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  • Arnaud Imatz : « L’oligarchie mondialiste, fléau de l’Amérique et de l’Europe »

    Lasch-La-révolte-des-élites-et-la-trahison-de-la-démocratie.gifLorsqu’on vit depuis des années à l’étranger un sujet régulier d’étonnement est le mélange de répulsion-fascination que suscitent les États-Unis dans les grands médias de l’Hexagone. Certes, il ne s’agit pas d’une nouveauté. La généalogie de l’américanophobie et de l’américanophilie est bien établie. Les historiens la font remonter au XVIIIe siècle. Mais l’ampleur du parti pris journalistique à l’heure de traiter l’information sur l’ami-ennemi américain, est proprement sidérante. Le matraquage « obamaniaque », à l’automne 2012, quelques jours avant les élections présidentielles, n’en est qu’un exemple criant. Le message était d’un simplicité enfantine : il y avait d’une part, Barack Obama, le « bon », le réformateur, le « créateur » du système de protection sociale, et, d’autre part, Mitt Romney, le « méchant », le réactionnaire-opportuniste, le mormon milliardaire, le capitaliste va-t-en-guerre. Oubliée la loi de protection de la santé adoptée par l’État du Massachusetts, en 2006, sous l’impulsion du gouverneur Romney. Oubliées les interventions répétées de l’armée américaine sous les ordres du président démocrate sortant, les attaques de drones qui violaient le droit international (10 fois plus nombreuses que sous Bush Jr.) en particulier au Pakistan et au Yemen, l’envoi de 33000 hommes en Afghanistan, l’intervention en Lybie… En démocratie, disait le théoricien des relations internationales, Hans Morgenthau, « la propagande est inévitable, elle est un instrument de la politique », et son contrôle ne peut être qu’un travail de Pénélope. On ne supprime pas la propagande, pas plus qu’on n’élimine la conflictivité, au mieux, on la minimise.

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  • Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre

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    À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.

    À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?

    Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.

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  • DU RACISME ET DES FEMMES

    Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément (Boileau)

    Avec les mots de tous les jours voici dix minutes féministes de Solveig Mineo qui démonte la violence raciste de la rue dans un discours linéaire sans raté, hésitation ou retenue, cash ! ce qu'on appelle une performance. On a compris qu'elle défend avec talent sa communauté occidentale, la nôtre. Elle mérite nos encouragements et un suivi.

    - Cliquez sur l'image pour accéder à la vidéo -

    La belle a une station radio, AllôChaton, un studio vidéos et un site de combat d'excellente tenue qui vaut le détour : BELLICA.
    Courez-y, c'est mieux que pas mal !

    https://royalartillerie.blogspot.com/2020/02/du-racisme-et-des-femmes.html

  • Les origines de la guerre de Sécession

    Les origines de la guerre de Sécession .jpegLe conformisme en histoire, l'équivalent moderne de la censure, n'est pas le privilège de l'Europe. La puissante Amérique se retrouve victime elle aussi du poids des idées dominantes. Hollywood et les grands médias diffusent une version édulcorée du passé en accord avec les bons sentiments à la mode. En revanche, les Américains qui veulent transmettre une autre vision de leur histoire disposent d'atouts que nous pouvons envier. Leur esprit pratique, tout comme les dimensions du pays, rendent possibles des projets qui, dans la vieille Europe, seraient voués à l'échec.

    The War between the States de John J. Dwyer est un bon exemple de ces initiatives locales contre le « politiquement correct » qui se multiplient de la côte Est à la côte Ouest. Fier de ses racines sudistes, l'auteur a imaginé un ouvrage, à mi-chemin entre l'encyclopédie et le manuel scolaire, qui rassemble une somme d'informations sans équivalent. Si, sur le déroulement de la guerre, le profane découvre une foule de renseignements peu connus, le principal mérite de ce livre, écrit avec clarté et avec un grand sens de la pédagogie, est d'insister sur les causes qui ont conduit les États Unis d'Amérique à se diviser.

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  • Hongrie d’abord: le gouvernement d’Orbán prouve que la propriété de l’État peut être une formule gagnante

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    La Hongrie prouve qu’une gestion intelligente des actifs de l’État peut être une formule gagnante pour la croissance économique.

    De nombreux Hongrois se souviennent encore du slogan politique de gauche libérale selon lequel «l’État est un mauvais propriétaire», mais comme le gouvernement de Viktor Orbán l’a toujours prouvé, un tel slogan ne s’applique qu’à ceux qui ne sont pas assez intelligents pour diriger un État.

    Vendre les actifs de l’État sans souci partout dans le monde était la politique des gouvernements socialistes-libéraux qui ont régné entre 2002 et 2010, et qui ont envoyé près de 200 entreprises précédemment détenues par l’État en mains privées. C’était essentiellement une continuation de ce que le gouvernement socialiste de Gyula Horn a fait entre 1994 et 1998, période pendant laquelle 65% des participations de l’État ont été privatisées.

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  • Les arnaques de la révolution verte

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    Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins  qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.

    A lire ICI

  • Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?

    Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.

    Démocratie en Thuringe

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  • La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...

    Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).

    "On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.

    Qui, "on" ?

    En voilà une bonne question !

    Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...

    Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !

    (Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem) 

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  • Éric Zemmour : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran »

    13/02/2020 – FRANCE (NOVOpress)
    Face à Thierry Lentz, Éric Zemmour a déclaré : « Aujourd’hui, Napoléon réunirait les dignitaires musulmans et les obligerait à bazarder la moitié du Coran ».

    Un passage à voir dans la 2ème partie de l’émission « Face à l’info » du 12 février 2020.

  • À retenir dès maintenant : 5 et 6 septembre prochains, 50e Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil

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