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  • Affaire Griveaux – Leçons sur un scandale, par Maxime Tandonnet

    Benjamin Griveaux

    Après l’affaire Benjamin Griveaux et son retrait rapide de la course à la mairie de Paris suite à la diffusion d’images privées, la question se pose de ce que doit endurer un homme politique pour maintenir sa stature, jusqu’où cela peut-il aller ?

    Aujourd’hui, à l’ère de la transparence, du téléphone portable qui permet d’enregistrer et de filmer en cachette et des réseaux sociaux, nul n’est à l’abri de ce type d’attaque. Voyez M. Rugy l’été dernier, lynché pour avoir servi du homard à ses invités, aujourd’hui M. Griveaux. Rien n’est plus fascinant que le fossé qui s’exprime entre la classe politique et la foule des commentateurs. La « France d’en haut » politique et médiatique, s’indigne de l’acte de délation. Mais la grande masse des commentateurs anonymes et la foule des réseaux sociaux accable M. Griveaux avec une colère qui est révélatrice du climat actuel. On assiste à un défoulement envers un personnage ressenti comme incarnant l’arrogance et le mépris. A travers ce phénomène s’exprime sans doute le rejet du système En Marche. Cette rage est une réponse au pouvoir jupitérien considéré comme déconnecté, intouchable, irresponsable, à l’abri de toute sanction pendant cinq ans. Bien sûr M. Griveaux a été d’une rare désinvolture et imprudence en se filmant ainsi. Cependant, à moins d’être un saint, nul n’échappe désormais au risque de voir une parole ou un acte intime lâché en pâture à la foule. Toute personne qui fait le choix d’une carrière publique doit savoir qu’elle s’expose à la haine et au déshonneur. Ce sont désormais les risques du métier.

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  • Sortie le 1er mars du n°53 (printemps 2020) de la revue Synthèse nationale

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  • L’Italie ouvre à nouveau grand ses portes à l’immigration-invasion

    L’Italie ouvre à nouveau grand ses portes à l’immigration-invasion

    Les Italiens vont très rapidement regretter Matteo Salvini, qui reviendra inévitablement au pouvoir :

    La nouvelle ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese, a présenté lundi 17 février ses propositions de modification des “décrets sécurité” sur l’accueil des migrants (…)

    Concrètement, les bateaux des ONG ne pourront plus être bloqués à quaiLes amendes potentielles pour sauvetage de migrants vont être considérablement réduites. Les réfugiés vont bénéficier d’une meilleure protection sociale, avec des moyens accrus dans les préfectures. Les dossiers des personnes de santé fragile ou des parents de mineurs seront examinés prioritairement. Un simple permis de séjour permettra d’accéder aux services sociaux ou d’ouvrir un compte en banqueLa durée maximale du processus administratif pour obtenir la citoyenneté italienne sera réduite de quatre ans à deux ans.

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-ouvre-a-nouveau-grande-ses-portes-a-limmigration-invasion/

  • La culture du viol , c’est du cinéma (Cette année là n°15)

  • [VIDÉO] « Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! » – Nicolas Bay (RN)

    « On est dans des zones de non-droit. […] Les lois de la République ne s’appliquent pas. […] Plus de 100 mosquées radicales ont été recensées et seulement 7 ont été fermées. Qu’ont-ils fait des 93 autres ?! »
    Nicolas Bay (député européen RN) sur CNews

  • Prière de ne pas penser : À l’école de l’info jetable

    La plupart des journalistes sortent tous des mêmes écoles, où on leur a appris à traduire le Dieu actualité au goût du jour, dans des articles consommables à la date de péremption immédiate. Aussitôt lus, aussitôt oubliés. Comme dans Mission impossible : ils s’autodétruisent dans les cinq secondes.

    Quand on se promène dans le quartier du Louvre, il y a deux monuments à visiter, le musée mondialement connu, et le Centre de formation des journalistes (CFJ), saint des saints de la profession. Le QJ est un peu au journalisme œ qu'Auxerre est au football, une pépinière de talents. Ses grands hommes sont EPDA, Pierre Lescure, Franz-Olivier Giesbert, Laurent Joffrin, David Pujadas. Créé en 1946, il fonctionne comme une vieille institution prestigieuse. L'annuaire des anciens est un bottin mondain de la profession. Les aînés parrainent et guident les meilleurs (ou les plus dociles) dans les arcanes de la profession

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  • A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".

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    L'avis de Jean-François Touzé
     
    Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence "laïciste".
    En se contentant de déplorer les maux du "communautarisme" (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du "séparatisme" (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, énième "plan de lutte contre la radicalisation" dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que  chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du "vivre ensemble".

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  • L’armée syrienne poursuit son offensive et libère la banlieue d’Alep, par Antoine de Lacoste.

    Que peut-il se passer maintenant ? L’armée syrienne peut reprendre le sud de la province, relativement isolé maintenant, mais également poursuivre vers l’ouest en direction de la frontière turque, ce qui est diplomatiquement assez périlleux

    Après les multiples menaces turques et la libération de l’autoroute Damas-Alep, principal objectif à court terme, on pouvait penser que l’offensive de l’armée syrienne allait connaître une pause. Il n’en a rien été et les combats continuent à faire rage entre islamistes et soldats syriens.

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  • “Séparatisme”, “communautarisme”… Et si on parlait simplement d’islamisme?

