne-Rhône-Alpes, Centre Val de Loire, dans les Hauts-de-France, en Normandie, en Occitanie et dans les Pays de la Loire. En mars, cinquième mois de baisse d’affilée, la commercialisation des maisons individuelles neuves en secteur diffus (hors lotissement) est même en recul de 18,7% comparé au même mois un an plus tôt. Sur les 12 mois écoulés, le repli s’établit à 6,4%. « Ce constat est d’autant plus inquiétant que les conditions économiques globales sont plutôt favorables » estime Patrick Vandromme, pour qui ce recul « confirme la forte sensibilité aux aides publiques et à leur bon calibrage », des ménages souhaitant accéder à la propriété.

    D’ordinaire favorable aux décisions d’achat de maisons individuelles, le deuxième trimestre « constituera un Test décisif » estime LCA-FFB, qui craint de voir le secteur connaître une « récession durable ». L’organisation, qui table déjà sur un recul des ventes de 8 à 10% cette année, rappelle que « la reconfiguration défavorable du prêt à taux zéro » avait provoqué un « effondrement du marché de 2011 à 2014 », amenant « le gouvernement suivant à réagir ».

    Nous le savons tous, la propriété immobilière et en particulier la propriété d’une maison individuelle, a tendance a « stabiliser » les Français. Or, nous le savons aussi, l’Etat macronien ne veut pas que vous soyez stables. Au contraire, vous devez être « mobiles », vous ne devez avoir aucun « fil à la patte » susceptible de vous empêcher de vous déplacer au gré des besoins économiques. D’où les différentes mesures fiscales qui tendent vers l’individualisation (vous serez encore moins tentés de vous marier, il n’y aura bientôt plus aucun avantage fiscal), d’où les différentes mesures qui rendent plus difficile l’accession à la propriété. Si vous êtes locataires de tout (votre logement, votre véhicule, vos meubles…) vous serez plus « réactifs », plus « agiles », plus « souples », bref, vous vous adapterez mieux à l’évolution économique et sociale que le pouvoir politique vous prépare. C’est tout cela dont nous parle, mine de rien, ce chiffre à la baisse du marché de la maison individuelle…"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • France Inter s’intéresse à la « ré-émigration » des Sénégalais

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    On les appelle les « repats » pour « repatriés », par opposition aux « expats » ou « expatriés ». Un phénomène auquel s’est intéressé France Inter, dans un reportage au Sénégal. Le média n’hésite pas à utiliser le verbe « ré-émigrer » pour décrire ces immigrés partis vers l’Europe, puis retournés en Afrique, et plus spécifiquement au Sénégal, au nom du patriotisme.

    Il s’agit essentiellement de personnes diplômées et qualifiées, désireuses de retrouver leur famille. Ces « repats » décrivent leur désillusion devant la conjecture économique française difficile, ainsi que le sursaut identitaire qu’ils ont observé chez les Français, peu accueillants envers les nouveaux arrivants.

    A noter que ces retours sont soutenus financièrement par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration. Ainsi, à défaut d’avoir été une chance pour la France, ces immigrés ont choisi d’être une chance pour leur pays d’origine.

    https://fr.novopress.info/

  • Un numéro hors-série de Présent consacré au cinéma vient de sortir

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