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  • Les médias de grand chemin nous imposent leurs propagande

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    Samedi, les journaux titrent, scandalisés :
    Tout juste acquitté, Donald Trump congédie deux membres de son administration qui avaient témoigné contre lui
    Des élus démocrates ont aussitôt dénoncé ces "représailles" de la part du président américain.
    Le même jour, les mêmes journalistes titrent en applaudissant :
    Merkel congédie un membre de son gouvernement jugé trop proche de l’extrême-droite
    Christian Hirte s’était félicité de l’élection d’un nouveau dirigeant de la région de Thuringe grâce aux voix du parti démocrate-chrétien CDU et du parti AfD.
  • Criminalité et délinquance en Ile de France : “près de 40 % des mis en cause sont des étrangers”

    Criminalité et délinquance en Ile de France : “près de 40 % des mis en cause sont des étrangers”

    C’est la préfecture de police qui le dit. par ailleurs, la proportion des étrangers mis en cause ailleurs en France est également très élevée. Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y a aucun lien entre immigration et délinquance… Et les chiffres ne précisent pas la proportion des issus de l’immigration dans les 60% restants :

    D’une manière générale, tous types de crimes et délits confondus, «près de 40 % des mis en cause» dans l’agglomération parisienne sont «de nationalité étrangère», qu’ils soient clandestins ou en situation régulière, révèle la «PP».

    C’est deux fois plus qu’ailleurs en France, en zone police, où les étrangers pèsent 20 % des mis en causeLa proportion est même de 47,6 % dans Parisintra-muros. Un mis en cause sur deux. Le ratio est de 12,5 % de mis en cause étrangers à la DDSP du Nord, 27,4 % dans celle du Rhône et 22,3 % dans celle des Bouches-du-Rhône.

    Lors d’un procès intenté à Eric Zemmour en 2016, Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Intérieur, avait écrit au président du tribunal :

    Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la sécurité publique du ministère de l’intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées étaient imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine.

    https://www.lesalonbeige.fr/criminalite-et-delinquance-en-ile-de-france-pres-de-40-des-mis-en-cause-sont-des-etrangers/

  • La loi salique : une mystification

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    Si la parité peine à progresser, c'est parce que la France a toujours refusé le pouvoir aux femmes ? En raison d'une loi du Ve siècle, léguée par les Francs saliens, qui a écarté la gent féminine de la succession au trône ? Elire une femme à la présidence de la République mettrait donc fin à 1500 ans d'ostracisme ? Faux, faux et faux ! Des vérités sont à rétablir d'urgence.

    Une femme au pouvoir, ce serait nouveau, prometteur ou renversant. Et ce serait justice après des siècles d'obscurantisme et de patriarcat misogyne... Et bien non, car invoquer la loi salique pour expliquer la faible représentation féminine dans le corps politique aujourd'hui revient à accréditer un mensonge colossal. Et à effacer d'un trait reines et régentes qui exercèrent réellement le pouvoir sur nos terres, sans craindre la comparaison avec leurs homologues masculins.

    Las ! la légende de la loi salique, une création du XVe siècle, soit mille ans après les premiers Francs saliens, a prospéré. Elle alimente encore aujourd'hui l'analyse politique et le discours sur la parité : « Cette situation s'explique [...] par des raisons historiques : la loi salique a écarté les femmes de la succession au trône de France » (Corinne Deloy, Les Femmes en politique, Fondation pour l'innovation politique) ; « Mon hypothèse est que fonctionne encore la loi salique, cette loi française, d'abord française, qui interdit la transmission de la couronne à une femme » (Geneviève Fraisse, colloque La Démocratie « à la française » ou les femmes indésirables).

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  • 60% des Français pensent qu’un second tour Macron/Le Pen est probable, mais 80% ne le souhaitent pas, selon un sondage

    6 Français sur 10 pensent que la prochaine présidentielle sera un duel Macron-Le Pen. Toutefois, 80% des personnes interrogées par l’institut Elabe pour BFMTV ne sont pas satisfait de ce duel annoncé. Ils sont, par ailleurs, 72% à se dire insatisfait de l’offre politique actuelle. (BFMTV)

  • L’homme d’action face aux femelles et aux capons

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    Bernard Plouvier

    Il y a deux millénaires, un très grand esprit semble avoir enseigné cette profonde vérité : « C’est aux fruits qu’on juge l’arbre ». Et nos paysans répètent depuis des siècles qu’on récolte ce qu’on a semé... du moins en qualité, la quantité dépendant d’une foule d’éléments contingents.