    Le changement sémantique voulu par Emmanuel Macron démontre que les dirigeants français errent complètement, alors que monte la menace islamiste sur notre sol. L’analyse de Céline Pina.

    Face aux attentats, violences et tensions qui traversent notre société, le Président de la république n’a pas été avare de plans. On nous a d’abord vendu en fanfare des plans contre la radicalisation, on les a même relancés. Sans succès. On nous a dit alors qu’on allait voir ce qu’on allait voir et que le gouvernement allait lancer un plan contre le communautarisme. On n’a rien vu. Aujourd’hui, tout le monde attend avec impatience le nouveau nouveau plan. Contre le séparatisme cette fois-ci. Le problème c’est que pour l’instant toutes ces annonces n’impulsent aucune dynamique et n’obtiennent pas de résultats. Au moins l’analyse du bilan n’est-elle pas épuisante : ces plans sont en général des coquilles vides qui ne servent qu’à mettre en scène une volonté politique, celle-ci tenant lieu d’action concrète et permettant de faire durer l’immobilisme comme de faire patienter le peuple jusqu’au prochain attentat, au prochain meurtre, au prochain scandale, à la prochaine adolescente chassée de son lycée par une meute fanatisée…

    Un errement sémantique qui en dit beaucoup

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  • Éoliennes et massacre de nos paysages : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    Éoliennes et massacre de nos paysages  : la grande hypocrisie des écolos-gauchistes

    L’essayiste Grégory Roose a publié une tribune dans Valeurs actuelles pour dénoncer les éoliennes et le massacre de nos paysages. Extraits :

    Alors que le gouvernement vient de décider de doubler le nombre d’éoliennes d’ici 2028, les Français ne cachent plus leur agacement envers ces installations industrielles dont l’imposante verticalité brouille l’harmonie visuelle des campagnes et des bords de mer (…) Notre patrimoine paysager est la première victime de cette « lutte contre le réchauffement climatique » qui se trompe d’adversaire. L’enlaidissement des villes n’aura pas servi à éviter celui des campagnes (…) Après le temps de l’urbanisation sauvage, vient celui de l’écologisation organisée, c’est-à-dire du massacre planifié des paysages légitimé par la sacro-sainte « lutte contre le réchauffement climatique » (…)

    Contrairement aux idées émises, elles ne contribuent presque pas à réduire les gaz à effet de serre, et donc le réchauffement climatique, dans une France qui consomme déjà près de 85 % d’électricité décarbonnée grâce aux centrales nucléaires et à l’hydraulique. Par pur dogmatisme, le Gouvernement veut continuer à tartiner la France d’éoliennes pour réduire la part du nucléaire à l’horizon 2035. Mais pour couvrir les besoins énergétiques de la France, il faudrait des centaines de milliers d’éoliennes implantées sur des millions d’hectares. Avec 8.000 éoliennes en service en 2019, la France a déjà dépassé le seuil de tolérance. Dans ces conditions, pourquoi encourager ce viol esthétique de nos paysages, partie intégrante du patrimoine identitaire de la France ?(…)

    L’implantation d’éoliennes répond à une puissante idéologie « anti-nucléaire » (…) En imposant l’éolien, le lobby écolo « anti-nucléaire » prétend à tort réduire le réchauffement climatique et s’arroge par conséquent le droit d’infliger aux Français de nombreuses atteintes à l’environnement : dégradation du cadre de vie, augmentation de la mortalité des oiseaux, extraction d’acier et de métaux rares, bétonnage intensif de bonnes terres agricoles.

    Pour illustrer l’hypocrisie des écolos-gauchistes, la situation du village de Saint-Pierre de Colombier en Ardèche est assez parlante. Une poignée d’écolo-gauchistes s’oppose au projet de la Famille Missionnaire de Notre-Dame de construire au nouvelle église dans le village (voir ici). Les arguments les plus fallacieuxainsi que la diffusion de fake news sont bons à utiliser au nom de l’écologie alors que le combat est en réalité un combat anti-chrétien (voir iciici et ici). Le slogan principal de ces opposants écolos-gauchistes est “Stop béton“.

    Or, l’Ardèche a inauguré en 2017 le plus gros parc éolien de la région :

    Le nouveau parc éolien de la montagne ardéchoise s’étend sur six communes du plateau ardéchois. 29 éoliennes sont réparties sur ce vaste territoire. L’ensemble délivre une puissance de 73,5 mégawatts, ce qui équivaut à la consommation électrique annuelle de 80 000 habitants. C’est le plus gros parc éolien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et avec lui, le département de l’Ardèche devient le premier département de la région en matière d’énergie renouvelable (…) Il aura fallu 10 ans pour sortir de terre ces machines aux allures de danseuses hautes de 85 mètres.

    Or, il se trouve qu’il faut énormément de béton pour construire des éoliennes (environ 1 200 tonnes) et que ce béton ne sera jamais recyclé à la fin de fin de l’éolienne. Et là, silence complet des écolos-gauchistes :

    Ces éoliennes seront dotées de mâts hauts de 85 m, supporteront des pales de 41 m de long. Un gigantisme qui induit des efforts importants sur socles béton (massifs poids), ces derniers reprenant toutes les charges de l’éolienne (…) Chaque socle consomme 425 m3 de béton. Plus de quarante tonnes d’acier sont utilisées pour chaque socle.

    Pour soutenir le projet de la famille Missionnaire de Colombier, un site dédié est accessible.