    Les pays d’Europe occidentale et scandinave sont gouvernés par des femelles et des capons, et sont donc des proies faciles pour les masses d’immigrés d’origine extra-européenne. Et, en France macronienne, l’on n’a même plus le droit d’énoncer cette évidence : l’immigration à coup de millions de femmes, d’hommes et d’enfants, cela s’appelle une "invasion".

    L’"invasion" que nous subissons – sans avoir été consultés, ce qui témoigne du caractère totalitaire des régimes européens, singulièrement du français - n’est pacifique qu’en apparence, parce que dans le lot des aimables réfugiés politiques, économiques, sanitaires, climatiques etc, se sont glissés nombre d’adeptes du Djihâd, comme nul ne l’ignore depuis 2014 sq.

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  • « L’Égyptien du FN » et le « député chinois » répondent au rappeur Rost

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    Au micro de Boulevard Voltaire et  répondent au rappeur  qui a qualifié le premier d’« Égyptien du Front national » et le second de « député chinois », sur le plateau de « Morandini Live », se refusant à les nommer.

     
  • USA : l’école et l’université mettent en accusation l’héritage occidental

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    Par Renaud Beauchard*

    En Amérique, le « politiquement correct » et la répudiation de l’humanisme occidental commencent dès le primaire à l’école publique. Et c’est une des causes du climat idéologique qui prévaut dans les universités, raconte l’essayiste, professeur associé à l’American University Washington College of Law, à Washington DC.

    Dans une de ces grandes braderies rituelles de l’héritage humaniste qui ponctuent l’actualité universitaire aux États-Unis depuis plusieurs décennies,  le département d’histoire de l’art de l’université de Yale vient d’annoncer sa décision de supprimer son cours d’introduction à l’histoire de l’art, jugé trop occidentalo-centré, pour le remplacer par quatre cours composites d’« histoire globale ». Cette nouvelle n’est guère surprenante, venant d’une université qui a cédé en 2016 à la pression d’étudiants pétitionnaires du département d’anglais réclamant d’être soulagés de l’obligation d’étudier les œuvres de Shakespeare ou Milton pour mieux pouvoir se consacrer à la production littéraire d’artistes appartenant à des catégories victimaires identifiées. À vrai dire, le plus étonnant n’est pas la suppression de ce cours, mais le fait qu’il ait pu subsister aussi longtemps dans l’atmosphère de transe nihiliste qui sévit depuis plusieurs décennies dans une partie des départements des universités de l’Ivy League.

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  • De Dreux à la France, l’éditorial de François Marcilhac.

    L’important entretien que le comte de Paris a accordé à Frédéric de Natal pour le mensuel L’Incorrect [1] du mois de février est, par la teneur de ses propos, un acte politique fort, qui s’inscrit dans la suite d’un premier acte, majeur celui-là, à la fois religieux et politique, qui fut la demande de pardon du Prince, le matin du 21 janvier dernier, au début de la messe pour Louis XVI, des fautes commises par ses ancêtres, notamment par Philippe-Égalité.

    Toutes choses étant égales par ailleurs, c’est immédiatement à la décision de Jeanne d’Arc d’aller sacrer le «  gentil Dauphin  », pourtant déjà Charles VII de jure, que fait penser cette décision de Jean IV de demander pardon : la politique de Jeanne d’Arc eut pour fondement le sacre, sans lequel Charles VII n’était pas totalement établi dans ses droits, et le premier de celui-ci : servir le pays. De même, la politique de Jean IV aura désormais pour fondement cette demande de pardon  : «  Le décès de mon père l’année dernière, le jour même, quasiment à l’heure même, de celui du roi Louis XVI, a signifié pour moi que la boucle devait être bouclée.  » « Je souhaitais clore tout cela  » — «  une trace et un reproche  », même infondé — «  pour me tourner vers l’avenir.  » 

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